Le curieux des fouilles 6
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le curieux des fouilles 6
6 / BILAL SORT LE LUBRIFIANT...
Mais face à ce spectacle magique, le plus étonné de nous trois, ce n'est ni Bilal ni moi.
- Ben putain mon lieutenant ! je savais pas que...
- Oui ben ça va Julien !
- Non mais là... faut dire que vous ne m'aviez jamais montré votre bite... là j'hallucine, mon lieutenant !
- Oui ben, je montre pas forcément ma bite comme ça...
- Moi je voulais toujours voir votre zizi, chef, mais vous ne me l'avez jamais...
- Oui ben... voilà ! T'es content ?
Et il se tourne vers son jeune collègue en ouvrant les jambes en basculant le bassin pour bien lui montrer son gros machin qui se met à balancer.
- Putain, chef ! Truc de ouf !... En tous cas mon lieutenant, on peut dire que vous êtes un garçon, vous au moins !
Le flic se touche un peu les suspensions, ça balance lentement et lourdement...
- Mon lieutenant ! vous avez une couille qui monte, là...
Il approche sa main. Le chef recule.
- Vous savez, chef, si j'étais pas pédé, là je... non je veux dire si j'étais pédé... enfin...
Et lui, de sa voix grave, sur un ton de lassitude :
- ... ta gueule... Julien...
Le lieutenant commence à avoir chaud. J'ai l'impression qu'il a légèrement décallotté depuis tout à l'heure. Il sent un peu la transpiration, son énorme bazar dégage une odeur de sexe, de sexe propre mais de sexe, une odeur chaude, légère, une odeur simple, faite de chaleur, de savon, de transpiration... et d'un rien de sperme.
- Je suis le seul à sentir cette légère odeur de sperme ?
Le lieutenant de police pâlit. Il pose une main sur sa grosse queue, il tire sur son prépuce, on se regarde tous et d'un coup la pièce se remplit de testostérone.
- C'est vrai mon lieutenant j'avoue... vous sentez plutôt bon, vous sentez un peu le...
- Putain Julien... j'ai dit ta gueule alors ta gueule !
Je n'ai pas besoin de vérifier, je sais que Bilal bande... je le sens, on se connaît bien. Moi aussi d'ailleurs, je suis obligé de me la repositionner. Je le fais sans honte, la main dans le froc, en écartant et en pliant un peu les jambes, sous les yeux du flic qui pâlit à nouveau. Ce mec, avec sa gueule de tombeur, je commence à avoir très envie de le remuer dans tous les sens, de le retourner, de lui secouer ses fesses et ses gros pendentifs... on dirait qu'il s'en rend compte, il passe une main sur fesses... il commence à craindre pour son petit anneau. Mais il reste digne.
- S'il vous plaît... laissez Julien tranquille... faites-moi ce que vous voulez...
- Très beau geste de votre part lieutenant mais...
Bilal se tourne vers le flic stagiaire.
- Jeune homme, comme on n'est que deux douaniers, on n'a pas le droit de vous fouiller séparément, toi et ton chef, on va devoir vous examiner dans la même pièce. Je vais donc te demander d'enlever aussi ton sous-vêtement.
Mais le lieutenant proteste de plus en plus fort :
- S'il vous plaît, foitez-nous la paix... j'ai une femme et des enfants, moi, vous savez...
- Et ?
- Ben vous pouvez pas faire ça ! J'ai rien contre les ped'zouilles, mais je suis pas pédé, moi...
- T'entends ça, Bilal ? Le Monsieur n'a rien contre les ped'zouilles...
Bilal se tourne vers lui... et Bilal des fois il peut faire peur...
- Non... je veux dire... si vous voulez vous pouvez m'enculer... mais pas lui...
- T'entends ça, Quentin ? Le lieutenant veut se faire enculer ! C'est ton jour de chance ! Ha ! ha !
Mais c'est au tour du policier stagiaire de réagir. Il a l'air vexé :
- Non mon lieutenant ! Pas question ! Je suis majeur depuis longtemps, je n'ai.pas besoin qu'on me protège, alors si on vous encule, moi aussi je veux qu'on m'encule !
Bon. Alors là on est tous un peu étonnés... c'est beau la solidarité...
Mais le plus surpris c'est peut-être le lieutenant à poil. Quand on se regarde, je sens comme un déclic dans son regard de flic, quelque-chose qui lâche... je crois qu'il se dit qu'en fait son stagiaire est con... con comme une bite.
Car comme disait notre proc de fouille : "L'intelligence c'est comme la bite, quand c'est trop bien rangé c'est qu'il n'y a pas grand chose"... Je sais ça n'a rien à voir, mais c'est tellement vrai.
- Putain Julien tu veux que je te dise ? fais ce que tu veux ! Vas-y baisse-le, ton slip ! Et commence à te préparer le trou de fesses !
Le stagiaire n'a pas l'habitude qu'on lui parle comme ça, mais se sentant autorisé par son chef, il se met à descendre doucement son boxer noir et à dévoiler progressivement son zizi rose... rien à voir avec les énormes attributs de son supérieur... mais attention un très beau zizi de 21 ans quand même, un zizi de magazine, parfait, régulier, proportionné, propre, symétrique... un sexe de mannequin, un sexe modèle.
Il se tourne vers son chef pour lui montrer fièrement son joli sexe tout propre.
- Voilà chef !
Et on entend le lieutenant murmurer entre ses dents :
- Putain, la teub !
Tout fier, le jeune policier prend ça comme un compliment.
- Merci mon lieutenant !
Il sourit, rougit et se met à se tripoter... Mais moi je sais ce qu'il a voulu dire, le lieutenant, il a voulu dire que son apprenti est teubé, teubé comme une teub.
J'entends la respiration de Bilal qui s'accélère, son souffle qui s'échauffe... parce que justement les mecs teubés c'est grave son kif, ça l'excite, il adore ça c'est comme ça. Alors il s'approche.
- T'es beau, toi... t'es con, t'es même très con... mais putain qu'est-ce que t'es beau...
Le jeune flic sourit, il prend ça comme un autre compliment. Il est rose de plaisir. Alors Bilal glisse carrément une main intrusive entre les jambes de l'apprenti policier, et il la plaque sous ses jolies burnes. Puis il entame une longue carresse appuyée, depuis le cul, les couilles, le pénis et jusqu'au pubis... L'apprenti ouvre grand les yeux mais il se laisse empoigner, il ne dit rien. Faut dire, Bilal, des fois il fait vraiment peur... on dirait parfois qu'il y a en lui comme un prédateur qui dort... Mais il ajoute doucement :
- Maintenant, jeune homme, tu te mets face au mur, mains à plat contre le mur, jambes écartées, je veux voir ton petit anus et tes jolies couilles par derrière... C'est ça... Écarte plus... Allez encore... Voilà, magnifique !... Alors, jeune homme, on n'est pas bien là comme ça ?...
Le lieutenant, quant à lui, a le braquemart qui pend et le regard triste. Le bout de son gland est ressorti. Il regarde le petit cul et les couilles roses de son stagiaire en position d'exposition intime intégrale... il se dit que ça ne se fait pas de regarder le cul d'un stagiaire... mais celui-là, il est tellement con...
Il se dit aussi qu'il va devoir faire pareil et ça l'effraie un peu... Alors il se gratte sous les burnes et ça lui secoue tout. Il voit que je regarde son énorme bazar qui remue. Il sait que je bande et que je vais m'occuper de lui... Depuis son déclic, je sens dans son regard un mélange d'appréhension et de fatalisme, comme un acquiescement... Intérieurement il s'est rendu. Il sait qu'il va y passer, que je vais bientôt prendre entière possession de son corps de mâle hyper viril, que je vais me fouiller, l'hyper-fouiller, que j'irai partout et que je ne m'arrêterai pas avant qu'il m'ait tout offert, tout livré... tout.
- Ouvre plus, jeune homme, s'il te plaît.
Malgré son côté ténébreux, je sais qu'au fond Bilal est quelqu'un de très respectueux avec les suspects, et de très doux dans ses gestes. D'ailleurs ses doigts sont tellement doux que rares sont les hommes qui ne se mettent pas à bander au contact de ses fines mains d'arabe... Même moi, quand Bilal me touche pendant les entraînements... mais je ne suis pas un bon exemple...
En tous cas notre proc de fouilles (un très bon prof qui n'hésitait pas à donner de lui-même) nous a beaucoup parlé de l'homosexualité latente chez les hétéros. Et il a raison, j'ai bien remarqué, ils ne le disent pas mais putain tous ils aiment trop se faire doigter.
D'ailleurs le prof disait toujours : "pédé comme un hétéro" !
Bilal glisse ses mains longues et cendrées de chaque côté des bourses roses du stagiaire qui frissonne. Il caresse doucement le joli sexe blond. Ses doigts fins se glissent partout. Ils sont comme des yeux, ils inspectent les moindres recoins susceptibles de cacher... que sais-je... des pilules, des micro-dosettes, des patch, des choses adhésives... Les doigts de Bilal se faufilent, totalement indiscrets, ils se promènent partout sur le corps du jeune homme... sans limite et sans tabou.
L'apprenti flic semble étonné. Il sent les doigts intrusifs du douanier lui toucher les parties les plus intimes... il se laisse faire, et malgré lui, son sexe commence lentement à s'allonger.
Il sait que son chef le regarde et il a peur de bander. Il jette vers nous un regard écarquillé.
- Chef... il fait quoi, là ?...
- Je t'avais prévenu, Julien...
- Oui mais là... il va à des endroits... ça me fait des trucs partout, là...
- Je sais, Julien... je sais...
Le flic nous désigne du menton :
- Tu sais, ils sont très forts, ces deux-là, à ce qu'on dit...
Les doigts habiles de Bilal inspectent tous les replis du jeune homme, se faufillent partout au milieu des poils blonds de devant et de derrière. Le jeune flic continue à frissonner. Il bande de plus en plus.
- Ha... ça chatouille... Hou... putain c'est bon... mais... Hou... ça chatouille...
Il a décalotté sans le vouloir. À présent, son long pénis dur pointe, droit comme un "I". Son visage a rougi et tout son corps a rosi de plaisir. Il se laisse faire et Bilal en profite !
Le jeune flic nous lance un regard rempli d'interrogation, de désir et d'émerveillement.
Alors Bilal sort le lubrifiant...
Mais face à ce spectacle magique, le plus étonné de nous trois, ce n'est ni Bilal ni moi.
- Ben putain mon lieutenant ! je savais pas que...
- Oui ben ça va Julien !
- Non mais là... faut dire que vous ne m'aviez jamais montré votre bite... là j'hallucine, mon lieutenant !
- Oui ben, je montre pas forcément ma bite comme ça...
- Moi je voulais toujours voir votre zizi, chef, mais vous ne me l'avez jamais...
- Oui ben... voilà ! T'es content ?
Et il se tourne vers son jeune collègue en ouvrant les jambes en basculant le bassin pour bien lui montrer son gros machin qui se met à balancer.
- Putain, chef ! Truc de ouf !... En tous cas mon lieutenant, on peut dire que vous êtes un garçon, vous au moins !
Le flic se touche un peu les suspensions, ça balance lentement et lourdement...
- Mon lieutenant ! vous avez une couille qui monte, là...
Il approche sa main. Le chef recule.
- Vous savez, chef, si j'étais pas pédé, là je... non je veux dire si j'étais pédé... enfin...
Et lui, de sa voix grave, sur un ton de lassitude :
- ... ta gueule... Julien...
Le lieutenant commence à avoir chaud. J'ai l'impression qu'il a légèrement décallotté depuis tout à l'heure. Il sent un peu la transpiration, son énorme bazar dégage une odeur de sexe, de sexe propre mais de sexe, une odeur chaude, légère, une odeur simple, faite de chaleur, de savon, de transpiration... et d'un rien de sperme.
- Je suis le seul à sentir cette légère odeur de sperme ?
Le lieutenant de police pâlit. Il pose une main sur sa grosse queue, il tire sur son prépuce, on se regarde tous et d'un coup la pièce se remplit de testostérone.
- C'est vrai mon lieutenant j'avoue... vous sentez plutôt bon, vous sentez un peu le...
- Putain Julien... j'ai dit ta gueule alors ta gueule !
Je n'ai pas besoin de vérifier, je sais que Bilal bande... je le sens, on se connaît bien. Moi aussi d'ailleurs, je suis obligé de me la repositionner. Je le fais sans honte, la main dans le froc, en écartant et en pliant un peu les jambes, sous les yeux du flic qui pâlit à nouveau. Ce mec, avec sa gueule de tombeur, je commence à avoir très envie de le remuer dans tous les sens, de le retourner, de lui secouer ses fesses et ses gros pendentifs... on dirait qu'il s'en rend compte, il passe une main sur fesses... il commence à craindre pour son petit anneau. Mais il reste digne.
- S'il vous plaît... laissez Julien tranquille... faites-moi ce que vous voulez...
- Très beau geste de votre part lieutenant mais...
Bilal se tourne vers le flic stagiaire.
- Jeune homme, comme on n'est que deux douaniers, on n'a pas le droit de vous fouiller séparément, toi et ton chef, on va devoir vous examiner dans la même pièce. Je vais donc te demander d'enlever aussi ton sous-vêtement.
Mais le lieutenant proteste de plus en plus fort :
- S'il vous plaît, foitez-nous la paix... j'ai une femme et des enfants, moi, vous savez...
- Et ?
- Ben vous pouvez pas faire ça ! J'ai rien contre les ped'zouilles, mais je suis pas pédé, moi...
- T'entends ça, Bilal ? Le Monsieur n'a rien contre les ped'zouilles...
Bilal se tourne vers lui... et Bilal des fois il peut faire peur...
- Non... je veux dire... si vous voulez vous pouvez m'enculer... mais pas lui...
- T'entends ça, Quentin ? Le lieutenant veut se faire enculer ! C'est ton jour de chance ! Ha ! ha !
Mais c'est au tour du policier stagiaire de réagir. Il a l'air vexé :
- Non mon lieutenant ! Pas question ! Je suis majeur depuis longtemps, je n'ai.pas besoin qu'on me protège, alors si on vous encule, moi aussi je veux qu'on m'encule !
Bon. Alors là on est tous un peu étonnés... c'est beau la solidarité...
Mais le plus surpris c'est peut-être le lieutenant à poil. Quand on se regarde, je sens comme un déclic dans son regard de flic, quelque-chose qui lâche... je crois qu'il se dit qu'en fait son stagiaire est con... con comme une bite.
Car comme disait notre proc de fouille : "L'intelligence c'est comme la bite, quand c'est trop bien rangé c'est qu'il n'y a pas grand chose"... Je sais ça n'a rien à voir, mais c'est tellement vrai.
- Putain Julien tu veux que je te dise ? fais ce que tu veux ! Vas-y baisse-le, ton slip ! Et commence à te préparer le trou de fesses !
Le stagiaire n'a pas l'habitude qu'on lui parle comme ça, mais se sentant autorisé par son chef, il se met à descendre doucement son boxer noir et à dévoiler progressivement son zizi rose... rien à voir avec les énormes attributs de son supérieur... mais attention un très beau zizi de 21 ans quand même, un zizi de magazine, parfait, régulier, proportionné, propre, symétrique... un sexe de mannequin, un sexe modèle.
Il se tourne vers son chef pour lui montrer fièrement son joli sexe tout propre.
- Voilà chef !
Et on entend le lieutenant murmurer entre ses dents :
- Putain, la teub !
Tout fier, le jeune policier prend ça comme un compliment.
- Merci mon lieutenant !
Il sourit, rougit et se met à se tripoter... Mais moi je sais ce qu'il a voulu dire, le lieutenant, il a voulu dire que son apprenti est teubé, teubé comme une teub.
J'entends la respiration de Bilal qui s'accélère, son souffle qui s'échauffe... parce que justement les mecs teubés c'est grave son kif, ça l'excite, il adore ça c'est comme ça. Alors il s'approche.
- T'es beau, toi... t'es con, t'es même très con... mais putain qu'est-ce que t'es beau...
Le jeune flic sourit, il prend ça comme un autre compliment. Il est rose de plaisir. Alors Bilal glisse carrément une main intrusive entre les jambes de l'apprenti policier, et il la plaque sous ses jolies burnes. Puis il entame une longue carresse appuyée, depuis le cul, les couilles, le pénis et jusqu'au pubis... L'apprenti ouvre grand les yeux mais il se laisse empoigner, il ne dit rien. Faut dire, Bilal, des fois il fait vraiment peur... on dirait parfois qu'il y a en lui comme un prédateur qui dort... Mais il ajoute doucement :
- Maintenant, jeune homme, tu te mets face au mur, mains à plat contre le mur, jambes écartées, je veux voir ton petit anus et tes jolies couilles par derrière... C'est ça... Écarte plus... Allez encore... Voilà, magnifique !... Alors, jeune homme, on n'est pas bien là comme ça ?...
Le lieutenant, quant à lui, a le braquemart qui pend et le regard triste. Le bout de son gland est ressorti. Il regarde le petit cul et les couilles roses de son stagiaire en position d'exposition intime intégrale... il se dit que ça ne se fait pas de regarder le cul d'un stagiaire... mais celui-là, il est tellement con...
Il se dit aussi qu'il va devoir faire pareil et ça l'effraie un peu... Alors il se gratte sous les burnes et ça lui secoue tout. Il voit que je regarde son énorme bazar qui remue. Il sait que je bande et que je vais m'occuper de lui... Depuis son déclic, je sens dans son regard un mélange d'appréhension et de fatalisme, comme un acquiescement... Intérieurement il s'est rendu. Il sait qu'il va y passer, que je vais bientôt prendre entière possession de son corps de mâle hyper viril, que je vais me fouiller, l'hyper-fouiller, que j'irai partout et que je ne m'arrêterai pas avant qu'il m'ait tout offert, tout livré... tout.
- Ouvre plus, jeune homme, s'il te plaît.
Malgré son côté ténébreux, je sais qu'au fond Bilal est quelqu'un de très respectueux avec les suspects, et de très doux dans ses gestes. D'ailleurs ses doigts sont tellement doux que rares sont les hommes qui ne se mettent pas à bander au contact de ses fines mains d'arabe... Même moi, quand Bilal me touche pendant les entraînements... mais je ne suis pas un bon exemple...
En tous cas notre proc de fouilles (un très bon prof qui n'hésitait pas à donner de lui-même) nous a beaucoup parlé de l'homosexualité latente chez les hétéros. Et il a raison, j'ai bien remarqué, ils ne le disent pas mais putain tous ils aiment trop se faire doigter.
D'ailleurs le prof disait toujours : "pédé comme un hétéro" !
Bilal glisse ses mains longues et cendrées de chaque côté des bourses roses du stagiaire qui frissonne. Il caresse doucement le joli sexe blond. Ses doigts fins se glissent partout. Ils sont comme des yeux, ils inspectent les moindres recoins susceptibles de cacher... que sais-je... des pilules, des micro-dosettes, des patch, des choses adhésives... Les doigts de Bilal se faufilent, totalement indiscrets, ils se promènent partout sur le corps du jeune homme... sans limite et sans tabou.
L'apprenti flic semble étonné. Il sent les doigts intrusifs du douanier lui toucher les parties les plus intimes... il se laisse faire, et malgré lui, son sexe commence lentement à s'allonger.
Il sait que son chef le regarde et il a peur de bander. Il jette vers nous un regard écarquillé.
- Chef... il fait quoi, là ?...
- Je t'avais prévenu, Julien...
- Oui mais là... il va à des endroits... ça me fait des trucs partout, là...
- Je sais, Julien... je sais...
Le flic nous désigne du menton :
- Tu sais, ils sont très forts, ces deux-là, à ce qu'on dit...
Les doigts habiles de Bilal inspectent tous les replis du jeune homme, se faufillent partout au milieu des poils blonds de devant et de derrière. Le jeune flic continue à frissonner. Il bande de plus en plus.
- Ha... ça chatouille... Hou... putain c'est bon... mais... Hou... ça chatouille...
Il a décalotté sans le vouloir. À présent, son long pénis dur pointe, droit comme un "I". Son visage a rougi et tout son corps a rosi de plaisir. Il se laisse faire et Bilal en profite !
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