Le semaine de Susette ( samedi)

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le semaine de Susette ( samedi) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le semaine de Susette ( samedi)
Le Samedi est un jour d'affluence à la boutique. Susanne dès le réveil le sait. Pourtant elle prend le temps de se branler un peu. La journée n'est jamais bonne sans cette masturbation matinale. Les ventes marchent très bien le samedi, même la vendeuse à mi temps est débordée, même dans la pièce consacrée au plaisir féminin. Les clientes savent qu'ici elle trouveront outre les objets recherchés, les conseils sur l'utilisation des godemichés et autres oeufs vibrants. A 19 heures le magasin ferme, le temps de faire la caisse et enfin Susette peut penser à trouver un amant: aujourd'ui, elle a besoin d'un sexe masculin dans son corps.
Toujours aussi peu vétue: juste une robe classe sur elle et rien dessous, elle rentre dans un bar où elle le sait des hommes et des femmes sont à la recherche d'un ou d'une partenaire. La dernière fois elle a trouvé une fille avec qui elle a baisé toute la nuit. Elle aime chez les filles la faculté d'avoir des orgasmes successifs.
A son entrée les regards se portent sur elle: certaines femmes la regardent d'un air engageant, et tous les hommes la désabillent du regard. Elle s'assoit au comptoir et regarde autour d'elle celui qui pourrait faire son bonheur. Elle remarque un gars qui ne lui déplait pas du tout: Elle lui sourit. L'homme, René, s'approche et ils commencent à discuter un peu jusqu'au moment où il lui fait la cour. Elle aime assez entendre ces fadaises.
Mais Susette dévie la conversation lentement vers le sujet qui l'interésse: le sexe. Jusqu'au moment où il l'invite à pendre un verre chez lui, autrement dit baiser. Susette accepte avec soulagement: après tout elle n'est venue ici que pour ça.Elle le suit jusqu'à son appartement. Et là elle a une surprise: une pièce semble réservée à l'amour physique: les murs sont tapissés de peinture qu'aucun musée au monde n'oserait montrer: des femmes dans des positions carrément pornographique: masturbation, cunnilingus avec une autre.
Les hommes sont également présents: sexe qui bandent, masturbation et enculage.
Tout est fait pour que n'importe qui y trouve son compte. Une statue d'un couple, grandeur nature fait l'amour complète la collection.
Susette est est toute excitée. René la prend dans ses bras, l'embrasse. Sa langue fouille la bouche de Susette qui aime sentir un elle une langue la lui fouiller. Elle répond à ce baiser. René, sans aller trop vite et sachant que Susette est nue, pose ses mains sur les fesses et lentemant remonte la robe jusqu'au niveau de son bas ventre. Susanne espère de plus en plus sentir une main sur elle. René ne la déçoit pas; Il fait pénétrer en reconnaisance un doigt. Il trouve ce qu'il cherchait: le clitoris. Susette est satisfaite: enfin un doigt commence à lui donner du plaisir. Mais Susette sent contre elle une bite en érection. Elle la touche à travers les vêtements de René pour connaitre la grosseur de l'engin qui lui parrait bien gros et long. La grosseur ne la gène que si l'amant ne prend pas de précaution en cas de sodomie.
René maintenant passe la robe par dessus la tête de celle qu'il va baiser. Entièrement nue Susette fait contempler son corps parfait à René. Elle désabille René
Elle peu prendre à pleine main la bite qui bande. Elle ne la branle pas: elle la touche plus par curiosité que par envie de lui donner du plaisir.
René pousse Susette sur le lit et lui fait écarter les jambe pour lui faire un cunnilingus.
Prête à jouir depuis le matin, Susette ne résiste pas à la sucion de son con, elle l'offre. Passant sa langue entre les lèvres du sexe René, faisant preuve d'expérience ne se dirige pas directement vers le clitoris. Il le contourne sans cesse jusqu'à ce que Susette lui demande directement : je veux ta langue sur mon bouton. Et alors faisant preuve d'une habileté remarquable René ne touche l'endroit demandé que par le bout de sa langue, juste pour gouter le suc. Enfin, après presqu'un quart d'heure il suce entièrement le clitoris. Susette jouit rapidement tellement son désir était grand.
Maintenant elle veut sa revanche, elle se tourne et approche sa bouche du sexe qui bande de plus en plus fort. Sans le toucher autrement qu'avec le bout de ses lèvres, Susette découvre le gland mais ne le suce pas ni l'embrasse: elle pose sa chevelure sur le bas ventre et la fait se promener soit sur le sexe, soit sur les cuisses. C'est à René de demander qu'elle le prenne dans sa bouche. Alors elle aussi faisant preuve de sa virtuosité en la matière fait durer longuement la fellation. Elle prend entièrement la bite dans sa bouche, la suce un moment, puis la retire, laissant à l'air libre la pine qui voudrait bien jouir. Pour finir, Susette, fait rentrer la presque totalité de la bite dans la bouche et par ses vas et vients et les caresses de sa langue, elle reçoit dans la bouche l'entier jet de sperme. Elle se retourne pour embrasser sur la bouche René et elle lui fait gouter sa propre semence: c'est la première fois. Il en est étonné.
Susette veut encoe baiser, et remarque que la bite bande toujours: elle aime bien ce genre d'homme assez rare qui peuvent jouir plusieurs fois de suite.
Elle la prend entre ses mains pour la toucher et vérifier qu'elle bande comme elle aime: elle chevauche le corps de l'homme et fait pénétrer dans son con cette bite bandée. Etant assise, elle peut se branler en même temps: elle adore. Elle jouit encore mais en veut beaucoup plus: elle la veut dans son cul. Restant à cheval sur René, Susette pose la pine très mouillée sur son cul et lentement à cause de la grosseur, elle s'encule elle même. Ils jouissent presqu'ensemble: Maintenant René ne bande plus. Pourtant susette voudrait encore jouir. Mais réellement René ne peut plus. Tant pis se dit Susette.
Elle rentre chez elle toujours excitée et se couche , toujours nue et là sort son godemiché, se donne encore beaucoup de plaisir. Comme quelque fois elle s'endort avec le god dans le con: elle se branlera la nuit lorsque cette présence en elle la réveillera.

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