le nouveau médecin - histoire érotique

LE NOUVEAU MEDECIN

1971 j’ai 19 a, je suis un jeune homme très complexé, je ne fais pas du tout mon âge, les gens ont l'impression que je suis toujours un ado, difficile de se faire passer pour un homme confirmé, sûr de lui. Je suis de taille moyenne, corps frêle, cheveux bruns mi-longs, je ne passe pas pour un apollon coté muscle. Pourtant croyez-moi je suis sérigraphiste c ‘est un métier plutôt physique qui demande de l'énergie, j’ai la réputation d’être assez doué, mes collègues apprécient mon professionnalisme, je me fais charrier à longueur de journée, tout le monde me surnomme ‘’le gamin’’...

En ce qui concerne les filles mon tableau de chasse est au plus bas, malgré ma timidité j’ai quelques flirts à mon actif mais je reste un puceau à mon grand désespoir.

Aujourd'hui je ne suis pas bien, je ne passe pas une bonne journée au boulot, j’ai des torsions désagréables dans le ventre, je prends la sage décision d’aller consulter en fin de journée. Je file vite à la maison pour prendre une douche je me vois mal me présenter devant le docteur sans avoir une hygiène parfaite.

En arrivant devant cette grande maison bourgeoise qui sert de cabinet médical je sais que je ne reverrais pas mon vieux médecin de famille qui a pris sa retraite depuis peu, je vais faire la connaissance de son remplaçant en espérant qu’il soit aussi sympathique et tout aussi compétent que son prédécesseur.

Il y a trois personnes avant moi dans la salle d’attente, je vais devoir patienter, je pense que je vais faire la fermeture vu l'heure tardive. Je m'installe tranquillement. A peine cinq minutes se sont écoulées, le patient en consultation sort du cabinet, le toubib l’accompagne jusqu’à la porte et vient chercher la personne suivante, je peux donc rapidement l’observer.

C'est un homme qui parait jovial, souriant, je lui donnerais la quarantaine. Assez grand, je le soupçonne d’être sportif, il est dans la force de l'âge, ses cheveux sont courts blonds cendrés, sa blouse blanche avec son stéthoscope autour du cou il en impose.

A chaque fois qu’il vient chercher un patient, il a toujours un regard bien veillant et insistant à mon égard... Je ne vous cache pas que ça me perturbe pourquoi il me dévisage de cette façon ?

- à votre tour jeune homme !

Je pénètre dans le cabinet non sans appréhension. Il me demande pour quelle raison je suis venu consulter, je décris les symptômes afin qu’il puisse élaborer un diagnostic, il me fixe, c’est déstabilisant.

Il m’informe qu’il a parcouru ma fiche et avec une mine un peu moqueuse, mais avec compassion, il m'explique que son prédécesseur était un formidable médecin, par contre au niveau administratif il tenait pas du tout à jour ses dossiers. Il souhaitait y remettre de l’ordre et il me suggère si cela ne me gêne pas d’avoir une consultation un peu plus poussée, perplexe, un peu craintif, j’accepte.

Il me demande de me déshabiller, juste garder mon slip et mes chaussettes, il est assis à son bureau et assiste à mon effeuillage, j’avoue que c’est perturbant, il ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre, je suis confus mais étrangement la situation ne me déplait pas...

Je suis stupéfait quand il m'invite à passer sous la toise. Tout de suite je me remémore quand j’étais petit la fameuse visite médicale à l’école. Ensuite il me pèse sur la grosse balance que je connais bien, combien de fois on y a pris mon poids dessus. Il m'invite à m’assoir sur la table d’auscultation, prend ma tension, vérifie mes reflexes en me tapotant avec sorte de marteau en caoutchouc, il écoute mes battements cardiaques. Jusqu'à la tout me semble normal.

Il me fait allonger sur le dos et à partir de ce moment-là, les choses deviennent différentes... il me palpe, mais je qualifierais plutôt ça comme des caresses, je trouve que ses mains sont douces. Interloqué il me surprend en prenant mes tétons et les roules délicatement entre ses doigts, l’étonnement est total, je ne me savais pas aussi sensible de là, sans que je puisse me retenir je gémis, par reflex j’ai comme un geste de défense, je lui retiens ses mains

- Laisse-toi aller fais-moi confiance !

Je me détends je pose mes mains de part et d’autre de la table. Incroyable sa bouche a remplacé ses doigts, il me suce les mamelons, je perds pied impossible de retenir mes geignements...

Comme il est penché sur moi ma main droite sur le bord de la table est au niveau de sa braguette, par-dessus le tissu du pantalon, je sens son érection. Il se frotte légèrement. Inconscient ou audacieux je commence à bouger mes doigts, comme-ci de rien était, je veux que mes petits attouchements lui procurent une sorte de bien- être.

De son côté Gilbert (désolé j’ai omis de vous dire son prénom) me couvre de petits bisous sur le ventre, il descend jusqu' à mon nombril, le lèche en passant, ça chatouille. De sa main gauche il titille de nouveau un de mes tétons, de la droite il la pose carrément sur mon slip, je bande comme un fou. Il me masse tout d’abord avec délicatesse à travers mon sous-vêtement, puis accentue la pression, prenant la bosse de mon slip fermement.

Je lui rends l'appareil en serrant bien dans la paume de ma main sa tige tendue dessous son pantalon et slip

- Je te veux tout nu !

Il me retire sans ménagement mon dernier rempart, le jette au milieu de la pièce me voilà à poil, je me sens merveilleusement vulnérable, offert...

- regardes je vais me mettre comme toi

Impatient il retire tous ses vêtements, il ne donne pas dans la délicatesse, les fringues volent, la blouse, la chemise, le pantalon, il est en slip kangourou blanc (j’adore) le sol est jonché de ses vêtements.

Tout nu on peut dire que c’est un bel homme, il s’entretient, les pectoraux sont bien dessinés, certes il a des petites rondeurs mais ça lui donne un certain charme...

Par contre mon regard est attiré par sa verge, la nature lui a fait une fleur. Je me sens complexé avec mon petit sexe d’ado, la sienne est imposante, épaisse surtout. Il est circoncis, un long prépuce, ses bourses sont pendantes. Je comprends pourquoi la bosse du slip m'avait impressionné. Son pubis est plutôt fourni.

Il me fait mettre debout, mon sexe est tendu à l’extrême complètement décalotté.

Gilbert m enlace sa bouche s’empare de la mienne, le baiser est passionné, nos langues se mélangent, nos bites se touchent, on se frotte.

Je n’arrive plus à comprendre ce qui m'arrive, incapable d’analyser, j’apprécie ce moment présent, je lâche prise, prêt à tout accepté.



Le baiser de Gilbert est de plus en plus torride. Brusquement sa bouche descend tout le long de mon torse, au passage de nouveau il suce mes mamelons. Je grogne de plaisir...

Il me lèche le ventre c’est divin, il chemine jusqu’à ma tige, la lèche tout le long, avec le bout de sa langue il cherche à pénétrer mon méat. Il aspire ma verge jusqu'au fond de sa gorge...

Je ne peux pas expliquer ce que je ressens, tout est une découverte pour moi, mon bien être est total, la situation est incroyable, j’ai qu’une envie faut ce bonheur continu...

Je sens ma sève montée, heureusement Gilbert a d’autre projet, il arrête sa merveilleuse fellation, je reste un peu frustré.

Il se dirige vers la petite armoire vitrée qui date d’une autre époque ou à l'intérieur trônent des boites de médicaments, des flacons en plastique transparent, il sort un tube, fait couler un peu du contenu sur ses doigts, je devine que c’est du lubrifiant.

De façon obscène debout les fesses bien cambrées en arrière, il passe ses doigts enduits du gel sur sa raie, son anus, il se doigte...

Je comprends que je vais devoir le sodomiser, intérieurement je jubile, moi qui n'ai jamais pénétré personne, je suis au comble de l'excitation.

Gilbert se penche sur son bureau, il est merveilleusement indécent, il écarte les jambes, ses couilles pendantes dépassent entre ses cuisses, cette vision me motive encore plus...

Avec des paroles carrément crues il m ordonne de l enculer, je ne me fais pas prier. Je suis un peu maladroit dû à mon inexpérience, mais l'abondance du lubrifiant sur son œillet me facilite grandement la tache...

Mon cochon de toubib me dirige, il m'indique quand je dois accélérer ou ralentir, je sens qu’il prend son pied, il gémit de plus en plus, de mon côté j’adore être en lui, il se masturbe en même temps.

Dans un ultime ordre il m’incite à le défoncer, je ne me retiens plus, mon pubis claque contre ses fesses, ma bite est luisante, je vais et je viens sans retenu, c’est pratiquement au bord des larmes que je me répands en lui.

Nous sommes essoufflés, les jambes tremblantes, au moment où il se relève je m’aperçois que son bureau est souillé de son sperme, non seulement il a joui de derrière mais aussi de devant, je ne vous cache pas qu'orgueilleusement je suis fière de l'avoir fait grimper au 7eme ciel.

Une fois apaisé sous le ton de la confidence il me demande d’être très discret, il m'explique qu’il s’est marié juste pour les convenances, mais son homosexualité était sa véritable nature...

Il me dit non sans humour que je pouvais venir consulter quand je voulais (petite précision je suis sorti du cabinet en pleine forme sans ordonnance).