Le manoir du péché (9)
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le manoir du péché (9)
J’étais en train de m’affairer à mettre des buches de bois dans le panier quand j’ai sentis un corps féminin se plaquer dans mon dos, mais surtout une main experte faire le tour de ma personne pour s’intéresser ensuite activement à cette partie de l’anatomie masculine que les femmes ne posséderont jamais, enfin jusqu‘à maintenant !
J’ai émis un petit rire de fausse surprise. Sachant très bien à qui appartenait cette mimine. C’était tout bonnement celle d’Annabelle. Qui profiter de l’absence de son mari partit dès l’aube sous d’autres cieux, pour assouvir encore une fois sa soif de sexe.
- Encore-vous… ai-je entendu lui dire. Madame est vraiment une dévoreuse.
Juste derrière moi, sa voix cristalline s’est faite très câline pour me dire : - Je ne suis jamais rassasiée, jamais ! Tu devrais le savoir tout de même.
J’ai tourné la tête vers l’arrière et dans un souffle, je lui ai Lancé : - Que puis-je faire pour satisfaire Madame ?
- Que tu me suives jusqu‘à ma chambre !
- Oui, mais que Madame veuille bien m’excusé, mais j’ai encore quelques choses urgentes à finir.
- Et bien ! Fais ce que tu dois faire, mais après… j’exige que tu viennes me rejoindre. Je pense que je n’ai pas besoin de d’indiquer le chemin de ma chambre. Fit-elle en se frottant contre moi avec des mimiques gourmandes.
- À tout de suite ! A-t-elle ajouté.
- Oui Madame.
Tel un conquérant face à une nouvelle terre, je me suis sentis fier de monter les marches. Rempli d’une excitation qui s’est répondu dans tout mon corps, et que j’ai essayé tant bien que mal à canaliser. Et cela jusqu’à ce que j’arrive devant la porte. J’ai toqué sur cette dernière et Annabelle m’a invité à entrer.
Sitôt la porte fermée, la coquine est venue de nouveau se blottir contre mon torse, avec une audace qui m’a stupéfié sur le moment, et d’une main maladroite, elle s’est activé à ouvrir ma braguette.
- Ooh… Fit-elle. Je ne peux… pas… Hhh… m’en empêcher… Le contact de ses doigts chauds à la peau fine et douce a fait tressauter mon sexe. Une fois mis à nu, elle s’est penchée sur lui. J’ai senti le souffle chaud. De ses lèvres douces et moelleuses, elle a enserré ma tige de chair, avant de me l’aspirer avec une grande délicatesse, presque avec une certaine timidité. Mais au fur et à mesure, elle a accéléré le mouvement. Plongeant sa bouche de plus en plus loin, m’absorbant de plus en plus profondément. Dodelinant de la tête et soufflant à mesure qu’elle faisait disparaître ma verge entre ses lèvres. Puis après avoir bien salivé mon pieux, elle s’est mise à me pomper, n’hésitant pas à changer de rythme.
Plus que jamais, cette bourgeoise était vraiment une bonne vicieuse comme je les aimais. La salope que désire tout homme normalement constitué. Une femme à la sexualité débridée. Qui aimait dominer, commander, contrôler son désir. Et c’est pour cela que j’acceptais sans limite, ses caprices.
Très vite, j’ai sentis des picotements annonciateurs d’une prochaine jouissance. C’est pourquoi que j’ai tenté de sortir mon sexe de sa bouche, mais c’était sans compté sur la coquine, qui elle, semblé au contraire, insister pour la recevoir. Me boire. J’ai alors joui au fond de sa gorge. Elle a longuement joué de sa langue pour me nettoyer des dernières gouttes de sperme rebelle. Quand elle a jugé que la toilette était terminer, elle s’est élevée jusqu’à ma bouche pour me tendre ses lèvres, que je me suis empressé à cueillir. Elle a profité de cette étreinte pour me faire parvenir un peu de restes de ma jouissance.
Sans plus attendre j’ai glissé mes mains sous son peignoir pour les poser sur ses fesses. Elle a collé son ventre contre le mien, comme pour m’inviter à mieux prendre possession de son cul. J’ai malaxé son fessier. À sentir les coutures de sa culotte qui couvraient l’intégralité de son généreux postérieur. Toujours en malaxant le derrière de Madame à pleines mains, elle m’a lancé un : - Je compte sur toi pour me faire atteindre le septième ciel.
Un sourire pervers s’était installé aussitôt sur ses lèvres.
- Mais pour ça je veux que tu viennes avec moi. A-t-elle ajouté.
Docile, je l‘ai suivi jusqu‘à la salle de bain, où elle m‘emmena.
- Pourquoi là ? Fis-je.
- Cela ne s’explique pas ! Une envie voilà tout !
Elle m’a attiré jusqu’à la cabine de douche toute vitrée. Son petit jeu a eu pour effet de me brûler l’estomac. Attisant si j’en avais encore besoin, un véritable incendie chez moi. Puis Annabelle m’a fixé, de ses yeux remplis de malice. Et ans me lâcher du regard, elle m’a lâché : - Tu ne le sais surement pas, mais ma chatte n’arrête pas de mouiller pour toi ?
- Madame est-elle devenue boulimique ?
Cela la fit sourire, avant d‘ajouter : - Évidemment. Elle a très envie que tu la caresses et que tu l’embrasses, comme tu l‘as fait à chacune de nos rencontres.
J’ai pris cela comme un défit. Et ce défi, j’avais bien l’intention de l’honoré. Alors j’ai commencé à promener mes doigts, le long de sa jambe. Annabelle a tout de suite, gémi. Me chuchotant ses gémissements à même mon oreille, qui furent absolument délicieux à entendre.
- Humm… c’est bon ce que tu me fais… m’a-t-elle murmuré.
- Vraiment Madame ! Madame est bonne !
Je me suis saisi de la ceinture de son peignoir et j’ai tiré d’un coup sec. Dans l’action les deux pans se sont ouverts et comme par magie sa poitrine m’est apparue. Maintenue par un soutien-gorge blanc transparent, assortie au slip. Annabelle a glissé une main dans le bonnet pour le remonter au-dessus du sein. Avec deux doigts, elle a étreignit le téton. J’ai penché ma tête au-dessus, et j’ai happé une pointe, que j’ai serrée doucement entre mes dents. Puis dans un excès d’excitation, j‘ai mordu dans le gras du sein avant de le lécher. La bourgeoise a soufflé de contentement. Elle était très excitée, au point d’exiger de moi que je la prenne, là tout de suite.
Je lui ai demandé pour cela de se tenir à la barre chromée servant de rampe, et de me tendre son cul. Elle a alors écarté ses jambes, montées sur ses mules à talons. J’ai gauchi le bords de la culotte trempée. Et j’ai approché ma verge de sa fente humectée. Je l’ai pénétré d’un seul coup de reins. J’ai vu ma queue disparaître dans son sexe. Puis apparaître, au fur et à mesure de mes mouvements du bassin. J’allais et venais en elle. Excité par le bruit de mes couilles contre ses fesses. J’ai fait prolonger le coït tant que je le pouvais.
Elle était dans un tel état d’excitation qu’elle faisait du n’importe quoi. Allant jusqu’à lécher la paroi vitrée de la douche. Elle a envoyé une de ses mains se caresser le clitoris, et l’autre sur ses seins.
N’espérant plus rien de la position où nous nous trouvions, j’ai soudain stoppé mes mouvements de va-et-vient pour lui demander de changer d’orientation. Je l’ai fait s’appuyer contre le mur de verre, et je me suis collé à elle. Puis j‘ai ramené mes mains sous ses fesses, en même temps je les ai malaxé. Elle a enroulé ses jambes autour de ma taille. S’arrimant à moi. J‘ai tiré de nouveau, la culotte sur le côté car elle avait tendance avec les poussées, à venir se ramasser dans la fourche. Une fois son sexe nue, je me suis mis à frôler sa vulve avec le bout de mon membre.
- Mets-moi là ! C’est un ordre ! Sinon je te vire.
Malgré la menace je ne l’ai pas écouté, continuant mes mouvements lents en m’enfonçant un peu entre ses lèvres imbibés de mouille, sans jamais la pénétrer. De temps en temps je m’arrêtais même et, la soutenant d’une main, je me servais de mon autre menotte pour me saisir de ma queue et faire frotter mon prépuce sur le clitoris. Elle ne mit pas longtemps à réagir.
- Oui, continu ! Je vais jouir, oui je viens, n’arrête pas, encore n‘arrête surtout pas, oui, continue, continue, oui…oui…oui !
Et elle a joui. J’ai profité de son orgasme pour plonger ma queue dans sa chatte. Elle a crié sous l’effet de la surprise. Je l’ai collé contre la paroi et j’ai remué de plus en plus vite. Fouillant son antre à grand coups de reins. Elle haletait. Sa respiration saccadée faisait bouger ses gros seins aux pointes dardées. Elle a geint quand j’ai accéléré le balancement de mon bassin. Elle s’est crispée, lâchant un hurlement strident, avant d’éclaté en sanglots nerveux, le corps secoué de spasmes. Avec une maestria dont elle avait le secret, elle m’a branlé avec ses entrailles. Pratiquant le casse noisettes avec doigté. Elle a bercé son fessier d’avant en arrière. Je soupirais de bonheur, tout en me déversant en elle. Mon ventre plaqué contre le sien. Je suis resté enfoncé en elle pendant quelques secondes encore, avant de me retirer tout doucement sa bite d’entre ses lèvres.
- Tu vas me manquer ! M’a-t-elle lancé alors que je sortais de la douche. Les jambes en coton.
- Mais que Madame se console, elle reviendra !
- Oui ! Mais quand !
J’ai émis un petit rire de fausse surprise. Sachant très bien à qui appartenait cette mimine. C’était tout bonnement celle d’Annabelle. Qui profiter de l’absence de son mari partit dès l’aube sous d’autres cieux, pour assouvir encore une fois sa soif de sexe.
- Encore-vous… ai-je entendu lui dire. Madame est vraiment une dévoreuse.
Juste derrière moi, sa voix cristalline s’est faite très câline pour me dire : - Je ne suis jamais rassasiée, jamais ! Tu devrais le savoir tout de même.
J’ai tourné la tête vers l’arrière et dans un souffle, je lui ai Lancé : - Que puis-je faire pour satisfaire Madame ?
- Que tu me suives jusqu‘à ma chambre !
- Oui, mais que Madame veuille bien m’excusé, mais j’ai encore quelques choses urgentes à finir.
- Et bien ! Fais ce que tu dois faire, mais après… j’exige que tu viennes me rejoindre. Je pense que je n’ai pas besoin de d’indiquer le chemin de ma chambre. Fit-elle en se frottant contre moi avec des mimiques gourmandes.
- À tout de suite ! A-t-elle ajouté.
- Oui Madame.
Tel un conquérant face à une nouvelle terre, je me suis sentis fier de monter les marches. Rempli d’une excitation qui s’est répondu dans tout mon corps, et que j’ai essayé tant bien que mal à canaliser. Et cela jusqu’à ce que j’arrive devant la porte. J’ai toqué sur cette dernière et Annabelle m’a invité à entrer.
Sitôt la porte fermée, la coquine est venue de nouveau se blottir contre mon torse, avec une audace qui m’a stupéfié sur le moment, et d’une main maladroite, elle s’est activé à ouvrir ma braguette.
- Ooh… Fit-elle. Je ne peux… pas… Hhh… m’en empêcher… Le contact de ses doigts chauds à la peau fine et douce a fait tressauter mon sexe. Une fois mis à nu, elle s’est penchée sur lui. J’ai senti le souffle chaud. De ses lèvres douces et moelleuses, elle a enserré ma tige de chair, avant de me l’aspirer avec une grande délicatesse, presque avec une certaine timidité. Mais au fur et à mesure, elle a accéléré le mouvement. Plongeant sa bouche de plus en plus loin, m’absorbant de plus en plus profondément. Dodelinant de la tête et soufflant à mesure qu’elle faisait disparaître ma verge entre ses lèvres. Puis après avoir bien salivé mon pieux, elle s’est mise à me pomper, n’hésitant pas à changer de rythme.
Plus que jamais, cette bourgeoise était vraiment une bonne vicieuse comme je les aimais. La salope que désire tout homme normalement constitué. Une femme à la sexualité débridée. Qui aimait dominer, commander, contrôler son désir. Et c’est pour cela que j’acceptais sans limite, ses caprices.
Très vite, j’ai sentis des picotements annonciateurs d’une prochaine jouissance. C’est pourquoi que j’ai tenté de sortir mon sexe de sa bouche, mais c’était sans compté sur la coquine, qui elle, semblé au contraire, insister pour la recevoir. Me boire. J’ai alors joui au fond de sa gorge. Elle a longuement joué de sa langue pour me nettoyer des dernières gouttes de sperme rebelle. Quand elle a jugé que la toilette était terminer, elle s’est élevée jusqu’à ma bouche pour me tendre ses lèvres, que je me suis empressé à cueillir. Elle a profité de cette étreinte pour me faire parvenir un peu de restes de ma jouissance.
Sans plus attendre j’ai glissé mes mains sous son peignoir pour les poser sur ses fesses. Elle a collé son ventre contre le mien, comme pour m’inviter à mieux prendre possession de son cul. J’ai malaxé son fessier. À sentir les coutures de sa culotte qui couvraient l’intégralité de son généreux postérieur. Toujours en malaxant le derrière de Madame à pleines mains, elle m’a lancé un : - Je compte sur toi pour me faire atteindre le septième ciel.
Un sourire pervers s’était installé aussitôt sur ses lèvres.
- Mais pour ça je veux que tu viennes avec moi. A-t-elle ajouté.
Docile, je l‘ai suivi jusqu‘à la salle de bain, où elle m‘emmena.
- Pourquoi là ? Fis-je.
- Cela ne s’explique pas ! Une envie voilà tout !
Elle m’a attiré jusqu’à la cabine de douche toute vitrée. Son petit jeu a eu pour effet de me brûler l’estomac. Attisant si j’en avais encore besoin, un véritable incendie chez moi. Puis Annabelle m’a fixé, de ses yeux remplis de malice. Et ans me lâcher du regard, elle m’a lâché : - Tu ne le sais surement pas, mais ma chatte n’arrête pas de mouiller pour toi ?
- Madame est-elle devenue boulimique ?
Cela la fit sourire, avant d‘ajouter : - Évidemment. Elle a très envie que tu la caresses et que tu l’embrasses, comme tu l‘as fait à chacune de nos rencontres.
J’ai pris cela comme un défit. Et ce défi, j’avais bien l’intention de l’honoré. Alors j’ai commencé à promener mes doigts, le long de sa jambe. Annabelle a tout de suite, gémi. Me chuchotant ses gémissements à même mon oreille, qui furent absolument délicieux à entendre.
- Humm… c’est bon ce que tu me fais… m’a-t-elle murmuré.
- Vraiment Madame ! Madame est bonne !
Je me suis saisi de la ceinture de son peignoir et j’ai tiré d’un coup sec. Dans l’action les deux pans se sont ouverts et comme par magie sa poitrine m’est apparue. Maintenue par un soutien-gorge blanc transparent, assortie au slip. Annabelle a glissé une main dans le bonnet pour le remonter au-dessus du sein. Avec deux doigts, elle a étreignit le téton. J’ai penché ma tête au-dessus, et j’ai happé une pointe, que j’ai serrée doucement entre mes dents. Puis dans un excès d’excitation, j‘ai mordu dans le gras du sein avant de le lécher. La bourgeoise a soufflé de contentement. Elle était très excitée, au point d’exiger de moi que je la prenne, là tout de suite.
Je lui ai demandé pour cela de se tenir à la barre chromée servant de rampe, et de me tendre son cul. Elle a alors écarté ses jambes, montées sur ses mules à talons. J’ai gauchi le bords de la culotte trempée. Et j’ai approché ma verge de sa fente humectée. Je l’ai pénétré d’un seul coup de reins. J’ai vu ma queue disparaître dans son sexe. Puis apparaître, au fur et à mesure de mes mouvements du bassin. J’allais et venais en elle. Excité par le bruit de mes couilles contre ses fesses. J’ai fait prolonger le coït tant que je le pouvais.
Elle était dans un tel état d’excitation qu’elle faisait du n’importe quoi. Allant jusqu’à lécher la paroi vitrée de la douche. Elle a envoyé une de ses mains se caresser le clitoris, et l’autre sur ses seins.
N’espérant plus rien de la position où nous nous trouvions, j’ai soudain stoppé mes mouvements de va-et-vient pour lui demander de changer d’orientation. Je l’ai fait s’appuyer contre le mur de verre, et je me suis collé à elle. Puis j‘ai ramené mes mains sous ses fesses, en même temps je les ai malaxé. Elle a enroulé ses jambes autour de ma taille. S’arrimant à moi. J‘ai tiré de nouveau, la culotte sur le côté car elle avait tendance avec les poussées, à venir se ramasser dans la fourche. Une fois son sexe nue, je me suis mis à frôler sa vulve avec le bout de mon membre.
- Mets-moi là ! C’est un ordre ! Sinon je te vire.
Malgré la menace je ne l’ai pas écouté, continuant mes mouvements lents en m’enfonçant un peu entre ses lèvres imbibés de mouille, sans jamais la pénétrer. De temps en temps je m’arrêtais même et, la soutenant d’une main, je me servais de mon autre menotte pour me saisir de ma queue et faire frotter mon prépuce sur le clitoris. Elle ne mit pas longtemps à réagir.
- Oui, continu ! Je vais jouir, oui je viens, n’arrête pas, encore n‘arrête surtout pas, oui, continue, continue, oui…oui…oui !
Et elle a joui. J’ai profité de son orgasme pour plonger ma queue dans sa chatte. Elle a crié sous l’effet de la surprise. Je l’ai collé contre la paroi et j’ai remué de plus en plus vite. Fouillant son antre à grand coups de reins. Elle haletait. Sa respiration saccadée faisait bouger ses gros seins aux pointes dardées. Elle a geint quand j’ai accéléré le balancement de mon bassin. Elle s’est crispée, lâchant un hurlement strident, avant d’éclaté en sanglots nerveux, le corps secoué de spasmes. Avec une maestria dont elle avait le secret, elle m’a branlé avec ses entrailles. Pratiquant le casse noisettes avec doigté. Elle a bercé son fessier d’avant en arrière. Je soupirais de bonheur, tout en me déversant en elle. Mon ventre plaqué contre le sien. Je suis resté enfoncé en elle pendant quelques secondes encore, avant de me retirer tout doucement sa bite d’entre ses lèvres.
- Tu vas me manquer ! M’a-t-elle lancé alors que je sortais de la douche. Les jambes en coton.
- Mais que Madame se console, elle reviendra !
- Oui ! Mais quand !
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