Le garage
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le garage
<p>Line, Babette et Josie, ont fait classes communes depuis la maternelle, c'est dire qu'elles se connaissent bien. La trentaine à peine, elles ont en commun les mêmes besoins de baises. Depuis qu'elles ont eu 15 ans le sexe les a toujours attiré. Au départ ce n'était que la recherche du plaisir solitaire et ensuite un peu plus tard elles ont découvert les plaisirs partagés. La première Josie a proposé aux autres de se réunir pour se branler ensemble, simplement pour se regarder. Cette façon de simplement se regarder a lassé Line qui pendant que Josie se branlait, s'est approchée de Babette pour la masturber. Babette avait jouit très vite et rendu à sa copine la même caresse. Line a jouit à son tour et Josie était très excitée de les regarder. Aussi elle s'est mise au diapason pour se faire masturber pas une autre. Et petit à petit elles ont commençé à se faire des 69. Puis un jour, elles se rendent compte qu'il leur manque quelque chose : elle ont besoin d'un garçon. A 18 ans il serait temps pour elles de perdre leur pucelage. En cherchant un peu elles trouvent la perle rare, un homme de plus de trente ans qui les regarde les unes ou les autres d'un regard envieux. Il a envie d'elles, peut être pas ensemble, mais il les désire. Les trois filles sont d'accord pour qu'il leur face l'amour, mais elles ne veulent pas se séparer.
Ce qui les gènes un peu c'est qu'il n'est libre que le soir tard, au moment où elles se font l'amour à trois. Mais finalement faire l'amour à trois ou quatre c'est presque pareil. L'homme les invite à passer à son garage pour la cérémonie. C'est un garage de réparation et non pas de vente de voitures. Une pièce isolée est chauffée permet de se livrer à toutes les activités. Les protagonistes se retrouvent donc, nus dans cette pièce. Les filles voient en vrai une bite en érection pour la première fois. Elles s'approchent de lui et lui prennent la bite, les couilles ou les fesses en parlant entr'elles et en ne cherchant qu'à l'exciter. Il force celle qui lui plait le plus, Babette à venir se faire dépuceler. Elle ne résiste pas, et poussée par ses camarades elle se couche et écarte les jambes. Lui la suce et elle ressent enfin un plaisir que lui donne un homme. Il se met sur elle et lui demande de guider sa bite pour rentrer dans son con. Elle se laisse faire et craint un peu la douleur de la baise. L'hymen rompu, elle soupire ce n'était rien par rapport à ce qu'elle pensait. L'homme jouit en elle et elle sent le sperme quand il gicle. Elle ne jouit pas mais a ressenti un grand plaisir de l'avoir en elle. Ses copines ne perdaient pas de temps : regarder le couple baiser les excitaient et elle se branlaient.
L'homme les voyant se masturber bandait encore et désignait la prochaine victime: Josie. Elle attendant ce moment avec impatience, depuis le temps qu'elle voulait avoir un pine au con. C'est avec empressement qu'elle se couchait et écartait sans pudeur ses cuisses. L'homme ne lui a rien demande, dès qu'il était sur elle, Josie le guidait et même lui mettait un doigt au cul, qu'elle agitait en cadence. Il jouissait très rapidement. Josie à sa grande surprise jouissait également. Ces deux amies se branlaient toujours pendant toute la durée de l'étreinte.
Line à qui c'est le tour craint que cet homme ne bande pas assez pour elle. Mais le fait de la voir se branler le laisse en érection. Elle doit se soumettre et comme elle avait vue ses amies se faire baiser, elle attendait qu'il se pose sur elle et la lui mette profond. Elle ne se trompait pas et il la pénétrait sans forcer tellement elle était mouillée. Elle n'eut pas mal. Mais comme Babette, elle n'a pas jouit.
Cet homme leur demandait de venir une fois par semaine. Elles refusaient, préféraient se faire l'amour entre elles plutôt qu'avec un homme. Pourtant un jour elles eurent une surprise : cet homme leur faisait un proposition : il savait qu'il n'en avait plus que pour quelques semaines, par suite d'une maladie grave. Sans leur demander un sou, les connaissant à peine il leur demandait de venir tous les jours au garage pour apprendre le métier de mécano et leur céder l'entreprise sans les faire payer. Après mures réflexions, et ayant de jobs assez peu intéressants, elles acceptaient la propositions. Après plus de six mois, elles prenaient la direction et le fonctionnement du garage. Douées elles ont eu une clientèle fidèle, et curieusement de femmes
Cette clientèle venait du fait qu'elles ne faisaient pas attendre, dans la mesure du possible. Les réparations se faisaient et la cliente était prise en main par une des patronnes. Un salon privé muni d'un large divan, de boisson et décoré de gravures très coquines attendait la cliente et une des filles était toujours disponible pour raccourcir le temps. Ainsi un jour, Line recevait une femme portant bien la quarantaine, s'asseyait à coté et lui posait une main sur la cuisse en la regardant bien dans les yeux, et lui disant que si elle voulait avoir du bon temps, sans risque de surprise, elle pouvait lui faire des caresses ou des massages relaxants. Toutes les clientes savaient ce que cela voulait dire. Elles se laissaient faire et Line continuait à caresser la cuisse et montait toujours plus haut, jusqu'à toucher le slip, le string ou quelque fois rien, sauf le sexe.
Elle ouvrait les lèvres et cherchait le clitoris qu'elle branlait avec beaucoup de savoir faire. Bien souvent la femme à son tour lui mettait une main au con et la branlait. Dans ces cas, elle déshabillait la compagne du moment et elle même. Et là commençait une sarabande de sexe. Les masturbations, les baisers sur les seins et attouchements sur les fesses et sur le cul rendaient les clientes plus qu'heureuse. Ce qu'elle aimait beaucoup faire, c'était mettre sa langue dans le cul de l'autre femme. Certaine fois elle sortait un gros godemiché et baisait les autres femmes avec lui. Des fois, la femme possédait son propre gode et elle se baisaient toutes les deux. Le temps passait ainsi et les clientes revenaient simplement pour une "réparation" urgente.
Rarement il arrivait que les trois amis soient ensemble dans la journée pour participer. Mais lorsque l'occasion se présentait, elles venaient à trois pour s'occuper d'une "réparation d'urgence. Dans ces cas, elles se permettaient tout, en duo, en trio ou le plus souvent en quatuor. Et là, la client en avait pour son argent, tout y passait. Les préférences allaient aux anulingus couplé à un cunnilingus. Elles faisaient pratiquer les doubles pénétrations que les clientes connaisseuses demandaient. Une fois, une cliente amenait sa fille jeune pour l'initier aux joies du saphisme. Cette jeune femme mariée depuis peu devenait une cliente assidue et même carrément la maîtresse de Babette, qu'elle venait voir souvent avant d'aller faire l'amour avec son mari avec lequel elle avait également de très bons orgasmes.
C'est ainsi que ce garage augmentait tellement sa clientèle qu'il a fallut aux trois amantes recruter une autre mécanicienne. Elles sont maintenant quatre filles qui s'occupent des clientes…
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Ce qui les gènes un peu c'est qu'il n'est libre que le soir tard, au moment où elles se font l'amour à trois. Mais finalement faire l'amour à trois ou quatre c'est presque pareil. L'homme les invite à passer à son garage pour la cérémonie. C'est un garage de réparation et non pas de vente de voitures. Une pièce isolée est chauffée permet de se livrer à toutes les activités. Les protagonistes se retrouvent donc, nus dans cette pièce. Les filles voient en vrai une bite en érection pour la première fois. Elles s'approchent de lui et lui prennent la bite, les couilles ou les fesses en parlant entr'elles et en ne cherchant qu'à l'exciter. Il force celle qui lui plait le plus, Babette à venir se faire dépuceler. Elle ne résiste pas, et poussée par ses camarades elle se couche et écarte les jambes. Lui la suce et elle ressent enfin un plaisir que lui donne un homme. Il se met sur elle et lui demande de guider sa bite pour rentrer dans son con. Elle se laisse faire et craint un peu la douleur de la baise. L'hymen rompu, elle soupire ce n'était rien par rapport à ce qu'elle pensait. L'homme jouit en elle et elle sent le sperme quand il gicle. Elle ne jouit pas mais a ressenti un grand plaisir de l'avoir en elle. Ses copines ne perdaient pas de temps : regarder le couple baiser les excitaient et elle se branlaient.
L'homme les voyant se masturber bandait encore et désignait la prochaine victime: Josie. Elle attendant ce moment avec impatience, depuis le temps qu'elle voulait avoir un pine au con. C'est avec empressement qu'elle se couchait et écartait sans pudeur ses cuisses. L'homme ne lui a rien demande, dès qu'il était sur elle, Josie le guidait et même lui mettait un doigt au cul, qu'elle agitait en cadence. Il jouissait très rapidement. Josie à sa grande surprise jouissait également. Ces deux amies se branlaient toujours pendant toute la durée de l'étreinte.
Line à qui c'est le tour craint que cet homme ne bande pas assez pour elle. Mais le fait de la voir se branler le laisse en érection. Elle doit se soumettre et comme elle avait vue ses amies se faire baiser, elle attendait qu'il se pose sur elle et la lui mette profond. Elle ne se trompait pas et il la pénétrait sans forcer tellement elle était mouillée. Elle n'eut pas mal. Mais comme Babette, elle n'a pas jouit.
Cet homme leur demandait de venir une fois par semaine. Elles refusaient, préféraient se faire l'amour entre elles plutôt qu'avec un homme. Pourtant un jour elles eurent une surprise : cet homme leur faisait un proposition : il savait qu'il n'en avait plus que pour quelques semaines, par suite d'une maladie grave. Sans leur demander un sou, les connaissant à peine il leur demandait de venir tous les jours au garage pour apprendre le métier de mécano et leur céder l'entreprise sans les faire payer. Après mures réflexions, et ayant de jobs assez peu intéressants, elles acceptaient la propositions. Après plus de six mois, elles prenaient la direction et le fonctionnement du garage. Douées elles ont eu une clientèle fidèle, et curieusement de femmes
Cette clientèle venait du fait qu'elles ne faisaient pas attendre, dans la mesure du possible. Les réparations se faisaient et la cliente était prise en main par une des patronnes. Un salon privé muni d'un large divan, de boisson et décoré de gravures très coquines attendait la cliente et une des filles était toujours disponible pour raccourcir le temps. Ainsi un jour, Line recevait une femme portant bien la quarantaine, s'asseyait à coté et lui posait une main sur la cuisse en la regardant bien dans les yeux, et lui disant que si elle voulait avoir du bon temps, sans risque de surprise, elle pouvait lui faire des caresses ou des massages relaxants. Toutes les clientes savaient ce que cela voulait dire. Elles se laissaient faire et Line continuait à caresser la cuisse et montait toujours plus haut, jusqu'à toucher le slip, le string ou quelque fois rien, sauf le sexe.
Elle ouvrait les lèvres et cherchait le clitoris qu'elle branlait avec beaucoup de savoir faire. Bien souvent la femme à son tour lui mettait une main au con et la branlait. Dans ces cas, elle déshabillait la compagne du moment et elle même. Et là commençait une sarabande de sexe. Les masturbations, les baisers sur les seins et attouchements sur les fesses et sur le cul rendaient les clientes plus qu'heureuse. Ce qu'elle aimait beaucoup faire, c'était mettre sa langue dans le cul de l'autre femme. Certaine fois elle sortait un gros godemiché et baisait les autres femmes avec lui. Des fois, la femme possédait son propre gode et elle se baisaient toutes les deux. Le temps passait ainsi et les clientes revenaient simplement pour une "réparation" urgente.
Rarement il arrivait que les trois amis soient ensemble dans la journée pour participer. Mais lorsque l'occasion se présentait, elles venaient à trois pour s'occuper d'une "réparation d'urgence. Dans ces cas, elles se permettaient tout, en duo, en trio ou le plus souvent en quatuor. Et là, la client en avait pour son argent, tout y passait. Les préférences allaient aux anulingus couplé à un cunnilingus. Elles faisaient pratiquer les doubles pénétrations que les clientes connaisseuses demandaient. Une fois, une cliente amenait sa fille jeune pour l'initier aux joies du saphisme. Cette jeune femme mariée depuis peu devenait une cliente assidue et même carrément la maîtresse de Babette, qu'elle venait voir souvent avant d'aller faire l'amour avec son mari avec lequel elle avait également de très bons orgasmes.
C'est ainsi que ce garage augmentait tellement sa clientèle qu'il a fallut aux trois amantes recruter une autre mécanicienne. Elles sont maintenant quatre filles qui s'occupent des clientes…
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