Les bons comptes font les bons amis...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les bons comptes font les bons amis... Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les bons comptes font les bons amis...
LES BONS COMPTES FONT LES BONS AMIS… Une fois n’était pas coutume pour esprit d’économie Patrice m’avait demandé s’il m’était possible que je lui installe une pal au plafond et des appliques sur les murs de son salon.
Cela m’avait pris deux jours, et pour s’acquitter Patrice m’avait demandé de passer un soir. Nous étions en train de prendre une bière au salon, devant le travail accompli, quand on entendit les talons de sa femme Chloé claquer dans le couloir.
- À ce que je vois c’est enfin poser depuis le temps ! Fit-elle de son air pincé.
- Il faut mieux tard que jamais ! Répondait-il.
- Bonsoir Chloé ! Fis-je.
- Je te sers une coupe ? Lâcha le mari.
- Je ne dis pas non, et s’installa sur le canapé.
Une fois confortablement placée, elle daigna parler, participant ainsi à notre conversation. Elle avait légèrement décroisé ses jambes et je distinguais sans gêne, la chair blanche des cuisses en haut des bas gris perle, et tout au fond de la fourche, la lueur claire d’une culotte satinée.  Faisait-elle cela inconsciemment ou était-ce une ruse perfide pour me troubler ? Pensais-je.
La discussion allait bon train. Patrice nous abandonna le champagne pour se servir du whisky.
- Tu vas encore te bourrer la gueule ! Fit-elle dans un souffle, le rouge aux joues.
La tension était à son maximum. Sans parler de mon sexe qui était en érection continue depuis un bon moment, troublé par le charme sidérant des cuisses de Chloé.
Puis vint l’instant de ce faire payer.
- Tu me dois deux mille francs, Patrice !
- Tu plaisantes j’espère ! Lâcha-t-elle.
- Bien sûr que non !
- Tu sais, il a raison Chérie, renchérit Patrice tristement en posant la main sur la cuisse de sa femme.
- Tu acceptes les chèques ? Siffla-t-elle.
- Je préfère le liquide. Renchéris-je - Je te ramène cela demain. Répliqua Patrice.
- J’ai peut-être une petite idée qui pourrait tout arranger, si ta femme est d’accord ?
- Et c’est quoi ton idée ? Laissa tomber Patrice.
Prenant mon courage à deux mains, je m’entendais dire : - Si elle me fait une pipe, on efface tout !
Naturellement Patrice prit la mouche.
- Mais tu sais que tu parles de ma femme, enfoiré, tu es cinglé ou quoi ?
- Ok, Ok, je n’ai rien dit, c’était une connerie je le reconnais ! Alors je veux être payé sur le champ, deux mille francs !
Patrice regardait sa moitié. Il avait sa mine de chien battu. Pour sa part elle semblait sur une autre planète, enfoncée sur le canapé. Le silence était lourd. Sa bouche était immense, ourlée de lèvres épaisses, admirablement dessinées. Elle se contentait de me dévisager avec une insolence qui me coupa le souffle. Je devinais ce qu’elle pensait, il me suffisait de le lire au fond de ses yeux. Des yeux très grands, eux aussi, si bombés et si bleus.
- Bon, je te fais une pipe, se décidait-elle, et nous te devons plus rien !
- Mais Chloé, tu n’y penses pas ? S’offusquait l’époux.
- Tu as mieux ? Lui balançait-elle Pris par une excitation à l’extrême, et sans aucune gêne pour le mari se trouvant sur place, je m’approchais de la femme et baissais mon pantalon. Et bien sûr mon slip, exhibant ainsi ma verge qui était aussi dur que du marbre. Après un regard à son mari, Chloé me caressait d’abord les testicules avec sa main puis sa langue me titillait à la base du sexe puis remontait, passait sur le frein du prépuce. Je pensais qu’elle allait engloutir toute ma tige, mais sa langue redescendit. Elle me faisait languir ! Enfin au bout de quelques minutes, je sentis ses lèvres autour de mon gland et enfin toute sa bouche autour de mon sexe. Je ne pu me retenir de pousser un petit gémissement… C’était trop bon ! Il fallait presque que je me retienne pour ne pas abréger sa fellation. Quelques minutes après, la bouche pleine de ma semence elle recula sur le canapé.
- Voilà, c’est payé ! Laissa-t-elle tomber.
- Tu as payé pour la pal, non pas pour les appliques ! M’entendais-je lui dire.
Sans chicaner, elle me prit de nouveau ma queue à demi bandée et l’enfourna jusqu’au fond du gosier. Elle posait ses mains aux ongles délicats sur mes fesses et me fit imprimer des mouvements de va-et-vient violents. Son rouge à lèvres contrastait violemment avec le rose pâle de ma verge qu’elle engloutissait après chaque aller et retour.
Dans son coin le mari ne manquait pas une miette de ce que nous faisions. J’étais aux anges. Un état qui me faisait faire n’importe quoi. Au point de l’inviter, à s’unir à nous.
- Reste pas seul dans ton coin, viens toucher la chatte de ta femme pour voir si elle mouille ?
- Pas question, répondait Chloé qui avait sorti la bite de sa bouche avant de se mettre à lécher ma verge et mes couilles comme s’il s’agissait d’une sucrerie.
- Patrice, insistais-je d’un ton autoritaire, je te dis de venir toucher sa chatte ! Et toi ma chérie, tu vas écarter tes cuisses pour permettre à ses doigts de te toucher !
Toujours en léchant, elle me fixait d’un œil mauvais, et finalement, lentement, s’exécuta, écartait ses jambes. Son mari s’approchait timidement, passait un doigt sur la culotte de satin, dessinant le creux des lèvres, et n’ayant aucune réaction violente de sa femme, glissait l’index sous l’élastique.
- Elle est en eau ! Jugeait-il.
- J’en étais sûr ! Lâchais-je tomber.
Mais alors qu’il s’écartait, je laissais tomber : - Lèche là !
- C’est que… ! Marmonnait-il.
- Tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas lécher la chatte de ta femme.
Chloé se positionna pour faciliter la besogne de son mari. Il était maintenant à genoux devant elle, alors qu’elle était assise sur le bord du canapé, les cuisses grandes ouvertes, un talon sur l’accoudoir laissant bailler d’une manière obscène ses grandes lèvres sous une épaisse brouillage. Patrice la lécha goulûment, comme s’il voulait en finir au plus vite avec son tête à tête. Je jouais pour ma part, avec ma queue. La tapotant contre les joues, le nez, le menton, alors qu’elle cherchait à la gober.
- Dis Patrice, elle te suce ta femme ?
- Pas ces derniers temps ! Répondit-il.
- C’est vrai Chloé ? Et pourquoi cela ?
- Manque d’envie ! Laissait-elle tomber.
- Et là ? Lui envoyais-je, cela ne te dirait pas ?
Elle se garda bien de répondre. Alors j’ordonnais à son mari de lui mettre sa queue dans la bouche. Chloé ne protestait pas, se couchant sur le dos sur le canapé alors que le mari s’enfonça entre ses lèvres. Pendant ce temps, d’une langue experte, je m’appliquais sur le trou du cul de Chloé, en lui soulevant les fesses. Elle tremblait de plaisir et avalait la queue de son mari sans aucune réticence. D’ailleurs qui ne tardait pas à jouir dans la bouche carmin de sa femme. Elle avalait le sperme gluant sans s’arrêter de pomper. J‘étais de mon côté, passé à la vitesse supérieure. L’anus de Chloé commençait à se dilater de plus en plus sous mes coups de langue. Au point de se laissait envahir par un, puis deux et enfin trois doigts qui se mirent à pistonner le conduit sans relâche.
- Dis-moi Patrice, de toi à moi, je peux enculer ta femme ?
- Pourquoi pas lui dire à elle-même...
- Encule-moi… le coupait-elle. Enfile moi ta queue, oui ! J’en rêve… Je n’en revenais pas ! Chloé se comportait comme une vulgaire salope ! Et cela m’excitait énormément. Alors je ne me fis pas prier, enfonçant ma queue dans son conduis élastique, m’enfonçant rapidement jusqu’aux couilles.
Sans perdre une miette de la sodomie, Patrice libérait les seins de sa moitié, de son chemisier et du soutien-gorge. Puis il triturait les mamelons.
L’enculage fut long, précis, brutal, et à chaque butée, Chloé étouffait un cri, un râle.
- Moi aussi je pourrais t’enculer  ? Demandait Patrice à sa femme, qui toujours en position, se faisait pilonner le trou du cul en cadence, par ma queue. Par contre en s’adressant à moi elle laissa tomber : -Défonce-moi encore plus fort, espèce de salaud ! Défonce-moi le cul, je suis ta chienne !
Avec son sourire carnassier, le menton maculé du plaisir de son mari. Je sortais ma queue de son cul, laissant un trou béant, et m’amusais à entrer plusieurs fois en bélier. Chloé criait son plaisir, ses seins toujours torturés par son mari qui bandait plus que jamais. Le salon sentait le cul.
Après un énième verre, Chloé que je ne reconnaissait plus, nous fit part de son souhait de venir jouir sur elle. Pour se faire elle se leva brutalement du canapé, et s’accroupit dans une position indécente devant nous, en rut. D’une main, elle se fourra des doigts dans la chatte, et de l’autre elle s’enfonçait le majeur dans l’anus, surprise et un peu effrayée par la dilatation extrême de ce dernier. Nos deux bites étaient devant son visage et dans un synchronisme quasi parfait, giclaient de longues traînées crémeuses sur sa bouche ouverte, son nez. Elle aspirait ce qu’elle pouvait en agitant ses doigts frénétiquement dans ses deux trous. Puis elle s’écroulait sur le canapé. Rassasier sexuellement, je quittais les lieux.
Au courant de la semaine suivante, j‘étais rendre une petite visite de courtoisie au bureau de Chloé.
- Alors contente ? Lui fis-je.
- Tu ne peux pas savoir à quel point. Et je crois que Patrice a bien gobé notre plan.
- Tu vois, je n’y croyais pas quand tu as inventé ce scénario, répondais-je.
- Je pense que maintenant, que tu n’as plu besoin à présent de faire des travaux chez nous pour te joindre à nous. D’ailleurs, j’ai très envie d’essayer avec une bite dans chaque orifice.
- Prise en sandwich, quoi !
-Oooouuuiiiiii !

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