NE JAMAIS SE FIER AUX APPARENCES - histoire érotique

NE JAMAIS SE FIER AUX APPARENCES
Jeudi soir je reçois un coup de téléphone de Michel, Il est à la fois mon ami mais aussi notre capitaine émérite de notre équipe de golf, il a une énergie folle comptant pas son temps pour manager et diriger une équipe de séniors râleurs, chambreurs, mais son autorité naturelle doublé d’une gentillesse incroyable, tous les membres du club l’apprécient et le respecte. Je le sens vraiment contrarié car il a un gros souci défectif pour participer à une Compétition importante qui se déroule dans la région bordelaise ce Week end, plusieurs joueurs ont déclaré forfait, il me demande si je peux le dépanner au pied levé et venir faire le bouche trou, il me confie qu’il est conscient que de me prévenir 24 heures avant ce n’est pas évident, je lui rétorque qu’il va falloir convaincre mon épouse de me laisser partir, le seul avantage en notre faveur, Michel est très apprécié par ma femme, elle va sans doute râler, mais par pure amitié elle devrait accepter. Je dis a mon ami que je le rappelle dans la demi-heure qui suit, il espère une réponse affirmative.

Ouf la négociation n’a pas été facile mais ma douce s’est laissée convaincre que je l’abandonne pour un week-end, j’en fais part à Michel, bien sûr il est ravi de la bonne nouvelle, mais dans la foulée il m’annonce, non sans gêne, que je devrais faire équipe avec Louis, à ce moment-là je dois vous avouer que j’accuse le coup, je vous brosse le portrait de cet homme, il a la soixantaine comme moi, physiquement c’est un grand gaillard, il culmine à 195 cm, assez bedonnant, cheveux blancs très courts, visage plutôt carré, pour se faire une petite idée, pour le caricaturer imaginez un militaire de carrière baroudeur, son physique impressionne, malgré ça il parait qu’il a son petit succès auprès de la gente féminine, sauf sur les golfeuses du club qui n’apprécient pas du tout ses blagues misogynes et salaces. C’est aussi un homophobe convaincu, traiter les gens qu’il n'apprécie pas de pédérastes, pour lui c’est l’injure suprême. Autre problème il est très mauvais joueur, tous ses adversaires se plaignent de son comportement lors des compètes, cela crée des tensions, un parcours dure au minimum 4 heures pas évident à supporter. Malgré ce portrait vraiment peu flatteur il a aussi des qualités, il est avant tout très serviable, le cœur sur la main n’hésitant pas à faire des centaines de kms pour dépanner un ami dans le besoin, pour notre sport c’est un golfeur redoutable titulaire permanent de l’équipe sénior de compétition.

Je sens que Michel a autre chose a m’annoncer de désagréable, il me dit non seulement tu devras partager la chambre d’hôtel avec lui, par souci d’économie et de manque de place, comme il est aussi en panne de voiture tu feras du covoiturage pour aller là-bas, pour être honnête a ce moment précis je regrette d’avoir accepté ce remplacement mais je pouvais plus me désister ma parole étant donnée. Pour finir comme un malheur n'arrive jamais seul lors de la compète je devrais faire un double avec Louis, pour me faire avaler la pilule, Michel me dit tu es le seul qui arrive a le canaliser, là je reconnais qu’il n'a pas tort, je me suis aperçu que j’avais de l’ascendance sur lui, nous avions déjà joué ensemble j’avais su le détendre, la partie avait été fort agréable, même nos adversaires qui le connaissait bien mon remercié, il ne l’avait jamais vu comme ça.

Le voyage en voiture s’est extrêmement bien passé, j’ai découvert Louis sur un jour nouveau, surpris par sa culture générale nous avons abordé de multiples sujets le long du trajet, ayant des connaissances sur tout, le feeling était entrain de passer entre nous, j’appréhendais beaucoup moins le week-end qui s’annonçait.

On a de la chance, notre chambre d’hôtel est assez spacieuse, dans l’entrée sur la droite un dressing avec des glaces en guise de porte, à gauche la salle de bain, grande douche à l’italienne, des wc séparés, 2 lits individuels assez larges séparés par une table de nuit et notre grande fenêtre donne sur une vue magnifique de la nature environnante. Nous avons une bonne heure devant nous avant de retrouver toute l’équipe pour un apéritif avant de diner.

Louis me demande s’il peut aller prendre sa douche en 1er, je lui dit pas de souci, juste a ce moment-là mon portable sonne, mon épouse est au bout du fil, je vois que mon partenaire commence a se dévêtir, j’ai l’impression qui l’est un peu gêné, il prend son temps, je suis assis sur le fauteuil de la chambre, il est en face de moi, du côté de son lit, je fais comme si de rien n’était, lui continu son effeuillage, le voilà torse nu assez velu , j’ai l’intuition qu’il est troublé de faire ça, je ne le sens pas à l’aise, il n’ose pas me regarder, de mon côté j’en perd pas une miette, la situation me laisse pas indiffèrent, je continue la conversation avec ma femme, il dégrafe son pantalon, le voilà en boxer, très moulant d’ailleurs, j’ai du mal a suivre le dialogue de ma douce, je me demande s’il va baisser son boxer devant moi, nos regards se croisent, j’ai le doute il a peut être vu que je le matais, je m’attend qu’il file dans la salle de bain, le temps me parait long tout à coup, il cherche quelque chose dans ses affaires, c’est pas possible il fait durer le plaisir ou il a le trac de s’exhiber, j’imagine que cela doit pas être évident de faire ça, il baisse tout a coup son sous-vêtements, son sexe apparait, je suis surpris, louis est assez poilu sur le corps, mais son sexe est tout lisse, il a une verge plutôt épaisse, pas très longue, mais des bourses conséquentes, je ne m’attendais pas à ça, j’avoue que ce n’est pas pour me déplaire, il se dirige vers la salle d’eau, j’en profite pour admirer ses fesses biens dodues, il ferme pas la porte, je me lève du fauteuil, je m’aperçois que je peux le voir sous la douche dans le reflet des portes en glace du dressing, il se savonne le corps, il insiste surtout sur son sexe, il y trouve sans aucun doute beaucoup de plaisir, sa verge est tendue , je ne vous cache pas que cette vision ne me laisse pas indifférent, je dois vous faire une confidence ou vous aviez devinés, je suis bisexuel, pas depuis longtemps certe, je garde ca pour moi , d’ailleurs le comportement de mon partenaire me donne des doutes, est-ce qu’il aurait deviné mon jardin secret , d’ailleurs j’ai à son égard les même pensées, la situation est déstabilisante, si Louis aime les hommes, jusqu’à là il a bien brouillé les pistes. Il se rince, je me rassois dans le fauteuil comme si de rien était.

Il sort de la salle de bain une serviette autour de la taille, il me dit je te laisse la place, a mon tour de me dévêtir, lui allongé sur son lit il regarde ses messages sur son tel, mais je sais qu’il me matte en douce, je trouve ça jubilatoire, je fais exprès de prendre mon temps, il me reste que mon slip a baisser, sauf que de faire ce Streep, je bande, la impossible de lui cacher mon excitation, je le retire, il est concentré sur son portable, mais je ne suis pas dupe, il a vu, je m’éclipse dans la salle de bain, la verge bien tendue, j’espère qu’il assiste à ma douche avec la complicité de la glace.

Quand je rentre dans la chambre la surprise est totale, Louis est sur son lit tout nu, il se masturbe d’une main, se titille un teston de l’autre, je reste figé, machinalement je dénoue la serviette autour de ma taille, elle tombe au sol, je ne suis pas encore en érection, je m’approche, mon partenaire est crispé, je me penche je suce un de ses testons, je pose ma main sur son sexe tendu, je le décalotte doucement, je masse ses grosses couilles, il gémit, son souffle est court, ma bouche descend sur son ventre velu, je lèche tout le long de sa tige, je le suce, je prends l’initiative de me mettre en 69 , je le chevauche, il grogne de plaisir, je m’y attendais pas il m’écarte les fesses et me lèche la raie, l’anus, c’est divin, il tire ma bite en arrière et il me suce a son tour, nous nous sommes donnés du plaisir dans différentes positions, nous nous sommes doigtés, nos corps ont exultés, nous avons joui pratiquement ensemble, on a dû reprendre une douche ensemble cette fois si , nous sommes arrivés les derniers pour l’apéritif.

Apres la 1ere journée de compétition ou nous avons brillamment remporté notre double, j’ai profité de l’intimité de notre chambre pour lui poser des questions qui me brulait les lèvres, je voulais savoir depuis quand qu’il était bi et surtout pourquoi il a pris le risque de dévoiler sa tendance avec moi, j’aurais pu mal le prendre, me braquer, j’ai vu son visage se décomposé et devenir triste, il m’a raconté qu’a 16 ans, il trainait avec des garçons un peu plus âgés que lui, pour rire il lui avait fait une mise a l’aire, en profiter pour le tripoter, masturber, doigté et pour finir ils s’étaient branlés jusqu’à gicler sur ses fesses dénudées, il avait été terriblement vexé, humilié, mais malgré la honte ce qu’il a eu le plus de mal a accepté, c'est le plaisir qu’il avait ressenti à subir ça. Pendant des années il a caché ses turpitudes, se faisant passer pour un homophobe patenté de peur que quelqu’un devine sa bisexualité. En ce qui me concerne il était sûr de rien, juste une intuition, mais il savait que j’étais un homme discret et respectueux, puis quand il s’était mis tout nu devant moi, il avait remarqué que je n’étais pas insensible, mon érection quand je me suis déshabillé à mon tour l’avait conforté.

On se préparait pour aller diner avec les copains, Louis m'a demandé une faveur, de réaliser un de ses grands fantasmes, il désirait que je le pénètre en revenant de la soirée, je l’ai honoré, encore un merveilleux moment.

Décidemment ce week-end m’a réservé bien des surprises