Le vieux voisin Mr David - P3
Récit érotique écrit par Amdsoo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2022 dans la catégorie Plus on est
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Le vieux voisin Mr David - P3
3. Sexe Matinal
Dix heures du matin. Je m’étire dans le lit. Je constate que Mélodie n’est plus là. Quelle soirée hier ! On a fini dans la salle de bain à plaisanter. Je suis très excité quand je pense à Françoise. Et aussi à Mélodie, elle a clairement eu du plaisir à sucer le voisin, et surtout à se faire ramoner par Jacques.
Tiens justement j’aurais bien aimé lui faire un câlin ce matin… J’enfile un short, il fait déjà chaud. Aujourd’hui nous allons au lac de Quinson, il fera plus frais dans ce petit vallon près du Lac du Verdon que je connais depuis des années.
Quand j’entre dans le salon, Mélodie est à genoux entre les jambes de Jacques, il a un barreau d’enfer, et elle le suce lentement…
- Bonjour mon chéri, tu ne m’en veux pas hein ?
- Heu non, non bien sûr...
- Bonjour Marc, ta femme taille vraiment des pipes parfaites.
- Je vois ça...
Je suis quand même interloqué. La garce n’a pas attendu ma queue, elle s’est rabattu sur celle de Jacques, et elle y va gaiement. Sa langue s’enroule sur son gland, Jacques lui caresse les cheveux, comme pour la pousser à avaler son membre un peu plus.
Je prépare un café, ne sachant pas trop quoi faire, aller baiser Françoise ? cela parait un peu exagéré, mais je décide de m’asseoir en face d’eux. J’ai aussi une érection, et Jacques qui me fait face, me sourit. Il boit un verre de jus d’orange, et se laisse sucer comme si de rien n’était. Je vois qu’il ferme les yeux par moment, il a du plaisir à pistonner la gorge de ma femme, elle a ses lèvres serrées sur sa bite et ne laisse rien couler, elle doit boire son pré-foutre comme du petit lait.
- Oh je crois que tu vas me faire jouir Mélodie…
Elle continue de le pomper, comme si elle n’avait rien entendu.
- Oh oui, oui, vas-y, continue, ma jolie pute, tu vas l’avoir ton petit déjeuner, un bon verre de foutre !
Il tremble un peu, quelques secousses que je connais, mon ami éjacule dans la bouche tendue de ma femme. Elle monte et descend, le long de sa hampe, il se vide en six ou sept giclées. Elle avale le tout, et desserre ses lèvres. Puis elle le nettoie lentement, s’appliquant à bien tout récupérer, sur ses couilles, et lèche une dernière fois son gland luisant. Je suis stupéfait, elle vient d’avaler son foutre devant moi.
- Tu as aimé ?
- Oh oui j’ai adoré jouir dans ta bouche, c’est à refaire.
- Quand tu veux, Françoise aime aussi te sucer et boire ton sperme ?
- Elle adore boire mon foutre, comme toi.
Mélodie un peu déçu sa réponse, se relève et s’approche de moi, elle me fait un smack, je sens le foutre de Jacques, son odeur est sur mes lèvres.
Quand Françoise se lève, il est plus de onze heures, j’aimerais la baiser devant eux, elle est splendide, elle a un petit haut sexy qui laisse voir le dessous de ses seins et son ventre, et une culotte qui tirée sur son minou laisse deviner sa jolie fente. Trop tard ! Nous décidons de nous mettre en route pour le piquenique.
Après avoir rassemblé de quoi déjeuner, nous prenons la route vers le petit canyon de Quinson qui se trouve être en contrebas du lac du Verdon. Le chemin est accroché à la montagne, et nous dépassons quelques touristes, mais je sais qu’il faut marcher une heure de plus pour être tranquilles. Nous arrivons sur une mini plage en roche blanche, au bord de la rivière, et il n’y a absolument personne. Seuls quelques canoés mais bien plus loin.
Les filles sont en sueur, j’ai toujours trouvé sexy des filles en sueur, des jolies jambes musclées et suintantes, la sueur qui passe entre leurs seins, coule entre leurs cuisses, on dirait que le corps d’une femme est joliment vallonné pour cela. On se baigne et c’est carrément glacé, je sens mes testicules qui rétrécissent ! Françoise a un maillot deux pièces, mais décide d’aller seins nus, quel régal de voir ces globes de chair qui rebondissent à chacun de ses pas. Mélodie a froid dans l’eau, et quand elle sort, ses tétons sont tendus et durs, Jacques a bien tout vu, et s’empresse de lui peloter les seins alors qu’elle est allongée sur sa serviette, elle aussi fait du monokini. On dirait qu’ils sont en couple, j’ai une drôle d’impression.
- Tu as besoin de chaleur toi !
- Ah ah, oui mes seins sont glacés, regardes mes tétons.
Il joue un peu avec ces tétons. Elle semble apprécier et le laisse soupeser et caresser sa jolie poitrine dont je suis fier chaque été quand elle se promène sur la plage.
Françoise s’assoit sur la berge, les jambes dans l’eau, je nage jusqu’à elle, elle écarte les cuisses. Je suis à trente centimètres de son sexe, je peux voir sous le maillot mouillé, la forme de ses grandes lèvres. Elle tire sur son maillot d’un doigt, et me dévoile sa chatte, toute humide et fermée. Les deux autres ne peuvent pas voir ce qu’on fait, c’est excitant mais l’eau est tellement glacée que je ne peux pas rester dedans ! dommage !!
Jacques embrasse Mélodie, elle lui rend ses caresses, et lui palpe les couilles à travers son maillot. Tout cela est excitant.
Le déjeuner prend fin, il y a une bonne ambiance. Des touristes allemands sont venus à côté de nous, un peu surprises les filles se sont rhabillées, mais le chef de famille s’est rincé les yeux, les petits seins tendus de Mélodie et la poitrine plantureuse de Françoise n’y sont pas pour rien, sans compter que le bas de maillot de Mélodie ne cache pas ses belles fesses. La femme allemande à l’air sévère, et le regarde avec de la colère dans les yeux. Aller si loin sur ce chemin, pour tomber nez à nez avec deux Françaises les seins à l’air, et en plus super sexy !
Vers quatorze heures, nous décampons et retournons à Moissac.
- Ce soir Mr David doit passer boire l’apéro les filles, je me demande si vous aurez l’audace de le provoquer un peu, lance Jacques- Bah lui il ne faut pas grand-chose pour le démarrer le vieux pervers, répond Françoise - Et oui, hier il m’a bien pincé les tétons ce vieux saligot, mais il s’est régalé à nous lécher la moule, je sentais sa langue bien profonde en moi, il a rien laissé.
- J’ai googlé le nom de son copain Robert, et c’est ce que je pensais, c’est un mec qui faisait des films X au début du porno dans les années 80-90, dit Jacques.
- Ah oui, sa tête me disait aussi quelque chose, je renchéris.
- Oui tu passes trop de temps à regarder des films de cul Marc, et pas assez à t’occuper de ta belle Mélodie.
- Ah ah, tout le monde éclate de rire.
Mais Jacques est si intéressé par Mélodie, que je ris un peu jaune. Pendant le trajet, ce sagouin a la main dans la culotte de ma femme, en pleine journée, cela en devient désagréable. Elle gémit un peu, les jambes écartées à l’arrière de la voiture.
- Et bien dites donc les deux, on ne se gêne plus ! Dit Françoise.
- Et ce matin j’ai surpris Mélodie en train de lui faire une pipe dans le salon.
- Non ??! ce n’est pas vrai ?! Tu es une belle salope Mélodie !
- Si, et elle a bien tout avalé.
- C’était si bon, dit Mélodie.
- Jacques adore que j’avale son foutre, il dit que c’est bien la moindre des choses. Et toi tu aimes aussi te faire sucer non ?
- Oui bien sur… je réponds.
- Tous les mêmes les hommes… conclut Françoise
Elle se penche sur moi, et ouvre la braguette de mon short. Je garde les yeux sur la route. Elle sort ma bite, dégonflée, et me branle lentement. C’est très agréable, et je commence à bander dur.
- On va arriver à la maison, tout le monde descend, mission : vidage de couille pour ces messieurs, lance Françoise en se redressant.
A la maison, chacun emmène sa jolie princesse dans sa chambre, je pars avec Françoise, pendant que Jacques attire Mélodie dans la sienne. Elle me pousse alors sur le lit, et baisse mon short.
- Alors comme ça, tu aimes te faire sucer et tu aimes que la fille avale tout ?
- Heu oui, mais montres moi tes seins, j’ai tellement envie de les toucher.
- Attends je vais tout enlever ce sera encore mieux.
Elle enlève son petit haut, et ses deux melons dansent devant mes yeux. Puis elle fait glisser son short a ses pieds, sa petite culotte suit deux secondes plus tard. Elle est nue, légèrement bronzée devant moi. Je bande comme un taureau, je peux entendre Mélodie au bout du couloir qui gémit, cet enfoiré de Jacques doit être en train de lui défoncer sa petite chatte. Il ne fait pas dans la douceur.
Nous restons au lit deux heures, elle me suce, et moi à mon tour, je m’aventure entre ses cuisses, quelle merveille, sa fente est humide et chaude, elle est ouverte maintenant, je glisse un doigt puis deux, je bois à sa petite fontaine de cyprine, quel délice. Nous faisons l’amour paisiblement, je la prends en missionnaire, et je la fais jouir, puis elle me masturbe en serrant ma bite entre ses seins. Je suis assis sur son ventre, et je gicle sur sa poitrine étalée devant moi, et pas qu’un peu. Elle rit, en étalant le sperme sur ses tétons.
- Tu m’avais promis de jouir dans la bouche !
- Ah oui mais tes seins m’ont tellement excité !
Je croise Mélodie qui sort des toilettes, elle est ravissante, et nue. Elle me montre sa fente, en écartant un peu les lèvres. Elle est un peu rouge, et ses lèvres sont légèrement distendues comme si pas à leur place.
- Il m’a littéralement défoncé, chéri si tu savais. Une vraie queue sur ressort.
- Je vois ça, j’aimerais quand même que tu fasses attention !
- Bien sûr ! et toi alors avec la belle Françoise ? tu as pris ton pied- Heu oui. Elle est très douce, et elle a de ces seins…
Elle m’embrasse et retourne finir la sieste avec mon ami.
Dix heures du matin. Je m’étire dans le lit. Je constate que Mélodie n’est plus là. Quelle soirée hier ! On a fini dans la salle de bain à plaisanter. Je suis très excité quand je pense à Françoise. Et aussi à Mélodie, elle a clairement eu du plaisir à sucer le voisin, et surtout à se faire ramoner par Jacques.
Tiens justement j’aurais bien aimé lui faire un câlin ce matin… J’enfile un short, il fait déjà chaud. Aujourd’hui nous allons au lac de Quinson, il fera plus frais dans ce petit vallon près du Lac du Verdon que je connais depuis des années.
Quand j’entre dans le salon, Mélodie est à genoux entre les jambes de Jacques, il a un barreau d’enfer, et elle le suce lentement…
- Bonjour mon chéri, tu ne m’en veux pas hein ?
- Heu non, non bien sûr...
- Bonjour Marc, ta femme taille vraiment des pipes parfaites.
- Je vois ça...
Je suis quand même interloqué. La garce n’a pas attendu ma queue, elle s’est rabattu sur celle de Jacques, et elle y va gaiement. Sa langue s’enroule sur son gland, Jacques lui caresse les cheveux, comme pour la pousser à avaler son membre un peu plus.
Je prépare un café, ne sachant pas trop quoi faire, aller baiser Françoise ? cela parait un peu exagéré, mais je décide de m’asseoir en face d’eux. J’ai aussi une érection, et Jacques qui me fait face, me sourit. Il boit un verre de jus d’orange, et se laisse sucer comme si de rien n’était. Je vois qu’il ferme les yeux par moment, il a du plaisir à pistonner la gorge de ma femme, elle a ses lèvres serrées sur sa bite et ne laisse rien couler, elle doit boire son pré-foutre comme du petit lait.
- Oh je crois que tu vas me faire jouir Mélodie…
Elle continue de le pomper, comme si elle n’avait rien entendu.
- Oh oui, oui, vas-y, continue, ma jolie pute, tu vas l’avoir ton petit déjeuner, un bon verre de foutre !
Il tremble un peu, quelques secousses que je connais, mon ami éjacule dans la bouche tendue de ma femme. Elle monte et descend, le long de sa hampe, il se vide en six ou sept giclées. Elle avale le tout, et desserre ses lèvres. Puis elle le nettoie lentement, s’appliquant à bien tout récupérer, sur ses couilles, et lèche une dernière fois son gland luisant. Je suis stupéfait, elle vient d’avaler son foutre devant moi.
- Tu as aimé ?
- Oh oui j’ai adoré jouir dans ta bouche, c’est à refaire.
- Quand tu veux, Françoise aime aussi te sucer et boire ton sperme ?
- Elle adore boire mon foutre, comme toi.
Mélodie un peu déçu sa réponse, se relève et s’approche de moi, elle me fait un smack, je sens le foutre de Jacques, son odeur est sur mes lèvres.
Quand Françoise se lève, il est plus de onze heures, j’aimerais la baiser devant eux, elle est splendide, elle a un petit haut sexy qui laisse voir le dessous de ses seins et son ventre, et une culotte qui tirée sur son minou laisse deviner sa jolie fente. Trop tard ! Nous décidons de nous mettre en route pour le piquenique.
Après avoir rassemblé de quoi déjeuner, nous prenons la route vers le petit canyon de Quinson qui se trouve être en contrebas du lac du Verdon. Le chemin est accroché à la montagne, et nous dépassons quelques touristes, mais je sais qu’il faut marcher une heure de plus pour être tranquilles. Nous arrivons sur une mini plage en roche blanche, au bord de la rivière, et il n’y a absolument personne. Seuls quelques canoés mais bien plus loin.
Les filles sont en sueur, j’ai toujours trouvé sexy des filles en sueur, des jolies jambes musclées et suintantes, la sueur qui passe entre leurs seins, coule entre leurs cuisses, on dirait que le corps d’une femme est joliment vallonné pour cela. On se baigne et c’est carrément glacé, je sens mes testicules qui rétrécissent ! Françoise a un maillot deux pièces, mais décide d’aller seins nus, quel régal de voir ces globes de chair qui rebondissent à chacun de ses pas. Mélodie a froid dans l’eau, et quand elle sort, ses tétons sont tendus et durs, Jacques a bien tout vu, et s’empresse de lui peloter les seins alors qu’elle est allongée sur sa serviette, elle aussi fait du monokini. On dirait qu’ils sont en couple, j’ai une drôle d’impression.
- Tu as besoin de chaleur toi !
- Ah ah, oui mes seins sont glacés, regardes mes tétons.
Il joue un peu avec ces tétons. Elle semble apprécier et le laisse soupeser et caresser sa jolie poitrine dont je suis fier chaque été quand elle se promène sur la plage.
Françoise s’assoit sur la berge, les jambes dans l’eau, je nage jusqu’à elle, elle écarte les cuisses. Je suis à trente centimètres de son sexe, je peux voir sous le maillot mouillé, la forme de ses grandes lèvres. Elle tire sur son maillot d’un doigt, et me dévoile sa chatte, toute humide et fermée. Les deux autres ne peuvent pas voir ce qu’on fait, c’est excitant mais l’eau est tellement glacée que je ne peux pas rester dedans ! dommage !!
Jacques embrasse Mélodie, elle lui rend ses caresses, et lui palpe les couilles à travers son maillot. Tout cela est excitant.
Le déjeuner prend fin, il y a une bonne ambiance. Des touristes allemands sont venus à côté de nous, un peu surprises les filles se sont rhabillées, mais le chef de famille s’est rincé les yeux, les petits seins tendus de Mélodie et la poitrine plantureuse de Françoise n’y sont pas pour rien, sans compter que le bas de maillot de Mélodie ne cache pas ses belles fesses. La femme allemande à l’air sévère, et le regarde avec de la colère dans les yeux. Aller si loin sur ce chemin, pour tomber nez à nez avec deux Françaises les seins à l’air, et en plus super sexy !
Vers quatorze heures, nous décampons et retournons à Moissac.
- Ce soir Mr David doit passer boire l’apéro les filles, je me demande si vous aurez l’audace de le provoquer un peu, lance Jacques- Bah lui il ne faut pas grand-chose pour le démarrer le vieux pervers, répond Françoise - Et oui, hier il m’a bien pincé les tétons ce vieux saligot, mais il s’est régalé à nous lécher la moule, je sentais sa langue bien profonde en moi, il a rien laissé.
- J’ai googlé le nom de son copain Robert, et c’est ce que je pensais, c’est un mec qui faisait des films X au début du porno dans les années 80-90, dit Jacques.
- Ah oui, sa tête me disait aussi quelque chose, je renchéris.
- Oui tu passes trop de temps à regarder des films de cul Marc, et pas assez à t’occuper de ta belle Mélodie.
- Ah ah, tout le monde éclate de rire.
Mais Jacques est si intéressé par Mélodie, que je ris un peu jaune. Pendant le trajet, ce sagouin a la main dans la culotte de ma femme, en pleine journée, cela en devient désagréable. Elle gémit un peu, les jambes écartées à l’arrière de la voiture.
- Et bien dites donc les deux, on ne se gêne plus ! Dit Françoise.
- Et ce matin j’ai surpris Mélodie en train de lui faire une pipe dans le salon.
- Non ??! ce n’est pas vrai ?! Tu es une belle salope Mélodie !
- Si, et elle a bien tout avalé.
- C’était si bon, dit Mélodie.
- Jacques adore que j’avale son foutre, il dit que c’est bien la moindre des choses. Et toi tu aimes aussi te faire sucer non ?
- Oui bien sur… je réponds.
- Tous les mêmes les hommes… conclut Françoise
Elle se penche sur moi, et ouvre la braguette de mon short. Je garde les yeux sur la route. Elle sort ma bite, dégonflée, et me branle lentement. C’est très agréable, et je commence à bander dur.
- On va arriver à la maison, tout le monde descend, mission : vidage de couille pour ces messieurs, lance Françoise en se redressant.
A la maison, chacun emmène sa jolie princesse dans sa chambre, je pars avec Françoise, pendant que Jacques attire Mélodie dans la sienne. Elle me pousse alors sur le lit, et baisse mon short.
- Alors comme ça, tu aimes te faire sucer et tu aimes que la fille avale tout ?
- Heu oui, mais montres moi tes seins, j’ai tellement envie de les toucher.
- Attends je vais tout enlever ce sera encore mieux.
Elle enlève son petit haut, et ses deux melons dansent devant mes yeux. Puis elle fait glisser son short a ses pieds, sa petite culotte suit deux secondes plus tard. Elle est nue, légèrement bronzée devant moi. Je bande comme un taureau, je peux entendre Mélodie au bout du couloir qui gémit, cet enfoiré de Jacques doit être en train de lui défoncer sa petite chatte. Il ne fait pas dans la douceur.
Nous restons au lit deux heures, elle me suce, et moi à mon tour, je m’aventure entre ses cuisses, quelle merveille, sa fente est humide et chaude, elle est ouverte maintenant, je glisse un doigt puis deux, je bois à sa petite fontaine de cyprine, quel délice. Nous faisons l’amour paisiblement, je la prends en missionnaire, et je la fais jouir, puis elle me masturbe en serrant ma bite entre ses seins. Je suis assis sur son ventre, et je gicle sur sa poitrine étalée devant moi, et pas qu’un peu. Elle rit, en étalant le sperme sur ses tétons.
- Tu m’avais promis de jouir dans la bouche !
- Ah oui mais tes seins m’ont tellement excité !
Je croise Mélodie qui sort des toilettes, elle est ravissante, et nue. Elle me montre sa fente, en écartant un peu les lèvres. Elle est un peu rouge, et ses lèvres sont légèrement distendues comme si pas à leur place.
- Il m’a littéralement défoncé, chéri si tu savais. Une vraie queue sur ressort.
- Je vois ça, j’aimerais quand même que tu fasses attention !
- Bien sûr ! et toi alors avec la belle Françoise ? tu as pris ton pied- Heu oui. Elle est très douce, et elle a de ces seins…
Elle m’embrasse et retourne finir la sieste avec mon ami.
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