Le manoir du péché (3) : FANTASME AU TÉLÉPHONE…
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le manoir du péché (3) : FANTASME AU TÉLÉPHONE…
FANTASME AU TÉLÉPHONE…
Alors que je m’apprêtais de rentrer chez moi après avoir verrouiller les volets du manoir, je fus alerté par de la lumière s’échappant des fenêtres du salon de chez Mauricette. Il ne m’en fallait pas plus pour m’en approcher. Je la découvrais assise sur le divan le téléphone collé à son oreille.
Oubliant le code du savoir-vivre et aussi les bonnes manières. Je pris l’initiative de passer la porte d’entrée. Elle ne fut pas plus surprise que ça de me voir devant elle. Continuant sa conversation après m‘avoir jeté un clin d’œil.
Elle avait le corps revêtu d’une combinaison de résille qui laissait apparents ses fesses et le triangle touffu de sa chatte. Des mules léopard complétaient l’ensemble. Mais ce qui m’avait le plus suffoqué chez elle, était son visage. Ses yeux paraissaient comme étirés. Ses lèvres peintes d’un rouge violent. Elle semblait tout de même fière de son effet. Je n’avais pas pu me contenir de tendre mon bras en direction de son sexe. Pour me permettre l’accès elle avait ouvert le compas de ses jambes en souriant. Un désir sale s’installa en moi alors que j‘effleurais son pelage doux. Une excitation plus abjecte que d’habitude qui m’amollissait le ventre.
- Si tu veux, mon chéri, dit-elle à son interlocuteur qui ne devait-être que son époux. Dis-moi entre nous cela te direz de joué un petit jeu polisson avec moi ?... Lequel ? Nous pourrions nous branler par téléphone interposé... Ta mère ? Mais n’était-elle pas un peu sourd ? Et quand bien même, elle doit être en train de dormir, non ? Je me trompe?... Ça te dit. Houais tant mieux... Alors jouant. Comme tu sais je me trouve au salon en petite tenue... Bien sûr que j’ai fermé les rideaux, je n’ai pas envie quand me regarde... Bon commençant. Tu te rappelles du soir où nous faisions l’amour en imaginant qu’il y avait avec nous ton collègue, comment s’appelait-il déjà ? Oui c’est ça Jean Michel... Tu te rappelles avoir pris un bon pied... Et bien je te propose de recommencer... Il vient de me rejoindre et se tiens à mes côtés... Qui ça ? Mais mon amant... Ah ! Tu veux que je lui donne un prénom à mon amant pour faire plus vrai... Je ne sais pas moi, tu as une idée... Oh ! Non pas lui... Pas lui non plus... Le gardien ? Pourquoi pas... Donc Alain se trouve à mes côtés. Fit-elle en me lançant des œillades tout en se dandinant sur place, redressant les épaules pour faire pointer davantage sa poitrine sous la résille. Dont les tétons dardés s’échappaient d’entre les mailles.
Je m’accroupis devant ses jambes toujours grandes ouvertes et penchais ma tête à la hauteur de sa toison.
- Tu sais il ne perd pas de temps le coquin... Il vient de ce placer entre mes jambes... Pour quoi ? À ton avis...
Il se dégageait de son sexe une odeur vaguement écœurante. Du bout des doigts, j’écartais les grosses lèvres luisantes de mouille pour ouvrir sa fente.
- Il prend son temps le bougre... M’ouvre de ses doigts... J’en es des frissons plein le corps...
Elle luisait d’humidité dans la lumière du lustre placé au-dessus. Au sommet de la fente le bouton se dressait comme un berlingot que je me mis à chatouiller de la langue.
- Il embrasse ma chatte... Il la... Suce... Elle se mit à soupirer fort dans le combiné tout en posant sa main libre sur ma tête pour m’attirer contre elle. Me plaquant le visage sur son con détrempé. M’étouffant de son parfum aigre-doux.
- Et il fait ça bien, le vicelard... Si j’aime ? Bien sûr que j’aime ça... Oh c’est même très bon de ce sentir caresser par une langue... Confiait-elle à son époux. Tu devrais t’y mettre toi aussi à ce genre de caresse, lui envoya-t-elle tout en frottant sa vulve contre mon visage, alors que je la léchais mécaniquement.
- Tu ne peux pas savoir mon chéri comme il me lèche bien le gardien... Il me passe sa langue partout... Où toi tu ne mettrais pas ton doigts... Quoi je déconne ? Mais non mon chéri, c‘est parfaitement vrai... Enfin dans mon imagination !... Je vais succomber...
La lourde poitrine se soulevait. Elle avait du mal à se cramponner aux coussins du divan. Essayant tant bien que mal d’affermir sa position instable. Elle transpirait abondamment. Cette odeur, mélangée à celle de son sexe échauffé, parvenait plus que jamais jusqu’à mes narines. Par bouffées chaudes et aigres.
- Je n’en peux plus ! Gémit-elle... Toi aussi mon amour, tu te branles fort...
Elle ondulait du bassin à l’approche de la jouissance. Balbutiant des paroles égarées.
- Bouffe-moi, suce-moi... Bois mon jus salaud...
Elle avait parlé d’une voix changée, complètement voilée. Avec des intonations de femme un peu ivre. Elle avait hurlé son plaisir tellement fort, qu’elle m’avait fait sursauter. Ne m’attendant pas à autant de décibels, jaillir de sa bouche Je ne lui donnais pas le temps de cuver son orgasme, que j’emprisonnais son bouton gonflé de sang entre mes lèvres. L‘aspirant, le mâchouillant tout en le taquinant du bout de la langue.
- Mais il est insatiable le cochon... Il va me faire mourir...
Il lui fallut que peu de secondes pour être rattrapé de nouveau par un orgasme. Heureusement pour mes oreilles moins fortes que le premier.
Ses jouissances additionnées au tête-à-tête avec son mari par téléphone interposé me bouleversaient. D’elle-même elle écarta ma bouche de son sexe. Épuisé elle se laissa tomber sur le divan, sans pour autant lâcher le portable.
- C’est grâce à toi mon amour... Oui de tout ce que tu me dis...
Au fond de la raie le périnée et l’anus étaient luisants de sécrétions. Comme une toile d’araignée, des filaments blanchâtres s’étiraient dans les poils.
- Tu veux qu’il me prenne... À ta guise mon cher mari, il va me prendre... Enfin avec mes doigts ?
Délaissant son divan, en me tournant le dos, elle vint s’accroupir au-dessus de moi pour mon plus grand plaisir.
- Je vais même te dire mon chéri, que je compte m’empaler sur eux...
De sa main libre elle avait saisi la base de ma queue et avec lenteur était descendu pour s’empaler dessus. Couché de dos à même la moquette, j’avais croisé les mains derrière la tête en soupirant. Elle avait d’abord contracté ses parois intimes tout en caressant mes bourses pleines. Elle s’était mise à me pomper avec délicatesse, complètement immobile.
- Il bande bien... Je le sens bien en moi... Tu n’en peux plus... Oui… branle-toi mon chéri... Fait comme ta femme... Prend ton pied... Que je joue bien la comédie... Mais c’est grâce à toi mon amour. Tu m’excites tant...
J’étais de plus en plus tourbillonnant. Surtout avec la vue de sa posture. Les reins cambrés, ses cuisses gainées de résilles fléchies sur les hauts talons. Son fessier débordant du collant obscène.
Après avoir posé le portable sur le divan, par légers à-coups, elle commença à faire coulisser ma verge dans sa chatte. À monter jusqu’à la limite du gland pour redescendre aussitôt, avec une extrême lenteur. De temps à autre elle sortait mon membre et le frottait sur son clitoris. Cela avait duré un long moment. Avant qu’elle soit emportée par une montée de spasme. Montant et descendant à toute vitesse, sa croupe rebondissant sur mon ventre. Elle se mit à divaguer. Laissant échapper de sa bouche des mots très crus. Il en allait de même du côté de l‘écouteur, d’où sortait des : - Salope... Salope... Tu prends ton pied... Je suis sûr que tu te branles avec un concombre... Salope...
Je n’avais jusqu’alors pas échangé une seule parole avec Mauricette.
- Dans mon cul… je le veux... Dans mon cul, tu entends...
- Oui salope je t’entends... Mais le cocombre dans ton cul... Et partage avec moi la sensation...
Elle se retira et colla ma verge entre ses fesses. D’une main, elle en avait écarté l’entrée, tandis que de l’autre elle faisait pénétrer l’extrémité de mon gland. Une fois bien logée dans la chaude corolle, elle s’était abaissée avec un râle.
- Ça y est, fit la voix impatiente dans l’appareil... Tu te l’as mis dans le cul ?
- Oui mon chéri et bien profond...
La sensation de chaleur était inexprimable. Elle me fit voyager quelques instants avant de crisper durement les fesses. J’étais au bord de la rupture. Je l’avais saisie par la taille pour la coucher sur moi et empoignant ses seins gonflés. Et seulement là, j’avais craché ma semence brûlante dans son sphincter.
- Putain il jute... Il jute dans mon cul... Je sens son sperme.
- Si tu veux savoir salope moi aussi je jute... Oh putain que c’est bon... Ah ! Ah ! Je ne peux plus m’arrêter de juter...
C’est alors qu’une voix féminine, paniquée se fit entendre dans l’écouteur. Couvrant même la divagation du mari, et qui disait : - Que t’arrive-t-il mon fils, tu fais un cauchemar... Tu es soufflant... Et la communication se coupa.
- Tu ne peux pas savoir le pied que je viens de prendre, me fit Mauricette. Indifférente à ce qui venait de se dérouler du côté de son portable. Comme si elle n’avait rien percuté.
- Ton mari en est pour beaucoup... Lui envoyais-je.
Elle se mit son doigt sur la bouche, comme pour me faire taire. Elle prit alors son portable et constata que la communication avec son époux était finie.
- Il a raccroché le con. Fit-elle, avant de s’adresser à moi. Je ne te le fais pas dire. Il m’est souvent arrivé lors de mes plaisirs solitaires de pensée à ce genre scénario. Me confia-t-elle en posant son cul sur le divan. Moi préférant rester où j’étais. Sur le sol.
- Et bien tu vois, cela s’est réalisé...
Pendant qu’elle convergeait, elle entama des mouvements de balancier et de rotation avec sa cheville. Faisant danser sa mule.
- Quand même, après réflexion, fit-elle nous avons été dégueulasses, hein ?
- Où il n’y a pas gêne il n’y a pas de plaisir, ce n’est pas ce qui se dit ?
Elle avait eu un petit rire gêné, avant de poursuivre. Ses mouvements de pieds allaient au rythme de ses paroles, tantôt lent, tantôt plus rapide. Au fur et à mesure, son pied sortait de la chaussure, au niveau du talon. Je pouvais maintenant voir la plante douce de ses pieds maillés.
- Il rentre quand ?
- Oh ! Demain après avoir déjeuné avec maman, répondit-elle en faisant balancer la mule en équilibre sur ses orteils. J’étais comme hypnotisé par ces mouvements pendulaires.
- Avec tout ça tu as bien mérité une coupe de champagne.
Alors qu‘elle tentait de se rechausser d’une flexion des orteils, l’escarpin, déséquilibré, glissait et chuta sur le sol. Je ne pus m’empêcher de me saisir du pied gainé et de le porter jusqu’à ma bouche. Un parfum capiteux, assez corsé s’en dégager. Mélange de cuir et de transpiration.
Alors que je m’apprêtais de rentrer chez moi après avoir verrouiller les volets du manoir, je fus alerté par de la lumière s’échappant des fenêtres du salon de chez Mauricette. Il ne m’en fallait pas plus pour m’en approcher. Je la découvrais assise sur le divan le téléphone collé à son oreille.
Oubliant le code du savoir-vivre et aussi les bonnes manières. Je pris l’initiative de passer la porte d’entrée. Elle ne fut pas plus surprise que ça de me voir devant elle. Continuant sa conversation après m‘avoir jeté un clin d’œil.
Elle avait le corps revêtu d’une combinaison de résille qui laissait apparents ses fesses et le triangle touffu de sa chatte. Des mules léopard complétaient l’ensemble. Mais ce qui m’avait le plus suffoqué chez elle, était son visage. Ses yeux paraissaient comme étirés. Ses lèvres peintes d’un rouge violent. Elle semblait tout de même fière de son effet. Je n’avais pas pu me contenir de tendre mon bras en direction de son sexe. Pour me permettre l’accès elle avait ouvert le compas de ses jambes en souriant. Un désir sale s’installa en moi alors que j‘effleurais son pelage doux. Une excitation plus abjecte que d’habitude qui m’amollissait le ventre.
- Si tu veux, mon chéri, dit-elle à son interlocuteur qui ne devait-être que son époux. Dis-moi entre nous cela te direz de joué un petit jeu polisson avec moi ?... Lequel ? Nous pourrions nous branler par téléphone interposé... Ta mère ? Mais n’était-elle pas un peu sourd ? Et quand bien même, elle doit être en train de dormir, non ? Je me trompe?... Ça te dit. Houais tant mieux... Alors jouant. Comme tu sais je me trouve au salon en petite tenue... Bien sûr que j’ai fermé les rideaux, je n’ai pas envie quand me regarde... Bon commençant. Tu te rappelles du soir où nous faisions l’amour en imaginant qu’il y avait avec nous ton collègue, comment s’appelait-il déjà ? Oui c’est ça Jean Michel... Tu te rappelles avoir pris un bon pied... Et bien je te propose de recommencer... Il vient de me rejoindre et se tiens à mes côtés... Qui ça ? Mais mon amant... Ah ! Tu veux que je lui donne un prénom à mon amant pour faire plus vrai... Je ne sais pas moi, tu as une idée... Oh ! Non pas lui... Pas lui non plus... Le gardien ? Pourquoi pas... Donc Alain se trouve à mes côtés. Fit-elle en me lançant des œillades tout en se dandinant sur place, redressant les épaules pour faire pointer davantage sa poitrine sous la résille. Dont les tétons dardés s’échappaient d’entre les mailles.
Je m’accroupis devant ses jambes toujours grandes ouvertes et penchais ma tête à la hauteur de sa toison.
- Tu sais il ne perd pas de temps le coquin... Il vient de ce placer entre mes jambes... Pour quoi ? À ton avis...
Il se dégageait de son sexe une odeur vaguement écœurante. Du bout des doigts, j’écartais les grosses lèvres luisantes de mouille pour ouvrir sa fente.
- Il prend son temps le bougre... M’ouvre de ses doigts... J’en es des frissons plein le corps...
Elle luisait d’humidité dans la lumière du lustre placé au-dessus. Au sommet de la fente le bouton se dressait comme un berlingot que je me mis à chatouiller de la langue.
- Il embrasse ma chatte... Il la... Suce... Elle se mit à soupirer fort dans le combiné tout en posant sa main libre sur ma tête pour m’attirer contre elle. Me plaquant le visage sur son con détrempé. M’étouffant de son parfum aigre-doux.
- Et il fait ça bien, le vicelard... Si j’aime ? Bien sûr que j’aime ça... Oh c’est même très bon de ce sentir caresser par une langue... Confiait-elle à son époux. Tu devrais t’y mettre toi aussi à ce genre de caresse, lui envoya-t-elle tout en frottant sa vulve contre mon visage, alors que je la léchais mécaniquement.
- Tu ne peux pas savoir mon chéri comme il me lèche bien le gardien... Il me passe sa langue partout... Où toi tu ne mettrais pas ton doigts... Quoi je déconne ? Mais non mon chéri, c‘est parfaitement vrai... Enfin dans mon imagination !... Je vais succomber...
La lourde poitrine se soulevait. Elle avait du mal à se cramponner aux coussins du divan. Essayant tant bien que mal d’affermir sa position instable. Elle transpirait abondamment. Cette odeur, mélangée à celle de son sexe échauffé, parvenait plus que jamais jusqu’à mes narines. Par bouffées chaudes et aigres.
- Je n’en peux plus ! Gémit-elle... Toi aussi mon amour, tu te branles fort...
Elle ondulait du bassin à l’approche de la jouissance. Balbutiant des paroles égarées.
- Bouffe-moi, suce-moi... Bois mon jus salaud...
Elle avait parlé d’une voix changée, complètement voilée. Avec des intonations de femme un peu ivre. Elle avait hurlé son plaisir tellement fort, qu’elle m’avait fait sursauter. Ne m’attendant pas à autant de décibels, jaillir de sa bouche Je ne lui donnais pas le temps de cuver son orgasme, que j’emprisonnais son bouton gonflé de sang entre mes lèvres. L‘aspirant, le mâchouillant tout en le taquinant du bout de la langue.
- Mais il est insatiable le cochon... Il va me faire mourir...
Il lui fallut que peu de secondes pour être rattrapé de nouveau par un orgasme. Heureusement pour mes oreilles moins fortes que le premier.
Ses jouissances additionnées au tête-à-tête avec son mari par téléphone interposé me bouleversaient. D’elle-même elle écarta ma bouche de son sexe. Épuisé elle se laissa tomber sur le divan, sans pour autant lâcher le portable.
- C’est grâce à toi mon amour... Oui de tout ce que tu me dis...
Au fond de la raie le périnée et l’anus étaient luisants de sécrétions. Comme une toile d’araignée, des filaments blanchâtres s’étiraient dans les poils.
- Tu veux qu’il me prenne... À ta guise mon cher mari, il va me prendre... Enfin avec mes doigts ?
Délaissant son divan, en me tournant le dos, elle vint s’accroupir au-dessus de moi pour mon plus grand plaisir.
- Je vais même te dire mon chéri, que je compte m’empaler sur eux...
De sa main libre elle avait saisi la base de ma queue et avec lenteur était descendu pour s’empaler dessus. Couché de dos à même la moquette, j’avais croisé les mains derrière la tête en soupirant. Elle avait d’abord contracté ses parois intimes tout en caressant mes bourses pleines. Elle s’était mise à me pomper avec délicatesse, complètement immobile.
- Il bande bien... Je le sens bien en moi... Tu n’en peux plus... Oui… branle-toi mon chéri... Fait comme ta femme... Prend ton pied... Que je joue bien la comédie... Mais c’est grâce à toi mon amour. Tu m’excites tant...
J’étais de plus en plus tourbillonnant. Surtout avec la vue de sa posture. Les reins cambrés, ses cuisses gainées de résilles fléchies sur les hauts talons. Son fessier débordant du collant obscène.
Après avoir posé le portable sur le divan, par légers à-coups, elle commença à faire coulisser ma verge dans sa chatte. À monter jusqu’à la limite du gland pour redescendre aussitôt, avec une extrême lenteur. De temps à autre elle sortait mon membre et le frottait sur son clitoris. Cela avait duré un long moment. Avant qu’elle soit emportée par une montée de spasme. Montant et descendant à toute vitesse, sa croupe rebondissant sur mon ventre. Elle se mit à divaguer. Laissant échapper de sa bouche des mots très crus. Il en allait de même du côté de l‘écouteur, d’où sortait des : - Salope... Salope... Tu prends ton pied... Je suis sûr que tu te branles avec un concombre... Salope...
Je n’avais jusqu’alors pas échangé une seule parole avec Mauricette.
- Dans mon cul… je le veux... Dans mon cul, tu entends...
- Oui salope je t’entends... Mais le cocombre dans ton cul... Et partage avec moi la sensation...
Elle se retira et colla ma verge entre ses fesses. D’une main, elle en avait écarté l’entrée, tandis que de l’autre elle faisait pénétrer l’extrémité de mon gland. Une fois bien logée dans la chaude corolle, elle s’était abaissée avec un râle.
- Ça y est, fit la voix impatiente dans l’appareil... Tu te l’as mis dans le cul ?
- Oui mon chéri et bien profond...
La sensation de chaleur était inexprimable. Elle me fit voyager quelques instants avant de crisper durement les fesses. J’étais au bord de la rupture. Je l’avais saisie par la taille pour la coucher sur moi et empoignant ses seins gonflés. Et seulement là, j’avais craché ma semence brûlante dans son sphincter.
- Putain il jute... Il jute dans mon cul... Je sens son sperme.
- Si tu veux savoir salope moi aussi je jute... Oh putain que c’est bon... Ah ! Ah ! Je ne peux plus m’arrêter de juter...
C’est alors qu’une voix féminine, paniquée se fit entendre dans l’écouteur. Couvrant même la divagation du mari, et qui disait : - Que t’arrive-t-il mon fils, tu fais un cauchemar... Tu es soufflant... Et la communication se coupa.
- Tu ne peux pas savoir le pied que je viens de prendre, me fit Mauricette. Indifférente à ce qui venait de se dérouler du côté de son portable. Comme si elle n’avait rien percuté.
- Ton mari en est pour beaucoup... Lui envoyais-je.
Elle se mit son doigt sur la bouche, comme pour me faire taire. Elle prit alors son portable et constata que la communication avec son époux était finie.
- Il a raccroché le con. Fit-elle, avant de s’adresser à moi. Je ne te le fais pas dire. Il m’est souvent arrivé lors de mes plaisirs solitaires de pensée à ce genre scénario. Me confia-t-elle en posant son cul sur le divan. Moi préférant rester où j’étais. Sur le sol.
- Et bien tu vois, cela s’est réalisé...
Pendant qu’elle convergeait, elle entama des mouvements de balancier et de rotation avec sa cheville. Faisant danser sa mule.
- Quand même, après réflexion, fit-elle nous avons été dégueulasses, hein ?
- Où il n’y a pas gêne il n’y a pas de plaisir, ce n’est pas ce qui se dit ?
Elle avait eu un petit rire gêné, avant de poursuivre. Ses mouvements de pieds allaient au rythme de ses paroles, tantôt lent, tantôt plus rapide. Au fur et à mesure, son pied sortait de la chaussure, au niveau du talon. Je pouvais maintenant voir la plante douce de ses pieds maillés.
- Il rentre quand ?
- Oh ! Demain après avoir déjeuné avec maman, répondit-elle en faisant balancer la mule en équilibre sur ses orteils. J’étais comme hypnotisé par ces mouvements pendulaires.
- Avec tout ça tu as bien mérité une coupe de champagne.
Alors qu‘elle tentait de se rechausser d’une flexion des orteils, l’escarpin, déséquilibré, glissait et chuta sur le sol. Je ne pus m’empêcher de me saisir du pied gainé et de le porter jusqu’à ma bouche. Un parfum capiteux, assez corsé s’en dégager. Mélange de cuir et de transpiration.
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