Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 13

- Par l'auteur HDS Amdsoo -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 13
13.SylviaPendant tout ce temps, Sylvia enfermée dans le sous-sol avait perdu le sens du temps. Habituée depuis des semaines à recevoir les créditeurs de la ferme, elle payait avec humiliation les dettes. Xavier l’utilisait fréquemment, et tous les jours se succédaient un grand nombre d’hommes qui ne résistaient pas à l’offre si juteuse. Certains exigeaient des punitions plus importantes et le corps de Sylvia attestait de cette violence gratuite.
Elle ne comptait plus les séances de bondage, ou elle recevait sur ses jolis seins de coups de cannes, de fouets, et a certaines occasions, juste des gifles puissantes qui la griffaient. Ses seins rougissaient, et lui faisaient mal, mais elle avait appris à encaisser le pire. Xavier finissait souvent les séances par une sodomie profonde et elle se prêtait à son jeu. Sa soumission la surprenait, mais Xavier avait réussi là où elle avait échoué. La ferme ne serait pas vendue, et ils avaient maintenant du cash pour moderniser.

Sa soumission progressive puis totale, lui avait permis d’améliorer au bout d’un mois son confort, elle dormait au pied du lit de Xavier, sur un matelas qu’il lui avait installé. En journée, elle devait constamment être nue sous sa robe courte, pas de culotte, et pas de soutien-gorge. A tout moment, elle pouvait recevoir une fessée sur ses belles fesses rondes, et Xavier ne s’en privait pas. Un doigt dans sa chatte, pour vérifier son humidité.
Xavier lui faisait aussi porter un gode anal pendant la journée, pour bien dilater son anus, et cela accélérait les séances de sodomie que beaucoup de visiteurs souhaitaient.
Sylvia ne souffrait plus du tout de ces enculages, elle les appréciait même quelques fois quand l’homme savait s’y prendre, et la ramonait gentiment par derrière, en la tenant fermement par ses seins.

Avant de s’endormir, Xavier exigeait une pipe, lentement, pour faire monter son plaisir, ensuite il la prenait soit dans le cul, soit dans la chatte, évitant les parties trop utilisées pendant la journée. Elle lui donnait le plaisir maximum, changeant complètement son comportement sexuel par rapport à sa vie « d avant ». Elle pratiquait son énéma régulièrement pour éviter les déboires rencontrés lors des premières journées de soumission. Son colon était tout propre, et régulièrement bien lubrifie, elle utilisait une huile naturelle qui sentait très bon. Cette pratique avait largement diminué l’horrible sensation d’humiliation quand elle avait dû nettoyer des queues sales après des sodomies mal préparées.

Il était 14h00 le vendredi, quand Xavier lui demanda de se préparer, il lui demanda de s’habiller comme une « dame du sud », grande robe blanche, chapeau de paille, talons hauts, et sous-vêtements, Pour une fois elle ne serait pas nue sous sa robe.

Ils partirent de la ferme en voiture, Xavier lui dit que la situation avec les ouvriers était critique car il avait refusé de leur payer le dernier mois de salaire. Xavier cherchait toujours un moyen d’économiser et il était fin négociateur. Le mécontentement était si fort que Xavier avait pensé logiquement à Sylvia pour atténuer la pression des ouvriers. Quoi de mieux qu’une dame si élégante, rousse et ravissante à baiser quand on est un ouvrier noir ? Peut-être un fille plus jeune, sexy et rousse ? mais c’est une autre histoire… « Mais Xavier ces hommes sont tous noirs « « Oui je sais mais tu as déjà touche une bite noire et tu semblais apprécier, n’est-ce pas ? » Sylvia ne se rappelait pas de la visite du semencier, elle était vaguement droguée ce jour-là. Elle sentit un tressaillement dans tout son corps la traverser, la perspective d être au contact de ces ouvriers la terrifiait. Depuis son enfance, son père lui avait toujours interdit d approcher les baraques, car la jeune demoiselle ressemblait beaucoup à Mélodie maintenant, et les hommes auraient eu du mal à se contenir.

Quand ils arrivèrent devant les baraques, une dizaine d’ouvriers chômaient au lieu de travailler dans les champs.
Sylvia avait du mal à marcher sur les graviers, et maladroitement faillit tomber, Xavier la soutenait sur son côté gauche. Cette gaucherie fit sourire certains des ouvriers, et la rendit encore plus sexy. Ils étaient très muscles, relativement jeunes, et regardaient avec appétit cette femme si sophistiquée. Xavier les salua d’un geste et poussa Sylvia gentiment à l’intérieur de la première baraque, la plus grande.
La ferme comptait près de 250 ouvriers à son maximum mais certains d’entre eux faute de revenus avaient déserté, il y avait aussi trois femmes qui faisaient la cuisine, le ménage et qui servaient souvent le soir de défouloir pour ces hommes seuls. Quand l’une suçait des bites pour 1$, l’autre se laissait enculer pour 5$. Le transfert d’argent était minime et tous vivaient dans une grande misère sociale et humaine. Le moindre $ de plus ou de moins était vital, et les hommes essayaient toujours de négocier le service de ces femmes, mal habillées, sales pour la plupart mais qui avaient gardé leur dignité. Elles pouvaient partir quand bon leur semblait, mais elles ne le faisaient pas, par peur de perdre le peu qu’elles avaient acquis si durement.

Quand Sylvia regarda autour d’elle, elle vit deux de ces femmes qui suçaient deux hommes, et d’autres hommes étaient nus, leurs sexes noirs et longs pendant entre leurs cuisses. La cabane sentait la pisse, la sueur, et le sperme.
« Comme prévenu, je vous ai amené ma femme Sylvia, en paiement de la dette du mois d’avant » dit Xavier.
Les hommes regardaient la beauté rousse, des cheveux bien laves, une peau de rêve qui sentait bon et qui contrastait tant avec les deux vilaines femmes qui suçaient avidement les queues dressées devant elles. Sylvia compta 20 hommes dans la cabane, mais elle savait que plus de 120 hommes seraient intéressé par prendre possession de son corps et l utiliseraient comme ils le voulaient.
« Donc je passerais la prendre à la fin du week-end, Dimanche soir » concluait il« Mais Xavier ces hommes sont trop nombreux ! » réclama Sylvia, soudainement réalisant l’ampleur de la tache devant elle. Elle recula d’un pas, et butant dans un homme grand et muscle, qui l entoura d’un bras.
« On va prendre soin de toi ma belle, ce sera pour toi comme un voyage, comme pour nous » lançât-il.

Les hommes rirent et Xavier prit conges, laissant Sylvia au milieu d’eux. Sa robe si légère autour d’elle, et sur ses talons hauts, elle semblait les dominer.

Les hommes se mirent à déshabiller lentement Sylvia, appréciant chaque centimètre de peau qui se dévoilait sous leurs yeux. Des mains souillées et brutes du travail des champs la parcouraient, ses seins, ses hanches, et un autre s’était accroupi pour lui toucher ses jambes longues et fines. Leur niveau d’excitation grandissait à chaque seconde et quand sa robe tomba à ses pieds, elle fit un pas pour dégager ses pieds, écartant ses jambes légèrement, et dévoilant un slip délicieux et immaculé. Le slip glissa le long de ses cuisses, tire par l’homme derrière elle, dont elle saisit le membre immense et qui se redressait rapidement. Nue, sur ses talons hauts, elle représentait tous ce qu’ils voulaient avoir : cette pureté, la couleur si pale de sa peau paraissait paradoxale au milieu de leurs corps noirs et luisant. Elle s’accroupit comme pour se mettre à sucer mais l’homme devant elle lui dit« On t enfiler d’abord, laisses les deux autres s’occuper de ça ». L’homme derrière elle, lui écarta les cuisses et elle sentit son énorme gland fouiner sa chatte, comme pour trouver le meilleur angle d’attaque. Elle commençait à mouiller. Elle avait une queue dans chaque main, et par derrière l’homme la pénétra brutalement, sa bite était énorme. Sylvia crut s’évanouir, la chaleur dans la baraque n aidant pas. D’un côté de la pièce, les deux femmes s’activaient en cercle, passant d’un homme a un autre, et préparant les bites à envahir le vagin de Sylvia.
Le premier noir gicla sa semence sans prévenir au bout de 5mn, ils étaient habitués à aller vite en besogne. Elle resta les jambes écartées, debout, et un deuxième vint se placer au même endroit, trouvant vite le chemin de son vagin dilaté et souillé. Au bout de quelques minutes il éjacula à son tour, le sperme en abondance, dégoulinant entre ses cuisses.
« Mettez la a quatre pattes » ordonna l’un deux. Sur le sol, Sylvia prit position, en remontant son fessier le plus haut possible, le spectacle de cette vulve luisante fit éjaculer plusieurs hommes. Ils s épanchèrent sur elle, et sur son dos. Elle sentait le liquide chaud, glisser le long de ses reins. Un homme plus vieux lui enfourna sa bite dans la bouche sans la ménager et Sylvia entreprit un sucement apprécié. Quel spectacle, de voir cette jeune mère se faire embrocher par l’arrière et prise par l’avant par ces hommes noirs, entourée d’une foule masculine se bousculant pour être le prochain. Jeune, vieux, tous avaient une bite respectable et bien érigée grâce au travail des deux autres femmes.
« Et voilà une bite bien dure pour la châtelaine » dit la plus jeune des femmes, contente de son travail et pour une fois heureuse de ne pas avoir à subir ce que cette pauvre Sylvia allait subir.
Bite après bite, Sylvia encaissait les coups de piston sévères, rien n’aurait pu l’avoir préparé à ça, ils étaient 20, puis 30, puis 40 à attendre leur tour.
« Mets la sur toi Joe » dit une grande baraque, arborant une queue de taureau. Joe s’était allongée a cote de Sylvia et la déplaça en se glissant entre ses jambes. Sa queue bien dressée il prit sa chatte totalement ouverte et laissée libre quelques instants. Sans lâcher la bite dans sa bouche, Sylvia s enfourna la bite noire de Joe dans le vagin, aux lèvres rougies et distendues.
« Ommmhhhss » maugréât elle, La bite était si longue.
Puis l’homme derrière elle qui s’appelait Tom prit un peu de foutre des cuisses de Sylvia et lui remplit l’anus, poussant avec son gros doigt à l’intérieur du colon serré. Il poussa alors d’un coup sec le gros gland et le col de son anus céda, Sylvia serra ses cuisses, mais sa position lui interdisait tout mouvement, elle était à la merci de cette foule acharnée. Tom poussa encore, et son anus se distendit encore, sa bite était large et longue, le cauchemar. Joe continua, perdant patience, et se régalant de voir le corps de Sylvia se tortiller de mal, et de plaisir. Car Sylvia éprouvait à la fois de la douleur et du plaisir, un tel mélange érotique et elle ne pouvait que s’étonner de mouiller autant. Les deux hommes la laminaient littéralement, Sylvia glissant entre les deux bites noires, les cuisses écartelées par l’homme du dessous. Joe lui claquait ses belles fesses blanches et pleins de taches de rousseur.
« Alors madame, on apprécie le voyage ? » dit Tom en souriant.
Les deux déchargèrent leur foutre bien profondément, et quand Tom se retira son anus était distendu et faisait des bulles, sa chatte en dessus béante et coulante, Sylvia souffla un peu. Mais deux autres hommes s embrochèrent presque immédiatement et leurs bites étaient aussi bien tendues, usant et utilisant les deux orifices de la belle châtelaine comme ils le voulaient.

Matt avait entendu parler de l’arrivée de Sylvia par Maria, et souffrant de ne plus avoir vu la belle Mélodie dont il était tombé amoureux, il était très angoissé pour la mère de sa chérie. Qu’allait-il pouvoir faire pour la sortir de la ?. Par curiosité, quand il avait entendu des rires et des cris dans la grande baraque, il s’était rapproché. Les hommes faisaient un cercle autour de belle Maman, à quatre pattes, elle suçait une grosse bite mais c’était surtout les deux autres bites qui la défonçaient en rythme. Les « frères » ouvriers n’avaient pas ce type de femme tous les jours. Matt les comprenait un peu.
La couleur de sa peau, ses seins même si plus gros et plus développés, ses cheveux roux, lui rappelèrent la pâleur de sa belle Mélodie. La nuit souvent il se masturbait en pensant à elle, et même s’il utilisait la bouche ou la chatte d’une des femmes des baraques de temps a autre, son cœur était pour Mélodie.

Il était si près de Sylvia maintenant, qu’il tendit la main et lui toucha un de ses seins qui pendait. Sylvia était occupé à extraire le jus d’une grosse queue veinée. Matt sentit sa verge durcir, il avait honte, c’était la mère de sa chérie !! Les cris et halètements de Sylvia, et le fait de caresser ses seins, eurent raison de Matt. Il extirpa sa queue pour se branler en la touchant, c’était un peu comme de toucher Mélodie. Quand l’homme se retira de son cul après avoir joui, Matt poussa celui qui allait prendre sa place, et se positionna au-dessus de Sylvia. Elle avait toujours une bite dans la chatte qui la ramonait, c’était excitant, car elle ressemblait tant à Mélodie et il avait rêvé de ce moment où il la pénètrerait. N’hésitant plus il plongea sa très grosse bite dans le cul trempe et visqueux devant lui. Sylvia crut mourir tant cette bite était énorme et énergique, ses entrailles s’ouvrirent encore plus pour laisser cette queue prendre pleinement possession d’elle.
« Désolé madame mais je ferais vite » Dit Matt comme pour s’excuser. Sylvia ne releva pas. Matt la pénétrait comme il l’avait voulu pour Mélodie même si le cul de Sylvia était déjà entrainé a ça, il faudrait faire plus attention avec la jeune femme. Sa bite de 23cm coulissait sans heurt dans le colon de la belle trentenaire. Elle encaissait parfaitement ses coups de butoir. Il lui saisit les deux seins et les pinça légèrement, il sentit que cela faisait rétrécir son colon, étranglant son pénis dans l’action. La sensation était renforcée et il entreprit de la pistonner avec une belle énergie, sa bite entrant complètement dans son cul, jusqu’ au poil de son pubis. Ses grosses bourses venaient taper la bite de l’homme en dessous.
« Arrggg ahhhh » faisait Sylvia« Je vais venir dans votre cul madame… ! » dit Matt, et ne se retenant plus, giclant de toutes ses forces son sperme de jeune adulte dans le cul de sa belle-mère.
« Aohhhhhhhhhahhh » fit elle, elle aussi prise d’un orgasme inattendu. Matt lui caressa une dernière fois les fesses, elles étaient si jolies…
Pendant 5 H ils se relayèrent dans différentes positions, et la remplirent de foutre, cul, chatte et bouche. Elle se sentait au centre d’un ouragan dont elle était la cause et la raison.

Epuisée et salie, les deux autres femmes l aidèrent à aller dans les douches communes car elle avait du mal à marcher, nue, elle avait aussi perdu ces chaussures. Un homme était assis sur les toilettes et déféquait tranquillement, l’odeur était immonde, de pisse et d excrément.
Sylvia s’assit sur le WC et un demi litre de sperme tomba dans les toilettes, à la fois de son cul béant, et de sa chatte ouverte et qui la piquait un peu. Ils l’avaient traite moindre que les deux autres femmes, elle était à leur merci. Son clitoris avait été battu et pincé, ses seins tordus et fouettés, par des dizaines d’hommes, certes elle n’avait joui qu’une seule fois quand ce jeune étalon l’avait chevauché, mais le plaisir avait été finalement au rendez-vous.

L’homme qui avait fini de déféquer vint se placer devant elle, et lui tournant le dos il se courba en avant« Nettoies moi le cul, pute de blanche, je ne vais pas utiliser de papier quand même, ta jolie langue rose fera l’affaire » Dit-il, d’autres hommes étaient là aussi, la queue a la main, se masturbant. Aucune échappatoire possible.
Sylvia léchât le cul poilu et sale de l’homme, il avait de la merdre sur les bords de son anus, faute de s’être essuyé, c’était révoltant, par moment, elle avalait sa propre salive de couleur marron, faillit vomir plusieurs fois. Quand l’anus de l’homme fut propre, il se masturba devant elle, et crachat son sperme sur ses seins.
« A partir de maintenant, tu es notre papier toilette jusqu’à demain matin » dit-il.

Toute la soirée, Sylvia resta à genoux dans les toilettes, léchant les culs sales et merdeux qui se présentaient, suçant des bites pleines d’urine. Elle avala près de cinquante éjaculations, et certains l enculerent pendant de longues minutes.

Au petit matin, elle mangea un peu de pain, et dormit recroquevillée quelques heures sur le sol des toilettes. On était samedi matin, le week-end démarrait.

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