Le juste prix...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le juste prix...
Plus qu’un excellent dîner aux chandelles, Myriam m’avait réservé une surprise de taille. Elle avait demandé à sa nièce si elle pouvait venir nous servir le dîner. Et lui avait précisé qu’elle serait doublement payée si elle acceptait d’exécuter certaines, de nos petites fantaisies. Yasmina donc sa nièce, s’était surtout décidée quand sa tante lui avait indiqué qu’elle n’avait pas besoin de coucher.
Donc la jeune fille nous a gentiment servis, nue sous son tablier, comme il était convenu. Je n’en croyais pas mes yeux. Elle avait tout là où il fallait. De beaux seins généreux, une paire de fesses larges et bien modelées, des cuisses longues recouvertes de bas. Elle me regardait à chaque occasion, d’un œil luisant de désir. Je ne lui étais pas indifférent !
Comme elle n’était pas très bavarde et se montrait très obéissante, je me suis laissé aller à mes instincts pervers et j’ai claqué ses fesses nues alors qu‘elle m‘emplissait mon verre de vin. Elle restait immobile, comme si elle attendait une suite. J’en profitais pour faire monter mes doigts, effleurant délicatement une jambe rugueuse par le nylon. Pour en recevoir plus, la coquine déplaçait ses pieds, l‘un de l‘autre, écartant ainsi le compas des jambes.
Je pouvais par cette mobilité, arrivé aisément jusqu’en haut de la cuisse. Pour y rencontrer le contact doux des lèvres. Remontant par la suite, le long de la fente du sexe pour m’arrêter sur la minuscule protubérance du clitoris. Yasmina eut un soupir et s’appuya des deux mains sur la table pour ne pas tomber. Je fis alors tourner mon majeur avec adresse, autour du petit rond point de chair, juste comme il fallait. Tout de suite la respiration de la jeune fille s’accéléra.
Cela dura un assez long moment, jusqu’à la faire jouir. Exhorté par son orgasme, j‘envoyai mon autre main rejoindre sa jumelle sous le tablier. Tâtonnant un instant, avant de trouver ma voie et, doucement, pénétrais d’un doigt le sexe. Un vagin déjà ruisselant.
Deux, trois allers et retour, puis je joignis un second doigt au premier, dans le conduit imbibé. Et pendant tout ce temps le majeur de mon autre main continuait ses éternels tours de manège autour du clitoris. Et cela pour le plus grand plaisir de la jeune fille, qui gémissait de plus belle. De grosses gouttes de sueur coulaient sur ses tempes. J’en avais le souffle court. Myriam de son côté, se masturbait frénétiquement. Puis les yeux de la nièce se révulsèrent. Et très vite après, elle extériorisa de nouveau son plaisir. Faisant rouler des hanches comme pour précipiter le mouvement du branlage sur mes doigts. Brusquement elle se cabra et râla de plus belle.
- Oui !… Oui !… lâcha-t-elle en serrant violemment les cuisses, emprisonnant mes doigts qui la fouillaient.
Je profitai qu’elle récupère pour sortir ses tétons du tablier et de jouer avec eux copieusement. Les malmenant sous les yeux envieux de la tante.
Puis mes doigts tripotèrent le mamelon. D’une longueur et d’un volume étonnants. Les yeux hagards, Yasmina ouvrait une bouche de carpe. Elle adorait quand la touche la coquine ! Elle remuait même les hanches, tout en gémissait sans discontinuer.
Je ne résistai pas à la tentation de me pencher pour lécher un mamelon. Et cela tout en malaxant le sein. La coquine se trémoussait toujours, tout en faisant une moue boudeuse. Une bouche en cul de poule. Une bouche prête à recevoir une bite. Et cela me donna une idée. Mais avant il fallait que je me renseigne auprès de la tante : - Est-ce qu’elle à le droit de me sucer ?
- Sucer n’est pas coucher ! A répondu la tante. Mais ce n’est pas gratuit.
- Combien ?
- Cent balles ! Riposta Myriam.
- Va pour cent balles.
Après un signe de tête affirmatif de sa tante, Yasmina se baissa à hauteur de ma verge. Et sans faire de manière, elle me débraguettait avant d’empoigner fermement ma verge. Du bout de sa langue aiguisée, elle lécha le gland, et peu à peu s’empiffrait du reste. Déformant ses pommettes de plus en plus rouges. Myriam, quant à elle, se frottait sur sa chaise, fascinée par la scène qui se jouait devant elle. Surtout que sa nièce était passée à un pompage en règle avec sa bouche.
- Branle-le, aussi ! Lâcha la tante. Tu vas voir, il aime cela !
Alors qu’elle me pompait de plus belle, avec des mouvements de tête, sa main droite vint à l’aide. Emballant ma hampe de ses petits doigts pour me la traire, d’un mouvement souple du poignet. De haut en bas et de bas en haut. J’étais aux anges. Et que dire, quand elle envoya son autre main qui disparu sous mes fesses. Et de sentir tout de suite après, un de ses doigts se planter dans le cul. L’effet fut immédiat ! Sentant que j’allais décharger, elle retira sa bouche de ma verge, au summum de son excitation, et sans cesser de me branler, elle se pencha en avant pour recevoir les jets de sperme visqueux, qui s’écrasèrent entre ses deux mamelons. Je n’ai pu m’empêcher de geindre en lâchant ma purée. Je trouvais que la jeune fille était pleine d’audace, sous son air de ne pas y toucher !
Elle étalait toute ma jouissance sur sa chair bombée, en soignant particulièrement ses aréoles brunes et ses bouts durs.
Pas le temps de reprendre mon souffle que déjà la tante me proposa un dilemme : - Yasmina, peu si tu le désire t’en donné plus. Enfin si tu veux ?
- Et je dois donner combien pour cela ? Ai-je répondu.
- Je ne sais pas moi ! Lança Myriam.
- Cent balles ! Proposais-je.
- Aller deux cent balles et Yasmina se surpasse. N’est-ce pas ma chérie ?
- Oui tata ! Ajouta-t-elle.
Déjà elle posa un pied sur la table. Que sa pose faisait évaser ses fesses. Je m’attardais sur la vision de sa raie ouverte où se détaché la rondelle brune de son anus. Ainsi que sur la fente bistre et baveuse. Je détaillais également les replis gluants. De même que le trou sombre et le clitoris à vif en érection, qui surplombait le sommet de tout ça.
Avec son trop plein de jus, elle humecta l’adorable trou du cul. Qui n’était pas à en juger sa souplesse, à sa première pénétration. Je bandais de plus belle. D’ailleurs je crois n’avoir pas débandé. Elle prit ensuite une banane dans la corbeille posée sur la table. Et prenant son temps, et tout en me fixant droit dans les yeux, elle se l’enfila dans son trou de balle. Lentement, mais après chaque poussée, je voyais le fruit diminuer en longueur. Elle se servait du fruit comme elle l’aurait fait avec une bite d’homme. Son corps fut de nouveau secoué, comme si elle prenait des coups de queue invisible. Dans l‘action, ses mamelles gigotaient.
- Oui… putain que j’aime ça ! Se mit-elle à crier.
Je n’avais pas pu résister à la tentation de me pencher pour poser ma bouche sur l’aine de la jeune fille, léchant la peau fine. Dilatant mes narines pour m’imprégner de l’odeur violente qui s’en dégageait. Ne pouvant non plus m‘interdire de lécher dans le sens de la longueur la fente. Elle s’écriait, surprise de ce que je faisais : - Oh ! Monsieur, qu’est-ce que vous faites là ?
Je me retirai pour lui dire.
- Ma fille, quand un fruit est bon comme le tien, je ne peux m’empêcher de le choyer, l’embrasser, le manger.
Et je repris ma dégustation. Un liquide fluide coulait entre les petites lèvres. Je léchais, je léchais et léchais encore. Pour ne pas chuter, elle lâcha la banane qui fut tout de suite expulsé par son fion et qui a fini sa course sur le sol.
J’en profitais pour fouiller la grotte dilaté par l‘introduction de la banane, de ma langue tirée. Appréciant ma caresse, la coquine vint au devant de ma tendresse. Son anus obéissant à l’influence d’une caresse magnétique. Qui l’attirait comme l’aimant attire le fer.
Je léchais quelques instants encore son cul, avant de prendre une autre position et par la même occasion l’autre trou. Plus approprié pour ce que je comptais faire. Yasmina, debout devant la table, tendait son sexe à la rencontre de ma bouche. Je poussais ma langue aussi loin que je le pouvais dans le vagin, et cela plusieurs reprises. Comme si j’y enfonçais mon sexe.
- C’est bon ! Qu’est-ce que c’est bon ! Gémissait-elle sourdement.
- Je te l’avais dit ! Répondait la tante. Il s’est y faire ce cochon !
J’enfonçais mon nez entre ses fesses, respirant l’odeur de son anus. Puis d’une langue dure et pointue, j’avais à nouveau violé le cul toujours autant amer.
Il était si bien dilaté, que j’avais farci sans difficulté le trou de trois doigts. La cochonne n’a pu s’empêché de gémir. Suite à cette exploration, j’ôtais les doigts, et les portais à mon nez. Très satisfait, je les léchais. Faisant exprès de claquer ma langue. C’est l’instant qu’avait choisi Myriam pour poser sur moi ses yeux ambrés.
- Je n’ai pas rêvé là ! Tu l’as pénétré.
- Attend ! Attend ! Je n’ai pas mis ma queue.
- Encore heureux ! Cela te coûtera tout de même le double.
Hypnotisée, Yasmina me fixait sans rien dire.
- C’est une soirée qui va me coûte cher ! Lançais-je à Myriam, alors que la jeune fille se précipita à quitter le lieu pour aller se changer.
- C’était pour la bonne cause mon chou. La petite a besoin de fric. Répondait-elle. D’ailleurs je te propose de me la mettre à moi. Et cela gratuitement. Ajoutait-elle en montant sur la table.
- J’espère bien ? Lui lançais-je, en me postant debout entre ses jambes.
Je retroussais sa jupe jusqu’à la taille, écartant par la même occasion son slip. Puis je la pénétrai d’un seul coup de reins, et de tout mon long. Elle s’agrippait au bord de la table tout en poussant des petits cris étouffés. Tout en me branlant dans son antre, je la regardais. Elle avait les yeux clos, la bouche ouverte, les lèvres un peu retroussées sur les dents. Ses joues se creusaient et elle ne se ressemblait plus tout à fait. La montée du plaisir aiguisait ses traits, leur donnait une expression avide, presque douloureuse.
Yasmina avait sagement attendu qu’on termine pour venir chercher son dû. Soit six cent balles…
Donc la jeune fille nous a gentiment servis, nue sous son tablier, comme il était convenu. Je n’en croyais pas mes yeux. Elle avait tout là où il fallait. De beaux seins généreux, une paire de fesses larges et bien modelées, des cuisses longues recouvertes de bas. Elle me regardait à chaque occasion, d’un œil luisant de désir. Je ne lui étais pas indifférent !
Comme elle n’était pas très bavarde et se montrait très obéissante, je me suis laissé aller à mes instincts pervers et j’ai claqué ses fesses nues alors qu‘elle m‘emplissait mon verre de vin. Elle restait immobile, comme si elle attendait une suite. J’en profitais pour faire monter mes doigts, effleurant délicatement une jambe rugueuse par le nylon. Pour en recevoir plus, la coquine déplaçait ses pieds, l‘un de l‘autre, écartant ainsi le compas des jambes.
Je pouvais par cette mobilité, arrivé aisément jusqu’en haut de la cuisse. Pour y rencontrer le contact doux des lèvres. Remontant par la suite, le long de la fente du sexe pour m’arrêter sur la minuscule protubérance du clitoris. Yasmina eut un soupir et s’appuya des deux mains sur la table pour ne pas tomber. Je fis alors tourner mon majeur avec adresse, autour du petit rond point de chair, juste comme il fallait. Tout de suite la respiration de la jeune fille s’accéléra.
Cela dura un assez long moment, jusqu’à la faire jouir. Exhorté par son orgasme, j‘envoyai mon autre main rejoindre sa jumelle sous le tablier. Tâtonnant un instant, avant de trouver ma voie et, doucement, pénétrais d’un doigt le sexe. Un vagin déjà ruisselant.
Deux, trois allers et retour, puis je joignis un second doigt au premier, dans le conduit imbibé. Et pendant tout ce temps le majeur de mon autre main continuait ses éternels tours de manège autour du clitoris. Et cela pour le plus grand plaisir de la jeune fille, qui gémissait de plus belle. De grosses gouttes de sueur coulaient sur ses tempes. J’en avais le souffle court. Myriam de son côté, se masturbait frénétiquement. Puis les yeux de la nièce se révulsèrent. Et très vite après, elle extériorisa de nouveau son plaisir. Faisant rouler des hanches comme pour précipiter le mouvement du branlage sur mes doigts. Brusquement elle se cabra et râla de plus belle.
- Oui !… Oui !… lâcha-t-elle en serrant violemment les cuisses, emprisonnant mes doigts qui la fouillaient.
Je profitai qu’elle récupère pour sortir ses tétons du tablier et de jouer avec eux copieusement. Les malmenant sous les yeux envieux de la tante.
Puis mes doigts tripotèrent le mamelon. D’une longueur et d’un volume étonnants. Les yeux hagards, Yasmina ouvrait une bouche de carpe. Elle adorait quand la touche la coquine ! Elle remuait même les hanches, tout en gémissait sans discontinuer.
Je ne résistai pas à la tentation de me pencher pour lécher un mamelon. Et cela tout en malaxant le sein. La coquine se trémoussait toujours, tout en faisant une moue boudeuse. Une bouche en cul de poule. Une bouche prête à recevoir une bite. Et cela me donna une idée. Mais avant il fallait que je me renseigne auprès de la tante : - Est-ce qu’elle à le droit de me sucer ?
- Sucer n’est pas coucher ! A répondu la tante. Mais ce n’est pas gratuit.
- Combien ?
- Cent balles ! Riposta Myriam.
- Va pour cent balles.
Après un signe de tête affirmatif de sa tante, Yasmina se baissa à hauteur de ma verge. Et sans faire de manière, elle me débraguettait avant d’empoigner fermement ma verge. Du bout de sa langue aiguisée, elle lécha le gland, et peu à peu s’empiffrait du reste. Déformant ses pommettes de plus en plus rouges. Myriam, quant à elle, se frottait sur sa chaise, fascinée par la scène qui se jouait devant elle. Surtout que sa nièce était passée à un pompage en règle avec sa bouche.
- Branle-le, aussi ! Lâcha la tante. Tu vas voir, il aime cela !
Alors qu’elle me pompait de plus belle, avec des mouvements de tête, sa main droite vint à l’aide. Emballant ma hampe de ses petits doigts pour me la traire, d’un mouvement souple du poignet. De haut en bas et de bas en haut. J’étais aux anges. Et que dire, quand elle envoya son autre main qui disparu sous mes fesses. Et de sentir tout de suite après, un de ses doigts se planter dans le cul. L’effet fut immédiat ! Sentant que j’allais décharger, elle retira sa bouche de ma verge, au summum de son excitation, et sans cesser de me branler, elle se pencha en avant pour recevoir les jets de sperme visqueux, qui s’écrasèrent entre ses deux mamelons. Je n’ai pu m’empêcher de geindre en lâchant ma purée. Je trouvais que la jeune fille était pleine d’audace, sous son air de ne pas y toucher !
Elle étalait toute ma jouissance sur sa chair bombée, en soignant particulièrement ses aréoles brunes et ses bouts durs.
Pas le temps de reprendre mon souffle que déjà la tante me proposa un dilemme : - Yasmina, peu si tu le désire t’en donné plus. Enfin si tu veux ?
- Et je dois donner combien pour cela ? Ai-je répondu.
- Je ne sais pas moi ! Lança Myriam.
- Cent balles ! Proposais-je.
- Aller deux cent balles et Yasmina se surpasse. N’est-ce pas ma chérie ?
- Oui tata ! Ajouta-t-elle.
Déjà elle posa un pied sur la table. Que sa pose faisait évaser ses fesses. Je m’attardais sur la vision de sa raie ouverte où se détaché la rondelle brune de son anus. Ainsi que sur la fente bistre et baveuse. Je détaillais également les replis gluants. De même que le trou sombre et le clitoris à vif en érection, qui surplombait le sommet de tout ça.
Avec son trop plein de jus, elle humecta l’adorable trou du cul. Qui n’était pas à en juger sa souplesse, à sa première pénétration. Je bandais de plus belle. D’ailleurs je crois n’avoir pas débandé. Elle prit ensuite une banane dans la corbeille posée sur la table. Et prenant son temps, et tout en me fixant droit dans les yeux, elle se l’enfila dans son trou de balle. Lentement, mais après chaque poussée, je voyais le fruit diminuer en longueur. Elle se servait du fruit comme elle l’aurait fait avec une bite d’homme. Son corps fut de nouveau secoué, comme si elle prenait des coups de queue invisible. Dans l‘action, ses mamelles gigotaient.
- Oui… putain que j’aime ça ! Se mit-elle à crier.
Je n’avais pas pu résister à la tentation de me pencher pour poser ma bouche sur l’aine de la jeune fille, léchant la peau fine. Dilatant mes narines pour m’imprégner de l’odeur violente qui s’en dégageait. Ne pouvant non plus m‘interdire de lécher dans le sens de la longueur la fente. Elle s’écriait, surprise de ce que je faisais : - Oh ! Monsieur, qu’est-ce que vous faites là ?
Je me retirai pour lui dire.
- Ma fille, quand un fruit est bon comme le tien, je ne peux m’empêcher de le choyer, l’embrasser, le manger.
Et je repris ma dégustation. Un liquide fluide coulait entre les petites lèvres. Je léchais, je léchais et léchais encore. Pour ne pas chuter, elle lâcha la banane qui fut tout de suite expulsé par son fion et qui a fini sa course sur le sol.
J’en profitais pour fouiller la grotte dilaté par l‘introduction de la banane, de ma langue tirée. Appréciant ma caresse, la coquine vint au devant de ma tendresse. Son anus obéissant à l’influence d’une caresse magnétique. Qui l’attirait comme l’aimant attire le fer.
Je léchais quelques instants encore son cul, avant de prendre une autre position et par la même occasion l’autre trou. Plus approprié pour ce que je comptais faire. Yasmina, debout devant la table, tendait son sexe à la rencontre de ma bouche. Je poussais ma langue aussi loin que je le pouvais dans le vagin, et cela plusieurs reprises. Comme si j’y enfonçais mon sexe.
- C’est bon ! Qu’est-ce que c’est bon ! Gémissait-elle sourdement.
- Je te l’avais dit ! Répondait la tante. Il s’est y faire ce cochon !
J’enfonçais mon nez entre ses fesses, respirant l’odeur de son anus. Puis d’une langue dure et pointue, j’avais à nouveau violé le cul toujours autant amer.
Il était si bien dilaté, que j’avais farci sans difficulté le trou de trois doigts. La cochonne n’a pu s’empêché de gémir. Suite à cette exploration, j’ôtais les doigts, et les portais à mon nez. Très satisfait, je les léchais. Faisant exprès de claquer ma langue. C’est l’instant qu’avait choisi Myriam pour poser sur moi ses yeux ambrés.
- Je n’ai pas rêvé là ! Tu l’as pénétré.
- Attend ! Attend ! Je n’ai pas mis ma queue.
- Encore heureux ! Cela te coûtera tout de même le double.
Hypnotisée, Yasmina me fixait sans rien dire.
- C’est une soirée qui va me coûte cher ! Lançais-je à Myriam, alors que la jeune fille se précipita à quitter le lieu pour aller se changer.
- C’était pour la bonne cause mon chou. La petite a besoin de fric. Répondait-elle. D’ailleurs je te propose de me la mettre à moi. Et cela gratuitement. Ajoutait-elle en montant sur la table.
- J’espère bien ? Lui lançais-je, en me postant debout entre ses jambes.
Je retroussais sa jupe jusqu’à la taille, écartant par la même occasion son slip. Puis je la pénétrai d’un seul coup de reins, et de tout mon long. Elle s’agrippait au bord de la table tout en poussant des petits cris étouffés. Tout en me branlant dans son antre, je la regardais. Elle avait les yeux clos, la bouche ouverte, les lèvres un peu retroussées sur les dents. Ses joues se creusaient et elle ne se ressemblait plus tout à fait. La montée du plaisir aiguisait ses traits, leur donnait une expression avide, presque douloureuse.
Yasmina avait sagement attendu qu’on termine pour venir chercher son dû. Soit six cent balles…
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