Le feu où je pense...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le feu où je pense... Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Le feu où je pense...
On ne peut pas dire que la routine se soit installée dans notre vie à ma femme et moi. Afin de préserver cette harmonie, nous nous réservions régulièrement une soirée rien que pour nous sans les enfants.
Au cours de ces soirées, nous allions généralement au restaurant ou chez des amis. Et profitions du chemin retour en voiture pour nous arrêter dans un sentier, les bois étant nombreux autour de chez nous. Ma femme aimant les situations où nous pourrions être surpris, elle adorait me sucer dans la voiture et le fait que d’autres voitures passaient près de nous sans se douter de ce qui se passait nous excitait fortement.
Ensuite nous faisions simplement l’amour sur la banquette arrière. Ma femme acceptait tout mes caprices, y compris la sodomie qu’elle appréciait au plus haut point. Il n’était pas rare que lors de nos ébats que nous nous racontions des histoires. Et la coquine aimait plutôt les histoires concernant des lieux insolites dans lesquels elle aimerait faire l’amour.
Et tout en me contant ses fantasmes à haute voix, je lui léchais la chatte, en lui introduisant deux doigts dans la chatte et autant dans son trou du cul. Cela m’excité autant qu’à elle. Après un chapelet d‘orgasme de sa part, il était temps de mon côté de prendre mon pied, et pour cela, pas mieux pour moi de la sodomiser. À grands coups de va-et-vient, alors que de son côté elle se tripotait le bouton en même temps.
Un soir je lui fis la surprise de l’inviter au resto. J’avais pour cela déposer les gamins chez ma belle-mère. Qui, on passant me confia que son mari l’avait surpris en train d’humer un de mes slips portés. Que cela avait provoquer chez lui une excitation extrême, au point de la traîner jusqu’à la chambre, pour une bonne partie de jambe en l‘air.
Une fois rentré chez moi, j’attendis patiemment la venue de ma femme pour lui annoncer la bonne nouvelle. Et ce n’était pas pour lui déplaire.
-Bon d’accord, me fit-elle, je monte me changer et on y va.
Arrivé au restaurant nous avions tout de suite passer la commande, pressé d’aller rejoindre au plus vite notre terrain de jeu. Il y avait peu de monde dans la salle. Ce qui fit que le service fut assez rapide. Au cours du repas, nous discutions de choses et d’autres, sans aborder la suite de la soirée. Comme nous le faisions à chaque fois. Laissant libre à notre excitation de décider du déroulement de la soirée. La café arriva et je demandai l’addition, pressé de passer à autre chose.
Nous quittions donc le restaurant pour embarquer dans la voiture. Grâce au plafonnier je vis les yeux de ma femme s’illuminée alors que je mis le contact. Exceptionnellement j’abandonnais pour une fois l’idée de me garer dans un sentier, préférant ce soir faire plaisir à ma femme en me garant sur un parking de l‘église d‘une petite localité. Et cela au risque de nous faire surprendre. Cela donna le sourire à ma femme. Et que dire lorsque j’ouvris la boite à gant et qu’elle me vit en sortir un gode. Que j‘avais depuis pas mal mis de côté, de peur de l’effrayer avec cela, mais que ce soir l’excitation aidant, m‘encourager de lui présenter. Elle lâcha : - Tu m’auras vraiment tout fait… - Pas encore ! lui répondais je.
- J’ai envie de te piper, cela te gêne ?
- Ma queue t’appartient !
Pas le temps de me défaire que déjà elle se penchait au-dessus de ma braguette et commençait déjà à sortir l’oiseau de son nid. Je profitais de cet instant pour lancer ma main sous le siège et à tâtons je trouvais la mannette qui me permis de le faire reculer à son maximum. Elle profita de l’espace pour prendre ses aises, et immédiatement me sucer avec une fougue extrême. Et très vite, je ne tardais pas à sentir les premiers effets de bien-être m’envahir. Ce qui se ponctua par une jouissance des plus volcanique dans la bouche de ma femme.
- Eh bien ! Tu avais envie ! Me lâchait-elle d‘un ton sensuel.
Je sentis qu’elle avait de la suite dans les idées. Je la pris alors dans mes bras et l’embrassais tendrement. Puis de baisers en baisers, de caresses en caresses, nous commencions à de plus nous soucier du monde extérieur, laissant libre court à notre excitation.
- Tu comptes te servir du gode quand ? Lâcha-t-elle, d’une voix déformée par l’allégresse.
- Cela dépend de toi !
- Je ne dis pas non ! Puisqu’il est là ! Mais d’abords lèche ma chatte, j’ai une énorme envie de ta langue.
Je m’exécutais, posant pour cela mes genoux sur le plancher. Et tout de suite je me mis au travail, commençant à lécher sa grosse chatte poisseuse d’excitation. Y enfonçant deux doigts comme je savais qu‘elle en raffolait dans le vagin et un dans son fion dilaté et poisseux de la mouille qui avait coulé jusqu‘à lui. Je prenais bien soin de lui sucer également l’anus, une spécialité chez moi et dont elle adorait cela.
Après plusieurs minutes de ce traitement, je la sentais bien chaude et je commençais à lui introduire un deuxième doigts dans l’anus et toujours les deux autres dans sa chatte. Je mis ma main en branle, pour son plus grand plaisir. Cela la fit jouir de nouveau.
À ma grande surprise, elle prit l’initiative de s’armer du gode. Et avec lui elle se masturbait lentement, en frottant le silicone sur son bourgeon tardé, pour mieux l’enfoncer par la suite, délicatement au fond de sa chatte gorgée de sève. Je crus de ma queue allait éclater tant elle était gonflée à bloc.
- Tu sais, j’ai une envie folle de t’enculer pendant que tu te baise avec le gode.
- C’est une excellente idée, lâchait-elle d’une voix que l’excitation la rendait enrouée, et changée.
Suite à ces mots, ma femme prit position sur son siège. Elle s’était étendue sur le dos, relevant bien haut ses jambes, le gode enfoncé dans sa chatte. Je me penchai au-dessus d’elle. Dans un pose pas des plus confortable à cause du plafond. Mais l’excitation étant la plus forte, je posais mon gland au contact de son anus suintant. Que je me mis à peser dessus doucement, mais fermement. Et comme souvent quand elle se trouvait dans un tel état d’excitation, mon nœud disparut par la poche, et cela sans aucune difficulté. Tout de suite, je commençais le va-et-vient, me frottant contre le gode de l’autre côté de la fine cloison glissante, ce qui eut pour effet de déclencher les soupirs de ma femme. Des plaintes qui se firent de plus en plus forts. En plein délire, je me saisis du gode et le mis en branle. Exerçant sur lui la même cadence que mes coups de bite dans son fion. À cet instant, ses soupirs se transformaient en cris, ce qui déclenchait en moi un déchaînement de coups de reins. De plus en plus vite et de plus en plus profond, et cela, pour le plus grand plaisir de mon épouse. D’ailleurs je ne manquais pas de le lui faire part, avec un petit : - À ce que j’entends tu aimes cela ?
- Oui, continue, lâchait-elle d’une voix méconnaissable, j’adore, c’est bon, continue, ne t’arrête surtout pas, sinon je te tue.
Alors j’accélérais encore le mouvement, un vrai piston, encouragée par les cris de ma femme, en pleine divagation. Un état que je ne lui connaissais encore pas. Comme quoi, et après plusieurs années de mariage nous avions encore des choses à découvrir de chacun.
Après quelques minutes à ce rythme, et par manque de souffle je me décidais de lâcher tout.
- Je vais jouir ! Tu entends je vais te tapisser le cul !
- Oooouuuiiii ! Inonde moi le cul….
Il m’en fallait pas plus pour me laisser aller. Me laissant glisser sur la pente qui allait me mener jusqu’à l’extase. Je sentis mon sperme sortir de mon méat avec force. Giflant les parois du cul de ma femme avec force. Ce qui déclenchait chez elle un énième orgasmes.
Après ce délire d’amour, et alors que nous reprenions notre souffle, nous avions acquis, d’un commun accord que nous avions joué avec le feu. Quand aurait pu ce faire repéré d’un moment ou un autre et avoir des ennuis.
-Peut-être même quand nous espionne à cet instant ! Un voyeur ou voir une voyeuse.
- Tu crois ! Répondait ma femme.
- Va savoir !
- J’espère qu’il a pris un aussi bon pied que moi.
- Et que moi.
Ce qui nous encouragea de remettre cela. Prenant rendez-vous pour une prochaine fois. Sur ça nous avions décidé de reprendre la route, direction la maison.
Alors que je conduisais, ma femme silencieuse près de moi, cuvant son plaisir, je me relatais l’instant que je venais de vivre avec la ferme intention de le graver dans mon cerveau, et cela à tout jamais.

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