Le plaisir de la piscine.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alainylon ont reçu un total de 1 925 407 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 917 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le plaisir de la piscine.
Une fois n’est pas coutume, mon frère venait de me passer un coup de fil, s’invitant avec sa petite famille à prendre le café chez moi. Et bien sûr, profiter, une fois n’est pas coutume, de la piscine.
À l’heure dite, il a débarqué, comme convenu avec sa petite famille. Comme c’était prévisible, comme il faisait beau, le frangin me demanda l’autorisation de se baigner. l’accord donné, accompagné de son épouse et de ses deux enfants, ils sont allés se changer. comme par hasard ils avaient tous leur maillot de bain.
Sitôt revenus, ils ont envahi la piscine. J’ai profité de l’instant avec ma femme de ranger la table. Une envie pressante m’a envoyé du côté de la salle de bain. C’est alors que mon regard se porta sur le tas de vêtements posé à-même sur la machine à laver et le sèche linge. Très vite l’instinct de renifleur m’envoya à suspecter du côté du tas de vêtements de ma belle-sœur. Que je reconnu grâce au tee-shirt qu’elle portait pendant le café. Et très vite je trouvais ce que je cherchais, une petite culotte noire, enroulée sur elle-même. Que je ne tardais pas à dérouler pour l’approcher de mes narines. Un geste que j’affectionne depuis des années.
Une forte odeur de ses s’en est dégagée. J’ai enfoui mon nez dans le nylon, et j’ai humé bruyamment, emplissant mes narines des arômes du sexe de ma belle-sœur, mais aussi de son anus, qu’elle avait tamponné sur son slip.
Le soir dans mon lit, j’ai repensé à l’instant. Et cela m’a donné une idée. Celle de profiter de cette piscine pour nourrir ma passion de renifleur de culottes portées.
Et ça, dès le week-end suivant, j’ai invité pour cela un collègue et sa femme à venir passer la journée dans le jardin. Et comme il faisait chaud, il était facile pour moi de les inviter à profiter de la piscine. Bien sûr comme ils n’avaient pas de maillot, avec ma femme nous leur en avaient proposé. J’ai profité qu’ils barbotent dans la piscine pour aller rejoindre la salle de bain. Tremblant d’excitation, j’ai enfilé la petite dentelle jaune pisse en guise de couvre-chef. L’empiècement poisseux a couvert mes narines et ma bouche. Un vrai régal ! J’ai bandé. La coquine l’avait copieusement mouillé. J’ai passé un bon moment à la lécher. Cela m’a mit dans un tel état que j’ai baisé ma femme le soir même.
Quelques jours plus tard, ma femme m’a confié son envie de faire venir ses collègues de travail pour leur faire profiter de la piscine. Vous pensez bien que j’ai accepté, je me suis même proposé à être le serveur.
Je connaissais deux femmes dans le groupe. Une belle Martiniquaise, qui portait ce jour-là une jupe en jean. Un moyen comme un autre de repère. Et Corinne, la cheffe de service. Vêtue elle d’une jupe en cuir.
J’ai une fois encore attendu que tous ce beau monde patauge pour filer à l’intérieur. J’ai trouvé ce que je cherchais toujours dans la salle de bain. Des petits tas de fringues soigneusement disposés sur les machines. J’ai tout de suite reconnu la jupe en jean de la belle Martiniquaise. Sa culotte était de couleur rouge. Je l’ai porté à mon nez et j’ai aspiré de longues bouffés comme pour m’enivrer des relents malodorants que dégageait la lingerie. Une bonne odeur de chatte pas bien essuyée.
Puis mon regard a été attiré par la jupe en cuir. Juste en dessous, se tenait une culotte de nylon de couleur chair. Je l’ai enfilé sur ma main, avant de la porter la partie souillée sous mes narines en inhalant les effluves. L’odeur dense épicée, m’a envahi. Ce fut avec ces deux trophées en main que je me suis masturbé. La queue dans mon masturbateur à ventouse, en les reniflant par alternance.
Je me suis permis de garder celle de la jolie Martiniquaise. D’ailleurs je ne l’ai pas entendu se plaindre de sa disparition.
Comme la fois suivante, une fois dans le lit, j’ai honoré ma femme, et je me suis fais sucer par mon épouse dans le noir alors que j’humais discrètement la culotte de sa collègue.
Un matin que j’étais en récupération j’ai reçu un appel de la fille du frère de ma femme qui a une vingtaine d’années. Elle m’a demandé si elle pouvait profiter de ma piscine. Mais qu’elle ne serait pas seule. Une amie l’accompagnée.
J’ai profité qu’elle étaient occupées à se baigner pour aller fouiner du côté de l’endroit où elles s’étaient changées. J’y ai trouvé la culotte de ma nièce. Toute la fourche était souillée par une bonne couche de sécrétion vaginale, blanchâtre comme du lait. Puis je me suis occupé de celle de sa copine, elle de coton blanc. L’empiècement était maculé par une couche épaisse de mouille. Je ne me suis pas gêner d’y poser mon tarin là où avait séjourner l’entrejambe. Une odeur iodée, capiteuse toute féminine s’en dégagée.
J’étais dans un tel état d’excitation que j’ai senti mon slip s’humidifier. Toutes ces odeurs de sexe de jeunes filles me donnaient des pensées malsaines. Mais aussi une trique d’enfer !
Mais au lieu de me branler pour faire retombé mon excitation, je me suis rendu au bord de la piscine. M’allongeant au soleil et j’ai fait mine de dormir.
C’est alors que les filles se sont approchées de moi.
-regarde son short, fit ma nièce à sa copine, il bande bien pour un vieux.
J’ai senti alors le frôlement de ses cheveux mouillés sur mes cuisses nues. S’est est suivi un baiser sur mon gland à travers le textile. Les deux filles avaient envie de tester des choses et de m’utiliser comme cobaye !
J’ai fait plus que jamais semblant de dormir. Et très vite les choses se sont empirées, encouragé sans doute par mon inaction. D’abord une langue chaude et humide, celle de ma nièce, goûtant mon sexe devant les yeux ébahis de sa copine. Je n’ai pas pu interdire à ma verge de devenir douloureuse. Elle m’a pris en bouche. Le va-et-vient de ses lèvres sur ma verge et ses coups de langue ont tout balayé. Elle n’était pas à son premier essai !
Elle m’a sucé avec une voracité obscène. Mais aussi, une habileté hors pair. Et tout cela devant les yeux témoins de sa copine. Qui fit tomber le bas de son maillot. Ceci fait, elle s’est placée à califourchon au-dessus de ma tête.
-mais qu’est-ce que tu fous ? Lui fit ma nièce.
-je ne sais pas, j’en ai grandement envie. Je me fou des retombées !
Elle a frotté sa fente contre mon nez, encourageant ma nièce de cesser la fellation pour s’alléger elle aussi du bas de son maillot. Puis de m’enjambé à son tour, plaçant astucieusement son sexe à hauteur du mien. Tenant ma queue par la base elle s’est fouillée la fente avec précaution, se branlant à l’aide de mon gland. À un moment, mon dard l’a pénétré jusqu’aux poils. Elle est demeurée un instant interdite, avant de se laisser tomber dessus, s’empalant sur ma queue et d’amorcer une chevauchée fantastique. Montant et descendant le long de ma verge luisante de mouille. Puis elle s’est laissée tomber sur la bain de soleil d’a côté pour laisser ma queue souillée à sa copine.
Celle-ci ne s’est pas fait prier pour me chevaucher à son tour. J’ai senti sa liqueur d’amour couler sur mon gland. Sa chatte à enserré fermement ma queue comme l’aurait fait une pucelle, avant d‘entamer de lents mouvement de hanche.
Puis elle a accéléré le rythme, au point que ses gémissements se sont transformés en hurlements de joie et de plaisir, jusqu’à être terrassée par l’orgasme.
Contente de leur initiative elles sont retournées se baigner. j’avais vraiment fini par m’endormir et par m’évader dans mon imagination !
Les deux filles étaient en train de batifoler dans l’eau, quand j’ai quitté mon bain de soleil. Sous les rires moqueurs des deux chipies, et des « ça va tonton », je me suis rendu dans la salle de bain pour jouir dans leurs culottes.
Elles méritaient bien cela…
À l’heure dite, il a débarqué, comme convenu avec sa petite famille. Comme c’était prévisible, comme il faisait beau, le frangin me demanda l’autorisation de se baigner. l’accord donné, accompagné de son épouse et de ses deux enfants, ils sont allés se changer. comme par hasard ils avaient tous leur maillot de bain.
Sitôt revenus, ils ont envahi la piscine. J’ai profité de l’instant avec ma femme de ranger la table. Une envie pressante m’a envoyé du côté de la salle de bain. C’est alors que mon regard se porta sur le tas de vêtements posé à-même sur la machine à laver et le sèche linge. Très vite l’instinct de renifleur m’envoya à suspecter du côté du tas de vêtements de ma belle-sœur. Que je reconnu grâce au tee-shirt qu’elle portait pendant le café. Et très vite je trouvais ce que je cherchais, une petite culotte noire, enroulée sur elle-même. Que je ne tardais pas à dérouler pour l’approcher de mes narines. Un geste que j’affectionne depuis des années.
Une forte odeur de ses s’en est dégagée. J’ai enfoui mon nez dans le nylon, et j’ai humé bruyamment, emplissant mes narines des arômes du sexe de ma belle-sœur, mais aussi de son anus, qu’elle avait tamponné sur son slip.
Le soir dans mon lit, j’ai repensé à l’instant. Et cela m’a donné une idée. Celle de profiter de cette piscine pour nourrir ma passion de renifleur de culottes portées.
Et ça, dès le week-end suivant, j’ai invité pour cela un collègue et sa femme à venir passer la journée dans le jardin. Et comme il faisait chaud, il était facile pour moi de les inviter à profiter de la piscine. Bien sûr comme ils n’avaient pas de maillot, avec ma femme nous leur en avaient proposé. J’ai profité qu’ils barbotent dans la piscine pour aller rejoindre la salle de bain. Tremblant d’excitation, j’ai enfilé la petite dentelle jaune pisse en guise de couvre-chef. L’empiècement poisseux a couvert mes narines et ma bouche. Un vrai régal ! J’ai bandé. La coquine l’avait copieusement mouillé. J’ai passé un bon moment à la lécher. Cela m’a mit dans un tel état que j’ai baisé ma femme le soir même.
Quelques jours plus tard, ma femme m’a confié son envie de faire venir ses collègues de travail pour leur faire profiter de la piscine. Vous pensez bien que j’ai accepté, je me suis même proposé à être le serveur.
Je connaissais deux femmes dans le groupe. Une belle Martiniquaise, qui portait ce jour-là une jupe en jean. Un moyen comme un autre de repère. Et Corinne, la cheffe de service. Vêtue elle d’une jupe en cuir.
J’ai une fois encore attendu que tous ce beau monde patauge pour filer à l’intérieur. J’ai trouvé ce que je cherchais toujours dans la salle de bain. Des petits tas de fringues soigneusement disposés sur les machines. J’ai tout de suite reconnu la jupe en jean de la belle Martiniquaise. Sa culotte était de couleur rouge. Je l’ai porté à mon nez et j’ai aspiré de longues bouffés comme pour m’enivrer des relents malodorants que dégageait la lingerie. Une bonne odeur de chatte pas bien essuyée.
Puis mon regard a été attiré par la jupe en cuir. Juste en dessous, se tenait une culotte de nylon de couleur chair. Je l’ai enfilé sur ma main, avant de la porter la partie souillée sous mes narines en inhalant les effluves. L’odeur dense épicée, m’a envahi. Ce fut avec ces deux trophées en main que je me suis masturbé. La queue dans mon masturbateur à ventouse, en les reniflant par alternance.
Je me suis permis de garder celle de la jolie Martiniquaise. D’ailleurs je ne l’ai pas entendu se plaindre de sa disparition.
Comme la fois suivante, une fois dans le lit, j’ai honoré ma femme, et je me suis fais sucer par mon épouse dans le noir alors que j’humais discrètement la culotte de sa collègue.
Un matin que j’étais en récupération j’ai reçu un appel de la fille du frère de ma femme qui a une vingtaine d’années. Elle m’a demandé si elle pouvait profiter de ma piscine. Mais qu’elle ne serait pas seule. Une amie l’accompagnée.
J’ai profité qu’elle étaient occupées à se baigner pour aller fouiner du côté de l’endroit où elles s’étaient changées. J’y ai trouvé la culotte de ma nièce. Toute la fourche était souillée par une bonne couche de sécrétion vaginale, blanchâtre comme du lait. Puis je me suis occupé de celle de sa copine, elle de coton blanc. L’empiècement était maculé par une couche épaisse de mouille. Je ne me suis pas gêner d’y poser mon tarin là où avait séjourner l’entrejambe. Une odeur iodée, capiteuse toute féminine s’en dégagée.
J’étais dans un tel état d’excitation que j’ai senti mon slip s’humidifier. Toutes ces odeurs de sexe de jeunes filles me donnaient des pensées malsaines. Mais aussi une trique d’enfer !
Mais au lieu de me branler pour faire retombé mon excitation, je me suis rendu au bord de la piscine. M’allongeant au soleil et j’ai fait mine de dormir.
C’est alors que les filles se sont approchées de moi.
-regarde son short, fit ma nièce à sa copine, il bande bien pour un vieux.
J’ai senti alors le frôlement de ses cheveux mouillés sur mes cuisses nues. S’est est suivi un baiser sur mon gland à travers le textile. Les deux filles avaient envie de tester des choses et de m’utiliser comme cobaye !
J’ai fait plus que jamais semblant de dormir. Et très vite les choses se sont empirées, encouragé sans doute par mon inaction. D’abord une langue chaude et humide, celle de ma nièce, goûtant mon sexe devant les yeux ébahis de sa copine. Je n’ai pas pu interdire à ma verge de devenir douloureuse. Elle m’a pris en bouche. Le va-et-vient de ses lèvres sur ma verge et ses coups de langue ont tout balayé. Elle n’était pas à son premier essai !
Elle m’a sucé avec une voracité obscène. Mais aussi, une habileté hors pair. Et tout cela devant les yeux témoins de sa copine. Qui fit tomber le bas de son maillot. Ceci fait, elle s’est placée à califourchon au-dessus de ma tête.
-mais qu’est-ce que tu fous ? Lui fit ma nièce.
-je ne sais pas, j’en ai grandement envie. Je me fou des retombées !
Elle a frotté sa fente contre mon nez, encourageant ma nièce de cesser la fellation pour s’alléger elle aussi du bas de son maillot. Puis de m’enjambé à son tour, plaçant astucieusement son sexe à hauteur du mien. Tenant ma queue par la base elle s’est fouillée la fente avec précaution, se branlant à l’aide de mon gland. À un moment, mon dard l’a pénétré jusqu’aux poils. Elle est demeurée un instant interdite, avant de se laisser tomber dessus, s’empalant sur ma queue et d’amorcer une chevauchée fantastique. Montant et descendant le long de ma verge luisante de mouille. Puis elle s’est laissée tomber sur la bain de soleil d’a côté pour laisser ma queue souillée à sa copine.
Celle-ci ne s’est pas fait prier pour me chevaucher à son tour. J’ai senti sa liqueur d’amour couler sur mon gland. Sa chatte à enserré fermement ma queue comme l’aurait fait une pucelle, avant d‘entamer de lents mouvement de hanche.
Puis elle a accéléré le rythme, au point que ses gémissements se sont transformés en hurlements de joie et de plaisir, jusqu’à être terrassée par l’orgasme.
Contente de leur initiative elles sont retournées se baigner. j’avais vraiment fini par m’endormir et par m’évader dans mon imagination !
Les deux filles étaient en train de batifoler dans l’eau, quand j’ai quitté mon bain de soleil. Sous les rires moqueurs des deux chipies, et des « ça va tonton », je me suis rendu dans la salle de bain pour jouir dans leurs culottes.
Elles méritaient bien cela…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alainylon
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...