Les Anglaises
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Les Anglaises
J'aime me payer les touristes étrangères: je trouve qu'elles ont des qualités... J'aime surtout les Anglaises qui sous des airs de chasteté, cachent une libido rare. Cet été je suis en vacances dans le sud. Là bas dans le midi chaud. Je remarque des femmes, la mère et la fille qui prennent des bains de soleil à les rendre rouges. Je suis très près d'elles, aussi je me propose pour leur passer les produits qu'elles ont. Je commence par la mère, femme d'une petite quarantaine, juste quelques rides sur le visage. Le reste me parait très convenable. Mes mains vont des épaules aux fesses où je m'attarde longtemps Elle comprend fort bien la nature de mon service. Elle se retourne, me sourit lève un peu son soutien gorge et descend son slip, presque jusqu'à voir sa féminité. J'en profite pour la peloter plutôt que de l'enduire Je passe même un doigt sous son slip pour arriver au début de son entrejambe. Je ne peux pas aller plus loin. En me relevant elle s'aperçoit fort bien que je bande un peu. Elle se lève aussi en disant en anglais à sa fille qu'elle revient. Quand nous sommes plus isolés, elle m'embrasse un peu sur la bouche, se colle à moi, frotte son ventre contre ma bite qui prend des proportions encore plus grande.
Elle me prend par la main et m'entraîne vers l'hôtel. A peine rentrés elle se précipite pour m'embrasser profondément : sa langue cherche la mienne. Elle enlève les deux parties de son maillot et commence à baisser le mien. Nous nous allongeons sur le lit : le lui passe un bras autour des épaules. Elle m'embrasse à nouveau pendant que sa main part à la recherche de ma bite. Elle me branle un petit moment. Sans rien dire elle se tourne prend ma queue dans sa bouche : elle suce divinement. Je profite de sa position pour caresser ce que je peux : ses fesses d'abord que je caresse un moment avant de les ouvrir. Je peux lui passer un doigt sur l'anus. Je peux aussi en forçant le passage arriver vers sa moule. Pour le moment je me contente du cul. J'en caresse le pourtour lentement avant d'essayer d’entrer un doigt. Elle se laisse faire, elle cherche à ce que je lui rentre encore plus. J'en suis à lui mettre trois doigts dans le cul.
Elle arrête la fellation pour profiter pleinement de mes doigts. Je lui branle l'anus quand sans rien dire, je la sens jouir. En attendant elle a oublié simplement que j'avais une bite qu'elle suçait un instant avant. En guise de représailles je mets ma bouche sur sa chatte. Elle a une odeur de cyprine assez forte. J'aime justement ça. Je passe ma langue sur toute la longueur de son sexe. Je le lui mets même dans le cul. Ma langue la fait jouir. Je monte un peu sur ses lèvres gonflées mets ma langue dans son vagin. Enfin je la doigte pendant que j'ai son clitoris entre mes lèvres. Elle n'arrête pas de jouir.
Brusquement elle pense qu'elle est avec un homme. Elle a tellement envie qu'elle me monte dessus. D'elle-même elle s'installe sur ma bite se laisse tomber lentement jusqu'à l'avoir dans son cul. Sa position lui permet de se branler. Elle se lime pendant un bon moment avant de tomber sur moi, ses lèvres sur les miennes, prête à mordre. Ce n'est pas une morsure : elle m'embrasse encore. Je n'ai pas eu le temps de jouir. Pourtant elle m'avait gardé dans son cul. Elle me fait sortir pour me branler. Je ne la laisse pas faire. Je la mets sur le dos pour la baiser. Elle accepte cette baise. Pour bien montrer son accord, elle écarte ses jambes, les lèves pour les passer sur mes épaules Je ne suis pas habitué à ce genre de gymnastique. Je la lui mets dans le con sans problème. Fuck me !!!! More, more. Je la lime sans arrêts et ses ‘encore’ me donnent la banane. Je pousse à fond dans son vagin : je ne peux pas lui en mettre plus, sinon je la défoncerais. Elle jouit en même temps que moi. Elle en voudra encore. Je débande. Elle est déçue, veux que je bande encore. Pour elle il n'existe qu'un seul moyen : m'exciter. Elle me prend la pine en bouche, me caresse tout le long de la bite, prends en main, et comme pour elle, elle me met des doigts dans le cul. Ses doigts sont bien mouillés par sa cyprine et rentrent facilement. C'est la première fois qu'une fille agit ainsi. Sans doute une coutume british, je ne sais. En tout cas je bande encore. La suite est relativement simple : elle se retourne, pose son sexe sur ma bouche, prend le mien dans la sienne. Nous faisons encore un 69. Nous nous mettions des doigts dans le cul. Je la sens jouir plusieurs fois. Enfin moi aussi je jouis. Je ne dis rien : tout mon sperme part dans sa bouche. Elle le garde un bon moment avant de l'avaler.
Je l'embrasse, remet mon maillot. Je pars en lui donnant rendez vous le lendemain.
Je retourne sur la plage. Je pense brusquement à sa fille qui doit avoir 18 ans. Je repars vers la plage. La jeune anglaise est toujours là, sous un parasol. Je reviens vers elle, le sourire aux lèvres. Elle parle bien français et me demande où est sa mère. J'ai mon air innocent. Elle sourit en disant qu'elle connaît trop sa mère pour savoir qu'elle a été avec moi pour baiser, et si ne n'est pas avec moi, c'est avec un autre ! Elle m'apprend que sa mère ne peut se passer de faire l'amour. C'est même pour ça qu'elles ne logent pas dans la même chambre.
Je la rassure comme je peux. Je m'allonge à ses cotés, faisant semblant de ne pas le faire exprès, je lui touche un peu longuement un sein. Elle se tourne vers moi : je ne suis pas comme ma mère, je ne baise que ceux qui me plaisent. Me dire une telle chose, à moi qui aime tant les femmes !!! Choking ! ¨Par contre la suite est plus intéressante : je lui plais bien. Si je lui plais, pas question de rester transi : je l'embrasse sur la bouche. Une de ses mains passe derrière mon cou. Nos langues de réunissent. Nous ne pouvons aller plus loin sur la plage. A son tour, comme sa mère elle m'entraîne au même hôtel, heureusement pas au même étage. Elle porte un maillot une pièce. Je lui fais tomber les bretelles : elle proteste normalement, j'ai oublié de l'embrasser encore. Nous rattrapons ce retard. C'est fou ce qu’elle embrasse bien. Je finis de lui enlever le maillot. Son sexe est à portée de ma bouche. Je passe ma langue sur un bas ventre glabre. Le bout de mon organe passe sur le haut de sa fente. Elle écarte les jambes. Je peux lui sucer le clitoris. C'est fou ce que le con de la mère et de la fille ont en commun, entre autre l'odeur et le goût. Je passe une main par derrière sur les fesses, comme pour la mère j'arrive à l'anus : elle accepte les caresses autour de l'anus. Par contre elle refuse mes doigts : dommage.
Nous nous couchons, elle me veut directement dans son vagin. J'ai juste le temps de lui caresser tout le long de sa fente. Elle m'entraîne entre ses jambes ouvertes, me guide vers son con. Quand j'y suis, elle donne un coup de rein pour que je sois à fond en elle. C'est elle qui commence les aller et venu. C'est une véritable cocote minute, elle jouit à la file plusieurs fois. Quand je jouis elle me demande si elle baise aussi bien que sa mère. Je lui réponds que je ne sais pas, alors que je trouve que pour le moment c'est bien elle qui a le pompon. Je la tourne pour recommencer à lui caresser les fesses et la convertir à la sodomie. Je lèche ses fesses, rentre ma langue entre elle et arrive doucement sur son anus. Elle accepte ma caresse. Elle écarte d'elle-même les jambes, relève ses reins. Je peux voir son cul. Je pose ma pine dessus: elle ne résiste pas. Je crache sur lui, et rentre sans grandes difficultés. Je la lime, elle soupire quelle aime de faire mettre comme ça. Elle jouit bien mieux. Quand elle jouit, elle se tourne pour venir prendre ma queue dans sa bouche, elle veut mon sperme. Sa fellation est supérieure à celle de la mère. J'au pris son con en bouche également. Je laisse son clitoris pour venir passer ma langue sur le cul. Ce coup ci elle accepte que ma langue y rentre. Je la laisse libre de me sucer comme elle veut : elle fait travailler sa langue et ses lèvres. C'est elle aussi une championne de la succion.
Nous avons rendez vous demain sur la plage...
Elle me prend par la main et m'entraîne vers l'hôtel. A peine rentrés elle se précipite pour m'embrasser profondément : sa langue cherche la mienne. Elle enlève les deux parties de son maillot et commence à baisser le mien. Nous nous allongeons sur le lit : le lui passe un bras autour des épaules. Elle m'embrasse à nouveau pendant que sa main part à la recherche de ma bite. Elle me branle un petit moment. Sans rien dire elle se tourne prend ma queue dans sa bouche : elle suce divinement. Je profite de sa position pour caresser ce que je peux : ses fesses d'abord que je caresse un moment avant de les ouvrir. Je peux lui passer un doigt sur l'anus. Je peux aussi en forçant le passage arriver vers sa moule. Pour le moment je me contente du cul. J'en caresse le pourtour lentement avant d'essayer d’entrer un doigt. Elle se laisse faire, elle cherche à ce que je lui rentre encore plus. J'en suis à lui mettre trois doigts dans le cul.
Elle arrête la fellation pour profiter pleinement de mes doigts. Je lui branle l'anus quand sans rien dire, je la sens jouir. En attendant elle a oublié simplement que j'avais une bite qu'elle suçait un instant avant. En guise de représailles je mets ma bouche sur sa chatte. Elle a une odeur de cyprine assez forte. J'aime justement ça. Je passe ma langue sur toute la longueur de son sexe. Je le lui mets même dans le cul. Ma langue la fait jouir. Je monte un peu sur ses lèvres gonflées mets ma langue dans son vagin. Enfin je la doigte pendant que j'ai son clitoris entre mes lèvres. Elle n'arrête pas de jouir.
Brusquement elle pense qu'elle est avec un homme. Elle a tellement envie qu'elle me monte dessus. D'elle-même elle s'installe sur ma bite se laisse tomber lentement jusqu'à l'avoir dans son cul. Sa position lui permet de se branler. Elle se lime pendant un bon moment avant de tomber sur moi, ses lèvres sur les miennes, prête à mordre. Ce n'est pas une morsure : elle m'embrasse encore. Je n'ai pas eu le temps de jouir. Pourtant elle m'avait gardé dans son cul. Elle me fait sortir pour me branler. Je ne la laisse pas faire. Je la mets sur le dos pour la baiser. Elle accepte cette baise. Pour bien montrer son accord, elle écarte ses jambes, les lèves pour les passer sur mes épaules Je ne suis pas habitué à ce genre de gymnastique. Je la lui mets dans le con sans problème. Fuck me !!!! More, more. Je la lime sans arrêts et ses ‘encore’ me donnent la banane. Je pousse à fond dans son vagin : je ne peux pas lui en mettre plus, sinon je la défoncerais. Elle jouit en même temps que moi. Elle en voudra encore. Je débande. Elle est déçue, veux que je bande encore. Pour elle il n'existe qu'un seul moyen : m'exciter. Elle me prend la pine en bouche, me caresse tout le long de la bite, prends en main, et comme pour elle, elle me met des doigts dans le cul. Ses doigts sont bien mouillés par sa cyprine et rentrent facilement. C'est la première fois qu'une fille agit ainsi. Sans doute une coutume british, je ne sais. En tout cas je bande encore. La suite est relativement simple : elle se retourne, pose son sexe sur ma bouche, prend le mien dans la sienne. Nous faisons encore un 69. Nous nous mettions des doigts dans le cul. Je la sens jouir plusieurs fois. Enfin moi aussi je jouis. Je ne dis rien : tout mon sperme part dans sa bouche. Elle le garde un bon moment avant de l'avaler.
Je l'embrasse, remet mon maillot. Je pars en lui donnant rendez vous le lendemain.
Je retourne sur la plage. Je pense brusquement à sa fille qui doit avoir 18 ans. Je repars vers la plage. La jeune anglaise est toujours là, sous un parasol. Je reviens vers elle, le sourire aux lèvres. Elle parle bien français et me demande où est sa mère. J'ai mon air innocent. Elle sourit en disant qu'elle connaît trop sa mère pour savoir qu'elle a été avec moi pour baiser, et si ne n'est pas avec moi, c'est avec un autre ! Elle m'apprend que sa mère ne peut se passer de faire l'amour. C'est même pour ça qu'elles ne logent pas dans la même chambre.
Je la rassure comme je peux. Je m'allonge à ses cotés, faisant semblant de ne pas le faire exprès, je lui touche un peu longuement un sein. Elle se tourne vers moi : je ne suis pas comme ma mère, je ne baise que ceux qui me plaisent. Me dire une telle chose, à moi qui aime tant les femmes !!! Choking ! ¨Par contre la suite est plus intéressante : je lui plais bien. Si je lui plais, pas question de rester transi : je l'embrasse sur la bouche. Une de ses mains passe derrière mon cou. Nos langues de réunissent. Nous ne pouvons aller plus loin sur la plage. A son tour, comme sa mère elle m'entraîne au même hôtel, heureusement pas au même étage. Elle porte un maillot une pièce. Je lui fais tomber les bretelles : elle proteste normalement, j'ai oublié de l'embrasser encore. Nous rattrapons ce retard. C'est fou ce qu’elle embrasse bien. Je finis de lui enlever le maillot. Son sexe est à portée de ma bouche. Je passe ma langue sur un bas ventre glabre. Le bout de mon organe passe sur le haut de sa fente. Elle écarte les jambes. Je peux lui sucer le clitoris. C'est fou ce que le con de la mère et de la fille ont en commun, entre autre l'odeur et le goût. Je passe une main par derrière sur les fesses, comme pour la mère j'arrive à l'anus : elle accepte les caresses autour de l'anus. Par contre elle refuse mes doigts : dommage.
Nous nous couchons, elle me veut directement dans son vagin. J'ai juste le temps de lui caresser tout le long de sa fente. Elle m'entraîne entre ses jambes ouvertes, me guide vers son con. Quand j'y suis, elle donne un coup de rein pour que je sois à fond en elle. C'est elle qui commence les aller et venu. C'est une véritable cocote minute, elle jouit à la file plusieurs fois. Quand je jouis elle me demande si elle baise aussi bien que sa mère. Je lui réponds que je ne sais pas, alors que je trouve que pour le moment c'est bien elle qui a le pompon. Je la tourne pour recommencer à lui caresser les fesses et la convertir à la sodomie. Je lèche ses fesses, rentre ma langue entre elle et arrive doucement sur son anus. Elle accepte ma caresse. Elle écarte d'elle-même les jambes, relève ses reins. Je peux voir son cul. Je pose ma pine dessus: elle ne résiste pas. Je crache sur lui, et rentre sans grandes difficultés. Je la lime, elle soupire quelle aime de faire mettre comme ça. Elle jouit bien mieux. Quand elle jouit, elle se tourne pour venir prendre ma queue dans sa bouche, elle veut mon sperme. Sa fellation est supérieure à celle de la mère. J'au pris son con en bouche également. Je laisse son clitoris pour venir passer ma langue sur le cul. Ce coup ci elle accepte que ma langue y rentre. Je la laisse libre de me sucer comme elle veut : elle fait travailler sa langue et ses lèvres. C'est elle aussi une championne de la succion.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
sublime cette histoire de comparaison, la mere et la fille bravo
jaurais temps aimer etre une de ses femme sinon elle est bien ton histoire