Le pèlerinage (1ère partie): A la mémoire de Maurice
Récit érotique écrit par Christiankiki6 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le pèlerinage (1ère partie): A la mémoire de Maurice
Depuis douze ans maintenant, Marie-Jeanne ne manque jamais le voyage annuel des
Rameaux, à Avranches, au sud de la Normandie pour honorer ses morts. Elle avait tenu à
respecter le vœu de Maurice, son mari, d'être enterré là-bas, en compagnie de ses
parents, même si elle même souhaitait être enterrée à Dieppe, avec ses parents à elle.
Sa fille la conduit habituellement, mais dès le deuxième anniversaire de sa
disparition, il se trouva qu'elle ne put effectuer ce voyage. Le temps de parcours
aller et retour, sept heures en tout, augmenté du temps pour manger, se retrouver en
famille et la visite au cimetière nous obligeait quasiment à passer une nuit sur
place. C'est ma femme elle même qui me proposa de la conduire, d'autant que Marie-
Jeanne offrait de prendre les frais d'hôtel et de restaurant à sa charge. Je refusai
qu'elle paye aussi l'essence, car cela me faisait après tout une belle balade de deux
jours.
Nous voilà donc partis tous les deux, en amoureux, si l'on peut dire, car
elle n'avait pas voulu que son fils nous accompagne. Je dois dire qu'elle avait un peu
honte de son comportement parfois bizarres. Rouen, Lisieux, Caen, passèrent avant de
se s'arrêter à Vire pour déjeuner le midi. Repas sympa, très peu arrosé comme
toujours, et quelques kilomètres après être repartis, une pause repos bien méritée,
près d'une vieille maison de garde forestier délabrée. Le temps de mettre les sièges
en position couchette, nous étions déjà dans les bras l'un de l'autre. C'était déjà la
mi-avril, mais Pâques tombait tard en effet, cette année là, et il faisait très beau
ce jeudi (nous avions évité le week-end à cause de la circulation).
Sobrement vêtue d'un tailleur beige et d'un chemisier en soie bleu clair
largement échancré, elle supportait mal ces toutes premières chaleurs, et profita de
notre isolement pour dégrafer sa jupe, et déboutonner son chemisier, mettant presque à
nu ses seins généreux. "Te rends-tu compte, Marie-Jeanne, dans quelle état tu es,
alors que nous allons honorer la mémoire de Maurice, et de ses parents"?, lui dis-je
dans un large sourire complice. Elle me regarda d'un œil étonné, avant de me répondre,
de manière surprenante: "Tu parles, pour ce qu'il s'est intéressé à moi, de son
vivant, tout comme ses parents d'ailleurs. C'est surtout une question de convenance,
pour le qu'en dira t'on, que je fais ce pèlerinage". La messe était dite, et nous
continuâmes à répandre nos ébats amoureux sur les banquettes de la voiture, avant un
petit somme réparateur.
Marie-Jeanne décida que nous irions voir la famille le lendemain matin,
après la visite au cimetière, et c'est un peu avant le coucher du soleil que nous
arrivâmes à notre hôtel, où nous primes nos aises, après une bonne toilette. Elle
avait revêtu une petite laine par dessus sa nuisette car la chambre était un peu
fraiche, tandis que je restai vautré nu sur le lit. "Chéri, j'ai envie que tu me baise
maintenant, là, sur le lavabo"!. Je lui indiquai que j'avais pensé plutôt faire çà
après manger, mais que c'est elle qui commandait, et déjà, elle était au pied du
lavabo en céramique violine, attendant que je la prenne dans mes bras pour la faire
s'asseoir dessus, jambes écartées. Je la doigtai longuement, lubrifiant son vagin au
fur et à mesure avec de la vaseline, et m'apprêtai à commencer de la pénétrer lorsque
qu'elle me mit dans les mains un sextoy, sorti de je ne sais où. "Fais moi plaisir,
mon chéri, excite moi avec çà", dit-elle en mettant en marche l'élégant vibromasseur
lumineux, "je l'ai reçu hier, je l'ai essayé, mais j'ai pas beaucoup de sensations
avec". Je me mis donc en devoir de lui faire découvrir le plaisir vaginal avec son
appareil, en insistant bien sur la partie supérieure à l'entrée, et sur son clitoris
avant de lui imprimer des va-et-vient, tranquillement d'abord, puis de plus en plus
rapides, qui commencèrent à la faire se contorsionner juste avant un bref mais intense
orgasme...
"Mon amour, tu veux bien essayer aussi par derrière", demanda t'elle quand
elle fut un peu calmée. Je l'avais déjà sodomisée quelquefois, et elle avait apprécié,
même si elle reconnaissait que c'était plus jouissif par devant. Moi, au contraire,
j'en arrivais parfois à préférer, avec elle, le plaisir anal, car mon pénis restait
bien bloqué dans cet étui étroit, alors que son vagin était beaucoup plus distendu
avec l'âge.. J'enduisis le vibro avec un peu de vaseline, le fit pénétrer doucement,
avec précision, pour ne pas blesser son ampoule rectale, que je ne pouvais forcément
pas ressentir avec un tel engin, et puis, quand la voie fut bien glissante, je
recommençai mes petites manouvres, qui lui donnèrent un plaisir plus fort qu'avec mon
membre. "Tu vois Marie, c'est bien quand on est seul, mais en couple, on peut pas se
coller aussi facilement l'un contre l'autre avec çà". Tout en reprenant ses esprits,
dans mes bras, avant de se rhabiller, elle me susurra à l'oreille: "Attends, mon
amour, après manger, nous irons faire une petite promenade au clair de lune et ce
sera ton tour". Tandis qu'elle désinfectait soigneusement l'objet de son plaisir, je
devins tout à coup impatient de connaître la suite, admirant au passage sa résistance
après tous ces efforts, qu'elle vivait avec passion en oubliant son âge, mais ne dit
on pas qu'une pratique sexuelle régulière conserve, et entretient la forme.
Le repas fut un vrai régal, le plateau de fruits de mer surtout, ainsi que
la gratinée de Saint-Jacques, même si nous ne traînâmes pas à table. Le temps de nous
changer pour être plus à l'aise, enfilant juste un jogging sans rien d'autre, pour ma
part, et elle juste une culote en plus du sien, nous voilà partis pour un tour des
remparts au clair de lune. Un modeste éclairage blafard éclairait çà et la le sentier,
laissant dans l'ombre de nombreux buissons, propices à des jeux amoureux en toute
discrétion. Au bout de quelques centaines de mètres, nous primes un peu de repos sur
un banc de jardin public à dossier, commençant à nous embrasser et nous tripoter
fougueusement, avant qu'elle ouvre mon haut de jogging et fasse glisser le bas sur
l'herbe. Restant assise, elle me fit m'allonger sur ses genoux, commença à enduire le
vibro de vaseline, me massant également l'anus, avant d'ouvrir l'interrupteur. Sa
main tremblait sous l'effet des pulsions de l'engin, qu'elle régla à basse vitesse, et
elle commença à me masser avec, cherchant doucement, patiemment, à forcer l'entrée,
qui finit par s'ouvrir sans autre difficulté qu'un petit son à peine audible de ma
voix.
La pénétration, en elle même était en effet tout-à-fait jouissive. Je
connaissais déjà, bien sur, j'en possédais un moi-même, et avait également eu des
expériences homosexuelles, mais là, ce fut autre chose, un plaisir fort et puissant au
fond de mon anus, qu'elle encourageait par des caresses sur mes seins, de sa main
libre, ainsi que des jeux de langues. La "séance" dura bien dix minutes, le vibro
ralentissant et accélérant au gré de ma maîtresse, et des mouvements d'aller et retour
de l'objet au fond de moi, jusqu'à ce que je me sentes sur un nuage tout à coup. C'est
quelque minutes plus tard que je pris conscience que j'avais frôlé l'évanouissement,
de bonheur. Tellement j'avais été sous le charme, j'avais bandé, certes, mais n'avait
pas joui, et c'est avec une fellation complète qu'elle acheva son heureux esclave.
"Mon chéri, je suis fatiguée tout à coup, je n'en peux plus, rentrons nous coucher, si
tu veux". Je n'en souhaitait pas plus, j'avais été comblé de plaisir, sous la lune
complice, et je me sentais épuisé, moi aussi. Le sommeil nous gagna comme une masse,
tendrement enlacés.
Rameaux, à Avranches, au sud de la Normandie pour honorer ses morts. Elle avait tenu à
respecter le vœu de Maurice, son mari, d'être enterré là-bas, en compagnie de ses
parents, même si elle même souhaitait être enterrée à Dieppe, avec ses parents à elle.
Sa fille la conduit habituellement, mais dès le deuxième anniversaire de sa
disparition, il se trouva qu'elle ne put effectuer ce voyage. Le temps de parcours
aller et retour, sept heures en tout, augmenté du temps pour manger, se retrouver en
famille et la visite au cimetière nous obligeait quasiment à passer une nuit sur
place. C'est ma femme elle même qui me proposa de la conduire, d'autant que Marie-
Jeanne offrait de prendre les frais d'hôtel et de restaurant à sa charge. Je refusai
qu'elle paye aussi l'essence, car cela me faisait après tout une belle balade de deux
jours.
Nous voilà donc partis tous les deux, en amoureux, si l'on peut dire, car
elle n'avait pas voulu que son fils nous accompagne. Je dois dire qu'elle avait un peu
honte de son comportement parfois bizarres. Rouen, Lisieux, Caen, passèrent avant de
se s'arrêter à Vire pour déjeuner le midi. Repas sympa, très peu arrosé comme
toujours, et quelques kilomètres après être repartis, une pause repos bien méritée,
près d'une vieille maison de garde forestier délabrée. Le temps de mettre les sièges
en position couchette, nous étions déjà dans les bras l'un de l'autre. C'était déjà la
mi-avril, mais Pâques tombait tard en effet, cette année là, et il faisait très beau
ce jeudi (nous avions évité le week-end à cause de la circulation).
Sobrement vêtue d'un tailleur beige et d'un chemisier en soie bleu clair
largement échancré, elle supportait mal ces toutes premières chaleurs, et profita de
notre isolement pour dégrafer sa jupe, et déboutonner son chemisier, mettant presque à
nu ses seins généreux. "Te rends-tu compte, Marie-Jeanne, dans quelle état tu es,
alors que nous allons honorer la mémoire de Maurice, et de ses parents"?, lui dis-je
dans un large sourire complice. Elle me regarda d'un œil étonné, avant de me répondre,
de manière surprenante: "Tu parles, pour ce qu'il s'est intéressé à moi, de son
vivant, tout comme ses parents d'ailleurs. C'est surtout une question de convenance,
pour le qu'en dira t'on, que je fais ce pèlerinage". La messe était dite, et nous
continuâmes à répandre nos ébats amoureux sur les banquettes de la voiture, avant un
petit somme réparateur.
Marie-Jeanne décida que nous irions voir la famille le lendemain matin,
après la visite au cimetière, et c'est un peu avant le coucher du soleil que nous
arrivâmes à notre hôtel, où nous primes nos aises, après une bonne toilette. Elle
avait revêtu une petite laine par dessus sa nuisette car la chambre était un peu
fraiche, tandis que je restai vautré nu sur le lit. "Chéri, j'ai envie que tu me baise
maintenant, là, sur le lavabo"!. Je lui indiquai que j'avais pensé plutôt faire çà
après manger, mais que c'est elle qui commandait, et déjà, elle était au pied du
lavabo en céramique violine, attendant que je la prenne dans mes bras pour la faire
s'asseoir dessus, jambes écartées. Je la doigtai longuement, lubrifiant son vagin au
fur et à mesure avec de la vaseline, et m'apprêtai à commencer de la pénétrer lorsque
qu'elle me mit dans les mains un sextoy, sorti de je ne sais où. "Fais moi plaisir,
mon chéri, excite moi avec çà", dit-elle en mettant en marche l'élégant vibromasseur
lumineux, "je l'ai reçu hier, je l'ai essayé, mais j'ai pas beaucoup de sensations
avec". Je me mis donc en devoir de lui faire découvrir le plaisir vaginal avec son
appareil, en insistant bien sur la partie supérieure à l'entrée, et sur son clitoris
avant de lui imprimer des va-et-vient, tranquillement d'abord, puis de plus en plus
rapides, qui commencèrent à la faire se contorsionner juste avant un bref mais intense
orgasme...
"Mon amour, tu veux bien essayer aussi par derrière", demanda t'elle quand
elle fut un peu calmée. Je l'avais déjà sodomisée quelquefois, et elle avait apprécié,
même si elle reconnaissait que c'était plus jouissif par devant. Moi, au contraire,
j'en arrivais parfois à préférer, avec elle, le plaisir anal, car mon pénis restait
bien bloqué dans cet étui étroit, alors que son vagin était beaucoup plus distendu
avec l'âge.. J'enduisis le vibro avec un peu de vaseline, le fit pénétrer doucement,
avec précision, pour ne pas blesser son ampoule rectale, que je ne pouvais forcément
pas ressentir avec un tel engin, et puis, quand la voie fut bien glissante, je
recommençai mes petites manouvres, qui lui donnèrent un plaisir plus fort qu'avec mon
membre. "Tu vois Marie, c'est bien quand on est seul, mais en couple, on peut pas se
coller aussi facilement l'un contre l'autre avec çà". Tout en reprenant ses esprits,
dans mes bras, avant de se rhabiller, elle me susurra à l'oreille: "Attends, mon
amour, après manger, nous irons faire une petite promenade au clair de lune et ce
sera ton tour". Tandis qu'elle désinfectait soigneusement l'objet de son plaisir, je
devins tout à coup impatient de connaître la suite, admirant au passage sa résistance
après tous ces efforts, qu'elle vivait avec passion en oubliant son âge, mais ne dit
on pas qu'une pratique sexuelle régulière conserve, et entretient la forme.
Le repas fut un vrai régal, le plateau de fruits de mer surtout, ainsi que
la gratinée de Saint-Jacques, même si nous ne traînâmes pas à table. Le temps de nous
changer pour être plus à l'aise, enfilant juste un jogging sans rien d'autre, pour ma
part, et elle juste une culote en plus du sien, nous voilà partis pour un tour des
remparts au clair de lune. Un modeste éclairage blafard éclairait çà et la le sentier,
laissant dans l'ombre de nombreux buissons, propices à des jeux amoureux en toute
discrétion. Au bout de quelques centaines de mètres, nous primes un peu de repos sur
un banc de jardin public à dossier, commençant à nous embrasser et nous tripoter
fougueusement, avant qu'elle ouvre mon haut de jogging et fasse glisser le bas sur
l'herbe. Restant assise, elle me fit m'allonger sur ses genoux, commença à enduire le
vibro de vaseline, me massant également l'anus, avant d'ouvrir l'interrupteur. Sa
main tremblait sous l'effet des pulsions de l'engin, qu'elle régla à basse vitesse, et
elle commença à me masser avec, cherchant doucement, patiemment, à forcer l'entrée,
qui finit par s'ouvrir sans autre difficulté qu'un petit son à peine audible de ma
voix.
La pénétration, en elle même était en effet tout-à-fait jouissive. Je
connaissais déjà, bien sur, j'en possédais un moi-même, et avait également eu des
expériences homosexuelles, mais là, ce fut autre chose, un plaisir fort et puissant au
fond de mon anus, qu'elle encourageait par des caresses sur mes seins, de sa main
libre, ainsi que des jeux de langues. La "séance" dura bien dix minutes, le vibro
ralentissant et accélérant au gré de ma maîtresse, et des mouvements d'aller et retour
de l'objet au fond de moi, jusqu'à ce que je me sentes sur un nuage tout à coup. C'est
quelque minutes plus tard que je pris conscience que j'avais frôlé l'évanouissement,
de bonheur. Tellement j'avais été sous le charme, j'avais bandé, certes, mais n'avait
pas joui, et c'est avec une fellation complète qu'elle acheva son heureux esclave.
"Mon chéri, je suis fatiguée tout à coup, je n'en peux plus, rentrons nous coucher, si
tu veux". Je n'en souhaitait pas plus, j'avais été comblé de plaisir, sous la lune
complice, et je me sentais épuisé, moi aussi. Le sommeil nous gagna comme une masse,
tendrement enlacés.
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