Le manoir du péché (15)

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le manoir du péché (15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le manoir du péché (15)
Depuis son arrivée dans le domaine, la sœur de la patronne saisissait toutes les occasions qui lui était donnée pour s’étirer voluptueusement sous mes yeux, n’hésitant pas à faire pointer ses mamelons libres sous la soie légère de son peignoir comme pour montrer qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.
Ne se gênant pas de se pencher en avant, dos tourné, le tissu moulant son derrière et ainsi m’assurer qu’elle avait aussi hormis de se passer une culotte. J’avais comme l’impression que ma patronne lui avait parlée de moi, et que c’était pour cela qu’elle avait décidé de passer un séjour au domaine. Le temps qui lui faudrait sans doute pour apaiser son besoin sexuel, et cela grâce à mes services un peu spéciaux. À cette vitesse elle n’allait pas tarder à me proposer de l’argent, voire même dire à sa sœur de précipiter la chose, à moins que je prenne ça en main. Il faut dire qu’après mon épisode avec Mauricette j’étais dans un cycle sexuel assez positif au point que je me masturbai plusieurs fois par jour. Il m’arrivait régulièrement de passer par ces phases-là, à défaut d‘autre chose. Tout bonnement parce que cette autre chose n’était pas très accessible en ce moment. Alors la Agnès ou une autre cela ferait bien mon affaire.
Le déjeuner passait, et comme à son habitude, Agnès s’arrangea toujours pour rester en tête à tête avec moi dans la cuisine. Et là comme si j‘étais transparent, elle se plaça de profil et mit un pied en appui sur une chaise, se massant en toute innocence le mollet, tout en se plaignant d’une crampe à haute voix. Comme si elle désirait attirer mon attention, et au mieux mon aide. Un massage serait toujours le bien venu ! Mais je restai là, sage, sans rien dire, témoin de son exhibition. Que le fait d’avoir lever sa jambe, les deux pans de son peignoir s’étaient séparés, laissant libre à une cuisse nue. Et plus encore, pour mon plus grand plaisir de mes yeux, un pubis. Oui un pubis comme j’aime en voir ! Je m’en mis plein les mirettes, et cela jusqu’à ce que, malheureusement la patronne comme par hasard, fasse son apparition. Je me sentis dans l’obligation par respect social de détourner le regard. Surtout qu’Agnès en toute légitimité prit son temps pour reprendre la pose initiale, et cela malgré les approbations de ma patronne. Qui sourire aux lèvres ne cessait de poser des questions que je qualifierais d’osez à sa frangine. Et cela sans qu’à aucun moment elle se soucie de ma présence. Prenant même la délicatesse de venir jusqu’où je me trouvais, pour regarder à travers la baie vitrée le parc noyé par la pluie qui tomber.
Quelques heures s’étaient passé avant qu’elle m’apparaisse avec en mains, une bassine contenant un tas de linge. Sans doute à laver. Et comme pour me donner raison, elle me fit part de son souhait d’aller jusqu’à la buanderie.
- Excusez-moi Agnès, vous n’allez pas me faire croire que vous ne savez pas où se trouve la buanderie.
- Oui bien sûr Alain ! Fit-elle en riant bêtement. Dans le sous-sol du manoir.
- Eh bien ? Répliquais-je.
- C’est bien pour cela que je demande vos services, Alain. Pour que vous m’y accompagner. J’ai toujours eu une peur bleue de m’y aventurer seule dans ce coin perdu.
Je sentais là qu’il y avait anguille sous roche. Et comme j’avais autant envie d’elle de baiser, voir plus, j’acceptais de l’accompagner. Un endroit en retrait où nous pourrions aisément profiter d’assouvir notre soif sexuelle.
Une fois dans les lieux et alors que je m’apprêtais à lui mettre à disposition le bac de lessive ranger sur l’étagère, je sentis un souffle chaud sur ma nuque. Par pur réflexe je me retournais pour me retrouver nez à nez avec la bouche d’Agnès, entrouverte, rouge et humide. Et comme j’avais une énorme envie de l‘embrasser. Je me laissais tenter à coller mes lèvres aux siennes. J’eux l’impression d’être pris en plein cyclone au milieu du Cap des tempêtes.
À bout de souffle, Agnès s’écarta, et reprenant ses esprits, courut verrouiller la porte du local.
- Je ne sais pourquoi, fit-elle, en me désignant le baquet en béton. Ma grand-mère adorait y laver sa lingerie. Moi-même, étant adolescente quand il faisait très chaud, je venais ici. Et après m’être assuré que j’étais bien seule comme aujourd‘hui, je m’allongeais toute nue dans ce bac puis je me caressais les seins et entre les cuisses en pensant aux garçons.
- Et à cette époque vous n’aviez pas peur de vous retrouver seul ici ?
- C’était un autre temps. Une autre époque. Fit-elle, en se déboutonnant bouton après bouton son corsage en toute impunité. Ceci fait elle s’en soulagea et en fit de même avec le soutien-gorge. Puis les yeux dans les miens, elle pressa ses seins quelques instants, avant de les faire balloter sous ses paumes. J’étais comme hypnotiser par ses gestes, dans l’incapacité de faire quelque ce soit, tant elle m’avait mis misérable. Elle ferma ses yeux, et elle se pinça durement les pointes des seins.
- Moi aussi j’aime la baise. Fit-elle, en ouvrant les yeux. Surtout avec tes types pervers de votre genre. Parce que vous en êtes un ? N’est-ce pas ? J’espère ne pas m’être tromper sur votre compte ?
- Vous ne vous êtes pas tromper Agnès. Vous avez frapper à la bonne porte.
Faisant exprès de ne pas lui parler de sa sœur.
- Vous m’envoyez ravie, Alain. Je me suis même laissé dire que vous étiez aussi un flaireur de culottes souillées. J’espère ne pas m’être fait bernée par cette personne ?
- Les nouvelles vont vite, à ce que je vois.
- Chez nous quand on aime on partage si vous voyez ce que je veux vous faire comprendre.
- Je vois ça.
- Sachez si cela peut vous intéresser, que je n’ai pas changer de culotte ce matin. Et il se trouve qu’elle est en tulle. Et comme vous devez le savoir c’est un textile qui capte parfaitement toutes les bonnes odeurs. Et d’ailleurs je me suis laissé dire que ce sont celles que vous préférez.
- Encore une fois on vous a bien informer.
- Vous la voulez ? Me fit-elle.
- Je ne dis jamais non.
- Oui mais voilà ! Il va falloir la mériter. Me fit-elle les yeux pétillants de malice.
- Je vous écoute ! Répondais-je en entourant ses hanches de mon bras. Cela ne vous importune pas au-moins ? La questionnais-je.
- Tant que je ne crie pas… Encourager par ses quelques paroles, je fis glisser ma main sur une de ses fesses. Elle prit le temps de me sourire avant de me tourner le dos et me présentait sa croupe ballonnait sous sa jupe droite de couleur sombre.
- Si ce qu’on dit est vrai, vous êtes du genre à vous servir tout seul.
Pour toute réponse je ramenais sa jupe aux creux des reins. Dessous la culotte en tulle marron se tendait sur les fesses. Le textile assouplit par l’humidité, soulignait sa raie, moulait ses grandes lèvres et sa fente.
Quand je fis rouler le slip, Agnès se cambra davantage. Sa raie et sa fente m’apparurent. Si son anus tapi au fond du profond sillon, n’était pas visible, j’apercevais bien ses petites lèvres plissées dépasser des grandes, serrées l’une contre l’autre entre les cuisses.
Elle se prosterna, le buste contre le bac. Les fesses écartées au maximum des deux mains. M’exhibant ainsi son anus serré entouré d’une petite couronne de poils. Incapable de me retenir plus longtemps, je m’agenouillais devant et sortis ma langue que j’enfonçais dans la raie aussi loin que me le permit l’élasticité du tissu saturé de bonne odeur.
Mélange de sucré et amer, qui valait de mon propre avis, toutes les saveurs les plus raffinées que j’avais eu le loisir de goûter durant toute ma vie. Pris dans un tourbillon d’excitation, je la soulageais de sa petite culotte. J’’agissais avec cette femme que je connaissais sans plus que ça, sans réfléchir. D’ailleurs j’entendis cette dernière s’écriait d‘une voix rauque : - Oui ! Nettoyez-moi le cul, je suis sale.
Sous de si beau encouragement je fis alors balader ma langue dans sa raie. Et cela longuement. Faisant disparaître tout arôme malodorant qui imprégner sa peau.
- Fouillez-moi de vos doigts aussi. J’ai trop envie d’être exploré de ce côté.
J’enfonçais mon doigt dans son anus avec une aisance facilement explicable suite à ma caresse buccale. Un zone spacieux et vide. Une sensation exaltante que de pouvoir fouiller cet orifice.
Je sentais son corps se tendre, alors que les premiers spasmes de jouissance s’emparaient déjà d’elle. Je la branlais avec plus d’excès. Martelant plusieurs fois son anus. Elle jouissait, son corps agité de spasmes violents, en étouffant ses cris de sa main pour ne pas attirer l‘attention.
Peu après, alors qu’elle avait repris ses esprits, et sans comprendre très bien ce qui m’arrivait, je fus littéralement happer de mon pantalon, de mon slip. Et comme une démoniaque, Agnès me guida jusqu’à devant le bac. Où elle prit place dessus, et me plaça debout, devant le compas que faisait ses jambes. Ma verge avait une consistance d’un morceau de bois. Et tout en m’embrassant, elle se saisit de mon gland et le frotta à tâtant contre la fente. L’engluant de mouille. Sous la pression sa vulve violacée, et fiévreuse, s’ouvrait. Assez pour que d’une seule poussée, je m’introduisis en elle. Une fois au fond, j’y allais à grands coups de pilonnage. Son corps suivait le rythme de mon va-et-vient. On n’entendait plus que des respirations sifflantes dans le local. Mon orgasme était comme souvent dans ces cas là, long à venir. À un tel point que notre baise poussée perdurait longtemps, trop même à mon avis, à en être ennuyeux. Puis, afin de parer la mélancolie, je me retirais doucement. Ma verge était toute luisante des sécrétions de la femme. La première réaction d’Agnès fut de protester un peu, et cela d’une voix enrouée : - Vous en avez fini… La fin de sa phrase me parvint étouffée.
- Non !
Elle se tut, comme si la suite de sa réclamation était bloqué dans sa gorge, avant de pouvoir de nouveau retrouver sa voix et de lâcher : - Tant mieux !
Mais ce n’était pas vers sa fente trop béante à mon goût que mon choix s’arrêta, mais vers son petit trou.
- Oh…oh, je peux savoir ce que vous me faites, là ?
- Eh bien comme vous voyez je change de trou.
- Merci, j’avais remarqué ! Mais pourquoi ?
Mon cœur battait plus fort.
- Vous verrez vous ne regrettera pas.
- J’espère que je n’aurai pas mal !
- Compter sur moi Agnès, pour vous faire apprécier mon choix.
Je l’aidai à relever ses genoux contre sa poitrine, exhibant son anus plissé. Je passais le doigt le long de son entaille pour récupérer de la mouille que je transférais jusqu’à la rosette. Deux à trois aller retour à suffit pour arriver à mes fins. Pour que son conduit devienne de plus en plus moelleux et très chaud. Son trou palpitait, comme si elle était impatiente. Elle poussait même son bassin, comme pour m’inviter à m’y enfoncer.
Je me saisissais alors de ma queue par la base pour la guider au centre de l’orifice. D’elle-même, Agnès vint à ma rencontre. Pour mon plus grand plaisir mon gland glissa à l’intérieur. Tout de suite après le sphincter se referma, m’emprisonnant. Je bandais dur. La respiration d’Agnès devint rapide, alors que ma verge disparaissait millimètres après millimètres dans le boisseau. Une fois entièrement en elle, je me mis à la pistonner. Faisant coulisser diaboliquement ma verge dans son trou du cul. Qui s’élargissait nettement après chaque va-et-vient, à me faire divaguer.
- Vous êtes une belle salope !
- Bien-sûr que je suis une belle salope. Et aussi une belle enculée, vous ne croyez pas ?
- Ah ça, pour être enculée… vous en êtes une sacrée ! Répondis-je en continuant de la sodomiser au plus profond, au plus bestial, pour bien lui faire sentir que c’était moi le maître.
Un bref instant, je m’étonnais de me comporter de la sorte. Je ne me reconnaissais pas là. Mais avec cette femme, je franchissais décidément, diverses étapes de perversion, à m’en faire augmenter la cadence de mon enculade.
C’était trop jouissif d’enculer une si belle salope. C’était même délirant comme sensation. Je la malmenais, sous ses gémissements de plus en plus bruyantes. C’était divin et infernal.
Soudain une immense euphorie s’emparait de moi, en sentant les premiers picotements annonciateur d’un futur orgasme arrivé. Très vite mon foutre giclait de ma queue pour être catapulté au plus profond du cul de la belle, qui fut secouée de spasmes. Lui faisant lâcher des paroles inintelligibles.
J’attendais que ma verge est perdu de sa rigidité pour la ressortir. Agnès encore effondrée sur le bac se redressa sur un coude. Je l‘aidai à redescendre.
Quelques instants plus tard, et après avoir repris nos esprits, je lui proposais un pacte, que je dirai jouissif pour tous les deux. Elle ne prit même pas la peine de réfléchir un seul instant pour donner sa réponse : - C’était bien, vous savez… très bien même… on recommencera ? Fit-elle, en faisant recroquevillait un instant son trou du cul avant de se rouvrir plus franchement et de cracher un long filet de sperme rendu beige par ses intestins.
Par la suite, elle pétait encore deux ou trois fois, projetant à chacun d’eux, quelques gouttes brunâtres. Elle passait sa main entre ses fesses, décrochant une coulée de bave gluante qui pendait de son anus écarquillé.
Elle tournait les robinets d’eau du bac. Elle attendait la bonne température pour lever une jambe, de poser un pied en appui sur le rebord de pierre du bac et elle commençait là alors sa toilette. Il m’en fallait pas plus pour rebander. J’allais attendre patiemment qu’elle fini sa toilette pour la reprendre. Oui la reprendre, j’avais de nouveau envie de la foutre.
Recueillant de l’eau au creux de sa paume pour se nettoyer. Peu à peu sa fourrure se détrempait, l’eau qui lui éclaboussait l’entrecuisse étirait les longs poils qui se collaient contre la naissance des cuisses, lui pendait entre les fesses. Les contours de sa chatte apparaissaient, avec le gros bouton au dessin irrégulier qui dépassait, et plus bas, les petites lèvres qui bâillaient sur une mince bouche mauve.
- Hou..hou ! Il y a quelqu’un en bas ? Fit une voix que je reconnus étant celle de la patronne et qui provenait du haut des escaliers.
Agnès sans trop de préoccuper continuer à se laver le cul.
Alors que pour ma part, pris de panique je me revêtis à toute vitesse. Avec la ferme intention une fois habiller, de ne pas trop m’attarder dans la pièce.
Ce fut gorge serrée par l’anxiété, que je regagnais la cuisine. M‘efforçant de me calmer pour que ma queue débande au plus vite. En vain, tant la scène qui s’était déroulé dans la buanderie m’avait excité.

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