Le réveil d'un autiste. Hervé, Tatiana et leur neveu. 2 - histoire érotique

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les quadruplés : 18 ans
Rose
Marguerite/Margo
Violette
Narcisse
La préparatrice en pharmacie.
Les stagiaires, Gérard, Virginie et Kenza

Hervé, Tatiana et Narcisse.
-Débande Narcisse, ton étendard est trop voyant.

J’en serait presque tombé alors à la renverse en voyant décroître presque aussitôt sa verge. Comment peut-il arriver à faire ça ? Je me dépêche de les suivre et nous nous retrouvons donc quelques instants plus tard dans notre chambre parentale et Tatiana, après cette interruption gênante, veut reprendre là où elle en était :
-Allez rebande Narcisse, rebande !

Suite :
Je m'attendais un peu à ça mais c'est quand même surprenant de voir aussitôt son pénis flasque reprendre de la vigueur et escalader l’espace comme un grimpeur son rocher. La croissance reprend, arrivant à l'horizontale, puis continuant en tordant de plus en plus vers le haut son phallus. En un rien de temps et dans un ensemble parfait, ils laissent tomber les peignoirs. Tatiana se met aussitôt à genoux devant Narcisse, se saisit à deux mains de cette hampe magnifique et gobe l’énorme prune à son sommet. Il faut dire que cet organe peut supporter sans difficulté d'être branlé à deux mains et d'être sucé en même temps. J'ai déjà vu dans les petites vidéos Tatiana faire une fellation à Narcisse, mais là c'est en 3D et je peux vous certifier que l'effet n'est pas le même. Elle y met tout son cœur, enfournant le plus loin possible l’engin imposant mais ne peut le prendre en totalité dans sa bouche. Pendant de longues minutes elle s'acharne, que ce soit avec les mains, les lèvres ou la langue sur cette énorme sucette sans pour autant arriver à le faire jouir. Bien sûr je ne peux rester insensible devant un tel spectacle et moi aussi je bande comme un Turc. Je m'approche donc d’eux et Tatiana joue maintenant de la chaise musicale, passant d'un mandrin à l'autre. A ce petit jeu c'est moi qui passe la ligne d'arrivée le premier et éjacule dans sa bouche une bonne dose de foutre.
Après avoir avalé mes rasades, Tatiana se retourne vers son neveu pour essayer d'arriver à ses fins, mais là aussi, elle lui donne un nouvel ordre, s’impatientant après de trop longues minutes :
-Gicle mon bébé, gicle !

Il ne va quand même pas ? Mais si… Il retire son braquemard de la bouche/four de ma moitié, se branle avec vigueur. Quelques gouttes annonciatrices perlent enfin de son méat, suivit d’un jet de sperme conséquent. Le suivant survient à peine deux secondes plus tard avec une puissance monstrueuse, il s'élève en formant une parabole dans les airs bien au-dessus de la tête de Tatiana avant de retomber sur le sol en gros grumeaux de foutre. Mais ce n'est pas fini car plusieurs autres éjaculas ce succèdent avant qu’enfin la source ne se tarisse. Il vient d’éjaculer en une seule fois autant que moi en trois fois dans mes meilleurs jours.

Pour moi je sais que je suis hors service pour au moins une vingtaine de minutes, mais il n'en est rien pour Narcisse. Sa queue a à peine baissé de la tête que Tatiana la reprend en main pour la branler, sachant que pour lui rien n'est impossible. Effectivement, je revois déjà croître l’engin qui redevient un Jonc vigoureux sous les encouragements de Tatiana.
-Rebande Narcisse, rebande ! Je veux te chevaucher telle une cavalière qui veut débourrer un jeune poulain.

Elle me regarde, comme cherchant dans mon regard une approbation. Comme je ne réagis pas à sa supplique, Tatiana force Narcisse à s'asseoir sur une chaise puis lui tourne le dos, écarte les jambes et recule, pose à l'aveuglette ses mains sur les épaules de son neveu puis l'un après l'autre les pieds sur ses cuisses avant de se laisser descendre sur le rostre tendu à la verticale par Narcisse. Elle frotte sa fente plusieurs fois sur le boutefeu avant de lentement le faire pénétrer entre ses lèvres vaginales. Jouant de ses bras et de ses jambes comme un sportif faisant des pompes, elle se poignarde de plus en plus loin sur le sabre tendu à son maximum. Je sais que la grotte de ma femme est profonde mais un rictus déforme son visage lorsque cette dague pénètre quasiment en entier dans sa gaine de velours. Elle ne s'est jamais amusée avec moi dans une telle position. Je suis juste en face d’eux, profitant à plein de cette position plutôt acrobatique. Je rebande enfin, mais ce qui suit est encore plus hard. Tatiana s’est trop soulevée et le sabre a quitté son fourreau, Narcisse le reprend mais quand elle plie à nouveau les genoux, le gourdin mal positionné trouve un autre étui à l’embouchure plus serré, le faisant presque plié avant que le gland conquérant ne disparaisse entre les fesses de ma moitié, la bouche grande ouverte d’où ne sort aucun son
Elle a à peine le temps de réaliser que le mandrin disparait en entier à ma vue dans cet antre sombre.
Une fois le choc passé, elle reprend comme si rien ne s’était passé, s’empalant plus que de raison sur ce défonce-cul. Sentant Tatiana s’épuiser en faisant du yo-yo sur sa pine de plus en plus doucement, Narcisse passe ses mains sous les cuisses de mon épouse puis se redresse faisant tomber la chaise, Tatiana pour ne pas chuter en avant raffermit sa prise sur les épaules de notre garçon pendant qu'il l'a fait monter et descendre à la force de ses bras sur son épée tendue.
Ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir tenir cette position car c'est aussi très fatigant pour l'homme. Il me regarde comme si ce qu'il faisait à mon épouse ne me concernait en rien. Elle râle, elle grogne, elle geint comme jamais je ne l'ai entendue.
Je n'y tiens plus et me glisse entre les cuisses de ma femme pour aider Narcisse à la soutenir.
Mes bras entourent ses cuisses et mes mains viennent relayer celles de Narcisse, Ma teub n’a plus qu'à s’égarer dans la fente baillante et dégoulinante mais ce n'est pas comme d'habitude car un squatter visite sans ménagement le minuscule studio derrière la paroi si fine qui sépare pas les deux puits d'amour de ma femme. Il m'est déjà arrivé dans le passé de faire une double mais jamais avec ma femme et encore moins quand le deuxième homme est mon propre neveu. Dans ce temps-là, c'était moi l'étalon qui dominait un autre mâle moins bien doté que moi. Là c'est moi qui fais figure de deuxième couteau vu l'épaisseur hors norme de la bite de Narcisse.
Tatiana a l'air d'aimer ça, plusieurs fois de suite elle inonde ma pine de sécrétions abondantes. Encore une fois, je suis le premier à baisser pavillon après avoir graisser la chatte de ma femme. Je continue néanmoins à la soutenir, faisant cavalière seule sur cet étalon indomptable. Elle pose enfin les pieds au sol et se penche en avant pour se retrouver à quatre pattes, la tête entre ses bras et les genoux sur la moquette, offrant son cul au prochain assaut. Cela ne perturbe même pas Narcisse qui continue encore et encore à la troncher comme une vraie machine à plaisir. Soudain Tatiana s’impatientant, l'implore :
-Oui mon bébé, jouis sur mes fesses, envoie ton foutre !

De nouveau, comme s'il obéissait à la demande d’un metteur en scène de film de boules, il retire son braquemard de l'anneau fripé de ma femme qui reste baillant et palpitant comme un cœur qui s'emballe. Narcisse s'astique à peine une trentaine de secondes et recommence le spectacle de jets de foutre qui se succèdent pendant une vingtaine de secondes, zébrant le dos de ma femme de longues traînées blanchâtres et visqueuses de ses épaules jusqu'à la raie culière. Il lâche alors son vit qui décroît à nouveau comme si une fois l'instant fatidique passé, tout ça ne le concernait plus.

Pour moi, je sais qu'après les deux précédentes éjaculations, il me sera difficile de remettre le couvert pour aujourd'hui, mais il n’en est rien pour Narcisse. Pendant presque encore une heure, je deviens le mari caudaliste regardant son épouse se faire prendre par tous les trous par un jeune homme infatigable, digne des meilleurs acteurs porno qui peuvent tenir la distance comme des athlètes de haut niveau avec les plus belles femmes du monde.
Quand il rend enfin les armes, il se relève et regagne sa chambre en tenue d'Adam, ou plutôt d’Eros, le Dieu de l'amour, sa mission accomplie, de la même façon qu’il quitte son poste de travail après une journée bien remplie. Après une douche pour se débarrasser de tous ces miasmes collants et de la sueur qui colle à notre peau, nous nous retrouvons sous la couette et discutons quelques instants avant de nous endormir, repus de plaisir. J’attire l'attention de Tatiana.
-Ma chérie, qu'avons-nous fait ? Où allons-nous comme ça ? Je dois reconnaître que je suis un peu jaloux de la relation que tu entretiens avec notre neveu. Je ne sais pas comment tout cela se terminera mais il va falloir que nous trouvions une solution pour le protéger car malgré ses dispositions sans commune mesure avec le commun des mortels à donner du plaisir aux femmes, je ne sais pas s'il réalise pleinement que ça ne peut pas continuer comme ça indéfiniment. Il va bien falloir que nous trouvions une solution, la meilleure serait de lui trouver une épouse qui le comble d'amour, qu'il redevienne un jeune homme à peine sorti de l'adolescence qui se contente d'une bien aimée. Si la seule solution pour qu'il ne court pas après toutes les femmes de la ville est que notre famille se dévoue pour combler ses pulsions sexuelles, je veux bien que tu te débrouilles avec des filles, je veux croire qu'elles n'y verront aucun problème pour se donner à fond.

-Tu as raison Hervé, renchérie Tatiana, je vais voir avec elles pour établir une sorte de roulement et essayer de faire cesser ce qui se passe lors des stages d'informatique, mais je ne te promets rien. Tu sais que notre autiste de neveu, quand il a décidé de faire quelque chose, il est pratiquement impossible de l'en dissuader. La saison de location des gîtes ce terminant bientôt, on essaiera de le sevrer mais je ne te promets rien.

C'est ainsi, que pendant de nombreuses années, bien que les filles aient trouvé chacune un époux, sans qu'ils le sachent, à chaque fois qu'elles venaient nous rendre visite, nous entendions des bruits de râles et de grognements assourdis provenant de la chambre de Narcisse.
Les années ont passées. Nous avons maintenant de nombreux petits enfants, J'espère quand même que la petite graine a été planté par leur mari et non par Narcisse. Qu’il n'a pas créé une nouvelle génération de petits SABRE…

Point final de cette longue histoire.

Ps : Vous voulez l’adresse du gîte ? Il a une note sur les réseaux sociaux de AAA+, et sur d’autres, XXXL+++.

J'attends vos commentaires sur la plus longue saga que j'ai postée sur ce site, et quelques encouragements...