Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 12
Récit érotique écrit par Amdsoo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mélodie, Louisiane , 1997 - Part 12
12.Agitation nocturneLe temps passait et Mélodie ne voyait plus de fin à ces séances de prostitution a répétions au boulot. Elle était devenue l’attraction de la région, et la plupart des hommes venaient régulièrement se masturber devant elle, et lui gicler sur sa belle poitrine de rousse. Ses seins en un mois avaient doublé, pourtant elle savait qu’elle n’était pas enceinte. Tous ses vêtements la serraient, et elle était honteuse de mettre des t-shirts ultra serres qui mettaient en avant ses seins, et dont les tetons pointaient à travers le tissu fin.
Elle avait aussi des « sensations » au niveau du vagin, des secrétions blanches et ressentait aussi une envie de toucher son clitoris la nuit. Au cours de ces matinées de sexe, elle avait aussi eu du plaisir de plus en plus à voir ses hommes même moches, avec leurs queues tendues. Elle était fière de temps en temps de voir tous ces sexes dresses pour elle. Et elle avait trouvé que d’agiter son clitoris devant eux, et d’écarter les lèvres de son vagin accéléraient grandement les sessions. Certains éjaculaient en quelques secondes. Ceux qui la prenaient en bouche, mettaient peu de temps généralement.
Cependant, Gérard s’occupait bien d’elle et bien qu’il continuât à lui verser discrètement un cocktail aphrodisiaque dans son lait tous les matins, il n’en restait pas moins amical et serviable et même empathique. Mélodie redoutait que Theo trouve une nouvelle façon de la torturer et avoir son neveu de son côté pourrait être utile.
Ce soir-là, alors que Gérard la ramenait à la ferme, et après avoir eu une matinée chargée ; près de 70 hommes étaient venus, et elle avait dégusté en bouche pas moins de 50 éjaculations ; il lui proposa de faire un détour chez des copains. Il expliqua très clairement que ses amis de 18 ans et 19 ans rêvaient de mettre leurs mains sur son beau corps de rousse et que Mélodie pourrait se faire payer 50$. Ce n’était pas une fortune mais dans l’espoir de s’enfuir elle aurait un petit magot a son disposition, et puis finalement ce n’était pas si diffèrent des heures dans les toilette du bureau. Elle accepta.
Quand ils arrivèrent, Gérard lui versa les 50$ en avance, ce qui la rassura. Ils étaient chez l’un des amis de Gérard, un grand teenager de 19 ans qui semblait mener l’équipe, il s’appelait Stan. Mélodie passa devant les garçons et l’un lui toucha les fesses, elle portait un minishort et ses belles jambes cuivrées dépassaient. Un autre lui mis la main aux seins et la caressa gentiment.
« Vous êtes sept ? » dit-elle un peu affolée« Huit avec moi « dit Gérard en souriant, il tenait déjà sa queue a la main.
« Ah oui d’accord. Je m’attendais à deux ou trois mecs » « T inquiètes pas, on va te gâter » dit l’un d’entre eux, un gars aux cheveux courts et au regard un peu menaçant.
Elle rentra dans le living room et un lit y était installé. Presque rien d’autre, tout avait été pousse vers les murs. Les jeunes avaient préparé le terrain.
« Donc les gars, pas plus de trois personnes en même temps sur Mélodie, carte libre, par contre pas dans le cul, elle est vierge » dit Gérard « Carte libre ? » dit Mélodie.
« Oui ton petit minou aussi ma chérie, on t’a payé 50$. » confirma Stan, il avait descendu son short sur ses chevilles, et exhibait une belle queue de 20cm.
L’un des garçons lui retira son t-shirt et ses seins jaillirent de leur étui, rebondissant devant des garçons ébahis.
« Wow man ! quelle paire de nichons » dit l’un. Trois garçons tendirent une main rapide vers ces globes de chair si tentant. Malaxant, remuant, et testant la plasticité de ses seins. Mélodie murmura « hmmmm » et cela eut l’effet de voir le reste de la bande se rapprocher d’elle. Touchant un bout de sein, ses mèches de cheveux roux, sa taille, ses jambes, son entrejambe. L’un d’entre eux la poussa vers le lit a deux places, recouvert d’un simple drap blanc.
« Putain j’avais entendu mon père parler avec son pote de cette salope, il ne mentait pas ! Quelle belle petite pute, on va la déglinguer » s’empressa de dire un blondinet. Il devait avoir juste 18 ans.
Mélodie avait du mal à contenir autant de mains pressées sur son corps, pinçant ses seins à lui faire un peu mal, mais elle sentait aussi un jus entre ses jambes se former, et lui mouiller sa culotte. Elle s’était assise sur le bord du lit, et avait attrape deux queues qu’elle branlait vivement. Un des gars était derrière elle et lui caressait son dos nu. Un autre s’était agenouille près de ses jambes écartées, et tentait de glisser un doigt entre sa cuisse et son short serre.
Les garçons s excitait visiblement, la belle rousse avait deux queues en main et suçait un troisième. A la différence des ouvriers, ils ne puaient pas, leurs glands étaient tout neufs et leurs bourses presque sans poil. Mélodie se surprit à apprécier ce moment, elle gagnait son indépendance avec ses 50$, qu’elle avait désormais dans sa poche. Le petit roux lui gicla dans la bouche sans prévenir, un sperme très épais de puceau. Elle déglutit rapidement, son estomac était devenu habitue à cette diète de sperme le matin, elle sautait d’ailleurs souvent le déjeuner, et avait remarqué qu’elle avait souvent une diarrhée a force d’avaler tout ce foutre.
« Wow ma première pipe ! » déclara-t-il en riant.
Sitôt fini, une nouvelle bite plus petite se présenta à ses lèvres, et Mélodie avala l’engin sans sourciller. Elle le décalotta expertement avec sa langue et l’enroula autour du petit gland nerveux.
Les autres garçons faisaient des rotations, entre ses seins qu’ils molestaient gentiment et ses mains qu’elle branlait habilement.
« Enlèves lui son short, qu’on voit sa chatte » dit l’un deuxA deux ils tirèrent sur son short, et Mélodie se tortilla pour laisser son short descendre sur ses pieds. La petite culotte était trempée, luisante de jus vaginal, et le contour de ses lèvres intimes était très visible.
« Oh la belle chatte, regardez-moi ça » L’un des garçons passa un doit sous l’élastique et enfonça son doigt dans la vulve légèrement dilatée de la jolie jeune femme. Trempé, et luisant. Un délice de minou.
« Elle mouille bien la petite salope, on va lui faire voir de la route » Mélodie n’avait pas peur, oui ils étaient huit mais aucun d’entre eux n’avait une bite de compétition sauf peut-être Stan, les autres étaient des jeunes adultes, pour la plupart juste pubères. Sa culotte tomba elle aussi a ses pieds, et Mélodie se mis à quatre pattes, exposant une chatte ouverte et coulante. Autant elle n’avait pas eu de plaisir pendant la matinée, que la, elle prenait son pied à exciter ces gamins. Un des garçons se positionna derrière elle et lui lécha la chatte, en fait elle coulait tellement que cela tombait sur ses mollets dans cette position.
« Elle a un gout de mer, trop bon » dit il Puis il approcha son engin quasiment sans poil, et la pénétra d’un coup« Ahhhh » lança Mélodie surprise, la force de la bite lui déchira le ventre. Mais il était déjà au taquet, et elle n’eut pas d’autres inquiétudes, il ramonait avec vitesse, il faut dire que les sept autres le regardaient avec envie. Avec un sexe dans la bouche, un dans la chatte, ils la pistonnaient allègrement, sans effort, car Mélodie avait bien huilé sa mécanique. Deux autres garçons s étaient positionnes sur ses cotes, et malmenaient ses beaux seins qui pendaient, tordant et frappant gentiment ses tetons. Le sentiment d’être littéralement assaillie par ces jeunes était quelque chose qu’elle n’avait jamais ressenti. Etre au centre de tant d’attention et sentir ces corps jeunes réagir autant, c’était comme être drogue.
Au bout de cinq minutes, et presque au même moment, les deux garçons lâchèrent leur foutre, et furent remplaces promptement. Une sorte d’organisation par rotation s’est mise en place, chatte, bouche constamment occupées, mais des mains nerveuses parcouraient sans cesse son corps magnifique. Et en le faisant ces mains envoyaient des ondes érotiques a ces garçons, qu’ils convertissaient en superbe érection a leur en faire mal le pénis. L’un d’entre eux, lui gicla au visage et s en excusa, ils n’en pouvaient plus, et retenir leur éjaculation après autant d’attente n’était plus possible. Gérard jusqu’ à présent s’était fait suce 10 minutes, et elle avait pris une attention particulière à le faire frémir avec sa langue devenue experte en la matière. Il la pénétra à son tour par derrière, la route était facile à suivre, une longue trainée de sperme pendait à l entre de son vagin, comme pour rappeler que tout était prêt pour une action sexuelle bien lubrifiée.
« Raahhh » lâchât-il en éclaboussant le dos de Mélodie avec de longues giclées blanches et visqueuses.
« Tu as bien joui » dit elle et elle se retourna, sur le dos, offrant une vue sur ces beaux seins, qui ballotaient de gauche à droite, comme hésitant à choisir leur côté. Au bout d’une heure, ils avaient tous eu leur premier orgasme, utilisant comme ils le voulaient le corps de la jeune femme. Mélodie sentit une baisse d’intensité, du sperme coulait de façon ininterrompue de son vagin, dont les poils avaient été épilés, ne laissant qu’une bande de poil roux au-dessus de son clitoris. Mélodie avait joui deux fois. Sa peau collait de partout. Les parois de son vagin tressaillaient et avaient de petits spasmes.
« Bien messieurs, joli travail ! » dit-elle comme pour finir une transaction.
Mais c’était sans compter sur l’énergie de la jeunesse, car comme elle, ils avaient un âge similaire. Ils rechargeaient leur énergie plus vite que ces ouvrier quarantenaires ou même sexagénaires qu’elle avait eu dans les toilettes. La rotation repris, jambes écartées, ils se succédèrent dans son vagin, et se soulagèrent dans sa bouche, leur sperme devenait de plus en plus clair, comme de l’eau, ce n’était pas désagréable, mais cela commençait à la rendre un peu malade. Ils la laminaient de façon maladroite parfois, mais la deuxième rotation fut plus longue, l’érotisme diminuant, et Mélodie eut du mal et ne put jouir à nouveau, elle se sentait comme utilise comme deux trous, et voilà tout. De temps à autre, le même garçon venait lui lécher la chatte, et elle en était reconnaissante, poussant sur son ventre et expulsant des vagues de sperme que le garçon avalait. Il lui nettoyait aussi les lèvres rougies de son vagin, permettant au garçon d’après de repartir d’une belle chatte propre et accueillante.
« Il aime bien la lécher cet enfoiré » Lâchât Stan, un peu railleur.
Il était 22h, et ils étaient toujours en train de la baiser ardemment. Ils n’étaient que deux ou trois en même temps, laissant une demi-heure aux autres pour manger, boire et revenir la baiser à leur tour. L’énergie de Mélodie était au plus bas, cela faisait 4 heures qu’ils l enfilaient, leurs sexes toujours aussi durs, et leurre sperme semblait réapprovisionner leurs testicules à l’infini… Elle suça le dernier d’entre eux pendant une demi-heure, sa mâchoire lui faisait mal, le gars dormait presque. Elle put extraire une dernière giclée de lui qui tomba sur ses seins tout collants, et il s’effondra totalement. Elle aussi, épuisée. Son estomac grognait d’un bon litre de sperme. Elle sauterait son repas, pensa-t-elle.
Vers minuit Stan déclara la partie terminée. Mélodie ramassa ses habits mais n’eut pas la force de les mettre, et c’est ainsi qu’elle traversa le petit parking devant la maison et s engouffra dans la voiture de Gérard, collante, poisseuse, mais radiante.
« Du bon travail ! » reconnut il en s’installant au volant du camion.
Elle s endormit et ne se réveilla qu’a la ferme, encore nue elle gravit le perron et s’effondra dans son lit. Elle avait 50$ dans la poche de son petit short, il ne lui restait plus qu’à partir, le plus tôt serait le mieux, mais tout de suite, …dormir.
Elle avait aussi des « sensations » au niveau du vagin, des secrétions blanches et ressentait aussi une envie de toucher son clitoris la nuit. Au cours de ces matinées de sexe, elle avait aussi eu du plaisir de plus en plus à voir ses hommes même moches, avec leurs queues tendues. Elle était fière de temps en temps de voir tous ces sexes dresses pour elle. Et elle avait trouvé que d’agiter son clitoris devant eux, et d’écarter les lèvres de son vagin accéléraient grandement les sessions. Certains éjaculaient en quelques secondes. Ceux qui la prenaient en bouche, mettaient peu de temps généralement.
Cependant, Gérard s’occupait bien d’elle et bien qu’il continuât à lui verser discrètement un cocktail aphrodisiaque dans son lait tous les matins, il n’en restait pas moins amical et serviable et même empathique. Mélodie redoutait que Theo trouve une nouvelle façon de la torturer et avoir son neveu de son côté pourrait être utile.
Ce soir-là, alors que Gérard la ramenait à la ferme, et après avoir eu une matinée chargée ; près de 70 hommes étaient venus, et elle avait dégusté en bouche pas moins de 50 éjaculations ; il lui proposa de faire un détour chez des copains. Il expliqua très clairement que ses amis de 18 ans et 19 ans rêvaient de mettre leurs mains sur son beau corps de rousse et que Mélodie pourrait se faire payer 50$. Ce n’était pas une fortune mais dans l’espoir de s’enfuir elle aurait un petit magot a son disposition, et puis finalement ce n’était pas si diffèrent des heures dans les toilette du bureau. Elle accepta.
Quand ils arrivèrent, Gérard lui versa les 50$ en avance, ce qui la rassura. Ils étaient chez l’un des amis de Gérard, un grand teenager de 19 ans qui semblait mener l’équipe, il s’appelait Stan. Mélodie passa devant les garçons et l’un lui toucha les fesses, elle portait un minishort et ses belles jambes cuivrées dépassaient. Un autre lui mis la main aux seins et la caressa gentiment.
« Vous êtes sept ? » dit-elle un peu affolée« Huit avec moi « dit Gérard en souriant, il tenait déjà sa queue a la main.
« Ah oui d’accord. Je m’attendais à deux ou trois mecs » « T inquiètes pas, on va te gâter » dit l’un d’entre eux, un gars aux cheveux courts et au regard un peu menaçant.
Elle rentra dans le living room et un lit y était installé. Presque rien d’autre, tout avait été pousse vers les murs. Les jeunes avaient préparé le terrain.
« Donc les gars, pas plus de trois personnes en même temps sur Mélodie, carte libre, par contre pas dans le cul, elle est vierge » dit Gérard « Carte libre ? » dit Mélodie.
« Oui ton petit minou aussi ma chérie, on t’a payé 50$. » confirma Stan, il avait descendu son short sur ses chevilles, et exhibait une belle queue de 20cm.
L’un des garçons lui retira son t-shirt et ses seins jaillirent de leur étui, rebondissant devant des garçons ébahis.
« Wow man ! quelle paire de nichons » dit l’un. Trois garçons tendirent une main rapide vers ces globes de chair si tentant. Malaxant, remuant, et testant la plasticité de ses seins. Mélodie murmura « hmmmm » et cela eut l’effet de voir le reste de la bande se rapprocher d’elle. Touchant un bout de sein, ses mèches de cheveux roux, sa taille, ses jambes, son entrejambe. L’un d’entre eux la poussa vers le lit a deux places, recouvert d’un simple drap blanc.
« Putain j’avais entendu mon père parler avec son pote de cette salope, il ne mentait pas ! Quelle belle petite pute, on va la déglinguer » s’empressa de dire un blondinet. Il devait avoir juste 18 ans.
Mélodie avait du mal à contenir autant de mains pressées sur son corps, pinçant ses seins à lui faire un peu mal, mais elle sentait aussi un jus entre ses jambes se former, et lui mouiller sa culotte. Elle s’était assise sur le bord du lit, et avait attrape deux queues qu’elle branlait vivement. Un des gars était derrière elle et lui caressait son dos nu. Un autre s’était agenouille près de ses jambes écartées, et tentait de glisser un doigt entre sa cuisse et son short serre.
Les garçons s excitait visiblement, la belle rousse avait deux queues en main et suçait un troisième. A la différence des ouvriers, ils ne puaient pas, leurs glands étaient tout neufs et leurs bourses presque sans poil. Mélodie se surprit à apprécier ce moment, elle gagnait son indépendance avec ses 50$, qu’elle avait désormais dans sa poche. Le petit roux lui gicla dans la bouche sans prévenir, un sperme très épais de puceau. Elle déglutit rapidement, son estomac était devenu habitue à cette diète de sperme le matin, elle sautait d’ailleurs souvent le déjeuner, et avait remarqué qu’elle avait souvent une diarrhée a force d’avaler tout ce foutre.
« Wow ma première pipe ! » déclara-t-il en riant.
Sitôt fini, une nouvelle bite plus petite se présenta à ses lèvres, et Mélodie avala l’engin sans sourciller. Elle le décalotta expertement avec sa langue et l’enroula autour du petit gland nerveux.
Les autres garçons faisaient des rotations, entre ses seins qu’ils molestaient gentiment et ses mains qu’elle branlait habilement.
« Enlèves lui son short, qu’on voit sa chatte » dit l’un deuxA deux ils tirèrent sur son short, et Mélodie se tortilla pour laisser son short descendre sur ses pieds. La petite culotte était trempée, luisante de jus vaginal, et le contour de ses lèvres intimes était très visible.
« Oh la belle chatte, regardez-moi ça » L’un des garçons passa un doit sous l’élastique et enfonça son doigt dans la vulve légèrement dilatée de la jolie jeune femme. Trempé, et luisant. Un délice de minou.
« Elle mouille bien la petite salope, on va lui faire voir de la route » Mélodie n’avait pas peur, oui ils étaient huit mais aucun d’entre eux n’avait une bite de compétition sauf peut-être Stan, les autres étaient des jeunes adultes, pour la plupart juste pubères. Sa culotte tomba elle aussi a ses pieds, et Mélodie se mis à quatre pattes, exposant une chatte ouverte et coulante. Autant elle n’avait pas eu de plaisir pendant la matinée, que la, elle prenait son pied à exciter ces gamins. Un des garçons se positionna derrière elle et lui lécha la chatte, en fait elle coulait tellement que cela tombait sur ses mollets dans cette position.
« Elle a un gout de mer, trop bon » dit il Puis il approcha son engin quasiment sans poil, et la pénétra d’un coup« Ahhhh » lança Mélodie surprise, la force de la bite lui déchira le ventre. Mais il était déjà au taquet, et elle n’eut pas d’autres inquiétudes, il ramonait avec vitesse, il faut dire que les sept autres le regardaient avec envie. Avec un sexe dans la bouche, un dans la chatte, ils la pistonnaient allègrement, sans effort, car Mélodie avait bien huilé sa mécanique. Deux autres garçons s étaient positionnes sur ses cotes, et malmenaient ses beaux seins qui pendaient, tordant et frappant gentiment ses tetons. Le sentiment d’être littéralement assaillie par ces jeunes était quelque chose qu’elle n’avait jamais ressenti. Etre au centre de tant d’attention et sentir ces corps jeunes réagir autant, c’était comme être drogue.
Au bout de cinq minutes, et presque au même moment, les deux garçons lâchèrent leur foutre, et furent remplaces promptement. Une sorte d’organisation par rotation s’est mise en place, chatte, bouche constamment occupées, mais des mains nerveuses parcouraient sans cesse son corps magnifique. Et en le faisant ces mains envoyaient des ondes érotiques a ces garçons, qu’ils convertissaient en superbe érection a leur en faire mal le pénis. L’un d’entre eux, lui gicla au visage et s en excusa, ils n’en pouvaient plus, et retenir leur éjaculation après autant d’attente n’était plus possible. Gérard jusqu’ à présent s’était fait suce 10 minutes, et elle avait pris une attention particulière à le faire frémir avec sa langue devenue experte en la matière. Il la pénétra à son tour par derrière, la route était facile à suivre, une longue trainée de sperme pendait à l entre de son vagin, comme pour rappeler que tout était prêt pour une action sexuelle bien lubrifiée.
« Raahhh » lâchât-il en éclaboussant le dos de Mélodie avec de longues giclées blanches et visqueuses.
« Tu as bien joui » dit elle et elle se retourna, sur le dos, offrant une vue sur ces beaux seins, qui ballotaient de gauche à droite, comme hésitant à choisir leur côté. Au bout d’une heure, ils avaient tous eu leur premier orgasme, utilisant comme ils le voulaient le corps de la jeune femme. Mélodie sentit une baisse d’intensité, du sperme coulait de façon ininterrompue de son vagin, dont les poils avaient été épilés, ne laissant qu’une bande de poil roux au-dessus de son clitoris. Mélodie avait joui deux fois. Sa peau collait de partout. Les parois de son vagin tressaillaient et avaient de petits spasmes.
« Bien messieurs, joli travail ! » dit-elle comme pour finir une transaction.
Mais c’était sans compter sur l’énergie de la jeunesse, car comme elle, ils avaient un âge similaire. Ils rechargeaient leur énergie plus vite que ces ouvrier quarantenaires ou même sexagénaires qu’elle avait eu dans les toilettes. La rotation repris, jambes écartées, ils se succédèrent dans son vagin, et se soulagèrent dans sa bouche, leur sperme devenait de plus en plus clair, comme de l’eau, ce n’était pas désagréable, mais cela commençait à la rendre un peu malade. Ils la laminaient de façon maladroite parfois, mais la deuxième rotation fut plus longue, l’érotisme diminuant, et Mélodie eut du mal et ne put jouir à nouveau, elle se sentait comme utilise comme deux trous, et voilà tout. De temps à autre, le même garçon venait lui lécher la chatte, et elle en était reconnaissante, poussant sur son ventre et expulsant des vagues de sperme que le garçon avalait. Il lui nettoyait aussi les lèvres rougies de son vagin, permettant au garçon d’après de repartir d’une belle chatte propre et accueillante.
« Il aime bien la lécher cet enfoiré » Lâchât Stan, un peu railleur.
Il était 22h, et ils étaient toujours en train de la baiser ardemment. Ils n’étaient que deux ou trois en même temps, laissant une demi-heure aux autres pour manger, boire et revenir la baiser à leur tour. L’énergie de Mélodie était au plus bas, cela faisait 4 heures qu’ils l enfilaient, leurs sexes toujours aussi durs, et leurre sperme semblait réapprovisionner leurs testicules à l’infini… Elle suça le dernier d’entre eux pendant une demi-heure, sa mâchoire lui faisait mal, le gars dormait presque. Elle put extraire une dernière giclée de lui qui tomba sur ses seins tout collants, et il s’effondra totalement. Elle aussi, épuisée. Son estomac grognait d’un bon litre de sperme. Elle sauterait son repas, pensa-t-elle.
Vers minuit Stan déclara la partie terminée. Mélodie ramassa ses habits mais n’eut pas la force de les mettre, et c’est ainsi qu’elle traversa le petit parking devant la maison et s engouffra dans la voiture de Gérard, collante, poisseuse, mais radiante.
« Du bon travail ! » reconnut il en s’installant au volant du camion.
Elle s endormit et ne se réveilla qu’a la ferme, encore nue elle gravit le perron et s’effondra dans son lit. Elle avait 50$ dans la poche de son petit short, il ne lui restait plus qu’à partir, le plus tôt serait le mieux, mais tout de suite, …dormir.
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