Le gourdin de tonton 2 - histoire érotique

Le gourdin de tonton. 2
Malgré les premiers jets, une quantité impressionnante de sperme se retrouve dans la bouche de ma sœur qui la referme et l’ouvre de nouveau, tirant la langue pour lui montrer après avoir déglutit qu’elle a tout avalé avant de le complimenter :- Je n’aurais jamais cru en recevoir autant, étant donné ce que j’ai raté, mais je suis ravie de constater que tes vidéos n’étaient pas truquées. (Belles éjaculations au ralenti et : Comment mesurer sa bite). J’adore avaler du foutre, et avec toi, je suis servie.
Et elle se remet à le sucer, comme un veau tétant le pis de sa mère pour ne pas en perdre les dernières gouttes. Je ne peux en supporter plus et ouvre la porte si brusquement qu’elle bute avec fracas sur le mur.
-Chantal ! Espèce de petite pute ! Comment peux-tu oser faire ça avec ton oncle, et toi tonton, accepter sans broncher qu’une de tes nièces fouraille dans ton pantalon pour en sortir ta bite ?!
-Bon Dieu ! M’interrompt-il. Mais vous vous êtes donné le mot, c’est pas vrai ! Mais dis-moi Brigitte, d’après ce que tu viens de dire, ça fait déjà un sacré moment que tu nous espionnes !

Suite :Merde ! Dans le feu de l’action, je me suis trahie. Que faire ? Je pourrais fuir et les laisser à leur dépravation. Mais j’ai toujours eu un point d’honneur à copier tout ce que ma grande sœur fait, alors ? Et la dessus Chantal ajoute, malicieuse :- C’était délicieux tonton. Mais j’ai bien peur que tu doives remettre le couvert avec Brigitte si tu ne veux pas qu’elle aille crier sur les toits ce qui vient de se passer.
- Tu es vraiment une petite salope Chantal! Et se tournant vers moi, tonton me demande : Alors Brigitte, que décides-tu ?
-Beenn…Euh… J’ai…Je… Oh et puis merde ! Maintenant que je suis là.
-Eh bien puisque que c’est comme ça, commence par fermer cette porte à clé et descend les volets électriques. J’ai eu assez de surprise pour aujourd’hui, je ne voudrais pas que mon frère déboule et me voit copuler avec ses filles, bordel !

Je lui obéis puis m’approche de lui, il est debout, le pantalon sur les chevilles et son sexe pend entre les cuisses. Malgré que sa verge ait débandée suite à sa formidable éjaculation et mon intervention fortuite, son chibre a pratiquement gardé son épaisseur dantesque et pend jusqu’à mi-cuisses. Il retire complètement son pantalon et fait passer par-dessus-tête le reste de ses vêtements. Dire que ce quinqua ultra membré des vidéos est mon propre tonton ! Je dois absolument faire quelque chose avec ce sexe démesuré. Je m’approche de lui et prends la liberté de malaxer cette trique en attente et de la voir reprendre vie bien plus vite que je n’espérais. Je suis comme au cirque Pinder en train d’essayer de dresser le mât central du chapiteau.
Mon oncle est monté comme un poney, que dis-je, comme un étalon, ce n’est pas possible !
Je caresse son sexe qui reprend sa taille démesurée dans ma main bien plus rapidement que je m’y attendais. Pas plus que Chantal, ma main ne peut en faire le tour avec mes doigts. Ce pieu d’une rigidité incroyable vit sous mes doigts, j’ai l’impression d’avoir un gros serpent entre les mains que je redresse pour le coller sur son bas-ventre. Sa teub est tellement grosse qu’elle trompe sur sa longueur, je n’aurais pas crû qu’elle remonterait jusqu’à son nombril. Il me force à m’agenouiller, une main sur ma nuque pour que sa tige se dresse devant ma bouche. J’essaie comme Chantal d’en prendre le plus possible entre mes lèvres mais ma bouche est trop petite pour gober entièrement un tel épi de maïs. Je fais ce que je peux mais je ne suis pas une actrice porno capable d’une telle prouesse et ne peux en goûter que la gueule.
-Tu es vraiment trop bonne, surtout n’arrête-pas, je veux voir si tu es aussi douée que ta sœur.
Je m’applique en caressant tendrement la bite raide mais je n’ai jamais sucé un tel monstre. Tonton se penche et m’embrasse tendrement. Il se redresse et sa teub qui dépasse allègrement le double-décimètre me fait face de nouveau, tendue comme un bambou. Mon petit copain est dans la moyenne, mais ce qui m’impressionne le plus avec tonton, ce n’est pas la taille mais l'épaisseur de sa verge.
- Pour ton âge tonton, tu es encore vert.
-Tais-toi et suce ! On n’est pas là pour s’envoyer des compliments ! Putain ce que vous me faîtes bander, les filles !

Il me faut un temps fou pour arriver à mon tour à l’amener à la jouissance.
-Aaahhh ! Je vais juter dans ta bouche et tu vas tout avaler. Ensuite, je prendrai vos petites chattes.
Je sens sur ma langue les contractions de son membre qui crache sa semence épaisse, il m’empêche de me retirer avec sa main sur ma nuque et son sperme abondant refoule par mes trous de nez.
Il me relâche enfin et je tousse et crache comme une poitrinaire. Je renifle et avale ce qui encombrait mes bronches. Tonton me tend un mouchoir pour essuyer les dégâts de son foutre qui a fini sur mon chemisier.
-Excuse-moi Brigitte, j’y suis allé un peu fort, mais vous me rendez dingues les filles ! Depuis tout à l’heure, je n’ai qu’une envie: voir vos chattes, à poil maintenant!
Sans répondre nous nous déshabillons. Je fais tomber ma jupe et mon chemisier taché de son foutre et admire la plastique de ma sœur. Je suis plus petite qu’elle d’une quinzaine de centimètre, plus ronde aussi avec des seins plus lourds aux tétons arrogants. Chantal est élancée avec de petits seins fermes. J’ai pris de ma mère et elle de mon père, enfin j’espère…-Vous savez les filles que ça fait quelques années que je fantasme sur vous en voyant vos corps de fillettes devenir femmes, mais je n’aurais jamais cru que mes désirs deviendraient réalité, et en plus les deux à la fois. D’après ce que j’ai compris, vous avez-vous aussi fantasmées sur mes vidéos, petites cochonnes, et bien vous allez être servies ! Etendez vous sur le canapé, les pieds au sol !

Sa queue encore raide pend entre ses jambes, tonton s’agenouille à son tour, prend mes jambes et les pose sur ses épaules. Sa langue s’engouffre dans mon vagin en feu, je serre mes jambes autour de sa tête pour la plaquer sur ma vulve offerte. Oh mon Dieu qu’il lèche bien. Je n’ai jamais été aussi bien léchée. Sa langue passe bien dans tous les recoins de ma vulve trempée et s’attarde sur mon clitoris tout gonflé de désir. Je lui plante mes ongles dans le dos. Je grogne de plaisir quand il lape ma cyprine qui n’arrête plus de couler sous ses assauts, il mordille du bout des dents mon clito, aspire mes grandes lèvres avec les siennes, il relève la tête et me fixe, le bas de son visage brille de mon jus.
- Tu vas me noyer Brigitte ! Je vais aller butiner ta sœur maintenant.
- Embrasse-moi avant tonton, je veux goûter le jus de la moule de ma sœur. Ose demander Chantal.

Il accède à son désir avant de se perdre entre les cuisses de ma sœur pour une nouvelle séance de léchouille, ses doigts ne restant pas inactifs et se perdant dans la fente offerte. J’en profite pour effacer au mieux les dégâts subis par mon chemisier.
- Attend que je te branle … Oh putain ! Tu as une chatte serrée comme celle d’une pucelle.
Sa moule déjà dégoulinante de jus mouille les poils de la petite moustache de tonton. Chantal est elle aussi très réceptive aux caresses qu’il lui prodigue avec les doigts dans sa chatte. Il vaut mieux qu’il lui travaille le vagin, car avec son chibre, il risque de lui faire mal.
Pour ponctuer cette phase de préparation, il assène une claque retentissante sur son joli fessier.
-J’espère que vous prenez la pilule, les filles !

A suivre…