Le retour de Joëlle
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Le retour de Joëlle
On s'est donc fait une bonne petite partie à quatre, et Peggy aimerait bien
recommencer, mais avec une fille plus douce, plus sympa, plus cool, une fille dans son
genre. Elle sait mes aventures et me demande si je n'ai pas la perle rare. Je fouille
dans mon passé, et elle m'apparaît comme une évidence. C'est elle qu'il nous faut.
ELLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, Joëlle, bien sûr. J'en suis tout ému sur le retour dans ma
voiture, à repenser aux bons moments avec elle. On s'est perdu de vue depuis
longtemps, et je me demande si on va pouvoir renouer les liens.
Arrivé chez moi, je recherche son numéro sur un vieux portable, je l'appelle, mais on
m'indique que ce numéro n'existe plus. J'ai heureusement gardé nos échanges sur le
net, donc son adresse, et je lui adresse un mail; juste un petit mot pour lui dire que
j'aimerais la revoir, et qu'elle me donne son numéro pour l'appeler, ou qu'elle
m'appelle à celui que je lui indique. Lundi, mardi, mercredi, aucune réponse, et je me
dis que c'est foutu. Jeudi soir, le téléphone sonne, c'est elle, et je suis tout
tremblant, inquiet de sa réaction après une si longue séparation.
Elle est surprise mais aussi heureuse de mon message. On prend de nos nouvelles, puis
j'en viens au fait. Je lui parle de mes deux jeunes et nouveaux partenaires, et de
notre envie de rencontrer une quatrième, sympa et coquine, et qui ne peut être
qu'elle, d'autant plus qu'elle est jeune elle aussi et très jolie.
Elle me rassure de suite, me disant que ça l'intéresse. Depuis son déménagement, et
qu'on ne se voit plus, elle m'avoue qu'elle a bien moins d'occasions, et qu'elle s'est
assagit malgré elle. Elle a eu un copain mais il se sont séparés, et là c'est un peu
la traversée du désert, à part son chef au boulot à qui elle fait une pipe
régulièrement, ou qui la prend trop rapidement sur un coin du bureau. Elle est donc
partante pour une nouvelle aventure, et j'appelle aussitôt Peggy pour fixer un rendez,
et rappelle Joëlle.
Elle a le souffle court, soupire, et m'avoue qu'elle se masturbe. Je déballe ma queue
et on se fait une baise au téléphone, comme on l'a déjà fait dans le passé. Je
l'entends jouir à plusieurs reprise, et je la connais assez pour savoir qu'elle ne
simule pas. Elle me fait entendre le clapotis de ses doigts dans sa chatte détrempée,
et ses slupppp lorsqu'elle se les suce. Je crache sur ma queue pour lui faire écouter
moi aussi comme je me branle bien le manche, puis mes sluppp lorsque je bouffe mon
sperme dans ma main.
On se quitte en se disant à samedi, dans deux jours, pas de temps à perdre. Elle est à
près de deux cents bornes de nos hôtes, a une petite et vieille voiture avec laquelle
elle n'ose pas trop voyager, et je lui propose de venir la chercher. Pas mal de
kilomètres, mais je sais qu'elle vaut le déplacement.
Je suis chez elle vers midi, et on tombe dans les bras l'un de l'autre, on s'embrasse
tendrement. C'est normal pour un gros cochon comme moi d'aimer la chair fraiche, et si
je ne comprends pas toujours comment de jolies minettes aiment les vieux, je me laisse
aller sans me poser trop de questions.
Je lui offre un resto, et on prend la route, et même l'autoroute. On évoque nos
aventures passées en commun, puis je lui parle de Peggy et Guillaume. Ces récits lui
font de l'effet, et elle glisse sa main dans sa culotte. Je lui demande d'arrêter lui
disant qu'elle va me faire bander, mais elle continue de plus belle et pose sa main
sur ma braguette. Elle me propose alors une bonne pipe que je refuse dans un premier
temps, puis que je finis par accepter devant son insistance persuasive. Elle déballe
ma queue bien dressée, et se jette dessus.
Elle suce trop bien cette salope, et je m'abandonne à sa bouche savante tout en
restant concentré sur ma conduite. Instinctivement et sans m'en rendre compte je lève
le pied. Plusieurs voitures nous dépassent, puis une persiste à rester à notre
hauteur. Je tourne la tête pour voir ce que veut ce connard:
- Merde, les flics.
Aussitôt Joëlle se relève, mais le flic passager lui fait comprendre avec des gestes
sans équivoque de se remettre en place. Elle s'exécute, moins motivée, d'autant plus
qu'elle sent ma queue s'affaiblir dans sa bouche. Le flic me fait signe de m'arrêter
sur la bande d'urgence.
Ils descendent à deux, le passager et celui de l'arrière, tandis que le conducteur
reste au volant. Ils demandent à ma petite chérie de se relever, me demande de me
rhabiller puis de leur présenter mes papiers. Ils nous menacent alors de lourdes
sanctions pour conduite dangereuse et attentat à la pudeur. De lourdes sanctions
financières mais aussi judiciaires, sauf si on se montre très gentils avec eux.
Ils ont tous les deux la cinquantaine passée, doivent être aussi vicieux que moi, et
j'accepte sans hésiter, espérant que le chauffeur leur ressemble. Je demande à Joëlle
ce qu'elle en pense, et elle est accepte elle aussi, par envie d'un bon plan imprévu,
mais aussi parce qu'elle se sent fautive de cette "arrestation".
Les flics nous demandent alors de les suivre jusqu'à une aire de repos, et gardent mes
papiers pour être sûrs que je ne vais pas essayer de leur échapper.
On arrive, les deux flics nous ordonnent de descendre puis nous expliquent qu'on ne
risque rien en ce lieu. C'est une aire abandonnée, sans intérêt; juste des toilettes
vétustes, et deux tables de camping complètement pourries. Personne ne s'y arrête, et
si par cas il y en avait un, il repartirait sans stopper en voyant une voiture de
police.
Le troisième flic descend enfin. Je dis le troisième, mais en fait c'est la troisième;
je m'attendait un gros salopard du style des deux autres, mais c'est une jeune et
ravissante fliquette d'à peine vingt-cinq ans.
Ils nous conduisent aux toilettes, du côté opposé à la route et aux regards
indiscrets. Les deux hommes baissent leur pantalon sans perdre de temps, et ordonne à
Joëlle de les sucer. Elle s'exécute sans sourciller, trop heureuse de cette occasion
inattendue. Je suis là, à les regarder, et je sens mon froc descendre; c'est la
petite fliquette qui est accroupie devant moi, et qui déballe ma queue pour la sucer.
Ohhhh, c'est trop bon; je m'étais imaginé un plan entre mecs, mais cette jeune femelle
est trop bien.
Un des deux flics qui se fait pomper par Joëlle la quitte pour nous rejoindre. Il se
colle à moi, et se fait sucer lui aussi par sa jeune collègue.
Elle nous pompe tous les deux, et je sens sa main, à lui, se poser sur mon cul, puis
son doigt explorer mon intimité, m'arrachant un gémissement de plaisir:
- Tu aimes ça, salaud?
- Oui, j'adore, c'est bonnnn
- Tu m'as l'air d'un bon, toi; et ma bite à la place de mon doigt, ça te plairait?
- Ohhhh ouiiii, surtout qu'elle est belle ta queue.
Il ne semble pas choqué par mon tutoiement. J'ai un peu hésité par respect de
l'uniforme, mais puisqu'il se montre familier envers moi, il n'y a pas de raison que
je n'en fasse pas autant.
Il s'accroupit derrière moi pour me bouffer le cul, et j'écarte mes fesses pour mieux
m'offrir, mais aussi lui laisser les mains libres pour me fouiller à loisir, ce dont
il ne se prive pas. Je sens ma rondelle bien ouverte, bien dilatée; et elle doit
l'être puisqu'il se relève et me pénètre d'un seul coup, m'arrachant des cris
jouissifs:
- Ohhh, ouiiii, c'est bon, encule moi salaud ...................
Il ne semble pas plus choqué par mes injures que par mon tutoiement, et il me sodomise
à merveille, comme de vieux amants qui se connaissent bien:
- Tu l'aimes ma queue, salope?
- Ouiiii, tu m'encules trop bien salaud. Tu es un gros vicieux, comme je les aime.
- Et toi un bon enculé. Il est bon ton putain de cul, tu aimes ça, te faire mettre.
- Ouiiii, j'aime tout, ta bite qui me lime, et ta collègue qui me suce.
- Elle suce bien cette salope? On l'a bien éduquée avec mon pote.
- Ohhh, oui, elle pompe aussi bien que tu m'encules. Vous allez me faire jouir.
- Ne te gênes pas, jouis dans sa bouche, elle n'attend que ça.
Je regarde la petite pour voir ce qu'elle en pense, et sans me lâcher la queue elle me
fait comprendre que je peux. Du coup je me laisse aller et le préviens de mon plaisir
imminent. Elle persiste à me garder en elle et accélère ses vas et viens. Je décharge
sans retenue, et elle continue à me pomper. Elle attend que j'ai fini d'éjaculer, se
retire pour me montrer sa bouche vide, se lèche les babines, puis me reprend pour
encore me sucer.
Pendant ce temps mon homme continue de me limer:
-Tu es trop bon à baiser mon salaud, mais ta petite blonde à l'air très bonne elle
aussi; regarde ce qu'il lui met mon copain.
Je ne m'inquiétais pas de Joëlle, trop pris dans cette bonne baise. Elle est penchée
en avant, et son partenaire la prend en levrette, la chatte et le cul. Il se retire
régulièrement pour changer d'orifice, et je peux voir sa queue, sa grosse queue qui me
fascine.
- Ouahhhhh, cette bite qu'il a, elle est trop belle.
- Elle te plait! T'inquiète pas, tu vas y avoir droit, dès que j'aurais fini avec toi,
que je t'aurais rempli de foutre. Je suis sûr que tu aimes ça.
- Oui, c'est bon se faire inonder les reins.
- Tu me plais toi, tu es trop bien. Tu embrasses?
Je réponds oui, et je tourne la tête pour lui offrir mes lèvres. Il y colle les
siennes et on se roule des pelles, on se bouffe la poire. J'ai envie de son pote,
après lui, mais m'inquiète de savoir s'il va me prendre sachant que j'ai le fion
rempli de sperme. Il me dit qu'il n'y pas de problème, au contraire, et me confie leur
relation à tous les trois.
Ils forment une équipe très soudée, qui bosse toujours ensemble. Ils s'arrêtent
souvent à cet endroit pour baiser à trois. Il aime la bite, son pote aussi, et ils
s'enculent l'un l'autre tandis que la petite les sucent comme elle le fait avec moi.
Ensuite ils la baisent, la sodomise, et lui garnissent le cul comme ils vont me garnir
le mien. Il adore passer en second, et sentir son gland nager dans la semence chaude
de son ami.
Ca l'existe de me raconter tout ça, de m'embrasser en m'enculant, et je le sens venir
en moi, je sens ses giclées puissantes se déverser dans mon trou à bites. Il prévient
son copain que la place va être libre. Celui-ci abandonne Joëlle pour me rejoindre, et
me plante son engin à peine l'autre sorti. Il me casse le cul avec son gros gourdin,
la petite me suce toujours, et l'autre se fait nettoyer la queue par ma belle. Puis il
pose un pied sur la tablette des lavabos, pour bien ouvrir ses cuisses, et il se fait
fouiller et bouffer le cul par Joëlle. Son pote m'encule toujours:
- Regarde le ce salaud, il se fait préparer le fion. Il t'a demandé de l'enculer?
- Ouiii, dès que tu auras fini avec mon cul.
- Et moi, tu veux m'enculer aussi?
- Avec plaisir, si tu veux.
Bien sûr qu'il veut. Il s'active entre mes miches, et se vidange les couilles dans mon
tube accueillant. Il se retire et demande à sa petite copine de me bouffer le cul
tandis qu'il me donne son manche à nettoyer. La petite salope gobe mon petit trou,
pour récupérer tout le jus de ses collègues et l'avaler. J'ai bien sucer mon amant, il
me relève et me suce à son tour.
Le deuxième flic laisse Joëlle, demande à son copain d'aller se faire ouvrir le cul
lui aussi, puis me pompe à son tour. La fliquette a tout bu, et rejoint ma blonde et
son équipier. Il se fait fouiller et bouffer le cul à son tour, et elle s'accroupit
pour s'occuper de sa queue.
L'autre flic se lève, se tourne, et me demande de le prendre. Je trique comme un âne,
et je la lui fous bien profond, pour son plus grand plaisir. Son copain nous rejoint,
et on va baiser entre hommes, et laisser les filles baiser entre femelles.
Je les tringle tous les deux, puis on s'enfile tous les trois, en petit train. On
alterne les positions, pour se retrouver tour en tour en sandwich, un merveilleux
sandwich comme en rêvent tous les hommes qui aiment les hommes; enculé et enculeur à
la fois, le top. On alterne aussi de façon à se faire autant monté par l'un que par
l'autre des deux autres.
Les filles se donnent du bon temps elles aussi, elle s'embrassent, se caressent, se
masturbent, se bouffent et se fouillent la chatte et le cul.
Le temps passe, et nos flics doivent bientôt rentrer au poste, et décident de
s'occuper des minettes.. Les mecs vont se faire Joëlle tous les deux, et me laisse
leur jeune salope, me disant que je peux la défoncer par tous les trous, comme je
veux, que c'est une petite vicieuse qui ne dit jamais non. Ils liment ma jolie blonde
en double, chatte et cul, chatte et bouche, cul et bouche, et ils lui roulent des
pelles à l'occasion. Je me sens autorisé à embrasser ma partenaire, et elle participe
activement avec sa langue experte.
Plus que quelques minutes, et il nous proposent un final que l'on accepte. Je vais
jouir le premier. La fliquette est à mes genoux, je lui baise la bouche en gorge
profonde, limite sauvage, jusqu'à sentir ma sève monter. Je me retire et je me branle
énergiquement devant sa bouche grande ouverte et sa langue pendante. Je décharge tout
à l'intérieur, elle avale et me nettoie la queue.
C'est maintenant aux deux mecs de jouir. Joëlle s'accroupit docilement, je me baisse à
côté d'elle, et ils vont se servir de nous, comme ils ont voulu que je me serve de
leur charmante complice. On se fait baiser la gueule, puis juter dans la bouche, et on
engloutit tout.
La séance est finie.
On se rhabille tout en se remerciant et se félicitant pour ce merveilleux moment passé
ensemble. Ils nous conseillent de ne pas recommencer notre petit jeu en voiture, c'est
dangereux, et puis on pourrait tomber sur des collègues à eux, bien moins
compréhensifs.
Ils nous redisent aussi qu'ils s'arrêtent souvent sur cette aire, et que si on passe
par là et qu'on voit leur voiture, de ne pas hésiter à nous arrêter aussi.
On se dit au revoir dans les toilettes, afin de pouvoir échanger de derniers et chauds
baisers, à l'abri des regards.
On reprend la route, et je passe mon téléphone à Joëlle pour qu'elle appelle Peggy, et
lui explique que l'on aura du retard.
recommencer, mais avec une fille plus douce, plus sympa, plus cool, une fille dans son
genre. Elle sait mes aventures et me demande si je n'ai pas la perle rare. Je fouille
dans mon passé, et elle m'apparaît comme une évidence. C'est elle qu'il nous faut.
ELLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, Joëlle, bien sûr. J'en suis tout ému sur le retour dans ma
voiture, à repenser aux bons moments avec elle. On s'est perdu de vue depuis
longtemps, et je me demande si on va pouvoir renouer les liens.
Arrivé chez moi, je recherche son numéro sur un vieux portable, je l'appelle, mais on
m'indique que ce numéro n'existe plus. J'ai heureusement gardé nos échanges sur le
net, donc son adresse, et je lui adresse un mail; juste un petit mot pour lui dire que
j'aimerais la revoir, et qu'elle me donne son numéro pour l'appeler, ou qu'elle
m'appelle à celui que je lui indique. Lundi, mardi, mercredi, aucune réponse, et je me
dis que c'est foutu. Jeudi soir, le téléphone sonne, c'est elle, et je suis tout
tremblant, inquiet de sa réaction après une si longue séparation.
Elle est surprise mais aussi heureuse de mon message. On prend de nos nouvelles, puis
j'en viens au fait. Je lui parle de mes deux jeunes et nouveaux partenaires, et de
notre envie de rencontrer une quatrième, sympa et coquine, et qui ne peut être
qu'elle, d'autant plus qu'elle est jeune elle aussi et très jolie.
Elle me rassure de suite, me disant que ça l'intéresse. Depuis son déménagement, et
qu'on ne se voit plus, elle m'avoue qu'elle a bien moins d'occasions, et qu'elle s'est
assagit malgré elle. Elle a eu un copain mais il se sont séparés, et là c'est un peu
la traversée du désert, à part son chef au boulot à qui elle fait une pipe
régulièrement, ou qui la prend trop rapidement sur un coin du bureau. Elle est donc
partante pour une nouvelle aventure, et j'appelle aussitôt Peggy pour fixer un rendez,
et rappelle Joëlle.
Elle a le souffle court, soupire, et m'avoue qu'elle se masturbe. Je déballe ma queue
et on se fait une baise au téléphone, comme on l'a déjà fait dans le passé. Je
l'entends jouir à plusieurs reprise, et je la connais assez pour savoir qu'elle ne
simule pas. Elle me fait entendre le clapotis de ses doigts dans sa chatte détrempée,
et ses slupppp lorsqu'elle se les suce. Je crache sur ma queue pour lui faire écouter
moi aussi comme je me branle bien le manche, puis mes sluppp lorsque je bouffe mon
sperme dans ma main.
On se quitte en se disant à samedi, dans deux jours, pas de temps à perdre. Elle est à
près de deux cents bornes de nos hôtes, a une petite et vieille voiture avec laquelle
elle n'ose pas trop voyager, et je lui propose de venir la chercher. Pas mal de
kilomètres, mais je sais qu'elle vaut le déplacement.
Je suis chez elle vers midi, et on tombe dans les bras l'un de l'autre, on s'embrasse
tendrement. C'est normal pour un gros cochon comme moi d'aimer la chair fraiche, et si
je ne comprends pas toujours comment de jolies minettes aiment les vieux, je me laisse
aller sans me poser trop de questions.
Je lui offre un resto, et on prend la route, et même l'autoroute. On évoque nos
aventures passées en commun, puis je lui parle de Peggy et Guillaume. Ces récits lui
font de l'effet, et elle glisse sa main dans sa culotte. Je lui demande d'arrêter lui
disant qu'elle va me faire bander, mais elle continue de plus belle et pose sa main
sur ma braguette. Elle me propose alors une bonne pipe que je refuse dans un premier
temps, puis que je finis par accepter devant son insistance persuasive. Elle déballe
ma queue bien dressée, et se jette dessus.
Elle suce trop bien cette salope, et je m'abandonne à sa bouche savante tout en
restant concentré sur ma conduite. Instinctivement et sans m'en rendre compte je lève
le pied. Plusieurs voitures nous dépassent, puis une persiste à rester à notre
hauteur. Je tourne la tête pour voir ce que veut ce connard:
- Merde, les flics.
Aussitôt Joëlle se relève, mais le flic passager lui fait comprendre avec des gestes
sans équivoque de se remettre en place. Elle s'exécute, moins motivée, d'autant plus
qu'elle sent ma queue s'affaiblir dans sa bouche. Le flic me fait signe de m'arrêter
sur la bande d'urgence.
Ils descendent à deux, le passager et celui de l'arrière, tandis que le conducteur
reste au volant. Ils demandent à ma petite chérie de se relever, me demande de me
rhabiller puis de leur présenter mes papiers. Ils nous menacent alors de lourdes
sanctions pour conduite dangereuse et attentat à la pudeur. De lourdes sanctions
financières mais aussi judiciaires, sauf si on se montre très gentils avec eux.
Ils ont tous les deux la cinquantaine passée, doivent être aussi vicieux que moi, et
j'accepte sans hésiter, espérant que le chauffeur leur ressemble. Je demande à Joëlle
ce qu'elle en pense, et elle est accepte elle aussi, par envie d'un bon plan imprévu,
mais aussi parce qu'elle se sent fautive de cette "arrestation".
Les flics nous demandent alors de les suivre jusqu'à une aire de repos, et gardent mes
papiers pour être sûrs que je ne vais pas essayer de leur échapper.
On arrive, les deux flics nous ordonnent de descendre puis nous expliquent qu'on ne
risque rien en ce lieu. C'est une aire abandonnée, sans intérêt; juste des toilettes
vétustes, et deux tables de camping complètement pourries. Personne ne s'y arrête, et
si par cas il y en avait un, il repartirait sans stopper en voyant une voiture de
police.
Le troisième flic descend enfin. Je dis le troisième, mais en fait c'est la troisième;
je m'attendait un gros salopard du style des deux autres, mais c'est une jeune et
ravissante fliquette d'à peine vingt-cinq ans.
Ils nous conduisent aux toilettes, du côté opposé à la route et aux regards
indiscrets. Les deux hommes baissent leur pantalon sans perdre de temps, et ordonne à
Joëlle de les sucer. Elle s'exécute sans sourciller, trop heureuse de cette occasion
inattendue. Je suis là, à les regarder, et je sens mon froc descendre; c'est la
petite fliquette qui est accroupie devant moi, et qui déballe ma queue pour la sucer.
Ohhhh, c'est trop bon; je m'étais imaginé un plan entre mecs, mais cette jeune femelle
est trop bien.
Un des deux flics qui se fait pomper par Joëlle la quitte pour nous rejoindre. Il se
colle à moi, et se fait sucer lui aussi par sa jeune collègue.
Elle nous pompe tous les deux, et je sens sa main, à lui, se poser sur mon cul, puis
son doigt explorer mon intimité, m'arrachant un gémissement de plaisir:
- Tu aimes ça, salaud?
- Oui, j'adore, c'est bonnnn
- Tu m'as l'air d'un bon, toi; et ma bite à la place de mon doigt, ça te plairait?
- Ohhhh ouiiii, surtout qu'elle est belle ta queue.
Il ne semble pas choqué par mon tutoiement. J'ai un peu hésité par respect de
l'uniforme, mais puisqu'il se montre familier envers moi, il n'y a pas de raison que
je n'en fasse pas autant.
Il s'accroupit derrière moi pour me bouffer le cul, et j'écarte mes fesses pour mieux
m'offrir, mais aussi lui laisser les mains libres pour me fouiller à loisir, ce dont
il ne se prive pas. Je sens ma rondelle bien ouverte, bien dilatée; et elle doit
l'être puisqu'il se relève et me pénètre d'un seul coup, m'arrachant des cris
jouissifs:
- Ohhh, ouiiii, c'est bon, encule moi salaud ...................
Il ne semble pas plus choqué par mes injures que par mon tutoiement, et il me sodomise
à merveille, comme de vieux amants qui se connaissent bien:
- Tu l'aimes ma queue, salope?
- Ouiiii, tu m'encules trop bien salaud. Tu es un gros vicieux, comme je les aime.
- Et toi un bon enculé. Il est bon ton putain de cul, tu aimes ça, te faire mettre.
- Ouiiii, j'aime tout, ta bite qui me lime, et ta collègue qui me suce.
- Elle suce bien cette salope? On l'a bien éduquée avec mon pote.
- Ohhh, oui, elle pompe aussi bien que tu m'encules. Vous allez me faire jouir.
- Ne te gênes pas, jouis dans sa bouche, elle n'attend que ça.
Je regarde la petite pour voir ce qu'elle en pense, et sans me lâcher la queue elle me
fait comprendre que je peux. Du coup je me laisse aller et le préviens de mon plaisir
imminent. Elle persiste à me garder en elle et accélère ses vas et viens. Je décharge
sans retenue, et elle continue à me pomper. Elle attend que j'ai fini d'éjaculer, se
retire pour me montrer sa bouche vide, se lèche les babines, puis me reprend pour
encore me sucer.
Pendant ce temps mon homme continue de me limer:
-Tu es trop bon à baiser mon salaud, mais ta petite blonde à l'air très bonne elle
aussi; regarde ce qu'il lui met mon copain.
Je ne m'inquiétais pas de Joëlle, trop pris dans cette bonne baise. Elle est penchée
en avant, et son partenaire la prend en levrette, la chatte et le cul. Il se retire
régulièrement pour changer d'orifice, et je peux voir sa queue, sa grosse queue qui me
fascine.
- Ouahhhhh, cette bite qu'il a, elle est trop belle.
- Elle te plait! T'inquiète pas, tu vas y avoir droit, dès que j'aurais fini avec toi,
que je t'aurais rempli de foutre. Je suis sûr que tu aimes ça.
- Oui, c'est bon se faire inonder les reins.
- Tu me plais toi, tu es trop bien. Tu embrasses?
Je réponds oui, et je tourne la tête pour lui offrir mes lèvres. Il y colle les
siennes et on se roule des pelles, on se bouffe la poire. J'ai envie de son pote,
après lui, mais m'inquiète de savoir s'il va me prendre sachant que j'ai le fion
rempli de sperme. Il me dit qu'il n'y pas de problème, au contraire, et me confie leur
relation à tous les trois.
Ils forment une équipe très soudée, qui bosse toujours ensemble. Ils s'arrêtent
souvent à cet endroit pour baiser à trois. Il aime la bite, son pote aussi, et ils
s'enculent l'un l'autre tandis que la petite les sucent comme elle le fait avec moi.
Ensuite ils la baisent, la sodomise, et lui garnissent le cul comme ils vont me garnir
le mien. Il adore passer en second, et sentir son gland nager dans la semence chaude
de son ami.
Ca l'existe de me raconter tout ça, de m'embrasser en m'enculant, et je le sens venir
en moi, je sens ses giclées puissantes se déverser dans mon trou à bites. Il prévient
son copain que la place va être libre. Celui-ci abandonne Joëlle pour me rejoindre, et
me plante son engin à peine l'autre sorti. Il me casse le cul avec son gros gourdin,
la petite me suce toujours, et l'autre se fait nettoyer la queue par ma belle. Puis il
pose un pied sur la tablette des lavabos, pour bien ouvrir ses cuisses, et il se fait
fouiller et bouffer le cul par Joëlle. Son pote m'encule toujours:
- Regarde le ce salaud, il se fait préparer le fion. Il t'a demandé de l'enculer?
- Ouiii, dès que tu auras fini avec mon cul.
- Et moi, tu veux m'enculer aussi?
- Avec plaisir, si tu veux.
Bien sûr qu'il veut. Il s'active entre mes miches, et se vidange les couilles dans mon
tube accueillant. Il se retire et demande à sa petite copine de me bouffer le cul
tandis qu'il me donne son manche à nettoyer. La petite salope gobe mon petit trou,
pour récupérer tout le jus de ses collègues et l'avaler. J'ai bien sucer mon amant, il
me relève et me suce à son tour.
Le deuxième flic laisse Joëlle, demande à son copain d'aller se faire ouvrir le cul
lui aussi, puis me pompe à son tour. La fliquette a tout bu, et rejoint ma blonde et
son équipier. Il se fait fouiller et bouffer le cul à son tour, et elle s'accroupit
pour s'occuper de sa queue.
L'autre flic se lève, se tourne, et me demande de le prendre. Je trique comme un âne,
et je la lui fous bien profond, pour son plus grand plaisir. Son copain nous rejoint,
et on va baiser entre hommes, et laisser les filles baiser entre femelles.
Je les tringle tous les deux, puis on s'enfile tous les trois, en petit train. On
alterne les positions, pour se retrouver tour en tour en sandwich, un merveilleux
sandwich comme en rêvent tous les hommes qui aiment les hommes; enculé et enculeur à
la fois, le top. On alterne aussi de façon à se faire autant monté par l'un que par
l'autre des deux autres.
Les filles se donnent du bon temps elles aussi, elle s'embrassent, se caressent, se
masturbent, se bouffent et se fouillent la chatte et le cul.
Le temps passe, et nos flics doivent bientôt rentrer au poste, et décident de
s'occuper des minettes.. Les mecs vont se faire Joëlle tous les deux, et me laisse
leur jeune salope, me disant que je peux la défoncer par tous les trous, comme je
veux, que c'est une petite vicieuse qui ne dit jamais non. Ils liment ma jolie blonde
en double, chatte et cul, chatte et bouche, cul et bouche, et ils lui roulent des
pelles à l'occasion. Je me sens autorisé à embrasser ma partenaire, et elle participe
activement avec sa langue experte.
Plus que quelques minutes, et il nous proposent un final que l'on accepte. Je vais
jouir le premier. La fliquette est à mes genoux, je lui baise la bouche en gorge
profonde, limite sauvage, jusqu'à sentir ma sève monter. Je me retire et je me branle
énergiquement devant sa bouche grande ouverte et sa langue pendante. Je décharge tout
à l'intérieur, elle avale et me nettoie la queue.
C'est maintenant aux deux mecs de jouir. Joëlle s'accroupit docilement, je me baisse à
côté d'elle, et ils vont se servir de nous, comme ils ont voulu que je me serve de
leur charmante complice. On se fait baiser la gueule, puis juter dans la bouche, et on
engloutit tout.
La séance est finie.
On se rhabille tout en se remerciant et se félicitant pour ce merveilleux moment passé
ensemble. Ils nous conseillent de ne pas recommencer notre petit jeu en voiture, c'est
dangereux, et puis on pourrait tomber sur des collègues à eux, bien moins
compréhensifs.
Ils nous redisent aussi qu'ils s'arrêtent souvent sur cette aire, et que si on passe
par là et qu'on voit leur voiture, de ne pas hésiter à nous arrêter aussi.
On se dit au revoir dans les toilettes, afin de pouvoir échanger de derniers et chauds
baisers, à l'abri des regards.
On reprend la route, et je passe mon téléphone à Joëlle pour qu'elle appelle Peggy, et
lui explique que l'on aura du retard.
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