Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45. Suite
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45. Suite
Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45.
Au décès de mon grand-père, j’ai retrouvé des carnets remplis d’une écriture serrée. Ils racontaient sa vie d’ado pendant la seconde guerre mondiale. Ce que je vais vous raconter est tiré de ce qu’il a vécu avec un rajout hot pour égayer l’histoire avec un grand H.
-Ninon avait raison, le maïs a bien poussé et l’épi est dur et ferme. Le coquelet est devenu le roi de la basse-cour. Aaahhh ! Ooouuuiii !
Elle aussi ne partit pas avant d’avoir reçu son obole. Je retombai aussitôt dans les bras de Morphée après une nouvelle toilette du pinceau toujours dressé, mais par pour longtemps. Cette fois, ce fut le tour de Louisa. Elle avait de magnifiques seins et une toute petite chatte. Mon engin était comme pris dans un étau dans son vagin et elle se poignardait avec prudence sur ma pine.
-Aaahhh Bernard ! Mon Dieu que t’es gros, pourtant tu n’as que la peau sur les os. Je ne croyais pas que tu aurais tenu le coup jusqu’à moi mais tu as l’air d’être un bon coup !
Une fois son affaire faite, et un dernier nettoyage, je pus enfin dormir, la queue toujours raide. Mais que m’avaient-elles fait boire ? Ce n’est que le lendemain que je réalisais au petit-déjeuner que trois des femelles sur quatre autour de la table avaient trouvé l’orgasme en faisant du rodéo sur ma pine…Et pourtant, elles faisaient comme si je n’existais pas, les salopes !
Suite :Le lendemain matin au petit déjeuner une fois qu’Aline se fut absentée, leur comportement changea et elles furent toutes au petit soin pour moi, commentant cette nuit de débauche comme si je n’existais pas.
-Notre coq à la queue plus verte que Juan, lui n’a jamais tenu les trois rounds, expliquait Lina.
-Et il était encore « en forme » quand je l’ai quitté. Confirmait Luisa. Et quel gourdin !
-Eh ! Je veux bien le partager avec vous ! S’exclama Ninon. Mais vous allez le dépraver et le rendre malade si vous lui donnez trop souvent votre potion. En une nuit, il a vécu ce que peu d’hommes ne connaîtront jamais !
-Eh ! Je suis là ! Je m’emportais. J’ai peut-être mon mot à dire !
Chaque jour jusqu’au retour de mes parents, que ce soit la nuit ou dans les « conches », Il fallait que je contente l’une ou l’autre. Heureusement que j’étais jeune et en pleine possession de mes moyens au niveau sexuel car il fallait que je donne de ma personne.
Le feu d’artifice eut lieu la veille du retour de mes parents où, m’ayant fait à nouveau boire de la « potion magique », ces trois bacchantes se déchainèrent ensemble sur le « pôvre gosse » que j’étais. Mais j’étais fier comme un coq avec toutes ces « poules ».
Le drame, même plusieurs, eurent lieu l’année suivante. Lors du bombardement de la base sous-marine par les alliés, des bombes détruisirent des maisons dont celle de mon copain Pierre, il y perdit la vie ainsi que sa mère. Je perdis alors mon insouciance et se fut encore pire quand mon père se fit arrêter par la Gestapo. Je ne le revus jamais. Nous ne quittions plus la minuscule ferme où mes cousines de Dieppe, Virginie et Colette nous avaient rejoints. Il ne faisait pas bon de vivre dans ces coins là à cette époque…Pour oublier mon chagrin, je n’avais pas trouvé mieux que de me noyer dans la luxure, dans ces courts moments de bonheur où j’oubliais tout. La bicoque était si petite que Lina avait prêté une dépendance pour en faire un dortoir pour mes cousines, ma sœur et moi. Elle avait récupéré des lits superposés, d’un coté, moi et ma sœur, de l’autre mes cousines. La nuit, il était interdit d’allumer et la minuscule fenêtre qui donnait sur l’océan était obturée par une couverture épaisse car si une lumière était aperçue par les marins de leurs vedettes ou des boches qui faisaient des rondes, ils n’hésitaient pas à lâcher une rafale de mitrailleuse ou des coups de fusil.
Mais c’était sans compter l’insatiable Ninon. Elle se coulait subrepticement dans la pièce en pleine nuit, se suspendait des mains aux lattes du lit supérieur et me chevauchait comme une amazone déchainée, serrant les lèvres pour ne pas réveiller les filles endormies. J’eu la surprise un matin en voyant une tache de sang sur les draps et inquiet, m’en épancha à Ninon.
-Tu étais bizarre cette nuit, on aurait dit que tu ne savais pas comment faire et j’ai ressenti comme de la résistance quand mon sexe s’est enfoncé dans le tien.
Sa réaction fût étonnante.
-Ah la petite pute ! Elle a osée !
-Osé quoi ? Et qui ?
-Ma sœur pardi ! J’ai dû passer la nuit à l’étable car la « Rousse » était malade. Cette salope d’Aline en a profitée pour allez se faire dépuceler sur ton gourdin ! Et tu n’as rien remarqué ?
-Eh bien, euuuhhh, je dois dire que… j’ai bien remarqué que l’étui avait l’air plus serré que d’habitude et que tu/qu’elle n’a pas tenu longtemps avant de geindre, j’ai même dû la bâillonner des mes mains pour qu’elle ne réveille pas les autres.
Mais le mal était fait, et les poulettes dessalées. Dans les semaines qui suivirent, deux fois encore, des taches de sang tachèrent mes draps. J’étais devenu le coq de la basse-cour, le seul et unique… Et toutes les poules caquetaient entre elles pour comparer leurs impressions, ce qu’elles avaient fait ou non, en voulant encore plus de ma part. Un vrai défilé je vous dis !!! Il manquait une tache de sang, ce qui voulait dire que : Où l’une d’elle s’abstenait, ou elle était déjà dépucelée, mais laquelle ???
Le pire, c’est que je ne savais jamais quelle poulette montait sur le coq tellement la pièce était dans le noir complet. Et à part Ninon, sa mère ou sa tante qui demandaient elles aussi leur dû quand je partais avec elles aux travaux des champs, je ne savais laquelle j’étais en train de troncher… Je n’ai jamais su laquelle, quand elle arrivait à l’orgasme, m’inondait comme si elle me pissait dessus que mes draps en étaient à tordre. Par accord tacite d’ailleurs, mes draps étaient changés chaque jour sans qu’un seul commentaire de l’une ou de l’autre ne trahisse l’auteure de cette performance. Mais je suis sûr qu’entre elles, elles se disaient tout.
Des années plus tard, un jour un compagnon de cellule me raconta dans une longue lettre les derniers jours de mon père qui fut fusillé par les boches un matin sans avoir trahi son réseau. Heureusement pour Lina et tous ceux qui vivaient sous son toit.
Pendant plusieurs années, sans que ma mère le sache, j’étais souvent invité de droite et de gauche car les poulettes, devenues de belles poules, attendaient avec impatiences de revoir leur « coq », se déplumant le cou à coup de bec entre elles pour avoir la meilleure place du poulailler qui s’étoffa d’autres cousines qui voulaient tester « le coq ». Je ne sais pas si un jour quelqu’un lira ces lignes. Mais je lui demande d’être discret car s’il est de ma famille, il est bien possible que son cousin ou sa cousine soit son demi-frère ou sa demi-sœur.
Bordel de merde !!! Quelle révélation !!! A part faire des recherches génétiques, je ne saurai jamais si sa prédiction est devenue réalité. Mais il a raison, à part semer la merde ça n’apportera rien de bon.
Je vais brûler ces cahiers mais après en avoir écrit un livre « édulcoré de certains passages ».
NB : Ce livre existe vraiment. Je m’en suis inspiré après l’avoir lu pour la trame de ce texte et les malheurs arrivés dans cette histoire sont aussi bien réels. Tous les prénoms ont été changés, sauf un.
Mlkjhg39
Au décès de mon grand-père, j’ai retrouvé des carnets remplis d’une écriture serrée. Ils racontaient sa vie d’ado pendant la seconde guerre mondiale. Ce que je vais vous raconter est tiré de ce qu’il a vécu avec un rajout hot pour égayer l’histoire avec un grand H.
-Ninon avait raison, le maïs a bien poussé et l’épi est dur et ferme. Le coquelet est devenu le roi de la basse-cour. Aaahhh ! Ooouuuiii !
Elle aussi ne partit pas avant d’avoir reçu son obole. Je retombai aussitôt dans les bras de Morphée après une nouvelle toilette du pinceau toujours dressé, mais par pour longtemps. Cette fois, ce fut le tour de Louisa. Elle avait de magnifiques seins et une toute petite chatte. Mon engin était comme pris dans un étau dans son vagin et elle se poignardait avec prudence sur ma pine.
-Aaahhh Bernard ! Mon Dieu que t’es gros, pourtant tu n’as que la peau sur les os. Je ne croyais pas que tu aurais tenu le coup jusqu’à moi mais tu as l’air d’être un bon coup !
Une fois son affaire faite, et un dernier nettoyage, je pus enfin dormir, la queue toujours raide. Mais que m’avaient-elles fait boire ? Ce n’est que le lendemain que je réalisais au petit-déjeuner que trois des femelles sur quatre autour de la table avaient trouvé l’orgasme en faisant du rodéo sur ma pine…Et pourtant, elles faisaient comme si je n’existais pas, les salopes !
Suite :Le lendemain matin au petit déjeuner une fois qu’Aline se fut absentée, leur comportement changea et elles furent toutes au petit soin pour moi, commentant cette nuit de débauche comme si je n’existais pas.
-Notre coq à la queue plus verte que Juan, lui n’a jamais tenu les trois rounds, expliquait Lina.
-Et il était encore « en forme » quand je l’ai quitté. Confirmait Luisa. Et quel gourdin !
-Eh ! Je veux bien le partager avec vous ! S’exclama Ninon. Mais vous allez le dépraver et le rendre malade si vous lui donnez trop souvent votre potion. En une nuit, il a vécu ce que peu d’hommes ne connaîtront jamais !
-Eh ! Je suis là ! Je m’emportais. J’ai peut-être mon mot à dire !
Chaque jour jusqu’au retour de mes parents, que ce soit la nuit ou dans les « conches », Il fallait que je contente l’une ou l’autre. Heureusement que j’étais jeune et en pleine possession de mes moyens au niveau sexuel car il fallait que je donne de ma personne.
Le feu d’artifice eut lieu la veille du retour de mes parents où, m’ayant fait à nouveau boire de la « potion magique », ces trois bacchantes se déchainèrent ensemble sur le « pôvre gosse » que j’étais. Mais j’étais fier comme un coq avec toutes ces « poules ».
Le drame, même plusieurs, eurent lieu l’année suivante. Lors du bombardement de la base sous-marine par les alliés, des bombes détruisirent des maisons dont celle de mon copain Pierre, il y perdit la vie ainsi que sa mère. Je perdis alors mon insouciance et se fut encore pire quand mon père se fit arrêter par la Gestapo. Je ne le revus jamais. Nous ne quittions plus la minuscule ferme où mes cousines de Dieppe, Virginie et Colette nous avaient rejoints. Il ne faisait pas bon de vivre dans ces coins là à cette époque…Pour oublier mon chagrin, je n’avais pas trouvé mieux que de me noyer dans la luxure, dans ces courts moments de bonheur où j’oubliais tout. La bicoque était si petite que Lina avait prêté une dépendance pour en faire un dortoir pour mes cousines, ma sœur et moi. Elle avait récupéré des lits superposés, d’un coté, moi et ma sœur, de l’autre mes cousines. La nuit, il était interdit d’allumer et la minuscule fenêtre qui donnait sur l’océan était obturée par une couverture épaisse car si une lumière était aperçue par les marins de leurs vedettes ou des boches qui faisaient des rondes, ils n’hésitaient pas à lâcher une rafale de mitrailleuse ou des coups de fusil.
Mais c’était sans compter l’insatiable Ninon. Elle se coulait subrepticement dans la pièce en pleine nuit, se suspendait des mains aux lattes du lit supérieur et me chevauchait comme une amazone déchainée, serrant les lèvres pour ne pas réveiller les filles endormies. J’eu la surprise un matin en voyant une tache de sang sur les draps et inquiet, m’en épancha à Ninon.
-Tu étais bizarre cette nuit, on aurait dit que tu ne savais pas comment faire et j’ai ressenti comme de la résistance quand mon sexe s’est enfoncé dans le tien.
Sa réaction fût étonnante.
-Ah la petite pute ! Elle a osée !
-Osé quoi ? Et qui ?
-Ma sœur pardi ! J’ai dû passer la nuit à l’étable car la « Rousse » était malade. Cette salope d’Aline en a profitée pour allez se faire dépuceler sur ton gourdin ! Et tu n’as rien remarqué ?
-Eh bien, euuuhhh, je dois dire que… j’ai bien remarqué que l’étui avait l’air plus serré que d’habitude et que tu/qu’elle n’a pas tenu longtemps avant de geindre, j’ai même dû la bâillonner des mes mains pour qu’elle ne réveille pas les autres.
Mais le mal était fait, et les poulettes dessalées. Dans les semaines qui suivirent, deux fois encore, des taches de sang tachèrent mes draps. J’étais devenu le coq de la basse-cour, le seul et unique… Et toutes les poules caquetaient entre elles pour comparer leurs impressions, ce qu’elles avaient fait ou non, en voulant encore plus de ma part. Un vrai défilé je vous dis !!! Il manquait une tache de sang, ce qui voulait dire que : Où l’une d’elle s’abstenait, ou elle était déjà dépucelée, mais laquelle ???
Le pire, c’est que je ne savais jamais quelle poulette montait sur le coq tellement la pièce était dans le noir complet. Et à part Ninon, sa mère ou sa tante qui demandaient elles aussi leur dû quand je partais avec elles aux travaux des champs, je ne savais laquelle j’étais en train de troncher… Je n’ai jamais su laquelle, quand elle arrivait à l’orgasme, m’inondait comme si elle me pissait dessus que mes draps en étaient à tordre. Par accord tacite d’ailleurs, mes draps étaient changés chaque jour sans qu’un seul commentaire de l’une ou de l’autre ne trahisse l’auteure de cette performance. Mais je suis sûr qu’entre elles, elles se disaient tout.
Des années plus tard, un jour un compagnon de cellule me raconta dans une longue lettre les derniers jours de mon père qui fut fusillé par les boches un matin sans avoir trahi son réseau. Heureusement pour Lina et tous ceux qui vivaient sous son toit.
Pendant plusieurs années, sans que ma mère le sache, j’étais souvent invité de droite et de gauche car les poulettes, devenues de belles poules, attendaient avec impatiences de revoir leur « coq », se déplumant le cou à coup de bec entre elles pour avoir la meilleure place du poulailler qui s’étoffa d’autres cousines qui voulaient tester « le coq ». Je ne sais pas si un jour quelqu’un lira ces lignes. Mais je lui demande d’être discret car s’il est de ma famille, il est bien possible que son cousin ou sa cousine soit son demi-frère ou sa demi-sœur.
Bordel de merde !!! Quelle révélation !!! A part faire des recherches génétiques, je ne saurai jamais si sa prédiction est devenue réalité. Mais il a raison, à part semer la merde ça n’apportera rien de bon.
Je vais brûler ces cahiers mais après en avoir écrit un livre « édulcoré de certains passages ».
NB : Ce livre existe vraiment. Je m’en suis inspiré après l’avoir lu pour la trame de ce texte et les malheurs arrivés dans cette histoire sont aussi bien réels. Tous les prénoms ont été changés, sauf un.
Mlkjhg39
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de découvrir que l'auteur a un énorme cĥibre.
Tout le monde y est passé
Sinon il ne serait pas né
Petit chanceux
Il s'en passe de belles à la campagne
C'est horrible et en même temps très beau