Le seul amant que j'ai initié (2)

Récit érotique écrit par loulou.paris [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le seul amant que j'ai initié (2)
Nous n'avons pas refait l'amour tout de suite. Nous sommes allés, d'abord, déjeuner ensemble.
Je regardais Jean-Louis avec tendresse, ses yeux brillaient.
- La matinée a été très très bonne - je lui ai dit en souriant.
- Je n'avais jamais imaginé de coucher avec un homme et encore moins que je puisse prendre autant de plaisir -.
- Jamais pensé, vraiment? Je pense que tous les hommes pensent quelque part dans leur tête de coucher avec un homme -.
- Non, vraiment. J'ai toujours désiré les femmes, leur corps -.
- Je ne suis pas une femme, chéri.... -.
- Hier soir tes fesses m'ont donné envie. Je t'ai regardé, je me suis dit que j'aurais aimé coucher avec toi. Mais je n'ai pas pensé de dormir chez toi, encore moins de faire l'amour avec toi -.
- Et pourtant c'est toi qui as commencé -.
- Tes fesses m'ont attiré, tu peux pas savoir. J'ai eu tout de suite envie de te prendre. Et j'ai trouvé ça merveilleux -.
J'avais envie de l'embrasser, mais à l’époque c'était impensable de faire une chose pareille en public. Alors j'ai pris son pied entre mes pieds avec un regard d'amoureux, je me suis penché vers lui:
- Si tu continues je vais tomber amoureux de toi -.
- Je ne sais pas si je peux tomber amoureux d'un homme, mais je sais que faire l'amour avec toi est plus intense qu'avec une femme -.
- Je crois que je suis en train de rougir de plaisir - lui dis-je.
- Un peu, oui -.
On est rentrés chez moi, très excités. Dès que j'ai fermé la porte il m'embrasse, me serre contre lui. Nos langues se fouillent, non sexe sont déjà raides. Je lui caresse la tête:
- Tu as rapidement appris à embrasser un mec -.
- C'est facile -
- Il paraît que certains hétéros rechignent à embrasser un homme -.
- Alors je suis devenu pd -.
- Tu es surtout en train de devenir mon homme, Jean-Louis -.
- Je croyais de l'être déjà -.
- T'es un dragueur -.
Je le prends par la main pour aller dans ma chambre. On a hâte de nous déshabiller, de nous coller nus l'un contre l'autre. On s'embrasse, on se caresse. Nous somme très tendres l'un avec l'autre. Il cherche ma rosette avec son medium. Il me fouille. Puis je me détache et m'assied, mes jambes bien écartées.
- Viens à genoux devant moi, mon ange -.
Il s'exécute. Il est devant moi, son sexe dressé. Je le décalotte, je lèche son gland et puis le prends dans ma bouche. Il me regarde pendant que je le suce. Je lève mes yeux, il me caresse la tête, il pousse ma tête vers sa bite:
- Tu suces si bien, mon Loulou -.
Je continue à le pomper, parfois je laisse sa bite entrer en profondeur, mais ce n'est pas très facile pour moi. Je lui masse le couilles. Puis je m'allonge sur le dos:
- J'ai envie de toi, d'être à toi -.
Il se plie d'abord sur mon sexe, le lèche, le suce. Il a plus d'assurance. Pendant qu'il me suce, je lui passe le gel. Il en prend un peu, il masse mon anus. Je relève mes jambes, je m'écarte, je m'offre à mon amant. Jean-Louis ne se fait pas prier: il met son gland sur ma rosette, me pénètre doucement. Je gémis. Il met la met bien à fond, je sens ses couilles contre mes fesses, son sexe commence son va et vient en moi. Je suis bien dilaté et mon plaisir monte. Mon souffle devient plus court:
- C'est bon, mon chéri. Fais-moi l'amour, fais-moi l'amour -.
Il va plus vite, prend mon sexe dans sa main, je le repousse:
- J'ai pas besoin de ça, tu vas me faire jouir avec ta bite -.
Il me sourit, il augmente son rythme:
- Viens m'embrasser - lui dis-je.
Sa bouche se colle à la mienne, nos langues n'en font qu'une, notre plaisir est fort.
- Donne-moi ton sperme -.
- Je te donne tout, je ne peux plus tenir _.
- Viens -.
Il crie et je crie aussi. Je sens son sperme gicler dans mon cul, je jouis en même temps ou presque. Je serre Jean-Louis contre moi:
- Reste en moi, mon amour. Reste en moi, c'est si bon de sentir ta bite en moi-.
On se regarde tendrement.
- Tu peux jouir sans qu'on te branle ? -.
- Oui, pas toujours, mais très souvent, surtout quand c'est aussi bon -.
- C'est fantastique de te prendre et c'est fantastique comme tu te donnes -.
Il se retire, s'allonge à coté de moi.
- Je pense que tu es mon homme - me dit Jean-Louis.
- Mon chéri, je pense la même chose. Je me sens si bien avec toi -.
Puis je lui chuchote dans l'oreille:
- Je suis ta salope. Et je suis une salope heureuse -.
Je regardais Jean-Louis avec tendresse, ses yeux brillaient.
- La matinée a été très très bonne - je lui ai dit en souriant.
- Je n'avais jamais imaginé de coucher avec un homme et encore moins que je puisse prendre autant de plaisir -.
- Jamais pensé, vraiment? Je pense que tous les hommes pensent quelque part dans leur tête de coucher avec un homme -.
- Non, vraiment. J'ai toujours désiré les femmes, leur corps -.
- Je ne suis pas une femme, chéri.... -.
- Hier soir tes fesses m'ont donné envie. Je t'ai regardé, je me suis dit que j'aurais aimé coucher avec toi. Mais je n'ai pas pensé de dormir chez toi, encore moins de faire l'amour avec toi -.
- Et pourtant c'est toi qui as commencé -.
- Tes fesses m'ont attiré, tu peux pas savoir. J'ai eu tout de suite envie de te prendre. Et j'ai trouvé ça merveilleux -.
J'avais envie de l'embrasser, mais à l’époque c'était impensable de faire une chose pareille en public. Alors j'ai pris son pied entre mes pieds avec un regard d'amoureux, je me suis penché vers lui:
- Si tu continues je vais tomber amoureux de toi -.
- Je ne sais pas si je peux tomber amoureux d'un homme, mais je sais que faire l'amour avec toi est plus intense qu'avec une femme -.
- Je crois que je suis en train de rougir de plaisir - lui dis-je.
- Un peu, oui -.
On est rentrés chez moi, très excités. Dès que j'ai fermé la porte il m'embrasse, me serre contre lui. Nos langues se fouillent, non sexe sont déjà raides. Je lui caresse la tête:
- Tu as rapidement appris à embrasser un mec -.
- C'est facile -
- Il paraît que certains hétéros rechignent à embrasser un homme -.
- Alors je suis devenu pd -.
- Tu es surtout en train de devenir mon homme, Jean-Louis -.
- Je croyais de l'être déjà -.
- T'es un dragueur -.
Je le prends par la main pour aller dans ma chambre. On a hâte de nous déshabiller, de nous coller nus l'un contre l'autre. On s'embrasse, on se caresse. Nous somme très tendres l'un avec l'autre. Il cherche ma rosette avec son medium. Il me fouille. Puis je me détache et m'assied, mes jambes bien écartées.
- Viens à genoux devant moi, mon ange -.
Il s'exécute. Il est devant moi, son sexe dressé. Je le décalotte, je lèche son gland et puis le prends dans ma bouche. Il me regarde pendant que je le suce. Je lève mes yeux, il me caresse la tête, il pousse ma tête vers sa bite:
- Tu suces si bien, mon Loulou -.
Je continue à le pomper, parfois je laisse sa bite entrer en profondeur, mais ce n'est pas très facile pour moi. Je lui masse le couilles. Puis je m'allonge sur le dos:
- J'ai envie de toi, d'être à toi -.
Il se plie d'abord sur mon sexe, le lèche, le suce. Il a plus d'assurance. Pendant qu'il me suce, je lui passe le gel. Il en prend un peu, il masse mon anus. Je relève mes jambes, je m'écarte, je m'offre à mon amant. Jean-Louis ne se fait pas prier: il met son gland sur ma rosette, me pénètre doucement. Je gémis. Il met la met bien à fond, je sens ses couilles contre mes fesses, son sexe commence son va et vient en moi. Je suis bien dilaté et mon plaisir monte. Mon souffle devient plus court:
- C'est bon, mon chéri. Fais-moi l'amour, fais-moi l'amour -.
Il va plus vite, prend mon sexe dans sa main, je le repousse:
- J'ai pas besoin de ça, tu vas me faire jouir avec ta bite -.
Il me sourit, il augmente son rythme:
- Viens m'embrasser - lui dis-je.
Sa bouche se colle à la mienne, nos langues n'en font qu'une, notre plaisir est fort.
- Donne-moi ton sperme -.
- Je te donne tout, je ne peux plus tenir _.
- Viens -.
Il crie et je crie aussi. Je sens son sperme gicler dans mon cul, je jouis en même temps ou presque. Je serre Jean-Louis contre moi:
- Reste en moi, mon amour. Reste en moi, c'est si bon de sentir ta bite en moi-.
On se regarde tendrement.
- Tu peux jouir sans qu'on te branle ? -.
- Oui, pas toujours, mais très souvent, surtout quand c'est aussi bon -.
- C'est fantastique de te prendre et c'est fantastique comme tu te donnes -.
Il se retire, s'allonge à coté de moi.
- Je pense que tu es mon homme - me dit Jean-Louis.
- Mon chéri, je pense la même chose. Je me sens si bien avec toi -.
Puis je lui chuchote dans l'oreille:
- Je suis ta salope. Et je suis une salope heureuse -.
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