LE TOUR DU PROPRIETAIRE

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LE TOUR DU PROPRIETAIRE Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE TOUR DU PROPRIETAIRE
Le lendemain matin suite à ma visite au club libertin avec Jérôme ainsi que ma séance de jeu de l'oie, je flânais à la maison. J'avais encore trois jours pour profiter pleinement de mon nouvel amant, et ne voulais pas louper cette opportunité. Je prenais un petit-déjeuner copieux, toujours seule à la maison. Richard ne devant rentrer que le dimanche, j'appréhendais forcement son retour. Les regrets viendraient sûrement après, mais je décidais de les ignorer pour l'instant. Je craignais également mon arrivée au bureau, sachant que parmi tous les collaborateurs se trouvait celui qui avait abusé de moi la veille au soir. Je profitais du peu de temps que j'avais pour me préparer. Espérant pouvoir dîner avec mon amant le soir, je prenais soin de me faire une fois de plus élégante et glamour. Bien qu'il ne le dise pas, je savais qu'il raffolait de mon style chic et BCBG. Je choisis dans ma garde-robe une jupe crayon ceinturée avec taille haute froncée qui m'arrivait en dessous de la poitrine. La jupe noire extensible était d'un raffinement époustouflant, m'arrivant sur le bas du tibia, et exquisément moulante, elle disposait d'une ceinture en lanière noire nouée sur le devant par un flot délicat, et d'une fente sur l'arrière pour faciliter mes déplacements. Pour mettre en valeur mes formes pulpeuses, j'avais choisi un pull beige col rond et manches longues moulant en coton, à paillette brillante. Sa haute élasticité me moulait le haut du corps, mettant en valeur ma poitrine encore plus rehaussée par la taille haute de la jupe, et exacerbé par mes escarpins de 12cm couleur or également. Un objet de désir, voilà ce que je voulais être pour lui. Montrer à mon amant que malgré la cinquantaine passée, j'étais toujours aussi désirable, et que je pouvais être son fantasme sexuel le plus secret. Lui faire oublier les hommes rien que pour moi.

Une fois prête, j'enfilais mon manteau et mon foulard et je quittais la maison pour me rendre au bureau. Un peu, en retard, la réunion de 11H avait déjà commençait. Patrick, le Directeur commercial et ses 3 commerciaux avaient démarré. Alors que j'entrais dans la salle, je déclenchais un grand silence. Tous me regardaient, ou plutôt me dévoraient des yeux. L'un d'entre eux était forcement l'inconnu de la veille... Je m'installais, m'excusant pour mon retard, et essayant de détendre l'atmosphère.
- J'espère que ce n'est pas moi qui vous rends si silencieux !
- Non-bien sûr, Patricia, installe toi, on avait commencé...
En même temps, étant la femme du patron, il lui était difficile de dire autre chose. J'observais ces 4 hommes, essayant d'imaginer lequel pouvait être mon violeur. Au vu de la performance sexuelle qu'il m'avait démontrée, j'éliminais Patrick, que j'estimais trop vieux et forcement un mauvais coup, pour me concentrer sur les 3 autres. Deux avaient aux alentours de 30 ans et le dernier la quarantaine. Ce dernier avait ma préférence, du fait de son air un peu vicieux et de la façon dont il me matait. En même temps au vu de ma tenue, ce n'était pas très surprenant. Alors que j'étais perdue dans mes pensées et ne prêtant absolument pas attention à l'ordre du jour, mon téléphone vibra.
- @Patricia : bonjour belle pouliche. Je suis sûr que tu es très en beauté aujourd'hui. Encore une journée de réunion. Qui sait peut-être que ton inconnu d'hier soir est parmi eux... En attendant, je vais te proposer un petit challenge et si tu es bien docile et on se retrouve ce soir.
- @Jérôme : si j'obéis, tu me promets qu'on se voit ce soir ?
- @Patricia : promis, donc tu vas t'installer dans les toilettes handicapés du 1re étage et je veux que tu te caresses.
- @Jérôme : et c'est tout ?
- @Paricia : c'est tout ma pouliche, mais je veux des photos.
Je quittais la réunion, sous les yeux gourmands de Patrick, et me rendais au 1ere. Je m'assis sur la cuvette des WC, et me livrais à une palpation entière. Mes gros seins, mon entre-jambe, mes fesses, toutes les parties intimes de mon corps subissaient mes caresses. J'avais placé mon téléphone en mode vidéo, en fixant la caméra, et en passant ma langue sur mes lèvres, pour l'exciter d'avantage. Je continuais à me peloter mes gros seins, au travers de mes vêtements, alors que je me faisais coulisser mon doigt dans la bouche afin de simuler une fellation. Au bout de quelques minutes, j'envoyais la vidéo à mon amant.
@Patricia : tu es très photogénique ma pouliche, bravo. Passe me prendre ce soir à 19H30 à mon cabinet.
L'après-midi s'écoula lentement. Impatiente, je n'étais pas vraiment attentive, et notamment fis plusieurs erreurs dans un dossier que le directeur commercial corrigea., après me l'avoir fait remarqué. Comme à son habitude, il avait adopté un comportement d'adolescent penaud, qui confirmait mon intuition qu'il ne pouvait être cet inconnu si vaillant.

Vers 19 H, je quittais le bureau, pour rejoindre Jérôme qui m'attendait devant son bureau. Il monta dans la voiture, et me guida vers le centre-ville pour notre dîner romantique tant attendu. Je rentrais dans un parking, ou il me guida vers le dernier niveau, pour garer ma voiture. Une fois garé un peu à l'écart, je profitais de notre intimité, pour me pencher vers mon amant, afin de l'embrasser. Il répondit à mon baiser, et nos langues se mélangèrent. C'était tellement merveilleux. J'avais à nouveau 20 ans, fleuretant avec mon amoureux dans un endroit exigu. Je m'abandonnais à son baiser, le laissant prendre l'ascendant sur moi, après tout, c'était lui l'Alpha. Cette sensation était tellement unique, que je ne m'étais pas aperçu qu'il avait ouvert son pantalon pour libérer son membre bien durcis, jusqu'à ce qu'il me pousse la tête entre ses jambes.
- Vas-y ma belle, c'est pour ton apéritif, suce-moi bien, et montre ton talent de pipeuse...
Sans répondre je le pris en bouche, et lui appliquais une fellation de premier choix... J'alternais ma pipe avec une masturbation douce et érotique, ne voulant pas qu'il jouisse trop vite, afin de le garder en forme pour le reste de la soirée. Soudainement et d'autorité, il me repoussa son sexe dans la bouche, et me força à le sucer rapidement. Il me baisa la bouche, en contraste total avec mes caresses précédentes. Mon amoureux s'était transformé en prédateur en rut. Il coulissait son membre frénétiquement entre mes lèvres.
- Vas-y salope, continue, pipe moi cochonne, oui, vas-y !!!!!! Ohhhhh, tu vas me faire jouir ma pouliche, tu es trop bonne !!!!
Au bord de la jouissance, il stoppa net avant de jouir dans ma bouche. Docile, je gardais néanmoins ma position en donnant des petits coups de langue alors qu'il avait pris mon écharpe pour se nettoyer, se moquant de moi à la vue du graphisme de mon foulard dans lequel était dessiné des animaux éléphants, tigres, mais aussi cochon...
- Alors maintenant, tu affiches ton statut de cochonne sur tes vêtements ma pouliche, parfait...
- Ohhhh Jérôme, tu me fais perdre la tête. Tu sais que je suis en train de tomber amoureuse de toi... J'ai tellement envie que tu t'occupes de moi cette nuit...
- Tout va dépendre de toi ma pouliche, si tu arrives à m'exciter, alors ne t'inquiète pas, je m'occuperais de toi, en attendant allons manger...
Le repas fut gastronomique au champagne. Je buvais plus de raison, parlant de mes projets, de mes expériences, un vrai moulin à paroles, alors que Jérôme m'écoutait en silence. Au dessert, je pris les devants, et l'invitais à prendre le café chez moi, attendant avec impatience et envie le deuxième round...
- Payons vite mon chéri, et rentrons chez moi... J'ai envie de toi... Je veux être tienne cette nuit, entièrement.
Il paya le restaurant, et nous retournions au parking afin de récupérer mon véhicule. Arrivé à la voiture, il me plaqua contre la portière, et me força à me mettre à genoux, sortant son sexe à nouveau bien dressé, qu'il m'enfonça dans la bouche. Je le suçais avec délectation, dégustant son sexe comme un second dessert. Je prenais garde à ne pas trop l'exciter afin de ne pas écourter notre nuit à venir. Il bandait bien dur dans ma bouche, et je sentais les effets de mes caresses buccales au rythme de ses coups de reins.
- - Alors, mon bel amant, est ce je t'ai suffisamment excitée... Allez, avoue...
- - J'avoue que tu m'as émoustillé, mais je suis sûr que tu peux faire encore mieux.
Il prit le volant, et se dirigea vers mon domicile, ou j'allais enfin pouvoir me donner à lui entièrement. Au premier feu, il sortit son sexe qui était toujours bien dur, et sans me demander mon avis, me prit par les cheveux, poussant mes lèvres autour de son membre pour une nouvelle fellation.
- - Prends-moi dans ta belle bouche, pour finir nos préliminaires.
- - Hors de question, je ne veux pas que tu jouisses avant d'arriver chez moi.
Toutefois, docile, je m'exécutais, tout en gardant le contrôle, afin de ne pas laisser passer ma chance de l'avoir à moi pour la nuit entière. Je souhaitais tellement me donner à lui. Être sa chose, son objet, son jouet, son esclave. Sentir son sexe partout en moi, et être enfin entièrement possédée. Je continuais à le sucer, alternant avec ma langue tournant autour de son membre, le léchant de bas en haut ou avalant ses testicules que j'enfournais en entier dans ma bouche. Il se laissait faire, concentrer aussi sur sa conduite, mais se déchaîner à chaque feu rouge, ou il me prenait par les cheveux et me baiser la bouche avec frénésie. C'était presque un jeu, lui essayant de se vider dans ma bouche à chaque arrêt, et moi, le tenant en appétit pendant le reste du temps. Il devenait fou et me traitait de tous les noms, perdant le contrôle sur lui-même.
- T'es la plus grosse salope que je connaisse, tu n'arriveras pas à m'empêcher de jouir dans ta bouche de pouffiasse avant d'arriver chez toi.... Ohhhhh, mais quelle grosse pute....
Au bout de 20 minutes de voiture, nous arrivions enfin à la maison.
- Et voilà, j'ai gagné, on est arrivés !!!!
- Viens ma pouliche, me rouler une bonne pelle avant qu'on rentre chez toi. Je vais te faire le tour du propriétaire, toute la nuit, tu l'as bien mérité.
Après une pelle bien goulue, nous rentrâmes dans la maison, seuls tous les deux avec le reste de la nuit devant nous... Alors que la porte se refermait, il me plaqua contre la porte et se rua sur moi. Me tenant par les hanches, il m'embrassa sauvagement. Sa langue tournoyait contre la mienne. Ses mains remontées sur mon corps, afin de me palper mes gros seins déjà particulièrement malmenés pendant la journée. Je m'abandonnais dans ses bras. Mon corps était à lui... J'étais sa chose, son jouet. Nos deux corps ne faisait qu'un, debout contre la porte, mélangeant nos langues. Il inversa notre position me retournant afin que je lui tourne le dos, alors qu'il s'appuyait contre la porte. Sa bouche était dans mon cou alors que sa main droite attaquait mes seins, et que sa main gauche plongeait entre mes cuisses, frottant mon vagin au travers du tissu de ma jupe fourreau.
- Je vais te faire visiter ta maison d'une manière unique et spéciale ma beauté, tu vas voir, c'est comme le jeu de l'oie, et tu vas la découvrir comme tu ne l'as jamais vue auparavant.
- Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux...

Il n'avait pas pris le temps de m'enlever mon manteau, et j'avais toujours mon sac en bandoulière. Il me faisait jouir avec ses doigts et ses grosses mains. Une extase orgasmique s'emparait de moi, coincée entre ses bras, je m'abandonnais totalement, le laissant me palper. Je gigotais debout bloquée dans ma jupe longue et dans ses bras virils. Quel bonheur, il s'occupait enfin de moi, réellement comme un vrai amant. Il fit un plusieurs pas avant, stoppant dans le couloir et gardant la même position, moi lovée dans ses bras qui m'encerclaient comme les tentacules d'une pieuvre. Il recommença le même manège. Je sentais ses mains partout sur mon corps, sa langue me mordillant le cou, alors que son sexe, gonflé à bloc, se frottait contre mes fesses. Il refit à nouveau deux pas en avant, et stoppa à nouveau, encore et encore, nous étions encore loin du salon et je savais ne pas pouvoir tenir à ce régime de caresses. À nouveau 2 pas, et stop, la pieuvre était à nouveau tout autour de mon corps, scrutant chaque centimètre de mon corps, le parcourant, le palpant, l'utilisant... J'apercevais enfin la table de la salle à manger à quelques pas, et essayais de l'entraîner en avant, avançant jusqu'à la table. Il me bloqua à nouveau et recommença son manège.
- Tu veux que je te prenne sur la table, ma salope, et bien, il va falloir faire encore au moins 6 pas.
- Ohhhhhh, Jérôme, ohhhh mon dieu....bascule moi sur la table et prends moi...
- Qui t'as autorisé à avancer, encore 6 pas ma cochonne, et tu vas recevoir une petite punition pour te mettre en bouche.
On prit encore de longues minutes avant d'arriver à la table, pendant laquelle il réussit à me faire jouir rien que de ses mains caressant mon corps épuisé. Enfin, à destination, il m'enleva mon manteau, posa mon sac, et me bascula en avant contre la table, fesses en l'air, et lui derrière moi. Une grande claque s'abattit sur ma croupe, puis une autre et encore une autre. Il me fessa pendant plusieurs minutes, claquant ses mains puissantes sur le tissu de ma jupe fourreau. La punition s'arrêta enfin. Je le sentais s'accroupir derrière moi. Il releva ma jupe crayon dont le fourreau étroit me collait aux cuisses, mais suffisamment extensible pour dévoiler mes cuisses et mes fesses enfin presque disponibles. Sa main se posa sur mes fesses encore protégées par le nylon de mes collants, qui ne résista pas longtemps. Il déchira mon collant. Il ne me restait que mon string comme protection. Il passa un doigt en dessous de la ficelle qui me séparait les fesses, et tira dessus pour la lâcher comme un élastique. Il tira ensuite sur la ficelle de chaque côté, tenant la soie de ma culotte à l'extrême et s'amusa à faire coulisser la ficelle entre mes fesses. Il joua avec pendant plusieurs minutes, m'étourdissant totalement, du fait de la pression de la dentelle sur mes parties intimes. Il arracha enfin mon petit string, tirant dessus violemment, et l'utilisa pour me bâillonner la bouche. Il prit enfin le foulard sans mon sac pour me lier les poignées dans le dos.
- Voilà comment je t'aime, offerte, docile, et attachée. Je vais pouvoir passer à l'étape suivante beauté...
Il s'agenouilla derrière moi, écartant mes fesses avec ses deux mains et plongea sa langue entre mes cuisses, pour me lécher la vulve. Il me pénétra le vagin avec sa langue avec un mouvement de va-et-vient. Bien que mon vagin n'ait pas autant de terminaisons nerveuses réceptives au plaisir que mon clitoris, sa pression s’avérait très érotique. Il utilisait sa langue pour me faire languir, il commença par l'intérieur des cuisses, ma vulve et mes lèvres suçant légèrement partout avant de plonger au plus profond pour me lécher le clitoris. Alors qu'il continuait son cunnilingus, je sentais son pouce me titiller l'orifice de mon anus, et comprenant que je n'allais pas y échapper. Il plongea son pouce dans mon petit trou, jouant en même temps avec sa langue. Une fois de plus, il prit son temps, marquant des pauses pour se reposer, et recommençait de plus belle. Je gémissais son mon bâillon, tordant mes fesses sous les caresses, qu'il récompensait par des grandes claques. Il réussit à me faire jouir plusieurs fois avec plusieurs orgasmes qui revenaient de manière perpétuelle comme une sorte de vague permanente.
- Ohhhhhhh, mon dieu !!!! Ouiiiiiiiii, Ohhhhh Jérôme prends moi mon petit trou !!!!!!
Il se releva, je sentais sa respiration derrière moi, dans mon dos, forte et saccadée. Sa main plongea entre mes cuisses, prenant à pleine main mon vagin. Il me frictionnait l'entre-jambe, alors que je sentais entrer en moi son doigt inquisiteur. Il me doigta, complétant par un second doigt puis un troisième, qui me fouillait la chatte. Il faisait rentrer et sortir sa main rapidement, continuant à alimenter cet orgasme permanent que je vivais maintenant depuis plus de 30 minutes. J'étais au bord de l'évanouissement, saccadée par ses caresses intrusives. Il continua de longues minutes à me pilonner de sa main, pour enfin me redresser en me tirant par les cheveux. Il me retourna, et tout en gardant sa main en moi, il me tira par les cheveux pour m'entraîner vers le salon, et me figea au bout de quelques pas.
- - Regarde ton canapé, il est juste à une dizaine de pas... Tu crois que tu vas arriver jusque-là ?
- Hummmmm, Ohhhhhhh, mon dieu !!!! Jérôme tes doigts !!!!!!
Immobile, debout en plein milieu du salon, il me souleva mon pull, pour faire passer l'encolure derrière ma nuque, dévoilant enfin ma grosse poitrine, toujours protégée par mon soutien-gorge... Il attrapa mes gros seins qu'il malaxa, alors que sa main continuait à coulisser en moi. Je gémissais sous mon string, défaite par les caresses multiples qui parcourraient mon corps. Il allait continuer à me prendre comme ça, jusqu'à la fin. Le canapé, si proche, me parut tout d'un coup très éloignée. Un pas, puis un autre, et encore un autre.
- Ahhhhhhhh, tu me rends folle, Jérôme, mon dieu, tu me fais jouir !!!!!
Il nous fallu presque 10 minutes pour franchir ces 5 mètres. Il me poussa sur le grand canapé d'angle, me positionnant en levrette, visage contre le sofa, et fesses libres et relevées. Nous étions arrivés à la maison 1h plus tôt, et j'avais déjà subi tous les outrages, pour pouvoir enfin profiter de son sexe qui allait me posséder. Jamais je n'avais imaginé pouvoir être défaite de cette façon, mais aussi d'atteindre cet univers d'orgasme et de jouissance. Après des jours de patience, et un tour du propriétaire plutôt innovant, il me prit enfin.
- Voilà ma pouliche, tu es prête maintenant, tu as mérité ce premier assaut, lève moi bien ton gros cul de poule affamée...
Son sexe s'enfonça en moi, d'une traite, d'un seul coup, entièrement. Il s'accrochait à mes collants déchirés, et commença à me perforer de son sexe massif. Il me prit de tous les cotés, en levrette me défonçant mon gros cul, en cuillère renforçant cette pénétration vaginale, plaquait contre mon dos, en position du missionnaire me soulevant mes jambes au-dessus de lui et me tenant fermement par les cuisses. Passive, je n'avais d'autre alternative que de subir ses assauts qui m'amenaient au septième ciel. Un contact corporel incomparable pour une pénétration intense me faisait lier l'amour au plaisir physique et m'abandonner à une profonde jouissance. Il était tel un cerf en rut. Il se releva et me souleva afin de me porter. En position de coté, assise dans ses bras, il me prit quelques minutes debout, sauvagement libérant ses instincts les plus sauvages pour le temps d'une union bestiale. Il me renversa à nouveau sur le canapé, lui couché sur le dos et moi à cheval sur son membre, lui tournant le dos, il continua encore et encore à me défoncer. Je sentais régulièrement son pouce dans mon anus, qui continuait à dilater. Je découvrais les vrais talents de mon amant. Il était comme un magicien, jouant avec sa baguette magique et tellement créatif dans sa pratique sexuelle. Je ne comptais plus le nombre de positions et le temps qui s'écoulait, mais fut rappelé à la réalité par la sonnerie de mon téléphone. Je reconnus la sonnerie distinctive de mon Mari, que j'avais complètement oublié. Je me relevais pour répondre.
- Jérôme, c'est mon mari, il faut que je réponde, sinon il va se poser des questions.
- Plus tard, je vais d'abord te terminer, salope, après tout, c'est pour ca que je suis venueIl me remit en position de levrette et continua à me défoncer encore plus fort. Mes collants étaient irrémédiablement déchirés, et alors que je sentais sa queue coulisser en moi le téléphone continuait à sonner encore et encore. Pendant 20 minutes, il m'acheva, avec à la clé 5 appels manqués. Il jouit enfin sur mon cul, de long jets interminables, recouvrant mes fesses de son sperme chaud.
- Maintenant, tu peux appeler ton mari, pendant que je reprends des forces, et on passera au round suivant...
Il me détacha les bras, m'enleva le string de la bouche, réajusta mon pull correctement et m'accompagna, jusqu'à la table du salon pour récupérer mon téléphone dans mon sac. Le téléphone affichait les 5 appels manqués et plusieurs SMS de Richard qui me demandait ou j'étais. Je composais le numéro de Richard qui décrocha de suite.
- Et bien ou étais-tu ça fait 30 minutes que j'essaye de t'appeler, je commençais à m'inquiéter- Je viens de rentrer mon chéri, j'étais au restaurant.
- avec qui ?
J'inventais un pseudo-mensonge à mon mari, lui expliquant que j'avais dîné avec Patrick, notre directeur commercial. Ce n'était pas très loin de la réalité de toute façon. Alors que je parlais à Richard, Jérôme était derrière moi, et me poussait vers la cuisine.. Il m'emmena vers l'évier, me demandant à l'oreille de lui servir un verre d'eau, pendant que je continuais à parler avec mon mari au téléphone, je m'exécutais, et lui tendis le verre rempli. Il avala une petite bleu "viagra 50mg c'est pour m'occuper de ton petit trou quand tu auras fini avec ton mari". Il avait remis ses mains sur mon corps, et alors que je parlais au téléphone, il me refourra ses doigts dans mon vagin et se remit à me doigter. Je soufflais, gémissais.
- Tu as l'air essoufflée ma chérie que se passe t'il ?
- Ohhh mon chérie, tu me manques, j'ai envie de toi....
- Ohhhh, ma chérie, je rentre dimanche et je saurais me faire pardonner....
J'essayais de parler, coincée contre l'évier, alors je me faisais doigter par mon amant, et qu'au bout du téléphone mon mari me parlait de sa journée essayant de masquer mes gémissements de plaisir.
- Dis lui que tu vas t'enfiler un gode dans ton gros cul de cochonne et que tu vas lui envoyer des photos...
- Richard, Ohhhhhh, tu me manques tellement, je vais m'amuser seule ce soir avec mon jouet préféré.
- Ma chèrie tu sais que tu 'excites à ditance, j'adore cela.
La discussion continua plusierus minutes avant que je raccroche le téléphone, laissant mon mari seul à des milliers de kilométre, en train de se masturber dans sa chambre d'hotel. Je me rendais dans ma chambre poussée par Jérôme accroché à mon corps. Dans le dressing, j'ouvrais une petite boite en carton, dans laquelle je rangeais tous mes jouets. Assise sur le lit, je me retournais pour lui montrer mes fesses et me plaçais mon gode dans l'anus. Il joua avec pendant quelques minutes avant de m'entraîner dans le bureau, ou il m'installa à genoux dans le fauteuil de mon mari, m'ordonnant de me masturber. Assis en face de moi, il observait la scène avec délectation et se masturbait, me regardant en train de jouer avec mon gode que je faisais coulisser dans mon petit trou. Il me mitraillait de photos. La scène dura 10 minutes, à la fin desquelles il réajusta ma jupe correctement afin de garder cette sensation fétichiste de soumission et m'installa sur le fauteuil du bureau de mon mari, les jambes croisées. Content du résultat, il prit à nouveau plusieurs photos avec mon téléphone qu'il envoya à mon mari. Il me poussa à nouveau son sexe dans ma bouche qui avait retrouvé une forme bien dure et me baisa la bouche, me tenant par les cheveux afin de forcer les mouvements de ma tête sur son membre. Je le suçais, surprise de voir qu'il pouvait bander encore après cette soirée. Ma séance dans le bureau l'avait définitivement réveillé, et il allait recommencer à jouer avec moi. Cette nuit était loin d'être finie et allait être longue. Après quelques minutes de ce traitement sauvage, il me releva. Mes mains furent à nouveau attachées dans mon dos, et mon string, qu'il avait conservé, retrouva sa place, attaché autour de la bouche pour me bâillonner. Il m'entraîna avec lui, me tenant par les cheveux comme on restreint une pouliche un peu rebelle, et m'emmena vers les toilettes. Il ouvrit la porte et me bascula à genoux en levrette les épaules reposant sur l'abattant des WC et la tête coincée dans la cuvette. Une grande claque s'abattit sur ma jupe.
- Je vais m'occuper de ton petit trou maintenant, garde bien ta position beauté, et prépare toi à m'offrir ton gros cul...
Il attrapa ma jupe crayon de chaque côté de la fente, et l'écarta violemment, déchirant le tissu et révélant mes cuisses, mes fesses et mes collants déchirés. Il releva à nouveau mon pull, baissa mon soutien-gorge afin de laisser mes gros seins pendre libre dans la cuvette, et s'empara de la bretelle de mon soutien-gorge comme d'un harnais de dressage pour jument récalcitrante. Son pouce s'enfonça dans mon anus afin de me dilater et préparer l'assaut finale. Sa queue, qui avait retrouvé toute sa vigueur, s'enfonça en moi. Il me sodomisa dans cette position infamante de soumission perverse. Il m'avait rabaissé au rang de poupées sexuelles, et me possédait comme un démon en rut. Une bête, un animal, qui m'enculait, dans la plus avilissante des positions. Il allait de plus en vite debout derrière moi accrochait à mon SG et me claquant mon gros cul pour me donner du cœur à l'ouvrage. Il jouit au fond de mon anus, se vidant à nouveau en moi, et gardant cette position pendant quelques minutes pour reprendre son souffle. Il se releva enfin, mais posa sa main sur ma nuque. Je savais ce qu'il allait faire, cela marquait en général la fin des hostilités. Je n'attendue pas longtemps avant que de grands jets d'urine me recouvrent la tête et les cheveux. Il pissait dans les WC, avec pour seul inconvénient ma tête au milieu. Le liquide était partout, je le laissais faire, restreinte de toute façon. Une fois soulagé, il me releva et m'observa. J'avais les cheveux mouillés de pisse, du sperme me dégoulinait de mon anus et dé mon vagin, mes habits étaient déchirés et recouverts de sperme également, et mes gros seins à l'air sentait l'urine. Il me regarda, prit quelques photos avec son téléphone, de cette bourgeoise complètement défaite, après cette journée et cette nuit de sexe.
- Une bonne douche s'impose ma belle pouliche.
Il m'entraîna vers la salle de bain, toujours restreinte, et me poussa sous la douche tout habillée. Il finit de déchirer ou de m'enlever tous mes habits afin de me mettre à nue, avant d'ouvrir l'eau. Il était nu aussi, et me lava avec le gel douche, s'attardant particulièrement sur mon entre-jambe qui eut droit à une dernière visite de ses doigts gourmands. Placée derrière moi, sa main gauche avait glissé entre mes cuisses, alors que la gauche caressait mes seins volumineux, enfin libres. Il me doigta sous l'eau, me conservant attachée comme pour un baroud d'honneur. Une fois propre, je fus enfin libérée. On se coucha nus tous les deux et coincée entre ses bras, je m'endormis rapidement heureuse et sereine.... Il était 2H du matin, et cela, faisait déjà 2 heures 30, qu'on était rentrés à la maison.
Je ne mis pas de réveil, voulant profiter de cette nuit, blottie dans les bras de mon amant et sachant que ca ne se renouvellerait pas avant longtemps. Alors que je dormais paisiblement pleine de rêve, une sensation me parcourra le corps, me tirant progressivement de mon sommeil. Je sentais la main de Jérôme qu s'était glissée entre mes jambes et qui me caressait le vagin, alors que son sexe bien dure se frottait contre mes fesses nues et offertes. Il me caressa, doucement me tirant définitivement de mon sommeil, et quand il s'aperçut que j'étais réveillé, il me bascula sur lui. J'étais couchée sur mon dos, allongée sur lui, alors qu'il me masturbait le vagin de plus en plus vite. Aucune parole, seuls mes gémissements lui donnaient le tempo. Il me mit la main sur la bouche pour étouffer mes gémissements et me doigta furieusement. Il introduit alors son sexe en moi, alors que sa main se glissa en dessous de mes fesses pour s'insinuer dans mon petit trou. Il me baisa frénétiquement. Il ne s'arrêtait pas, ne se reposait pas, ces quelques heures de sommeil avaient réveillé toutes ses ardeurs. J'étais parcouru par un violent orgasme me cambrant le dos, pour retomber sur lui. Il me retourna sans attendre, et encula mon petit trou dilaté. En levrette, nue sur mon lit conjugal, je me faisais fourrer, sodomiser par mon amant véritable machine sexuelle. Il me défonça pendant plusieurs minutes avant de gicler tout son foutre sur mon dos, et de s'écrouler sur moi. Immobile, tous les deux, je me rendormais, rassasiée de sexe et de sperme. À mon réveil, il avait disparu. Je trouvais sur mon téléphone des photos de moi nue en train de dormir avec un message "Bravo pour cette soirée et nuit unique, et à bientôt...". J'avais vécue, une nuit, fantastique, il me fallait maintenant me préparer au retour de mon mari.

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