Le premier harem ?
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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Le premier harem ?
Son visage s’approche du mien. Je lis dans ses yeux la flamme du désir. Nous sommes très serrés, s’en est presque gênant. Elle se colle encore plus, je ne peux plus cacher que je bande. J’en ai même mal à la bite. Notre rencontre sur les berges du lac nous a rapprochés. Notre envie réciproque ne se cache plus. Nous nous affalons sur l’herbe douce. Elle s’offre directement, pourtant nous ne nous connaissons que depuis quelques minutes. J’ai rarement pénétré un sexe aussi mouillé que le sien Elle se donne en entier. Ma queue entre dans sa moule, en ressort pour recommencer. Je veux vivre intensément le moment de la pénétration.
Elle se retire, je suis séparé. Elle prend ma queue, la dirige vers son autre endroit plus secret. Marine m’oblige presque à lui dépuceler l’autre entrée. Elle fait deux ou trois grimaces de légères douleurs avant de prendre son visage de femme comblée.
Un peu plus loin plus près du lac, son amie est en discussion serrée avec mon copain. Ils finissement comme nous, l’autre fille, Coline, cherche à faire l’amour. Elle est aussi chaude que Marine avec un je ne sais quoi de plus.
Notre séjour dans la montagne noire continu quelques jours. Que ce soit sous la tente, la nuit ou en plein air le jour, même si l’autre couple nous voit, nous aimons baiser. Elle est plus vicieuse que moi qui respecte les filles. Elle me demande toujours une sodomie, en prend vite l’habitude pour se masturber à la fois.
J’apprends que les deux filles se connaissent depuis toujours, que Marine est mariée à un anglais. Nous retournons à la civilisation à Toulouse. Marine me laisse seul. Le copain part vers de nouveaux horizons albigeois. Reste Coline que je vois de temps à autre. Elle est en contact fréquents avec Marine.
Après un restaurant je raccompagne Coline chez elle. Elle me fait monter. L’absence de son amant des vacances ne lui pèse pas trop. Je comprends qu’elle compense avec des caresses personnalisées. Mais une chose en entrainant une autre, nous nous trouvons dans le même lit. Je suis à ses cotés, elle se tourne vers moi, vient sur moi. Sans complexe elle prend ma queue la dirige vers sa chatte, elle la fait entrer en elle. Coline assure le service après vente en faisant des allers et retours qui s’amplifient.
Elle a un gros avantage sur sa camarade, elle manifeste son plaisir : en gémissant elle me griffe un peu le dos, change ma queue de place. Je ne lui dépucèle pas l’arrière train ; il est ouvert depuis longtemps ! Nous nous voyons de plus en plus. Chaque fois nous finissons au lit, chez elle le plus souvent, chez moi des fois. Chaque semaine elle reçoit Marine. Elle ne me fait aucun secret sur leur relation d’antan. Elles faisaient l’amour, elles continuent actuellement. Je revois ainsi Marine, nous baisons dès que nous pouvons.
Je ne fais aucune infidélité à Coline, Marine n’en fait aucune non plus depuis son divorce. L’ennui est que je me suis attaché à Marine la première et le temps passant également à Coline. Je les aime toutes les deux. Comment expliquer cette rareté. Quand je baise une je n’ai aucun remord. Elles baisent aussi bien.
C’est un soir que tout a dérapé. J’étais chez moi avec Marine quand Coline est entrée : bien sur elle nous a vus pendant une séance particulièrement chaude où, en 69 nous nous léchions. Elle a bondi vers nous, nous a embrassés sur ce qu’elle trouvait :
-Je vous aime tous les deux.
- Quoi ?
- Vous deux. Serrez vous pour me faire de la place, je veux jouir avec vous deux.
C’est un drôle d’aveu : qu’elle nous désire est une chose, qu’elle nous aime est différent. Notre 69 se désagrège, nous venons à une baise plus conforme. Seule grande différence est que je n’ai qu’une seule bite. Elles s’en arrangent fort bien. Coline vient sur moi, entre la queue un instant dans son con, fait des mouvements pour être bien excitée, elle sort de mon bas ventre pour venir sur ma bouche. Elle me donne son cul. Je commence, comme je peux à la lécher. Marine vient prendre la place sur la bite. Elle joue au petit cheval avec moi en montant allégrement sur moi.
Ces deux femmes me baisent calmement, elles s’embrassent en plus. Nos corps sont réunis pour le plaisir. Marine pose son doigt sur ma raie, entre mes fesses. Je sais d’avance ce qu’elle y cherche, ce n’est pas la première fois. Elle me caresse l’anus à sa façon : douce, calme, sans à-coup.
Elle y entre son doigt favori, je fais tourner lentement, le ressort pour recommencer en le mettant à fond. Involontairement mon cul réagit en se fermant et s’ouvrant : en un mot elle me fit du bien en plus de ce qu’elle me fait au bout de la pine, sur le gland. J’ai toujours l’autre cul sur la bouche, je fore l’anus avec ma langue. Coline geint son plaisir. Je crois qu’elle se masturbe aussi.
Quand je leur donne le plaisir, elles attendent le mien. Elles sont à l’affut : quand je gicle mon orgasme elles se disputent le jet : elle aime ma liqueur. Je sais que de toute façon à la fin elles s’embrasseront pour partager le sperme.
Si je suis vide pour un instant, elles savent comment s’aimer. Une première masturbation commune ouvre le bal. Elles se caressent à peu près partout, y compris les fesses. Elles savent glisser pour que leur poitrine se caresse un peu avant de venir poser les bouches sur les autres bouches du bas. Le spectacle est magnifique : ces deux filles qui se font l’amour devant moi m’excitent même si je ne peux pas bander encore. J’admire la dextérité des langues sur le sexe de l’autre ; Elles se font l’amour par amour, c’est visible. Elles ont sorti les godes pour se baiser. Je les vois manœuvrer les engins dans les vagins ouverts, trempés. Elles se baisent sans pudeur. Pour être plus à l’aise elles se remettent en 69. Je recommence à bander. Celle de dessus, je crois que c’est Coline me prend la queue la tire vers ses fesses. Je vais la sodomiser, même si elle a un gode dans le vagin, juste sous les yeux de l’autre fille que j’aime autant.
Qui sait c’est comme ça qu’est nait le premier harem ?
Elle se retire, je suis séparé. Elle prend ma queue, la dirige vers son autre endroit plus secret. Marine m’oblige presque à lui dépuceler l’autre entrée. Elle fait deux ou trois grimaces de légères douleurs avant de prendre son visage de femme comblée.
Un peu plus loin plus près du lac, son amie est en discussion serrée avec mon copain. Ils finissement comme nous, l’autre fille, Coline, cherche à faire l’amour. Elle est aussi chaude que Marine avec un je ne sais quoi de plus.
Notre séjour dans la montagne noire continu quelques jours. Que ce soit sous la tente, la nuit ou en plein air le jour, même si l’autre couple nous voit, nous aimons baiser. Elle est plus vicieuse que moi qui respecte les filles. Elle me demande toujours une sodomie, en prend vite l’habitude pour se masturber à la fois.
J’apprends que les deux filles se connaissent depuis toujours, que Marine est mariée à un anglais. Nous retournons à la civilisation à Toulouse. Marine me laisse seul. Le copain part vers de nouveaux horizons albigeois. Reste Coline que je vois de temps à autre. Elle est en contact fréquents avec Marine.
Après un restaurant je raccompagne Coline chez elle. Elle me fait monter. L’absence de son amant des vacances ne lui pèse pas trop. Je comprends qu’elle compense avec des caresses personnalisées. Mais une chose en entrainant une autre, nous nous trouvons dans le même lit. Je suis à ses cotés, elle se tourne vers moi, vient sur moi. Sans complexe elle prend ma queue la dirige vers sa chatte, elle la fait entrer en elle. Coline assure le service après vente en faisant des allers et retours qui s’amplifient.
Elle a un gros avantage sur sa camarade, elle manifeste son plaisir : en gémissant elle me griffe un peu le dos, change ma queue de place. Je ne lui dépucèle pas l’arrière train ; il est ouvert depuis longtemps ! Nous nous voyons de plus en plus. Chaque fois nous finissons au lit, chez elle le plus souvent, chez moi des fois. Chaque semaine elle reçoit Marine. Elle ne me fait aucun secret sur leur relation d’antan. Elles faisaient l’amour, elles continuent actuellement. Je revois ainsi Marine, nous baisons dès que nous pouvons.
Je ne fais aucune infidélité à Coline, Marine n’en fait aucune non plus depuis son divorce. L’ennui est que je me suis attaché à Marine la première et le temps passant également à Coline. Je les aime toutes les deux. Comment expliquer cette rareté. Quand je baise une je n’ai aucun remord. Elles baisent aussi bien.
C’est un soir que tout a dérapé. J’étais chez moi avec Marine quand Coline est entrée : bien sur elle nous a vus pendant une séance particulièrement chaude où, en 69 nous nous léchions. Elle a bondi vers nous, nous a embrassés sur ce qu’elle trouvait :
-Je vous aime tous les deux.
- Quoi ?
- Vous deux. Serrez vous pour me faire de la place, je veux jouir avec vous deux.
C’est un drôle d’aveu : qu’elle nous désire est une chose, qu’elle nous aime est différent. Notre 69 se désagrège, nous venons à une baise plus conforme. Seule grande différence est que je n’ai qu’une seule bite. Elles s’en arrangent fort bien. Coline vient sur moi, entre la queue un instant dans son con, fait des mouvements pour être bien excitée, elle sort de mon bas ventre pour venir sur ma bouche. Elle me donne son cul. Je commence, comme je peux à la lécher. Marine vient prendre la place sur la bite. Elle joue au petit cheval avec moi en montant allégrement sur moi.
Ces deux femmes me baisent calmement, elles s’embrassent en plus. Nos corps sont réunis pour le plaisir. Marine pose son doigt sur ma raie, entre mes fesses. Je sais d’avance ce qu’elle y cherche, ce n’est pas la première fois. Elle me caresse l’anus à sa façon : douce, calme, sans à-coup.
Elle y entre son doigt favori, je fais tourner lentement, le ressort pour recommencer en le mettant à fond. Involontairement mon cul réagit en se fermant et s’ouvrant : en un mot elle me fit du bien en plus de ce qu’elle me fait au bout de la pine, sur le gland. J’ai toujours l’autre cul sur la bouche, je fore l’anus avec ma langue. Coline geint son plaisir. Je crois qu’elle se masturbe aussi.
Quand je leur donne le plaisir, elles attendent le mien. Elles sont à l’affut : quand je gicle mon orgasme elles se disputent le jet : elle aime ma liqueur. Je sais que de toute façon à la fin elles s’embrasseront pour partager le sperme.
Si je suis vide pour un instant, elles savent comment s’aimer. Une première masturbation commune ouvre le bal. Elles se caressent à peu près partout, y compris les fesses. Elles savent glisser pour que leur poitrine se caresse un peu avant de venir poser les bouches sur les autres bouches du bas. Le spectacle est magnifique : ces deux filles qui se font l’amour devant moi m’excitent même si je ne peux pas bander encore. J’admire la dextérité des langues sur le sexe de l’autre ; Elles se font l’amour par amour, c’est visible. Elles ont sorti les godes pour se baiser. Je les vois manœuvrer les engins dans les vagins ouverts, trempés. Elles se baisent sans pudeur. Pour être plus à l’aise elles se remettent en 69. Je recommence à bander. Celle de dessus, je crois que c’est Coline me prend la queue la tire vers ses fesses. Je vais la sodomiser, même si elle a un gode dans le vagin, juste sous les yeux de l’autre fille que j’aime autant.
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