Le seul amant que j'ai initié

Récit érotique écrit par loulou.paris [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le seul amant que j'ai initié
Je n’ai jamais vraiment essayé d’initier des amis aux amours masculines (ou masculins, comme tu préfères cher lecteur homosexuel qui lis ce récit d’amour gay). Avec mon premier amant/fiancé nous nous sommes initiés mutuellement, même si lui connaissais bien plus que moi les secrets du sexe. Avec Jean-Louis, ce fut différent, même si j’ai été son premier homme.
Je le connaissais parce qu’on avait des amis communs. On avait un peu plus d’une vingtaine d’années. J’étais à Paris depuis presque de deux ans, mais sans un copain pour faire l’amour. Un peu timide, un peu honteux. A l’époque, vers la fin des années ‘70, il y avait déjà des lieux pour les gays, mais j’étais réticent, l’idée de me faire baiser par un inconnu me dérangeait. Le problème était ailleurs : parmi les gens que je fréquentais, tous aimaient les filles. Jean-Louis aussi.
Un soir on était tous les deux à l’anniversaire d’un ami commun. Une fête très longue. Nous sortîmes vers trois heures du matin. J’habitais tout près de Saint-Germain-de-Près, où on avait passé la soirée. Il me demanda si je pouvais l’héberger pour la nuit, puisque il habitait loin.
- Bien sûr -, je lui réponds. Sans arrière-pensées. Lui aussi, n’en avait pas, du moins il m’a dit ça le lendemain.
Une fois chez moi, je n’avais pas très envie de sortir les draps pour un lit pliant que je gardais dans une des deux pièces.
- Ça te dérange de dormir dans mon lit ? Suis tellement fatigué...mais il y a la place pour être suffisamment loin l’un de l’autre -.
- Aucun problème -.
Savait-il que j’aimais les hommes ? Les gens étaient en général pas très fixés sur mes goûts sexuels. Certes, seul sans une copine, à une époque où on cachait encore son homosexualité, les amis ne devaient pas avoir beaucoup de doutes sur ma nature. Personne, toutefois, ne faisait des allusions.
De toute façon on se coucha rapidement. C’était un vendredi soir et j’étais mort de fatiguee, Jean-Louis aussi.
Rien à signaler, donc. C’était bizarre pour moi d’avoir un homme dans mon lit : pendant l’adolescence j’avais fait l’amour en continu avec mon copain, mais on habité chez nos parents….
Le lendemain matin, peut-être vers onze heures, encore plein de sommeil, je sens la main de Jean-Louis sur mes fesses. J’avais gardé mon slip et pendant la nuit je lui avais tourné le dos. Après un moment, vu que je ne l’avais pas repoussé, il commence a mes caresser les fesses. Il faut dire que j’adore quand un mec me pelote comme ça, mais il faut aussi que le mec me plaise. Et je trouvais Jean-Louis pas mal du tout.
Après quelques minutes il vient se mettre contre moi. Lui aussi avait gardé son slip pendant la nuit. Je sens son corps contre le mien, son sexe déjà dressé contre les fesses. Avec ma main droite je presse ses fesses pour qu’il se colle encore plus contre moi, pour lui faire comprendre que je le désire. Il me caresse la poitrine, me fait bien sentir son sexe, il m’embrasse tout doucement dans le cou et là je suis vraiment conquis, parce qu’il fait tout avec beaucoup de douceur (et sûrement un peu de timidité).
- Tu l’as déjà fait avec un homme ? - demande entre un bisou et l’autre.
Je réponds sans mots, avec une sorte de hmm et un oui avec la tête. Il continue à m’embrasser dans le cou, je caresse son sexe à travers le slip, puis j’enlève le mien. Et lui le sien.
- Je ne suis pas très habile – me dit-il à mi voix.
- Tranquille, on le devient rapidement.
Je me retourne et je le retourne. Je me mets sur lui et je l’embrasse. Il me laisse faire. Je lui caresse la poitrine, je suce un peu ses tétons, je descends vers son sexe. Le décalotte, lui lèche le gland, j’engloutis sa bite. Il frétille, gémit. Je lui caresse la poitrine avec mes mains et le pompe doucement.
- Je ne jamais imaginé une aussi bonne pipe -
- Tes copines ne t’ont jamais sucé ? -
- Peu et mal ! Continue -.
J’ai continué, puis je suis remonté, je l’ai embrassé à pleine bouche, très excité. Et je lui au demandé :
-Tu veux me prendre ? -
Il a souris, j’ai vu une étincelle dans ses yeux :
- Dix mille fois oui -
J’allonge ma main vers le tiroir de ma table de chevet pour prendre un gel. Pas d’amants depuis longtemps, mais prêt pour en avoir. Le gel n’est pas très romantique, je sais, mais c’est indispensable pour le plaisir.
- Tiens – je lui dis en lui passant le tube. - C’est bon quand mon homme me prépare à l’amour -.
Je me suis mis à quatre pattes, parce que c’est plus facile pour un actif débutant. Il est venu derrière moi, il m’a enduit avec son medium tout en l’enfonçant timidement.
- Ça suffit ? -.
- Oui, mon chéri. Viens, pénètre-moi – je lui dis en retournant la tête et en lui souriant.
Je sens son gland appuyer sur ma rosette. Je l’aide avec ma main droite. Il rentre en moi, il glisse à fond. C’est naturel pour moi, mais ça à l’air d’être naturel pour Jean-Louis aussi. Je sens son sexe très dur en moi, bien à fond dans mon cul. C’est toujours la même sensation merveilleuse : mon homme, mon mâle qui me prend, me possède. Et moi je m’abandonne. Jean-Louis n’a pas fait exception, mais il était encore inexpérimenté. Il a presque crié et il n’était pas capable de se contrôler. Il a rapidement joui en moi. J’ai senti son sperme chaud couler en moi.
Il est sorti de moi sans rien dire. Puis il a pris son courage a quatre mains :
- Tu n’as pas joui, toi -
- Non, mais ce n’est pas grave, c’est la première fois pour toi - .
Je me suis retourné sur le dos, j’ai pris sa main droite et l’ai porté sur mon sexe.
-Suce-moi les tétons. Tu l’as sûrement fait avec tes copines, ce n’est pas très différent avec un homme. Et donne moi du plaisir avec ta bouche et ta main -.
Il n’a pas eu de mal à me faire jouir. Puis il m’a pris dans ses bras, il m’a embrassé. Il était plus décontracté.
-Tu as toujours fait ça avec les hommes ? - m’a-t-il demandé.
-Oui, toujours, depuis mes 14 ans. Mais je n’en ai eu que trois avant ce matin. J’aime être pris et les garçons ont voulu toujours me prendre. Comme toi -.
-Tu te sens fille ? -.
- Je ne dirais pas ça. Mais au lit je suis une femelle, je ne peux pas le nier -.
- Tu veux que je sois à nouveau ton mâle ? -.
- Oui, mais pas tout de suite d’abord on va se doucher et manger quelque chose -.
Il m’a embrassé, je l’ai senti déjà un peu amoureux. Comme moi.
Je le connaissais parce qu’on avait des amis communs. On avait un peu plus d’une vingtaine d’années. J’étais à Paris depuis presque de deux ans, mais sans un copain pour faire l’amour. Un peu timide, un peu honteux. A l’époque, vers la fin des années ‘70, il y avait déjà des lieux pour les gays, mais j’étais réticent, l’idée de me faire baiser par un inconnu me dérangeait. Le problème était ailleurs : parmi les gens que je fréquentais, tous aimaient les filles. Jean-Louis aussi.
Un soir on était tous les deux à l’anniversaire d’un ami commun. Une fête très longue. Nous sortîmes vers trois heures du matin. J’habitais tout près de Saint-Germain-de-Près, où on avait passé la soirée. Il me demanda si je pouvais l’héberger pour la nuit, puisque il habitait loin.
- Bien sûr -, je lui réponds. Sans arrière-pensées. Lui aussi, n’en avait pas, du moins il m’a dit ça le lendemain.
Une fois chez moi, je n’avais pas très envie de sortir les draps pour un lit pliant que je gardais dans une des deux pièces.
- Ça te dérange de dormir dans mon lit ? Suis tellement fatigué...mais il y a la place pour être suffisamment loin l’un de l’autre -.
- Aucun problème -.
Savait-il que j’aimais les hommes ? Les gens étaient en général pas très fixés sur mes goûts sexuels. Certes, seul sans une copine, à une époque où on cachait encore son homosexualité, les amis ne devaient pas avoir beaucoup de doutes sur ma nature. Personne, toutefois, ne faisait des allusions.
De toute façon on se coucha rapidement. C’était un vendredi soir et j’étais mort de fatiguee, Jean-Louis aussi.
Rien à signaler, donc. C’était bizarre pour moi d’avoir un homme dans mon lit : pendant l’adolescence j’avais fait l’amour en continu avec mon copain, mais on habité chez nos parents….
Le lendemain matin, peut-être vers onze heures, encore plein de sommeil, je sens la main de Jean-Louis sur mes fesses. J’avais gardé mon slip et pendant la nuit je lui avais tourné le dos. Après un moment, vu que je ne l’avais pas repoussé, il commence a mes caresser les fesses. Il faut dire que j’adore quand un mec me pelote comme ça, mais il faut aussi que le mec me plaise. Et je trouvais Jean-Louis pas mal du tout.
Après quelques minutes il vient se mettre contre moi. Lui aussi avait gardé son slip pendant la nuit. Je sens son corps contre le mien, son sexe déjà dressé contre les fesses. Avec ma main droite je presse ses fesses pour qu’il se colle encore plus contre moi, pour lui faire comprendre que je le désire. Il me caresse la poitrine, me fait bien sentir son sexe, il m’embrasse tout doucement dans le cou et là je suis vraiment conquis, parce qu’il fait tout avec beaucoup de douceur (et sûrement un peu de timidité).
- Tu l’as déjà fait avec un homme ? - demande entre un bisou et l’autre.
Je réponds sans mots, avec une sorte de hmm et un oui avec la tête. Il continue à m’embrasser dans le cou, je caresse son sexe à travers le slip, puis j’enlève le mien. Et lui le sien.
- Je ne suis pas très habile – me dit-il à mi voix.
- Tranquille, on le devient rapidement.
Je me retourne et je le retourne. Je me mets sur lui et je l’embrasse. Il me laisse faire. Je lui caresse la poitrine, je suce un peu ses tétons, je descends vers son sexe. Le décalotte, lui lèche le gland, j’engloutis sa bite. Il frétille, gémit. Je lui caresse la poitrine avec mes mains et le pompe doucement.
- Je ne jamais imaginé une aussi bonne pipe -
- Tes copines ne t’ont jamais sucé ? -
- Peu et mal ! Continue -.
J’ai continué, puis je suis remonté, je l’ai embrassé à pleine bouche, très excité. Et je lui au demandé :
-Tu veux me prendre ? -
Il a souris, j’ai vu une étincelle dans ses yeux :
- Dix mille fois oui -
J’allonge ma main vers le tiroir de ma table de chevet pour prendre un gel. Pas d’amants depuis longtemps, mais prêt pour en avoir. Le gel n’est pas très romantique, je sais, mais c’est indispensable pour le plaisir.
- Tiens – je lui dis en lui passant le tube. - C’est bon quand mon homme me prépare à l’amour -.
Je me suis mis à quatre pattes, parce que c’est plus facile pour un actif débutant. Il est venu derrière moi, il m’a enduit avec son medium tout en l’enfonçant timidement.
- Ça suffit ? -.
- Oui, mon chéri. Viens, pénètre-moi – je lui dis en retournant la tête et en lui souriant.
Je sens son gland appuyer sur ma rosette. Je l’aide avec ma main droite. Il rentre en moi, il glisse à fond. C’est naturel pour moi, mais ça à l’air d’être naturel pour Jean-Louis aussi. Je sens son sexe très dur en moi, bien à fond dans mon cul. C’est toujours la même sensation merveilleuse : mon homme, mon mâle qui me prend, me possède. Et moi je m’abandonne. Jean-Louis n’a pas fait exception, mais il était encore inexpérimenté. Il a presque crié et il n’était pas capable de se contrôler. Il a rapidement joui en moi. J’ai senti son sperme chaud couler en moi.
Il est sorti de moi sans rien dire. Puis il a pris son courage a quatre mains :
- Tu n’as pas joui, toi -
- Non, mais ce n’est pas grave, c’est la première fois pour toi - .
Je me suis retourné sur le dos, j’ai pris sa main droite et l’ai porté sur mon sexe.
-Suce-moi les tétons. Tu l’as sûrement fait avec tes copines, ce n’est pas très différent avec un homme. Et donne moi du plaisir avec ta bouche et ta main -.
Il n’a pas eu de mal à me faire jouir. Puis il m’a pris dans ses bras, il m’a embrassé. Il était plus décontracté.
-Tu as toujours fait ça avec les hommes ? - m’a-t-il demandé.
-Oui, toujours, depuis mes 14 ans. Mais je n’en ai eu que trois avant ce matin. J’aime être pris et les garçons ont voulu toujours me prendre. Comme toi -.
-Tu te sens fille ? -.
- Je ne dirais pas ça. Mais au lit je suis une femelle, je ne peux pas le nier -.
- Tu veux que je sois à nouveau ton mâle ? -.
- Oui, mais pas tout de suite d’abord on va se doucher et manger quelque chose -.
Il m’a embrassé, je l’ai senti déjà un peu amoureux. Comme moi.
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