Les aventures de Martine - Infortune et trahison

- Par l'auteur HDS PIERRE DAVID -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les aventures de Martine - Infortune et trahison Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2011 dans la catégorie Plus on est
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Les aventures de Martine - Infortune et trahison
Je m’appelle Pierre, trente-cinq ans et marié depuis un peu plus de dix ans à Martine avec laquelle j’ai eu deux enfants.
Martine est une épouse dévouée qui s’occupe parfaitement de son foyer, et nous coulons une vie paisible.
Pourtant depuis quelques mois j’ai constaté une augmentation sensible des rendez-vous de mon épouse avec ses copines.
Tantôt elle est invitée à manger chez l’une ou chez l’autre, tantôt c’est un film ou une expo, qui bien sûr ne m’intéressent jamais.
Son comportement a changé peu à peu, devenant plus volontaire, jusqu’à sa façon de s’habiller qui me parait plus soignée, plus féminine, presque sexy parfois.
Les jeans et cols roulés ont fait place à la jupe fendue et au corsage négligemment déboutonné jusqu’à la naissance de sa généreuse poitrine, ce qui va s’en dire n’est pas pour me déplaire, et je m’amuse des regards plongeant des serveurs quand nous allons au restaurant.
Cela a commencé peu après son week-end en Ardèche avec Jacques et Rachid
J’ais toujours en mémoire les jours qui ont suivi ce voyage, Martine manifestant une très bonne humeur, et me parlant sans cesse de cet excellent week-end.

Un doute sérieux commence à me tenailler et, même si ma confiance en elle est intacte, je voudrais bien en avoir le cœur net.
Ce soir, c’est la réunion d’une petite association qui la monopolise, ainsi qu’elle me l’a annoncée au cours du déjeuner.
- Cela ne devrait pas durer trop longtemps ! Tu es sûr que cela ne te gêne pas ? me demande-t-elle, paraissant embarrassée.
- Non, pas du tout ! Répondis-je, j’en profiterai pour me faire un ciné !

Je décide de saisir cette occasion de mettre un terme à mes interrogations et de la suivre discrètement.
J’aime ma femme et le doute qui me ronge devient insupportable, d’autant que ce soir elle a choisi une tenue qui ne me parait pas de circonstance, une jupe noire fendue haut sur la cuisse et un corsage dont la transparence trahit un soutien-gorge noir lui aussi, aux bonnets imposants.
Une veste de tailleur cintrée complète l’ensemble, donnant à ma femme une allure très aguichante.
Je pars un peu avant elle et me gare non loin de la maison, hors de sa vue quand elle sortira.
Dix minutes plus tard, la voiture de Martine sort du parking et s’éloigne en direction de la périphérie de la ville.
Je lui laisse prendre un peu d’avance, puis m’engage à sa suite, essayant de ne pas la perdre de vue.
Heureusement il n’y a pas trop de circulation ce soir et la tache claire de sa voiture se voit assez bien.
Nous roulons ainsi un bon quart d’heure, jusqu’à un lotissement relativement récent que je ne connais pas.
Elle s’engage dans une allée et s’arrête tout au bout, en face de la dernière maison un peu éloignée des autres et plus ancienne.
Par prudence, je reste assez loin mais je distingue néanmoins une grosse bâtisse aux murs de pierre, à un étage, ceinturée par une haie haute et épaisse qui masque la vue sur le rez-de-chaussée.
Martine sort de la voiture et disparaît derrière la haie.
Je me gare et finis le chemin à pied jusqu’à la maison où ma femme est entrée.
Le quartier est calme, il n’y a pas âme qui vive et l’absence de voiture en stationnement un soir de réunion d’association ne fait qu’attiser la sourde inquiétude qui nait en moi.
À mon tour, je m’engage dans la cour que protège la haie et m’approche de la maison.
Une pièce est éclairée en bas, mais un rapide coup d’œil me permet d’identifier la cuisine qui est vide.
Je me sens un peu honteux en rôdant autour de cette habitation, au risque de me faire surprendre par le propriétaire des lieux.
Heureusement qu’il n’y a pas de chien !
Les abords de la maison sont dans l’obscurité et je décide de faire le tour, en essayant d’être le plus silencieux possible, bien aidé en cela par la pelouse présente de chaque côté de la maison.
À l’arrière, de la lumière filtre par une grande baie au niveau de la terrasse.
Le cœur battant, je gravis les trois marches et m’approche sur le côté de la fenêtre, silencieusement, en prenant garde de rester dans la pénombre de la terrasse qui, elle, n’est pas éclairée.
Il n’y a pas de rideaux, ou alors ils sont ouverts et en tendant le cou, j’ai une vue directe sur la pièce, assez spacieuse, meublée style campagnard, avec une grande cheminée ou crépitent des flammes soutenues.
En face se trouve un grand canapé à motif fleuri, sur lequel Martine est assise, seule. Elle semble parler à quelqu’un que je ne vois pas et le double vitrage de la fenêtre fermée ne laisse passer aucun son.
Où sont les autres participants ? Ma femme est-elle en avance ?
La réponse arrive bientôt, et le coup de massue qui va avec.
Un homme vient d’entrer dans la pièce, deux verres à la main et ce n’est autre que Rachid, notre copain tunisien.
Je ne sais plus si je dois être soulagé ou enragé.
Qu’est-ce qu’il fait là ?
Ce n’est pas sa maison, je le sais bien.
Ainsi c’est donc lui qu’elle voit régulièrement, depuis des semaines sans doute, et certainement pas pour parler couture.
Se pourrait-il qu’ils aient eu une aventure en Ardèche ?
Je savais que ce week-end lui avait fait le plus grand bien car elle en était revenue resplendissante, et je n’avais pas à me plaindre des petits changements intervenus, bien au contraire.
Un doute horrible me saisit.
Est-ce que Jacques lui aussi en aurait profité ?
Je suis anéanti à l’idée qu’ils aient pu trahir ma confiance à ce point.

Tapi dans l’ombre, j’épie leurs gestes, essayant de comprendre ce qu’ils peuvent se dire, ce qui n’est d’ailleurs pas très utile puisqu’ils passent surtout leur temps à s’embrasser.
Ivre de colère, je reste tétanisé derrière la baie vitrée à regarder Rachid dégrafer fébrilement le chemisier de mon épouse, dévoilant le soutien-gorge de dentelle noire qui protège ses plantureux attraits.
Pris au dépourvu par la découverte de mon infortune, et surtout la trahison de mon copain, je ne sais plus quoi faire.
Comme d’autres maris, j’ai souvent fantasmé sur la possibilité de voir ma femme se faire prendre par un autre homme, mais là ce n’est pas un rêve, c’est une réalité qui m’explose en pleine figure.
Je le regarde dégager les deux mamelons des bonnets, les prendre dans ses mains et refermer ses lèvres sur les pointes brunes et saillantes.
Martine s’est cambrée vers l’arrière, offrant ses appâts à la langue habile de son amant.
Remontés par le sous-vêtement, ses seins opulents sont magnifiques et j’en ai la gorge qui se noue de voir Rachid les presser à l’envie, se régalant de ces deux melons bien fermes.
Activement sollicités par la bouche insatiable, les tétons se dressent au milieu de l’aréole brune, gonflés par le plaisir.
Mon salaud !

Il lui enlève bientôt chemisier et soutien-gorge, prend à pleines mains les deux globes charnus, pour les pétrir voluptueusement.
J’enrage de le voir profiter aussi impunément de ces trésors dont je pensais qu’ils m’étaient réservés, d’autant que je connais parfaitement l’exquise sensation que l’on a quand on malaxe ces rondeurs, lourdes et soyeuses.
Martine semble apprécier particulièrement le traitement à en juger la façon dont elle se cambre sur le canapé projetant sa poitrine au devant des caresses.
Aucun son ne me parvient, mais la vue des doigts de mon pote qui s’enfoncent dans la chair souple commence à me faire bander
Ma colère se dissipe un peu, faisant place à un étrange sentiment, mêlant excitation et fierté, jalousie et tristesse.
Le doute n’est plus permis, la scène à laquelle j’assiste démontre que ce n’est pas la première fois qu’ils couchent ensemble.
Et depuis quand ? Depuis l’Ardèche ?
Je me sens vraiment couillon tout d’un coup.

Rachid joue un long moment avec les globes généreux, se régalant de leurs pointes brunes qu’il tête allégrement puis descend vers la taille et fait glisser la jupe à terre, aidé par ma femme qui se tortille sur le canapé.
La petite culotte noire ne tarde pas à suivre le même chemin, me laissant admirer, de loin, sa jolie toison noire soigneusement entretenue.
Martine, complètement nue, s’abandonne à la main qui glisse sur sa vulve, lentement, en petits cercles concentriques, les doigts s’enfonçant toujours un peu plus entre les cuisses.

Une discussion s’est engagée entre eux, dont l’objet semble être le sexe de ma femme car il n’arrête pas de le désigner du doigt comme s’il voulait montrer quelque chose.
Au bout de plusieurs minutes de palabres, elle finit par accepter d’un mouvement de tête et je le vois quitter la pièce.
Il revient, une serviette sous le bras et une petite bassine dans les mains qu’il dépose au pied du canapé.
Ma femme se lève, déplie la serviette sur le canapé avant de se rasseoir, cuisses écartées, les jambes repliées.
La vulve largement exposée, de manière presque impudique, elle regarde Rachid qui secoue une petite bombe que je reconnais immédiatement.
Il s’agit de mousse à raser et il s’apprête de toute évidence à lui raser la chatte !
Ça alors, je n’en reviens pas !
J’avais souvent demandé à ma femme de s’épiler, mais elle n’avait jamais accepté, préférant garder sa toison qui lui permettait de se sentir protégée.
Elle semble avoir changé d’avis et je me demande comment elle va m’expliquer tout ça.
En tout cas je suis tellement envoûté par ce que je vois que l’envie d’intervenir m’a bel et bien quitté.
J’ai dégagé mon sexe de mon pantalon et je me branle doucement en regardant mon épouse se soumettre aux sollicitations de notre copain.
Agenouillé devant Martine, Rachid lui enduit le sexe d’une épaisse couche de mousse, puis tirant de la bassine un petit rasoir mécanique, entreprend un rasage en bonne et due forme de la toison noire, gardienne du sanctuaire.
L’engin glisse doucement sur la peau, emmenant avec lui mousse et poils, laissant la place à une peau admirablement lisse.
Martine suit attentivement les gestes de notre copain, lequel est précis et prudent dans ses mouvements, concentré sur son action.
La lame, fréquemment rincée dans la bassine, suit parfaitement les courbes de la vulve, frôle les grandes lèvres que Rachid tire délicatement du bout des doigts pour les dégager.
Il doit prendre un grand plaisir à manipuler entre ses doigts les larges replis de peau qui ressemblent à deux petites ailes.
L’anus, à son tour, est dépouillé des poils qui l’entourent avec une grande efficacité, Rachid vérifiant plutôt deux fois qu’une en passant et repassant ses doigts sur la petite rosette plissée et ses abords.
Fasciné, je regarde l’intimité de ma femme apparaître au grand jour, dans une nudité quasi virginale, dépouillée de sa touffe, à l’exception d’un petit rectangle au-dessus du cône qui couvre le clitoris.
Les grandes lèvres, légèrement foncées, superbes avec leurs multiples replis, sont extrêmement appétissantes.
Il n’y a pas à dire, un sexe de femme est vraiment beau à regarder.
Martine semble apprécier le résultat qu’elle contemple dans la petite glace que Rachid lui a tendu, et le remercie avec un grand sourire.
Après avoir rangé son matériel, Rachid est revenu s’agenouiller devant sa partenaire, qui lui ouvre ses cuisses, offrant à sa gourmandise sa vulve fraîchement rasée.
Comme j’aimerais être à sa place, faire glisser ma langue sur les chairs lisses et humides, l’infiltrer dans les moindres recoins de cette chatte délicieuse.
Je pense à tout à l’heure quand elle va rentrer, quand je vais « découvrir » la nouveauté, et qu’après m’avoir donné une explication bidon, Martine va me laisser goûter à son trésor.
Je saurai hélas, que quelqu’un y aura déjà posé ses lèvres.
Pour l’heure, ma femme tient la tête de Rachid plaquée contre son pubis, les yeux fermés, se laissant aller au plaisir de la langue qui fouille son intimité.
Le salaud s’y prend très bien, comme le montrent les soubresauts de Martine qui se cambre de plus en plus sur le canapé, poussant son bassin vers l’avant pour faciliter l’accueil de la bouche inquisitrice.
Ma femme me fait cocu avec un de nos meilleurs copains, et j’en ai un petit pincement au cœur.
Si c’était un fantasme, eh bien il se réalise et nom d’un chien, qu’est-ce que c’est bandant !

Le visage enfoui entre ses cuisses, il lui bouffe maintenant la chatte d’une façon presque vorace, encouragé par ses gémissements, que je n’entends pas mais que je devine, en voyant sa tête rouler de droite à gauche, les yeux clos, la bouche entrouverte.
Au sursaut qu’elle vient d’avoir, à ses mains qui se sont crispées sur la tête de son partenaire, je pense qu’elle vient de jouir, emportée par une immense vague de plaisir.
Rachid se relève en souriant et l’embrasse amoureusement sur la bouche, tandis que sa main droite masse doucement la chatte visiblement détrempée.
Il se lève et disparaît à nouveau quelques instants, tandis que Martine s’allonge sur le canapé, reprenant son souffle.
Immobile depuis un bon moment, peut-être une demi-heure, je commence à avoir un peu froid, mais je n’ose pas bouger, de peur d’être repéré.
Très excité par ce que j’ai vu, je réalise que j’aimerai la voir se faire prendre par Rachid, voir sa chatte labourée par la verge de notre ami, l’entendre hurler sa jouissance.
Est-ce pervers de souhaiter voir sa femme se faire baiser par un autre, fut-il un ami, ou bien est-ce un sentiment partagé par de nombreux hommes ?
Si je ne suis pas plus jaloux que ça, est-ce que j’aime vraiment ma femme me diront certains détracteurs.
Pourtant, oui, je l’aime, et je veux avant tout son bonheur, et si cela exige qu’elle baise de temps en temps avec quelqu’un d’autre, pourquoi pas.
Je préférerais savoir avec qui et, si possible, le connaître comme c’est le cas avec Rachid.

J’en suis là de mes réflexions quand ce dernier réapparaît, tenant à la main un gode de grande taille, de couleur noire, représentant vaguement un phallus, doté d’une embase plus large à sa base, pour le poser.
L’engin, qui doit faire au moins trente centimètres de long, et six ou sept de diamètre, soit l’équivalent d’une bouteille de bordeaux.
Je n’ai jamais vu de gode aussi imposant mais il est très souple, ainsi que Rachid le montre à Martine, en le pliant dans tous les sens.
Une discussion vient de s’engager entre eux, ma femme ne semblant pas vouloir utiliser cet accessoire, visiblement trop gros à son goût, avis que je partage également car il a des dimensions tout à fait hors norme.
Cela dure quelques minutes, mais finalement Rachid a dû obtenir gain de cause car je le vois enduire le gode de gel.
Dire que je n’ai jamais osé proposer cela à Martine, convaincu que les sexe-toys ne l’intéressaient pas, et de peur qu’elle me prenne pour un obsédé.
Je me giflerais !
Il s’assoit face à mon épouse et la caresse avec l’extrémité arrondie du gode en forme de gland, passant et repassant sur la vulve humide, d’abord légèrement puis appuyant de plus en plus sur le vagin qui cède sous la pression.

Martine ne quitte pas des yeux l’objet qui force ses chairs, habilement manipulé par notre ami.
Le gland en latex disparaît, enserré par les lèvres ourlées, tandis que Martine s’adresse à Rachid sans que je ne puisse comprendre ce qu’elle lui dit.

Lentement il imprime un mouvement de va-et-vient, lui enfonçant peu à peu le gode dans la chatte, laquelle s’élargit et l’épouse parfaitement.
Pendant quelques minutes Rachid se contente de le faire aller et venir superficiellement, jouant avec l’extrémité plus fine du gode, avant de le pousser un peu plus jusqu’au diamètre le plus important.
Maintenant enfoncé de moitié, les allers-retours de l’engin se font plus rapides, et Martine commence à montrer des signes de jouissance indubitables, yeux fermés, lèvres entrouvertes.
Rachid manœuvre l’engin avec une grande dextérité, le faisant tourner dans un sens puis dans l’autre lorsqu’il pénètre la matrice, comme s’il voulait l’agrandir un peu plus.
À chaque plongée, il l’enfonce un peu plus et Martine, avec plus de vingt centimètres de latex dans le ventre, se cambre sur le canapé, soulevant ses reins, les mains crispées sur les coussins, le regard fixé sur l’engin luisant qui disparaît entre ses cuisses.

Pendant de longues minutes, il la besogne avec un mouvement ample et régulier pendant que de sa main libre, il titille le clitoris qu’elle tient dégagé en tirant vers le haut le petit capuchon de peau.
Je reste confondu en réalisant que Martine adore visiblement le traitement.
D’abord inquiet compte tenu du volume de l’objet, je finis par me rappeler que nos deux enfants sont sortis par là, et qu’ils étaient bien plus gros que ça.
Mais c’est quand même impressionnant de voir l’imposant jouet coulisser ainsi dans le vagin de mon épouse.
Sans pouvoir l’affirmer, je crois qu’elle a joui une nouvelle fois.
Rachid se relève, et tandis qu’il se déshabille, je vois Martine se saisir du gode et continuer de plus belle à se pénétrer avec, roulant des hanches et du bassin, dans une sorte de danse folle et sublime.
Le gode se plie du fait de l’angle de prise, mais Martine n’hésite pas à se l’enfoncer autant qu’elle le peut, le remuant dans tous les sens, ce qui doit lui procurer des sensations extraordinaires.
Jamais je n’aurai pensé voir ma femme s’enfoncer un tel jouet dans le vagin, comme quoi il faut s’attendre à tout.
Dans ma main qui l’enserre, ma queue est devenue dure comme la pierre, à me faire mal !
Je me masturbe, essayant de garder le contrôle pour ne pas éjaculer trop vite, ce serait dommage.

Notre copain, maintenant nu comme un ver, revient vers elle, me permettant de découvrir, effaré, sa virilité.
La nature a fait un joli cadeau à Rachid, au regard de sa morphologie plutôt mince et pas très athlétique, en le dotant d’une bite imposante, droite et épaisse, d’au moins vingt centimètres de long, terminée par un gland large et lisse
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il bande pour ma femme, à en juger la superbe érection qui gonfle et hérisse sa verge brune.

Il s’approche de Martine, lui retire le gode qu’il pose au sol, bien dressé sur sa ventouse qui l’immobilise et l’invite à s’asseoir dessus.
Je la vois s’accroupir au-dessus du pieu de plastique noir, le buste bien droit, puis se frotter la chatte langoureusement avant de s’empaler lentement sur lui.

Debout devant elle, Rachid la regarde faire en souriant, tandis qu’elle s’active sur le phallus géant, les yeux brillants de convoitise pour la verge brune.
Il finit par lui présenter son sexe dont elle s’empare aussitôt, et l’avale goulûment, savourant la dureté et la chaleur du pieu de chair dans sa bouche.
L’énergie qu’elle déploie pour sucer et lécher le superbe membre est sans équivoque, et je lui donne volontiers raison.
Ce sexe, à l’exception d’un petit carré de toison pubienne soigneusement coupée, est complètement épilé, ce qui met en valeur ses dimensions conséquentes et permet d’apprécier des bourses bien remplies.

Je ris jaune en pensant aux sensations que mon pote doit ressentir quand les lèvres se referment sur lui serrant le gland dans une aspiration intense avant de repousser la peau vers la base en l’avalant jusqu’au fond de la gorge, puis de recommencer, en remontant lentement le long de la hampe palpitante, la langue s’enroulant autour du bourrelet, déclenchant une jouissance exquise.
Rachid, les mains sur les hanches, le dos cambré, s’abandonne au savoir-faire indéniable de Martine, puis, lui saisissant la tête dans ses mains, il se met à lui baiser frénétiquement la bouche, plongeant son membre quasiment jusqu’à la garde.
J’espère qu’il ne va pas lui faire mal, car son sexe est quand même conséquent, mais elle semble s’en accommoder, malgré quelques signes d’étouffement par moment.
Du gode sur lequel elle s’est plantée, je n’en vois plus qu’une dizaine de centimètres, ce qui me laisse imaginer la place occupée par le pieu de latex dans son intimité, et les sensations que cela doit lui procurer.
Comment peut-elle accueillir un tel engin ?
Je suis admiratif des qualités que je découvre ce soir chez mon épouse, lesquelles compensent en partie l’amertume de me savoir cocu.
D’ailleurs l’évidence se fait jour que depuis quelques temps Martine se lâche de plus en plus souvent au lit, pimentant nos rapports de positions moins convenues et surtout se montrant volontiers demandeuse à d’autres moments que le soir.
Je m’étais plu à penser que cela était le fruit de mes efforts et de ma persévérance , mais non.

Elle s’est accrochée aux cuisses de notre ami, et s’évertue à le pomper si avidement, les lèvres bien serrées sur la verge gonflée, que je ne sais plus trop qui baise l’autre.
Martine montre une envie folle de cette bite et l’avoir presque tout entière dans sa bouche, à sa merci, lui procure manifestement un plaisir immense.
Le rythme s’accélère.

Brusquement Rachid se fige et je comprends au sursaut de ma femme qu’il vient de jouir, éjaculant sa semence en elle.
Elle ne cherche pas à se dégager, le laissant se vider les couilles, s’abreuvant de l’abondant nectar qui se déverse en elle.
L’image des jets de foutre qui fusent dans sa gorge envahit mon esprit, me faisant jouir à mon tour, et j’éjacule sur la terrasse, en silence, ma bite gonflée et dure dans la main.
Un peu de liquide blanc et épais perle aux commissures de ses lèvres, signe qu’elle en a plein la bouche, et qu’elle se délecte du précieux liquide avant de l’avaler.
Je ne sais pas quel goût peut avoir le sperme de Rachid, mais il semble plaire à mon épouse de toute évidence.
Envahi par l’émotion que suscite en moi leur jouissance, imaginant le plaisir que prend Rachid en se vidant en elle, une insondable envie de la prendre à mon tour me gagne et je ne peux refouler les larmes qui coulent le long de mes joues.
Je sais maintenant que je ne serai plus jamais son seul repère en matière de plaisir, et que le goût de Rachid sera pour toujours ancré dans ses papilles.

Peut-être aussi celui de Jacques…. et de combien d’autres à venir ?
Je me dis qu’elle ne perd rien pour attendre, que tout à l’heure je saurai lui faire goûter mon sexe, moi aussi, et l’abreuver copieusement de ma semence.

Pour l’heure il s’agit de rentrer.
Martine, libérée du gode, s’est assise sur le canapé, pendant que Rachid remet un peu d’ordre dans la pièce, nu comme un ver.

Au moment ou j’allais quitter la terrasse une silhouette s’inscrit dans l’encadrement de la porte du salon, surprenant les deux occupants.
Curieux de cette intrusion je reprends mon poste d’observation, l’attention portée sur le nouvel arrivant.
Martine se lève rapidement, comme prise en faute, enfilant maladroitement son chemisier sans arriver à le boutonner, ce qui finalement la rend très bandante, avec ses mamelons à moitié découverts, et sans pouvoir remettre sa culotte pour cacher son sexe fraichement rasé.

Je n’ai aucune difficulté à reconnaître l’homme qui vient d’entrer, petit et sec, la peau ridée par des années de labeur, mais au regard vif et déterminé et qui doit afficher dans les soixante-dix ans aujourd’hui, je pense
Il s’agit de Slimane, le père de Rachid, que nous avons rencontré quelques fois, Martine et moi, et je peux comprendre la gêne de ma femme de se trouver devant ainsi lui, en pareille tenue.

Rachid ne semble guère plus à l’aise, d’autant que son père ne semble pas très content de les trouver là.
Il devait dormir à l’étage si j’en juge au pyjama qu’il porte et le batifolage des deux amants a du le réveiller.
Cela doit donc être sa maison.

Néanmoins il embrasse son fils, puis Martine, les yeux rivés sur la poitrine qu’elle tente de lui cacher, et une conversation s’engage avec Rachid.
L’homme écoute son fils, non sans jeter de fréquents regards en direction de mon épouse qui a réussi à enfiler rapidement sa culotte.
Je réalise brusquement que son pyjama s’est orné d’une belle bosse au niveau du bas-ventre.
Putain, le vieux est en train de bander !
Cela ne m’étonne pas vu le spectacle alléchant offert par mon épouse quasiment nue qui peine à masquer ses généreux attributs.

J’ai l’impression qu’une négociation est engagée entre le père et le fils et que Martine en est l’objet.
Le vieux aurait envie d’elle que cela ne m’étonnerait pas.
A plusieurs reprises Rachid se tourne vers elle pour lui demander quelque chose qu’elle finit par accepter, visiblement résignée.
Le père de Rachid prend place sur le canapé, baisse son pyjama, arborant effectivement une belle érection, dont il parait assez fier.
Cela doit être génétique, car lui aussi est membré comme un âne, tout est relatif, au regard de sa morphologie.
Entre ses cuisses dégarnies se dresse un sexe mince et long, parcouru de grosses veines, avec un gland énorme.
Assis, les jambes écartées il regarde Martine, restée debout, se pencher sur lui et s’emparer de son sexe effectivement déjà bien bandé.
Décidément mon pote me fait cocu dans les grandes largeurs.
Il va faire profiter toute sa famille des bonnes dispositions de mon épouse si cela continue.
Pour l’instant c’est le père qui jubile, en regardant Martine s’occuper de son membre visiblement encore bien vigoureux.
Elle le branle méthodiquement tout en lui suçant le gland lisse et violacé qui a pris du volume, répondant parfaitement aux sollicitations de la bouche gourmande.

Elle aura sucé deux bites dans la soirée ce qui ne finit pas de m’étonner.
Comment ai-je pu être aveugle à ce point ?
Comment ai-je pu ignorer les changements qui s’opéraient en elle ?
Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.

La position de Martine met en évidence sa jolie croupe bien charnue, ce qui ne manque pas d’attiser la convoitise de Rachid qui s’approche d’elle, l’œil brillant, très intéressé par les rondeurs alléchantes offertes à son appétit.
Je suis un peu loin pour voir en détail tout ce qui se passe, j’en suis donc réduit à faire des suppositions sur ce qu’il va faire, mais j’ai bien l’impression qu’il a un faible pour son cul, superbe et disponible.
Et je dois reconnaître qu’il a bien raison !
Il commence par lui retirer sa culotte qu’elle vient tout juste de remettre, puis lui claque les fesses, l’une après l’autre, d’une main souple mais énergique qui les fait rapidement rougir, s’insinue lentement le long de la raie, lui masse l’anus, en faisant des petits ronds concentriques, puis la pénètre de son index tendu.
Il le fait aller et venir de plus en plus vite, tout en la fessant de sa main libre, administrant des claques qui font trembler la chair généreuse.
Deux puis trois doigts sont bientôt introduits dans le petit orifice qui se dilate sous la pression, sans que cela ne perturbe Martine, comme si elle était habituée à ce genre de pénétration, ce qui, à ma connaissance, n’est pas le cas.
Il faut croire qu’elle s’habitue vite.

Il la doigte un moment puis estimant sans doute qu’elle est prête, il appuie son sexe contre l’orifice dilaté, et d’une poussée lente du bassin, s’enfonce en elle, doucement, jusqu’au fond.
Martine a relevé la tête, accusant l’introduction du membre, et s’est tournée vers Rachid qui semble lui dire quelque chose.
Les yeux fermés, elle se laisse sodomiser par notre ami, ne laissant paraître qu’une légère grimace chaque fois que la verge bien dure plonge en elle.
Rachid discute avec son père, sans doute pour lui vanter les qualités de sa partenaire dont il laboure le cul allègrement.
Jusqu’à ce que Slimane réclame son du à son tour.

Rachid libère Martine qui se relève pour venir enjamber Slimane et s’empaler sur sa verge érigée et dure, à la grande satisfaction du vieil homme qui s’est emparé de la majestueuse poitrine qui s’agite au dessus de lui.
Les mains rivées aux deux gros mamelons, gorgés de désir, Slimane lui dit quelque chose en la regardant monter et descendre sur sa verge, ce à quoi elle répond avec un large sourire.
Elle est visiblement très contente de le chevaucher, s’activant sur sa queue avec une ardeur non feinte, sachant qu’il pourrait largement être son père.
Rachid qui s’est rapproché d’eux la fait se pencher vers l’avant, et guidant son sexe contre l’anus encore dilaté, il la pénètre à nouveau, très facilement, et la sodomise en lui claquant la croupe en cadence.
Je reste admiratif de l’aisance avec laquelle l’imposante bite plonge profondément dans le cul de ma femme, labourant ses chairs intimes pour son plus grand bonheur.

En se baissant elle a mis sa poitrine à la portée de la bouche de Slimane qui s’empresse d’en aspirer les pointes brunes, l’une après l’autre, comme un affamé qui n’aurait rien mangé depuis des semaines, leur faisant prendre une taille inhabituelle.
Ma femme doit être particulièrement contente ce soir, car elle adore se faire sucer les tétons et Slimane semble être très doué pour ça.
Je n’ai jamais réussi à les faire gonfler à ce point là.
Le dos cambré, la poitrine saillante, elle me fait penser à une figure de proue, fière et volontaire, se livrant aux désirs de mâles en rut.


Malgré la fraicheur de la nuit qui commence à m’engourdir, je ne peux me résoudre à quitter les lieux, persistant obstinément à espionner le trio qui se déchaine dans le salon.
Le cœur déchiré, mais avec une trique d’enfer, je regarde Rachid et son père s’en donner à cœur joie avec ma femme, la baisant copieusement en lui donnant un plaisir bien réel.
Sa tête rejetée en arrière, roule d’un côté et de l’autre, sa croupe ondule à la rencontre des deux pieux qui la besognent, montrant son désir d’être possédée ainsi, totalement.
Je dois me rendre à l’évidence, elle aime vraiment ça, ce qui ne laisse pas de m’inquiéter pour l’avenir, mais en même temps je dois admettre que j’adore la regarder se faire baiser.

Les deux hommes s’en donnent à cœur joie, enfouissant leurs membres respectifs au fond de ses entrailles, dans un ballet vigoureux qui la fait défaillir, avant que leurs orgasmes respectifs n’éclatent, libérant leur foutre au cœur de ses orifices.
Ils jouissent intensément, éjaculant sans doute abondamment, déclenchant au même moment l’orgasme de ma femme, qui se met à trembler follement, dévastée par une onde choc qui la traverse de part en part.

Tous les trois restent ainsi un moment, intimement soudés, récupérant de leurs efforts, le père et le fils embrassant leur partenaire, caressant son corps plantureux qu’ils viennent de posséder, la remerciant du plaisir qu’elle leur a permis de prendre en se livrant à leur appétit.
Rachid se retire le premier, me permettant ainsi de voir sa semence s’écouler de l’anus qu’il vient de besogner.
Martine se dégage enfin de Slimane, les cuisses couvertes de sperme, preuve que le père, comme son fils, se sont bien vidé les couilles en elle.
La soirée aura été prolifique et ce n’est pas fini, car j’ai bien l’intention d’y ajouter ma part quand elle sera de retour à la maison.
Rachid lui tend une serviette avec laquelle elle s’essuie, presque à regret.



Quand elle se relève, je vois une femme fourbue, mais heureuse d’avoir pris tant de plaisir.
Elle se rhabille sous les regards attentifs de Rachid et de son père, et moi je le me dépêche de regagner mon véhicule afin d’être à la maison avant elle.
J’espère qu’elle aura gardé un peu d’énergie car je suis diablement excité, et désireux de prendre ma revanche, en la baisant copieusement à mon tour, pour tenter de lui faire oublier un peu le plaisir qu’elle vient de prendre avec Rachid et son père.

Je n’arrive pas à lui en vouloir, bien que mon égo en ait pris un coup, et je me dis que c’est peut-être bon pour nous qu’il y ait de la concurrence.
Cela m’oblige à être innovateur et performant, et j’apprécie finalement qu’elle ait pris goût au sexe.
Reste à gérer la situation et à garder un minimum de contrôle.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
trop bandante la martine,continue,envoi là dans un foyer elle aura le compte(mais elle
en revou(drap)),ça me fais penser à une tante à moi qui a le meme prénom,excitante en
diable,et elle le sait!encore!!!

Histoire Erotique
il est évident que martine en redemande!j ai lu ts les épisodes memes celui du chantage(pas assez pousser à mon gout,j ose croire qu il y aura une suite!?!)au plaisir de te lire!!!!

Histoire Erotique
Voila un récit que j'ai eu plaisir à lire et que je vais faire partager à ma femme qui
s'appelle également Martine et qui j'en suis sur aurait aimé être celle du récit.
Christian

J ai adoree ce recit et je confesse que j ai mouillee comme rarement et j ai du me goder
comme une folle
merci

Histoire Libertine
Je suis revenu sur ton histoire et y ai pris beaucoup de plaisir surtout que j'imaginais
ma femme Corinne à la place de Martine surtout qu'elle possède de nombreux "amis", tant
blacks (comoriens) qu'arabes...
Merci pour ce plaisir que tu m'as procuré et bonne année !

Histoire Erotique
j'ai lu toute les péripétie de Martine j’attends la suite avec impatience

Histoire Erotique
Vous venez de découvrir les joies du candaulisme, la suite promet d'être passionnante.
Mais comment Martine va t'elle vous justifier que le rasage intime fait parti des rites
de son association?

Histoire Erotique
et bien j espere que tu vas nous conter la suite des avebtures de ta salope...maintenant
qu'elle y a goutée,ellev pas se priver..
merci pour ce beau recit...mike..



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Histoire sexe : Une rose rouge
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