Le mâle dominant et un couple très spécial. 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le mâle dominant et un couple très spécial. 2
Le mâle dominant a un rendez-vous avec un couple. Mais pour une fois, ce sera très spécial pour lui. 2
– Touche-la ma chérie, tu en meurs d’envie!
Elle tend la main et saisit le membre puis retire ses doigts comme si une décharge électrique l’avait repoussée. Que lui arrive-elle ? Elle n’est pas si réservée d’habitude.
-Vas-y ! Tu en as saisi bien d’autres !
Suite.
Vexée, elle saisit le manche et commence à branler cette bite énorme, il est vrai qu’elle en a masturbé de toutes les tailles et de toutes les formes mais celle là remporte le pompon. Et le contraste de ce corps frêle la met toujours mal à l’aise. Ses doigts n’en font pas le tour et elle a l’impression sûrement fausse que quand elle accélère le mouvement de sa main, l’engin enfle encore. Une autre particularité la frappe, elle n’a jamais vu un sac de bourses qui pende autant, augmentant encore l’impression de longueur de ce formidable pieu. Le contraste est saisissant avec les boules de son mari pratiquement collées à la base de la hampe.
- Ça te plait ma chérie!
Elle ne peut qu’osciller de la tête car elle ne peut pas répondre avec ce qui lui obstrue les bronches.
Ils se relaient pendant un temps qui surprend Audrey, ce jeune mâle à la résistance d’un vieux briscard habitué aux joutes sexuelles.
Soudain il retire sa lance des mains et des bouches de ses trois tourmenteurs et se branle seul. Audrey voit de mieux en mieux et admire cette main fine qui monte et baisse de plus en plus vite sur ce véritable gourdin, attendant l’instant fatidique.
Un râle accompagne les premières salves de semence, mais quelles salves…De grands filet blanchâtres strient l’air et vont décorer la peinture marron clair du mur où ils dégoulinent. Les suivants s’écrasent sur le visage et le masque d’Eros avant de s’abattre sur ses pectoraux de Gavroche famélique. Le ru se tarit enfin par des flaques sur son bas-ventre.
-Putain de merde Thomas ! T’as vu ça ? Bordel de putain de merde !
-Tu peux le dire ma chérie ! Mais sa réputation n’est plus à faire. Avale tout ce que tu peux, je sais que tu adores ça !
-Tu as raison ! C’est trop bon avec une si belle bite jeune et vigoureuse, et ce serait du gâchis de ne pas en profiter !
Elle le lèche consciencieusement mais il détourne la tête quand elle veut nettoyer sa joue maculée de sperme. Il fait un signe à Sophie qui attrape Audrey par les épaules et l’étend de force sur le lit.
Eros se déplace pour prendre place entre ses cuisses qu’il écarte fermement, il s’agenouille et pose sa bouche sur la chatte brûlante, elle pousse un petit cri de plaisir quand la langue s’insinue dans sa fente et la fouille longuement.
Elle ne met pas longtemps avant de le noyer de sa cyprine qui s’écoule en abondance, il lape avec avidité comme un petit enfant téterait sa mère.
Il joue de son bouton d’amour avec son index, il le décalotte et l’aspire entre ses lèvres, Audrey se cabre en grognant sous les assauts du garçon si instruit de la chose.
La langue râpeuse lui fait un effet terrible, elle halète comme un petit chien avant de s’écrier:
-Je viens… ouiiiiiiiiiiii ! Oh putain!!!
Il y a longtemps qu’elle n’a pas jouit comme ça. Quand il retire la tête d’entre ses cuisses, tout le bas de son visage brille de sa liqueur si généreusement dispensée.
Elle le supplie :– Prends-moi jeune chien fou !!
La bite a repri des forces, quand il redresse son torse, elle est dressée fièrement face à la chatte en manque.
Il place son engin contre les lèvres humides du temple féminin et rapproche le corps à l’abandon.
Le mandrin glisse plusieurs fois sur la fente comme s’il en recherchait l’ouverture avant d’en forcer avec douceur la porte.
La poutre pénètre irrémédiablement dans la gaine de chair qui n’oppose qu’une faible résistance.
Le gourdin dilate son conduit mais bute contre le col de l’utérus, il attend que le fourreau s’adapte un peu à l’intrus et donne plusieurs coups de boutoir la faisant crier de douleur mêlé de plaisir, les mains crispés sur les draps. Thomas ricane mais est un peu inquiet :
-Putain ! Il va lui exposer la chatte…doucement jeune mâle !
-Je m’en fou ! Ça c’est un homme et rien ne pourrait m’empêcher de me faire baiser par un tel étalon !
Mais le jeune mâle veut montrer que c’est lui le chef, le mâle dominant à qui tout est dû, et il la défonce dans un va et vient d’enfer. Audrey essaie en vain de soustraire sa chatte au pilonnage fougueux d’Eros.
Thomas se branle en regardant souffrir sa femme et ne repousse pas Sophie quand elle se colle à lui pour le branler.
Les gémissements d’Audrey s’estompent quand la douleur se transforme enfin en plaisir.
Elle couine à chaque fois que le piston entre dans sa chatte à vive allure et râle à chaque ressac.
Elle hurle sa jouissance et suffoque de bonheur, il se penche et lui mordille les tétons.
-Aïe ! Tu m’as fait mal…Oui …Aaahhh !!!
Le soc continue de labourer ses entrailles. Quand il se cabre et envoie la semence épaisse dans son vagin, elle ne peut se retenir. Elle s’agrippe à lui et agite son bassin pour accompagner le déversement de son jus brûlant en elle.
Ses mains griffent le dos du jeune mâle, ses doigts butent sur une cicatrice au niveau des reins du jeune homme. Etonnée, elle en explore les contours avant de repousser violement son partenaire.
Audrey se précipite sur les tentures et les tire pour éclairer la pièce. Elle revient vers Eros et examine la cicatrice.
-Mais…Mais… C’est pas possible !
Bouleversée, elle retire d’un geste vif le masque de l’homme et hurle, horrifiée :-Mon Dieu ! Claude… Je me fais sauter par mon filleul ! Quelle horreur !
Thomas est lui aussi statufié de surprise.
-Putain c’est pas vrai !
Claude ne bouge plus mais se reprend vite et lui rappelle des paroles pas si lointaines.
-Tata…ce n’est pas toi qui disais il y a quelques minutes que rien ne pourrait t’empêcher de baiser avec un tel étalon ? Tu as déjà oublié ?
La réponse de son neveu la rend muette. C’est vrai… elle l’a dit. Les mots et les pensées contradictoires s’entrechoquent dans sa tête. C’est affreux ce qui vient de se passer mais elle n’y pourra plus rien changer.
Son regard quitte les yeux de son neveu et découvre en pleine lumière l’imposant service trois pièces.
-Mon Dieu, comment peux-tu avoir de si gros attributs ? Comment je ne m’en suis jamais rendue compte ? Il faut dire qu’il est loin le dernier jour ou je t’ai vu en tenue d’Adam ! Et mon frère…
Elle interrompt sa phrase car elle réalise soudain que lClaude qu’elle a sous les yeux ne peut pas être le fils de Thomas. Elle se souvient du coup de couteau que sa belle-soeur avait donné un jour dans le contrat de mariage avec cet homme si bien monté et en voit les conséquences… Et la principale, c’est que le gêne sexuel concernant l’organe reproducteur de son neveu a bien été transmis et même plutôt deux fois qu’une.
-Ce qui est fait est fait, il est trop tard pour revenir en arrière. Mais toi… Comment as-tu… ?
Claude lui répond :-Je ne m’en suis pas rendu-compte au début mais quand j’ai vu les dernières photos, j’ai reconnu l’arrière-plan. J’ai voulu tout interrompre mais vous êtes revenus plusieurs fois à la charge.
J’ai fini par m’habituer à l’idée mais voulais rester anonyme, d’où la présence de Sophie pour vous parler. Je n’aurais pas crû que tu me démasquerais ! Et toi tonton ? Tu aimes ça de voir ta femme baiser comme une chienne par des inconnus ? On dirait que ce n’est pas la première fois !
Audrey gifle avec violence Claude mais se repend vite de sa réaction et enlace son neveu dans ses bras.
Elle sent contre sa cuisse le mandrin gluant se mélanger aux trainées de foutre qu’elle expulse de sa chatte à chaque contraction de ses muqueuses.
Tel un phénix, la chose flasque renait de ses cendres au contact de la peau de sa tante et reprend de la vigueur avant d’être coincé dans son entrejambe.
-Mais que…
(A suivre)
– Touche-la ma chérie, tu en meurs d’envie!
Elle tend la main et saisit le membre puis retire ses doigts comme si une décharge électrique l’avait repoussée. Que lui arrive-elle ? Elle n’est pas si réservée d’habitude.
-Vas-y ! Tu en as saisi bien d’autres !
Suite.
Vexée, elle saisit le manche et commence à branler cette bite énorme, il est vrai qu’elle en a masturbé de toutes les tailles et de toutes les formes mais celle là remporte le pompon. Et le contraste de ce corps frêle la met toujours mal à l’aise. Ses doigts n’en font pas le tour et elle a l’impression sûrement fausse que quand elle accélère le mouvement de sa main, l’engin enfle encore. Une autre particularité la frappe, elle n’a jamais vu un sac de bourses qui pende autant, augmentant encore l’impression de longueur de ce formidable pieu. Le contraste est saisissant avec les boules de son mari pratiquement collées à la base de la hampe.
- Ça te plait ma chérie!
Elle ne peut qu’osciller de la tête car elle ne peut pas répondre avec ce qui lui obstrue les bronches.
Ils se relaient pendant un temps qui surprend Audrey, ce jeune mâle à la résistance d’un vieux briscard habitué aux joutes sexuelles.
Soudain il retire sa lance des mains et des bouches de ses trois tourmenteurs et se branle seul. Audrey voit de mieux en mieux et admire cette main fine qui monte et baisse de plus en plus vite sur ce véritable gourdin, attendant l’instant fatidique.
Un râle accompagne les premières salves de semence, mais quelles salves…De grands filet blanchâtres strient l’air et vont décorer la peinture marron clair du mur où ils dégoulinent. Les suivants s’écrasent sur le visage et le masque d’Eros avant de s’abattre sur ses pectoraux de Gavroche famélique. Le ru se tarit enfin par des flaques sur son bas-ventre.
-Putain de merde Thomas ! T’as vu ça ? Bordel de putain de merde !
-Tu peux le dire ma chérie ! Mais sa réputation n’est plus à faire. Avale tout ce que tu peux, je sais que tu adores ça !
-Tu as raison ! C’est trop bon avec une si belle bite jeune et vigoureuse, et ce serait du gâchis de ne pas en profiter !
Elle le lèche consciencieusement mais il détourne la tête quand elle veut nettoyer sa joue maculée de sperme. Il fait un signe à Sophie qui attrape Audrey par les épaules et l’étend de force sur le lit.
Eros se déplace pour prendre place entre ses cuisses qu’il écarte fermement, il s’agenouille et pose sa bouche sur la chatte brûlante, elle pousse un petit cri de plaisir quand la langue s’insinue dans sa fente et la fouille longuement.
Elle ne met pas longtemps avant de le noyer de sa cyprine qui s’écoule en abondance, il lape avec avidité comme un petit enfant téterait sa mère.
Il joue de son bouton d’amour avec son index, il le décalotte et l’aspire entre ses lèvres, Audrey se cabre en grognant sous les assauts du garçon si instruit de la chose.
La langue râpeuse lui fait un effet terrible, elle halète comme un petit chien avant de s’écrier:
-Je viens… ouiiiiiiiiiiii ! Oh putain!!!
Il y a longtemps qu’elle n’a pas jouit comme ça. Quand il retire la tête d’entre ses cuisses, tout le bas de son visage brille de sa liqueur si généreusement dispensée.
Elle le supplie :– Prends-moi jeune chien fou !!
La bite a repri des forces, quand il redresse son torse, elle est dressée fièrement face à la chatte en manque.
Il place son engin contre les lèvres humides du temple féminin et rapproche le corps à l’abandon.
Le mandrin glisse plusieurs fois sur la fente comme s’il en recherchait l’ouverture avant d’en forcer avec douceur la porte.
La poutre pénètre irrémédiablement dans la gaine de chair qui n’oppose qu’une faible résistance.
Le gourdin dilate son conduit mais bute contre le col de l’utérus, il attend que le fourreau s’adapte un peu à l’intrus et donne plusieurs coups de boutoir la faisant crier de douleur mêlé de plaisir, les mains crispés sur les draps. Thomas ricane mais est un peu inquiet :
-Putain ! Il va lui exposer la chatte…doucement jeune mâle !
-Je m’en fou ! Ça c’est un homme et rien ne pourrait m’empêcher de me faire baiser par un tel étalon !
Mais le jeune mâle veut montrer que c’est lui le chef, le mâle dominant à qui tout est dû, et il la défonce dans un va et vient d’enfer. Audrey essaie en vain de soustraire sa chatte au pilonnage fougueux d’Eros.
Thomas se branle en regardant souffrir sa femme et ne repousse pas Sophie quand elle se colle à lui pour le branler.
Les gémissements d’Audrey s’estompent quand la douleur se transforme enfin en plaisir.
Elle couine à chaque fois que le piston entre dans sa chatte à vive allure et râle à chaque ressac.
Elle hurle sa jouissance et suffoque de bonheur, il se penche et lui mordille les tétons.
-Aïe ! Tu m’as fait mal…Oui …Aaahhh !!!
Le soc continue de labourer ses entrailles. Quand il se cabre et envoie la semence épaisse dans son vagin, elle ne peut se retenir. Elle s’agrippe à lui et agite son bassin pour accompagner le déversement de son jus brûlant en elle.
Ses mains griffent le dos du jeune mâle, ses doigts butent sur une cicatrice au niveau des reins du jeune homme. Etonnée, elle en explore les contours avant de repousser violement son partenaire.
Audrey se précipite sur les tentures et les tire pour éclairer la pièce. Elle revient vers Eros et examine la cicatrice.
-Mais…Mais… C’est pas possible !
Bouleversée, elle retire d’un geste vif le masque de l’homme et hurle, horrifiée :-Mon Dieu ! Claude… Je me fais sauter par mon filleul ! Quelle horreur !
Thomas est lui aussi statufié de surprise.
-Putain c’est pas vrai !
Claude ne bouge plus mais se reprend vite et lui rappelle des paroles pas si lointaines.
-Tata…ce n’est pas toi qui disais il y a quelques minutes que rien ne pourrait t’empêcher de baiser avec un tel étalon ? Tu as déjà oublié ?
La réponse de son neveu la rend muette. C’est vrai… elle l’a dit. Les mots et les pensées contradictoires s’entrechoquent dans sa tête. C’est affreux ce qui vient de se passer mais elle n’y pourra plus rien changer.
Son regard quitte les yeux de son neveu et découvre en pleine lumière l’imposant service trois pièces.
-Mon Dieu, comment peux-tu avoir de si gros attributs ? Comment je ne m’en suis jamais rendue compte ? Il faut dire qu’il est loin le dernier jour ou je t’ai vu en tenue d’Adam ! Et mon frère…
Elle interrompt sa phrase car elle réalise soudain que lClaude qu’elle a sous les yeux ne peut pas être le fils de Thomas. Elle se souvient du coup de couteau que sa belle-soeur avait donné un jour dans le contrat de mariage avec cet homme si bien monté et en voit les conséquences… Et la principale, c’est que le gêne sexuel concernant l’organe reproducteur de son neveu a bien été transmis et même plutôt deux fois qu’une.
-Ce qui est fait est fait, il est trop tard pour revenir en arrière. Mais toi… Comment as-tu… ?
Claude lui répond :-Je ne m’en suis pas rendu-compte au début mais quand j’ai vu les dernières photos, j’ai reconnu l’arrière-plan. J’ai voulu tout interrompre mais vous êtes revenus plusieurs fois à la charge.
J’ai fini par m’habituer à l’idée mais voulais rester anonyme, d’où la présence de Sophie pour vous parler. Je n’aurais pas crû que tu me démasquerais ! Et toi tonton ? Tu aimes ça de voir ta femme baiser comme une chienne par des inconnus ? On dirait que ce n’est pas la première fois !
Audrey gifle avec violence Claude mais se repend vite de sa réaction et enlace son neveu dans ses bras.
Elle sent contre sa cuisse le mandrin gluant se mélanger aux trainées de foutre qu’elle expulse de sa chatte à chaque contraction de ses muqueuses.
Tel un phénix, la chose flasque renait de ses cendres au contact de la peau de sa tante et reprend de la vigueur avant d’être coincé dans son entrejambe.
-Mais que…
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