UN MOMENT TRES GENANT
Récit érotique écrit par Arthus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UN MOMENT TRES GENANT
UN MOMENT TRES GENANTAutant commencé par les présentations, je m’appelle Edouard, j’ai 65 ans, difficile de parler de soi sans paraitre un peu prétentieux, mais comme on dit j’ai de beau reste, je suis sportif, c’est ma drogue, je pratique course à pied, vélo, gym tous les jours, enfin bref je suis accroc ce qui me permet d’avoir toujours le ventre plat.
Mon épouse Françoise a 64 ans, elle par contre n’est pas sportive, elle a toujours été une femme svelte, avec l’âge elle a pris quelque rondeurs, mais ce n’est pas pour me déplaire, ça lui va très bien, elle apprécie plus du tout son corps, limite complexé. Mais croyez-moi elle a tort, elle a toujours un charme fou à mes yeux.
Nos amis Bernard et Muriel, nous ont demandé un service, il avait un souci, il partait la première quinzaine d’aout en vacances à l’étranger, ils nous demandaient si cela nous gênait pas d’aller vivre chez eux pour garder la maison, ils avaient subis un cambriolage traumatisant, fallait aussi s’occupé de leur chien et de leur chat, d’habitude c’était le rôle de monsieur Michel leur vieux voisin veuf, le brave homme partait chez ses enfants à la même période. Il faut dire que nos amis habitait une très belle maison avec piscine, grand jardin, dans un petit village sympathique, cela nous changeait de notre appartement en ville, nous avons accepté avec joie, nous étions libres, retraités tous les 2 depuis peu.
On n’a pas vu le temps passé, cela faisait une semaine que nous étions chez nos amis, on profitait pleinement de la piscine, du jardin, en plus il faisait un temps magnifique, je ne sais pas ce qui m’a pris en ce samedi après-midi, un peu par bravade sans doute, je propose à ma femme d’aller se baigner tout nu et s’en attendre sa réponse, sachant qu’elle allait probablement refuser, j’ai retiré, teeshirt, short et slip, j’étais à poil sur la terrasse, je vous cache pas que j’y pensais depuis un moment, en plus personne pouvait me voir, mis à part le voisin, mais comme il était absent, pourquoi pas en profiter.
Je suis rentré dans la piscine, l’eau était chaude, jeune je m’étais déjà baigné nu, je me souvenais plus du plaisir que cela procurait, c’était divin, je faisais quelque brasses, c’était une petite piscine mais on pouvait nager un peu. Un moment je me retourne et là incroyable Françoise toute nue, qui venait barboter avec moi, je n’en revenais pas, comme 2 adolescents nous avons chahuté dans l’eau, les mains carrément baladeuses, je vous cacherais pas que mon sexe était triomphant, un moment ma femme était de dos, je m’étais collé à elle, mon sexe tendu contre ses fesses, elle se frottait, et là à ma grande surprise car elle avait pas l’habitude de prendre l’initiative, elle m’a proposé d’aller faire l’amour sur la pelouse, croyez-moi elle ne l’a pas répété 2 fois.
Nous avions installé à la hâte nos serviettes de bain sur l’herbe, Françoise s’était allongé sur le dos, j’ai commencé par l’embrasser, lui rouler les testons entre 2 doigts, étant très sensible des seins, ils se sont vites dressés, ma bouche a remplacé les doigts, elle a commencé à gémir, j’allais d’un teston à l’autre, ma main est descendu vers son entre-jambe, instinctivement elle a largement écarté ses cuisses ça m’a facilité la tâche, j’ai vite trouvé son clitoris, je l’ai caressé, j’ai délaissé sa poitrine, tout en descendent doucement, ma langue a léché son ventre, son nombril, elle gémissait de plus en plus, ensuite ma bouche est descendue entre ses cuisses, mes lèvres ont remplacé mon doigt, j’ai aspiré son petit clito, elle se laissait aller, en même temps je doigtais son vagin ruisselant, 1doigt puis 2 puis 3, son plaisir était intense, son corps se tordait de plaisir, elle poussait des petits cris, je me suis placé au-dessus tête bèche, j’ai littéralement dévoré sa chatte, elle mouillait abondamment, de son côté elle me caressait les fesses, un moment elle a tiré mon sexe tendu en arrière, a commencé à me masturber, j’étais aux anges, l’étonnement a été à son paroxysme quand elle m’a pris ma verge en bouche, elle déteste la fellation, là elle m’offrait ce cadeau , décidemment je sais pas si c’était le faite de faire l’amour tout nu dans un jardin, rompre les habitudes, elle me surprenait et j’étais pas au bout de mes surprises.
Nous avons changé de position, elle s’est mise a 4 pattes, oui c’est elle qui prenait l’initiative maintenant, à marquer dans les annales, sexuellement elle a toujours été passive, avec délice, je l’ai pénétré, je variais le rythme du va et vient, parfois en douceur, parfois avec vigueur, ça claquait ses fesses, elle commençait a me parler crûment, je faisais de même, on était comme fou, sans retenu, elle a passé la main dans son dos, a pris mon sexe et la présenté devant son petit trou, on s’adonnait très rarement à la sodomie, mais là c’était vraiment son désir pour quelle le sollicite elle-même et je vous raconte pas ce qu’elle me disait pour m’encourager, c’était d’une vulgarité terriblement excitante, franchement je l’avais jamais vu comme ça.
Françoise a voulu de nouveau changer de position, elle m’a fait allonger sur le dos, est venu a califourchon sur moi, s’est empaler sur ma bite, elle donnait des coups de reins, elle recherchait elle-même son plaisir, elle dominait la situation, son visage était crispé, elle criait, se pinçait les lèvres, je pouvais plus retarder l’échéance je l’ai prévenu que j’allais éjaculer, elle a redoublé d’ardeur, et chose incroyable de mémoire on avait jamais vraiment réussi à jouir en même temps, mais là ce fut le cas on a pris notre pied ensemble, difficile d’expliquer par des mots le ressenti à ce moment précis, si peut être tout simplement l’extase.
Je venais a peine de me remettre de mon émotion, Françoise était toujours sur moi, nous reprenions notre souffle, machinalement je regarde du côté de la maison du voisin, stupeur monsieur Michel était la sur sa terrasse surélevée, il nous regardait, ma femme voyant ma tête effarée se retourne, sa réaction fut immédiate, elle s’est levée d’un bond, est parti en courant dans la maison, le voisin m’a souri et comme pour donner son approbation il a levé le pouce, du coup malgré la gêne, j’ai souri aussi, je me suis levé tranquillement, j’avais plus rien à cacher, je suis allé rejoindre ma douce.
Ma femme avait honte, elle voulait plus sortir, le voir encore moins, comme je devais lui porter son courrier, le jour suivant j’y suis allé, j’avoue que j’en menais pas large, il m’a accueilli chaleureusement, il s’est excusé d’être rentré plus tôt que prévu, mais ma remercier du spectacle offert, mais sur le ton de la plaisanterie, je lui ai demandé s’il était là depuis longtemps, il avait tout vu depuis le début, la baignade, les ébats, il m’a avoué avec nostalgie qu’avec son épouse il avait aussi batifolé dans le jardin. Quand je lui ai dit que ma femme était très honteuse, il m’a rétorqué qu’elle pouvait compter sur sa discrétion.
Il est venu nous voir 2 jours après, il a su de suite mettre ma femme à l’aise, tout c’est fini dans un grand éclat de rire.
Mon épouse Françoise a 64 ans, elle par contre n’est pas sportive, elle a toujours été une femme svelte, avec l’âge elle a pris quelque rondeurs, mais ce n’est pas pour me déplaire, ça lui va très bien, elle apprécie plus du tout son corps, limite complexé. Mais croyez-moi elle a tort, elle a toujours un charme fou à mes yeux.
Nos amis Bernard et Muriel, nous ont demandé un service, il avait un souci, il partait la première quinzaine d’aout en vacances à l’étranger, ils nous demandaient si cela nous gênait pas d’aller vivre chez eux pour garder la maison, ils avaient subis un cambriolage traumatisant, fallait aussi s’occupé de leur chien et de leur chat, d’habitude c’était le rôle de monsieur Michel leur vieux voisin veuf, le brave homme partait chez ses enfants à la même période. Il faut dire que nos amis habitait une très belle maison avec piscine, grand jardin, dans un petit village sympathique, cela nous changeait de notre appartement en ville, nous avons accepté avec joie, nous étions libres, retraités tous les 2 depuis peu.
On n’a pas vu le temps passé, cela faisait une semaine que nous étions chez nos amis, on profitait pleinement de la piscine, du jardin, en plus il faisait un temps magnifique, je ne sais pas ce qui m’a pris en ce samedi après-midi, un peu par bravade sans doute, je propose à ma femme d’aller se baigner tout nu et s’en attendre sa réponse, sachant qu’elle allait probablement refuser, j’ai retiré, teeshirt, short et slip, j’étais à poil sur la terrasse, je vous cache pas que j’y pensais depuis un moment, en plus personne pouvait me voir, mis à part le voisin, mais comme il était absent, pourquoi pas en profiter.
Je suis rentré dans la piscine, l’eau était chaude, jeune je m’étais déjà baigné nu, je me souvenais plus du plaisir que cela procurait, c’était divin, je faisais quelque brasses, c’était une petite piscine mais on pouvait nager un peu. Un moment je me retourne et là incroyable Françoise toute nue, qui venait barboter avec moi, je n’en revenais pas, comme 2 adolescents nous avons chahuté dans l’eau, les mains carrément baladeuses, je vous cacherais pas que mon sexe était triomphant, un moment ma femme était de dos, je m’étais collé à elle, mon sexe tendu contre ses fesses, elle se frottait, et là à ma grande surprise car elle avait pas l’habitude de prendre l’initiative, elle m’a proposé d’aller faire l’amour sur la pelouse, croyez-moi elle ne l’a pas répété 2 fois.
Nous avions installé à la hâte nos serviettes de bain sur l’herbe, Françoise s’était allongé sur le dos, j’ai commencé par l’embrasser, lui rouler les testons entre 2 doigts, étant très sensible des seins, ils se sont vites dressés, ma bouche a remplacé les doigts, elle a commencé à gémir, j’allais d’un teston à l’autre, ma main est descendu vers son entre-jambe, instinctivement elle a largement écarté ses cuisses ça m’a facilité la tâche, j’ai vite trouvé son clitoris, je l’ai caressé, j’ai délaissé sa poitrine, tout en descendent doucement, ma langue a léché son ventre, son nombril, elle gémissait de plus en plus, ensuite ma bouche est descendue entre ses cuisses, mes lèvres ont remplacé mon doigt, j’ai aspiré son petit clito, elle se laissait aller, en même temps je doigtais son vagin ruisselant, 1doigt puis 2 puis 3, son plaisir était intense, son corps se tordait de plaisir, elle poussait des petits cris, je me suis placé au-dessus tête bèche, j’ai littéralement dévoré sa chatte, elle mouillait abondamment, de son côté elle me caressait les fesses, un moment elle a tiré mon sexe tendu en arrière, a commencé à me masturber, j’étais aux anges, l’étonnement a été à son paroxysme quand elle m’a pris ma verge en bouche, elle déteste la fellation, là elle m’offrait ce cadeau , décidemment je sais pas si c’était le faite de faire l’amour tout nu dans un jardin, rompre les habitudes, elle me surprenait et j’étais pas au bout de mes surprises.
Nous avons changé de position, elle s’est mise a 4 pattes, oui c’est elle qui prenait l’initiative maintenant, à marquer dans les annales, sexuellement elle a toujours été passive, avec délice, je l’ai pénétré, je variais le rythme du va et vient, parfois en douceur, parfois avec vigueur, ça claquait ses fesses, elle commençait a me parler crûment, je faisais de même, on était comme fou, sans retenu, elle a passé la main dans son dos, a pris mon sexe et la présenté devant son petit trou, on s’adonnait très rarement à la sodomie, mais là c’était vraiment son désir pour quelle le sollicite elle-même et je vous raconte pas ce qu’elle me disait pour m’encourager, c’était d’une vulgarité terriblement excitante, franchement je l’avais jamais vu comme ça.
Françoise a voulu de nouveau changer de position, elle m’a fait allonger sur le dos, est venu a califourchon sur moi, s’est empaler sur ma bite, elle donnait des coups de reins, elle recherchait elle-même son plaisir, elle dominait la situation, son visage était crispé, elle criait, se pinçait les lèvres, je pouvais plus retarder l’échéance je l’ai prévenu que j’allais éjaculer, elle a redoublé d’ardeur, et chose incroyable de mémoire on avait jamais vraiment réussi à jouir en même temps, mais là ce fut le cas on a pris notre pied ensemble, difficile d’expliquer par des mots le ressenti à ce moment précis, si peut être tout simplement l’extase.
Je venais a peine de me remettre de mon émotion, Françoise était toujours sur moi, nous reprenions notre souffle, machinalement je regarde du côté de la maison du voisin, stupeur monsieur Michel était la sur sa terrasse surélevée, il nous regardait, ma femme voyant ma tête effarée se retourne, sa réaction fut immédiate, elle s’est levée d’un bond, est parti en courant dans la maison, le voisin m’a souri et comme pour donner son approbation il a levé le pouce, du coup malgré la gêne, j’ai souri aussi, je me suis levé tranquillement, j’avais plus rien à cacher, je suis allé rejoindre ma douce.
Ma femme avait honte, elle voulait plus sortir, le voir encore moins, comme je devais lui porter son courrier, le jour suivant j’y suis allé, j’avoue que j’en menais pas large, il m’a accueilli chaleureusement, il s’est excusé d’être rentré plus tôt que prévu, mais ma remercier du spectacle offert, mais sur le ton de la plaisanterie, je lui ai demandé s’il était là depuis longtemps, il avait tout vu depuis le début, la baignade, les ébats, il m’a avoué avec nostalgie qu’avec son épouse il avait aussi batifolé dans le jardin. Quand je lui ai dit que ma femme était très honteuse, il m’a rétorqué qu’elle pouvait compter sur sa discrétion.
Il est venu nous voir 2 jours après, il a su de suite mettre ma femme à l’aise, tout c’est fini dans un grand éclat de rire.
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