Les coeurs de chienne (suite et fin)
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Les coeurs de chienne (suite et fin)
Véronique
La nuit a été courte et je me réveille de bonne heure.
J’enfile mon caleçon et descend à la cuisine pour me faire un café. Mais avant même d’y entrer, des bruits m’en parviennent.
Je pousse la porte doucement. Une femme me tourne le dos et semble faire la vaisselle.
« Bonjour ! »
Elle se retourne. Elle porte des lunettes de soleil.
« Nico ? Ben, vous êtes encore là ? Vous n’êtes pas parti hier ?»
« Non, j’ai passé la nuit ici. »
C’est Véronique, la femme de serge, ou plutôt son souffre douleur. Je suis sur que ses lunettes cache un coquard.
Voilà un an que je ne l’ai pas vu, depuis le mariage de Laetitia. Elle a maigri, même si elle aborde encore un embonpoint certain, c’est une femme mure d’une incroyable beauté et qui transpire la gentillesse.
Je m’approche d’elle pour lui dire bonjour et l’embrasser. Le fait que je sois en caleçon semble la gêner un peu.
« Ho ! Excuse-moi ! Ce n’est pas une tenue, je suis désolé. »
« Non, c’est rien. Vous ne pouviez pas savoir. »
« Ce n’est pas la joie, hein ? »
« Non, pas vraiment. Vous n’avez pas du rigoler hier. »
« Heuu ! Non en effet. Mais grâce à Fleurine j’ai passé une très bonne soirée quand même. Mais toi, tu en es où ? »
« Ho moi… Je n’espère plus grand-chose. Il m’a éteinte. Vous savez, plus jeune j’étais une sacrée coquine, très jolie et très sexy. C’est ca qu’il lui avait plus en moi. Mais depuis plusieurs années, il n’y a plus rien, ni tendresse, ni amour, rien ! »
« Pars, prend un amant ! »
« Partir, trop compliqué pour moi et pour aller où ? Qu’en t’à prendre un amant, ce n’est pas mon style. Je ne saurais pas faire. Il faut savoir gérer ce genre de chose. Et qui voudrait encore de moi. »
« Ho ! Parfois il ne faut pas chercher trop loin. »
« Chuuut ! Vous allez dire des bêtises. »
Je m’approche d’elle et pose mes mains sur ses hanches. Je sens ses formes sous mes doigts, la douce souplesse de ses légers bourrelets.
« Non, Nico, il ne faut pas ! »
« Laisse-moi te rallumer. Réveiller l’amante qui dort en toi. Quand on est coquine, on le reste toute sa vie. »
Elle rougie un peu et sa respiration s’accélère.
« Non, il ne faut pas ! Et s’il se réveille ? »
C’est une interrogation qui trahie son acceptation. Elle n’est pas contre l’idée, elle a juste peur.
Je prends ses mains et les pose sur mon torse.
« Ne crains rien. Avec ce qu’il s’est envoyé hier, il va dormir jusqu’à midi. »
Elle tremble.
Je me colle à elle, écrasant ses fesses contre l’évier. Son contact me fait bander comme un âne et mon membre s’échappe de la braguette du caleçon. Elle le sent tout contre son ventre, dressé et prometteur de plaisirs intenses.
Elle ferme les yeux et enfonce ses ongles dans ma peau.
Je dépose mes lèvres sur sa bouche. Elle accepte mon baiser et passe ses mains derrière ma nuque.
Tandis que nos baisers sont de plus en plus fougueux, je glisse mes mains sous son pull, les passe dans le soutien gorge et je remonte le tout haut sur sa poitrine.
Surprise de se retrouver les seins à l’air, elle a un mouvement de recul. Mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et j’aspire déjà une de ses grosses pointes roses.
Elle jette ses épaules en arrière et se cambre un peu pour mieux m’offrir son opulente poitrine.
Alors que je lèche goulument les mamelles de cette adorable personne, mes mains s’engagent sous la jupe. Elles ne prennent pas le temps de caresser les cuisses ou les fesses. Elles s’accrochent directement à l’élastique de la culotte qu’elles tirent vers le bas.
Véronique, surement pas très rassurée, essai de m’en empêcher.
« Ne crains rien ma chérie ! »
Je la tourne sur elle même et la couche sur la table de cuisine. Elle semble s’abandonner et s’accroche à la nappe à carreaux.
Mon sexe tendu n’a pas besoin de chercher l’ouverture. Elle est face à lui, humide et béante.
« Ho oui ! Tu as une belle chatte de salope ! Hummm ! »
« Oui ! Ouii ! Insulte-moi ! »
Son tutoiement soudain m’excite.
« Je vais faire de toi ma chose ! Tu vas être ma putain, ma garce ! Je ferais remplir ta vieille chatte de foutre par tout ce qui passera ! »
Je la bourre avec vigueur tout en broyant ses seins de mes mains.
Mais soudain, je suis pris d’un puissant frisson.
Dans l’entrebâillement de la porte de la cuisine, Fleurine nous observe discrètement.
La surprise passée, mon excitation redouble d’être ainsi démasqué.
Tout en fixant la jeune femme dans les yeux, je continu à m’adresser à sa mère.
« Tu l’aimes ma queue ! Hein ? Trainée ! Je vais faire de toi une bonne salope, une vrais chienne !»
« Ho oui, Nico ! Bourre-moi à fond ! Baise-moi fort ! »
La salope jouit comme une grosse pute. J’en fais de même. Ma jouissance est puissante, boostée par l’inattendue petite voyeuse.
Je ferme les yeux un court instant. Quand je les ouvre de nouveau, Fleurine n’est plus là.
Sept mois plus tard.
L’enterrement de Serge.
Désormais j’irais reprendre ma voiture seul dans le parking de ma société.
Je suis un peu surpris de ne pas voir Fleurine au cimetière. Mais finalement, avec la vie qui lui a fait mener, elle a droit à un peu de rancune.
Véronique et Laetitia n’ont pas l’air très affectées non plus. Même Christophe semble soulagé.
Floriane aussi est là, un peu agacé de devoir rester à s’ennuyer à l’enterrement de son grand père.
« Pffff ! T’es pas drôle maman ! J’aurais pu rester tenir compagnie à Fleurine ! »
Elle m’a regardé étrangement à l’église. Il faut dire que sa grand mère avait insisté pour que je m’installe près d’elle et durant toute la messe, elle m’a tenu la main, posant de temps à autre sa tête sur mon épaule.
Elle doit se rappeler de moi comme d’un type inconnu qu’elle a croisé au mariage de sa mère. J’aimerais tellement la serrer dans mes bras.
La famille se disperse. Je présente mes condoléances à Véronique. Elle m’embrasse et me glisse un mot à l’oreille.
« Arrête de faire ton hypocrite. J’aimerais que tu viennes me voir ce soir. »
La jeune veuve n’est pas épleurée du tout.
Je m’éloigne dans les grandes allées bordées de tombes.
Laetitia me rejoint devant le grand portail.
« T’a perdu mon numéro ? Tu ne m’as pas rappelé. »
« Oups ! C’est vrai, mais j’allais le faire. Ton numéro est sur ma table de nuit. J’attendais d’être moins bousculé par mon boulot. Tu sais ce que sait. »
« Pas une soirée de libre en un an et demi ? En effet, tu es très pris. Heureusement que tu as pu te libérer pour l’anniversaire de Fleur ! »
« Héé ! Tu me fais une scène de jalousie, ou quoi ? Tient à propos, je suis étonné qu’elle ne soit pas venue à l’enterrement. »
« Bof ! Dans son état, elle est aussi bien chez elle. Et puis le médecin lui a conseillé d’éviter de rester debout trop longtemps, alors… »
« Mince ! Elle est malade ? Je l’ignorais. »
« Pffff ! Si faire un bébé c’est une maladie, alors oui, elle est très malade. »
« Ho ? Elle est enceinte ? Elle c’est trouvée un homme ? »
« Heuu ! Ou tu te fou de moi, ou tu n’es vraiment pas au courant. Oui, elle est enceinte ! Non, elle n’a pas d’homme ! »
« Ben ? Qui est le père ? »
Elle me jette un regard de feu.
« Je croyais que tu étais au courant qu’il n’y avait pas de secret entre moi et ma petite sœur ! »
« Ben oui, et alors ? »
« Nico ! Elle est enceinte de sept mois. Sept mois…ca te dis toujours rien ? Tu vas être papa de nouveau ! »
Par chance je suis près d’un banc. Je m’y assois avant que mes jambes ne me lâchent.
« Pourquoi ne m’a-t-elle rien dit ? »
« C’est ma sœur, non ? Nous sommes pareilles. Elle a toujours cherché à faire comme moi, à me prendre pour modèle. Bon, là, je reconnais qu’elle a poussé le mimétisme un peu loin. Mais t’inquiète pas, on va assumer. »
« Si tu veux assumer commence par dire à ma fille qui est son père. »
« Ho ! Elle le sait, c’est juste que ce n’est pas facile pour elle. Et puis vous vous voyez si peu. »
« Nous pourrions changer ca ? »
« Bien sur que nous pouvons ! Ne t’inquiète pas. »
Une semaine après.
Cette derniers jours ont été atroces. Mes nuits sont peuplées de cauchemars. Je suis plein de questions sans réponses. Bourré de remords et d’angoisses, je me décide à appeler Laetitia.
« Écoute, je n’en peux plus ! Il faut que je te parle. Je crois que j’ai vraiment déconné avec votre famille. Je voudrais mettre les choses à plat et voir comment je peux réparer mes erreurs. »
« Humm ! Nico ! Je suis si heureuse que tu m’appelles enfin. Si tu es libre cet après midi, je le suis aussi. Je t’attends à quatorze heures, chez moi. »
« Oui, je peux venir, mais ce que j’ai à te dire ne regarde pas Christophe. Il ne serra pas là, j’espère ? »
Elle raccroche sans un mot de plus.
Laetitia.
Quatorze heures.
Mon doigt qui se pose sur le bouton de la sonnette, tremble un peu. Pauvre idiot que je suis. Et ce bouquet de fleurs. Je le trouve inutile et ringard. Je le jetterais bien, mais il m’a quand même couté la peau du cul.
La porte s’ouvre.
« Haa ! Enfin, te voilà ! Merci pour les fleurs, il ne fallait pas. »
Je suis bien d’accord.
Elle est…
Elle porte un combi-short jaune, moulant et sans manche, fermé sur le devant par une série de bouton. Sa ligne fine est rehaussée par une ceinture argentée très basse et ses jambes sont habillées de cuissardes de cuir noir.
Rien qu’à la regarder, cette femme ferait bander un impuissant.
« Je vais chercher de l’eau pour les fleurs. Entre, c’est au fond du couloir. J’arrive, mets toi à l’aise. »
Je longe le couloir, regardant les photos accrochées au mur et j’arrive dans un grand salon, garni de deux grands canapés de cuir blanc et d’un fauteuil assorti.
Mais qu’elle n’est pas ma surprise d’y trouver Christophe, installé confortablement, un verre à la main.
« Tiens ! Nico ! ca vas ? Vous allez bien ? »
Je n’ai jamais compris pourquoi ce mec me vouvoyait.
« Salut Christophe ! bien, merci. »
Laetitia revient avec mes fleurs dans un gros vase et les pose sur le buffet. Puis s’adressant à son mari :
« Ho ! Tu pourrais servir à boire ! Non ! »
L’intonation est sèche, autant que celle de son père quand il s’adressait à Fleurine.
« Assis toi Nico ! Alors quoi de neuf ? »
Christophe nous apporte des verres et nous discutons de choses et d’autre. Enfin…moi et Laetitia, car son mari est retourné se caler dans son fauteuil comme un malheureux et ne dit pas un mot.
Je suis très mal à l’aise et en glisse deux mots à Laetitia.
« Heu ! Il ne trinque pas avec nous ? »
« Pourquoi faire ? Il est inintéressant et c’est un con ! Il est très bien dans son fauteuil ! »
« Houlà ! Il a fait une connerie ? »
« Devine ? Le jour de notre mariage, je l’ai surpris à danser avec ma sœur. Ce salaud se frottait la panse contre elle. Il bandait comme un cheval ! »
Intérieurement, je me pose la question de savoir qui se frottait à l’autre. Pas sur que ce soit ce pauvre garçon.
« Tu veux dire que tu lui fait la gueule depuis votre mariage ? »
« Presque, oui. Tiens, regarde. Ho ! Branleur ! Tu pourrais mettre de la musique, non ? »
Il bondit du fauteuil et saute sur une pile de cd.
« Tu crois pas que tu es un peu sévère, là ? J’en reviens pas qu’il ne dise rien. »
« Dire quoi ? Il la ramène et je le quitte ! C’est pas plus compliqué que ca ! Et tu ne sais pas tout. Il lui est interdit de me toucher et encore moins de me baiser. Sauf quand je suis pleine ! »
« Pleine ? »
« Ben oui ! Pleine ! Remplie ! Souillée ! Quand je viens de me faire troncher, quoi ! »
« Attends…tu es en train de me dire que tu prends des amants pour que ton mari est le droit de te faire l’amour ? »
« Non ! Je prends des amants parce que j’aime ca ! Lui ne sert qu’à me finir, à prolonger mon plaisir. Ses états d’âme, je m’en branle ! Et puis le rabaisser…Hummm ! C’est super bon !»
J’ai vraiment l’impression de voir Serge. Elle est presque aussi autoritaire, sans cœur et aussi vulgaire.
La musique démarre.
« Viens danser ! C’est un slow.»
Elle me tire par le bras et se pend à mon cou. Moi, très mal à l’aise, je n’ose pas bouger et laisse mes bras ballant.
Elle me regarde étonnée puis elle prend mes mains qu’elle pose sur ses hanches avant de se rependre à mon cou.
« Tu sais plus danser ou quoi ? »
« Je ferais peut être mieux de partir. »
« Dans tes rêves mon chéri ! »
Elle se plaque à moi, enfonce ses doigts dans mes cheveux et se jette sur ma bouche.
Inutile d’essayer de résister à cette furie. Je me rends à son baiser.
Sa poitrine est écrasée contre mon torse. Elle se déhanche pour frotter son bas ventre au mien.
Mes mains glissent vers son cul. Je le pelote à pleine mains puis je viens attraper le bas du short. Je le tire violemment vers le haut. Il se déchire sur les cotés et libère ses fesses. Je les agrippe et les presse avec force, à lui en faire lâcher un cri de douleur.
Elle me regarde étonnée par cette brutalité gratuite et inattendue.
« Ça t’amuse d’être cruelle, hein ? Putain ! Je vais te montrer ce que c’est que la cruauté ! »
Je saisi à pleine main le col de son combi et tire de toute mes forces.
Les boutons volent aux quatre coins de la pièce. Sa ceinture ne me résistera pas non plus et je la brise avant de la jeter sur la table basse.
Vexée, je la vois rougir et ses yeux s’embrumer.
« Arrête ! Qu’est ce qui te prend ! Tu me fais mal ! »
« Oui ! Et ce n’est que le début, salope ! »
Je fini d’arracher le short et je la pousse violemment sur le canapé. Effrayée, elle met ses mains en croix devant son visage.
« Tu crois que ca vas m’arrêter, hein ? Sale chienne ! »
Je me rue sur elle et l’oblige à se mettre à genoux, cul vers moi.
Je déchire les derniers lambeaux de tissu et arrache son string.
La voilà nue, à ma merci.
J’appuis sur son dos pour la faire se cambrer. Ça a pour effet de rehausser ses orifices.
Pour donner de la force à ma pénétration, j’attrape ses cheveux et les tire l’obligeant à lever la tête.
Je fais tomber mon pantalon et mon caleçon, libérant ma verge déjà dressée, excitée par la soumission que j’afflige à Laetitia.
Mon gland se pose sur sa pastille brune.
J’assène une énorme claque sur son cuissot et la pénètre violemment, d’un coup.
Je lui arrache des cris de douleur. Magnifique musique pour accompagner mes coups de butoir, loin dans son fondement.
Je tire si fort sur ses cheveux, sa tête est tellement en arrière, qu’elle ne peut presque plus fermer la bouche et des filets de salive coulent aux commissures de ses lèvres et viennent se répandre sur ses mains.
Elle ne crie plus. Elle ne pousse plus que des râles. Je serrais incapable de dire si c’est de plaisir ou non.
Encore deux trois va et vient rapides et puissant, une claque de plus et j’explose en elle, au fond de ses entrailles.
Je reste en elle un instant. Elle plonge sa tête dans les coussins. Je crois bien qu’elle pleure.
Mais je n’en ai pas fini avec elle.
Je m’extirpe de son cul ravagé et j’appelle Christophe.
« Non ! Nico ! Ne fais pas ca, salaud ! Christophe, reste ou t’es, connard ! Christophe, putain ! Merde ! »
« Viens là mon ami. Regarde sa chatte est toute propre et elle est pour toi. »
Je m’assois près de Laetitia et je lui maintiens la tête pour qu’elle reste en levrette.
Le pauvre Christophe n’est pas très à l’aise, mais l’envie l’emporte.
Malgré les cris de protestations de sa mégère attitrée, il défait sa braguette pour libérer son membre.
Pour la première fois depuis leur mariage, il l’a pénètre propre de toute souillure.
Elle est folle de rage et jure à tour de bras.
« Claque lui le cul, ca vas la calmer ! »
Je n’aurais peut être pas du lui donner cette idée.
Les claques pleuvent sur ses fesses sans discontinuer. Et soudain il pette un câble.
« Je te baise salope, je te baise ! Et maintenant c’est moi qui déciderai. Je te ferais bouffer de la bite quand je voudrais et autant que je le voudrais ! »
Bien qu’il soit encore sur la réserve, je le sens décidé à prendre le pouvoir sur sa femme. Qui vivra, verra.
Il décharge dans un cri de soulagement. Il l’a pousse violemment pour qu’elle s’écroule sur le canapé et lui plante sa queue dans la bouche.
« Tiens, salope ! Suce et nettoie ton nouveau maitre, putain ! »
Je lui fais un clin d’œil complice et je me rhabille.
Je laisse ce gentil petit couple reprendre le cours de leur vie et je m’éclipse.
Épilogue.
Une famille sans histoire.
Voilà six mois que je me suis installé chez et avec Véronique. Elle a reprit gout à la vie.
Les hommes ne se retournent plus sur ses formes, mais sur ses courbes. Elle est de nouveau une femme sexy et désirable. J’en suis très fier.
Le week-end, les filles viennent souvent nous voir et dorment à la maison.
Christophe m’a gentiment demandé d’engrosser de nouveau Laetitia. Ce que j’ai fait avec plaisir.
Il a bien reprit le contrôle. Elle est désormais soumise et obéissante à ses moindres caprices.
Il n’est pas rare que nous la besognions ensemble.
Ces nuits là, Floriane se glisse dans la chambre de Fleurine. Elles s’entendent bien et je ne serais pas étonné qu’elles fassent autre chose que de dormir dans le même lit.
Je me suis beaucoup rapproché de Floriane. Je suis désormais bien plus qu’un père pour elle. Je suis son épaule, son oreille. Nous nous disons presque tout.
Pas rare non plus que je passe une partie de la nuit avec Fleurine. Et là, Floriane s’occupe de son demi-frère et cousin, César. Et oui ! C’est mon petit empereur.
Et Véronique dans tout ca ? Elle accepte mes escapades de fin de semaine, pour, dit t’elle, préserver l’unité et le bien être de sa petite famille, mais à la condition express que je sois dans son lit au matin.
Voilà ! Tout est bien qui finit bien.
Ha oui ! J’allais oublier !
Ma fille Floriane est enceinte.
Vous ne croyez tout de même pas que c’est moi ?
J’ai appris par une indiscrétion de Fleurine, que Christophe ne serrait pas étranger à l’affaire.
Promis, je ne tenterais pas l’aventure d’un arbre généalogique.
Vous êtes arrivez jusqu’ici ?
Vous êtes mes héros ! Bravo !
N’oubliez pas de voter et de laisser un petit commentaire.
Merci.
La nuit a été courte et je me réveille de bonne heure.
J’enfile mon caleçon et descend à la cuisine pour me faire un café. Mais avant même d’y entrer, des bruits m’en parviennent.
Je pousse la porte doucement. Une femme me tourne le dos et semble faire la vaisselle.
« Bonjour ! »
Elle se retourne. Elle porte des lunettes de soleil.
« Nico ? Ben, vous êtes encore là ? Vous n’êtes pas parti hier ?»
« Non, j’ai passé la nuit ici. »
C’est Véronique, la femme de serge, ou plutôt son souffre douleur. Je suis sur que ses lunettes cache un coquard.
Voilà un an que je ne l’ai pas vu, depuis le mariage de Laetitia. Elle a maigri, même si elle aborde encore un embonpoint certain, c’est une femme mure d’une incroyable beauté et qui transpire la gentillesse.
Je m’approche d’elle pour lui dire bonjour et l’embrasser. Le fait que je sois en caleçon semble la gêner un peu.
« Ho ! Excuse-moi ! Ce n’est pas une tenue, je suis désolé. »
« Non, c’est rien. Vous ne pouviez pas savoir. »
« Ce n’est pas la joie, hein ? »
« Non, pas vraiment. Vous n’avez pas du rigoler hier. »
« Heuu ! Non en effet. Mais grâce à Fleurine j’ai passé une très bonne soirée quand même. Mais toi, tu en es où ? »
« Ho moi… Je n’espère plus grand-chose. Il m’a éteinte. Vous savez, plus jeune j’étais une sacrée coquine, très jolie et très sexy. C’est ca qu’il lui avait plus en moi. Mais depuis plusieurs années, il n’y a plus rien, ni tendresse, ni amour, rien ! »
« Pars, prend un amant ! »
« Partir, trop compliqué pour moi et pour aller où ? Qu’en t’à prendre un amant, ce n’est pas mon style. Je ne saurais pas faire. Il faut savoir gérer ce genre de chose. Et qui voudrait encore de moi. »
« Ho ! Parfois il ne faut pas chercher trop loin. »
« Chuuut ! Vous allez dire des bêtises. »
Je m’approche d’elle et pose mes mains sur ses hanches. Je sens ses formes sous mes doigts, la douce souplesse de ses légers bourrelets.
« Non, Nico, il ne faut pas ! »
« Laisse-moi te rallumer. Réveiller l’amante qui dort en toi. Quand on est coquine, on le reste toute sa vie. »
Elle rougie un peu et sa respiration s’accélère.
« Non, il ne faut pas ! Et s’il se réveille ? »
C’est une interrogation qui trahie son acceptation. Elle n’est pas contre l’idée, elle a juste peur.
Je prends ses mains et les pose sur mon torse.
« Ne crains rien. Avec ce qu’il s’est envoyé hier, il va dormir jusqu’à midi. »
Elle tremble.
Je me colle à elle, écrasant ses fesses contre l’évier. Son contact me fait bander comme un âne et mon membre s’échappe de la braguette du caleçon. Elle le sent tout contre son ventre, dressé et prometteur de plaisirs intenses.
Elle ferme les yeux et enfonce ses ongles dans ma peau.
Je dépose mes lèvres sur sa bouche. Elle accepte mon baiser et passe ses mains derrière ma nuque.
Tandis que nos baisers sont de plus en plus fougueux, je glisse mes mains sous son pull, les passe dans le soutien gorge et je remonte le tout haut sur sa poitrine.
Surprise de se retrouver les seins à l’air, elle a un mouvement de recul. Mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et j’aspire déjà une de ses grosses pointes roses.
Elle jette ses épaules en arrière et se cambre un peu pour mieux m’offrir son opulente poitrine.
Alors que je lèche goulument les mamelles de cette adorable personne, mes mains s’engagent sous la jupe. Elles ne prennent pas le temps de caresser les cuisses ou les fesses. Elles s’accrochent directement à l’élastique de la culotte qu’elles tirent vers le bas.
Véronique, surement pas très rassurée, essai de m’en empêcher.
« Ne crains rien ma chérie ! »
Je la tourne sur elle même et la couche sur la table de cuisine. Elle semble s’abandonner et s’accroche à la nappe à carreaux.
Mon sexe tendu n’a pas besoin de chercher l’ouverture. Elle est face à lui, humide et béante.
« Ho oui ! Tu as une belle chatte de salope ! Hummm ! »
« Oui ! Ouii ! Insulte-moi ! »
Son tutoiement soudain m’excite.
« Je vais faire de toi ma chose ! Tu vas être ma putain, ma garce ! Je ferais remplir ta vieille chatte de foutre par tout ce qui passera ! »
Je la bourre avec vigueur tout en broyant ses seins de mes mains.
Mais soudain, je suis pris d’un puissant frisson.
Dans l’entrebâillement de la porte de la cuisine, Fleurine nous observe discrètement.
La surprise passée, mon excitation redouble d’être ainsi démasqué.
Tout en fixant la jeune femme dans les yeux, je continu à m’adresser à sa mère.
« Tu l’aimes ma queue ! Hein ? Trainée ! Je vais faire de toi une bonne salope, une vrais chienne !»
« Ho oui, Nico ! Bourre-moi à fond ! Baise-moi fort ! »
La salope jouit comme une grosse pute. J’en fais de même. Ma jouissance est puissante, boostée par l’inattendue petite voyeuse.
Je ferme les yeux un court instant. Quand je les ouvre de nouveau, Fleurine n’est plus là.
Sept mois plus tard.
L’enterrement de Serge.
Désormais j’irais reprendre ma voiture seul dans le parking de ma société.
Je suis un peu surpris de ne pas voir Fleurine au cimetière. Mais finalement, avec la vie qui lui a fait mener, elle a droit à un peu de rancune.
Véronique et Laetitia n’ont pas l’air très affectées non plus. Même Christophe semble soulagé.
Floriane aussi est là, un peu agacé de devoir rester à s’ennuyer à l’enterrement de son grand père.
« Pffff ! T’es pas drôle maman ! J’aurais pu rester tenir compagnie à Fleurine ! »
Elle m’a regardé étrangement à l’église. Il faut dire que sa grand mère avait insisté pour que je m’installe près d’elle et durant toute la messe, elle m’a tenu la main, posant de temps à autre sa tête sur mon épaule.
Elle doit se rappeler de moi comme d’un type inconnu qu’elle a croisé au mariage de sa mère. J’aimerais tellement la serrer dans mes bras.
La famille se disperse. Je présente mes condoléances à Véronique. Elle m’embrasse et me glisse un mot à l’oreille.
« Arrête de faire ton hypocrite. J’aimerais que tu viennes me voir ce soir. »
La jeune veuve n’est pas épleurée du tout.
Je m’éloigne dans les grandes allées bordées de tombes.
Laetitia me rejoint devant le grand portail.
« T’a perdu mon numéro ? Tu ne m’as pas rappelé. »
« Oups ! C’est vrai, mais j’allais le faire. Ton numéro est sur ma table de nuit. J’attendais d’être moins bousculé par mon boulot. Tu sais ce que sait. »
« Pas une soirée de libre en un an et demi ? En effet, tu es très pris. Heureusement que tu as pu te libérer pour l’anniversaire de Fleur ! »
« Héé ! Tu me fais une scène de jalousie, ou quoi ? Tient à propos, je suis étonné qu’elle ne soit pas venue à l’enterrement. »
« Bof ! Dans son état, elle est aussi bien chez elle. Et puis le médecin lui a conseillé d’éviter de rester debout trop longtemps, alors… »
« Mince ! Elle est malade ? Je l’ignorais. »
« Pffff ! Si faire un bébé c’est une maladie, alors oui, elle est très malade. »
« Ho ? Elle est enceinte ? Elle c’est trouvée un homme ? »
« Heuu ! Ou tu te fou de moi, ou tu n’es vraiment pas au courant. Oui, elle est enceinte ! Non, elle n’a pas d’homme ! »
« Ben ? Qui est le père ? »
Elle me jette un regard de feu.
« Je croyais que tu étais au courant qu’il n’y avait pas de secret entre moi et ma petite sœur ! »
« Ben oui, et alors ? »
« Nico ! Elle est enceinte de sept mois. Sept mois…ca te dis toujours rien ? Tu vas être papa de nouveau ! »
Par chance je suis près d’un banc. Je m’y assois avant que mes jambes ne me lâchent.
« Pourquoi ne m’a-t-elle rien dit ? »
« C’est ma sœur, non ? Nous sommes pareilles. Elle a toujours cherché à faire comme moi, à me prendre pour modèle. Bon, là, je reconnais qu’elle a poussé le mimétisme un peu loin. Mais t’inquiète pas, on va assumer. »
« Si tu veux assumer commence par dire à ma fille qui est son père. »
« Ho ! Elle le sait, c’est juste que ce n’est pas facile pour elle. Et puis vous vous voyez si peu. »
« Nous pourrions changer ca ? »
« Bien sur que nous pouvons ! Ne t’inquiète pas. »
Une semaine après.
Cette derniers jours ont été atroces. Mes nuits sont peuplées de cauchemars. Je suis plein de questions sans réponses. Bourré de remords et d’angoisses, je me décide à appeler Laetitia.
« Écoute, je n’en peux plus ! Il faut que je te parle. Je crois que j’ai vraiment déconné avec votre famille. Je voudrais mettre les choses à plat et voir comment je peux réparer mes erreurs. »
« Humm ! Nico ! Je suis si heureuse que tu m’appelles enfin. Si tu es libre cet après midi, je le suis aussi. Je t’attends à quatorze heures, chez moi. »
« Oui, je peux venir, mais ce que j’ai à te dire ne regarde pas Christophe. Il ne serra pas là, j’espère ? »
Elle raccroche sans un mot de plus.
Laetitia.
Quatorze heures.
Mon doigt qui se pose sur le bouton de la sonnette, tremble un peu. Pauvre idiot que je suis. Et ce bouquet de fleurs. Je le trouve inutile et ringard. Je le jetterais bien, mais il m’a quand même couté la peau du cul.
La porte s’ouvre.
« Haa ! Enfin, te voilà ! Merci pour les fleurs, il ne fallait pas. »
Je suis bien d’accord.
Elle est…
Elle porte un combi-short jaune, moulant et sans manche, fermé sur le devant par une série de bouton. Sa ligne fine est rehaussée par une ceinture argentée très basse et ses jambes sont habillées de cuissardes de cuir noir.
Rien qu’à la regarder, cette femme ferait bander un impuissant.
« Je vais chercher de l’eau pour les fleurs. Entre, c’est au fond du couloir. J’arrive, mets toi à l’aise. »
Je longe le couloir, regardant les photos accrochées au mur et j’arrive dans un grand salon, garni de deux grands canapés de cuir blanc et d’un fauteuil assorti.
Mais qu’elle n’est pas ma surprise d’y trouver Christophe, installé confortablement, un verre à la main.
« Tiens ! Nico ! ca vas ? Vous allez bien ? »
Je n’ai jamais compris pourquoi ce mec me vouvoyait.
« Salut Christophe ! bien, merci. »
Laetitia revient avec mes fleurs dans un gros vase et les pose sur le buffet. Puis s’adressant à son mari :
« Ho ! Tu pourrais servir à boire ! Non ! »
L’intonation est sèche, autant que celle de son père quand il s’adressait à Fleurine.
« Assis toi Nico ! Alors quoi de neuf ? »
Christophe nous apporte des verres et nous discutons de choses et d’autre. Enfin…moi et Laetitia, car son mari est retourné se caler dans son fauteuil comme un malheureux et ne dit pas un mot.
Je suis très mal à l’aise et en glisse deux mots à Laetitia.
« Heu ! Il ne trinque pas avec nous ? »
« Pourquoi faire ? Il est inintéressant et c’est un con ! Il est très bien dans son fauteuil ! »
« Houlà ! Il a fait une connerie ? »
« Devine ? Le jour de notre mariage, je l’ai surpris à danser avec ma sœur. Ce salaud se frottait la panse contre elle. Il bandait comme un cheval ! »
Intérieurement, je me pose la question de savoir qui se frottait à l’autre. Pas sur que ce soit ce pauvre garçon.
« Tu veux dire que tu lui fait la gueule depuis votre mariage ? »
« Presque, oui. Tiens, regarde. Ho ! Branleur ! Tu pourrais mettre de la musique, non ? »
Il bondit du fauteuil et saute sur une pile de cd.
« Tu crois pas que tu es un peu sévère, là ? J’en reviens pas qu’il ne dise rien. »
« Dire quoi ? Il la ramène et je le quitte ! C’est pas plus compliqué que ca ! Et tu ne sais pas tout. Il lui est interdit de me toucher et encore moins de me baiser. Sauf quand je suis pleine ! »
« Pleine ? »
« Ben oui ! Pleine ! Remplie ! Souillée ! Quand je viens de me faire troncher, quoi ! »
« Attends…tu es en train de me dire que tu prends des amants pour que ton mari est le droit de te faire l’amour ? »
« Non ! Je prends des amants parce que j’aime ca ! Lui ne sert qu’à me finir, à prolonger mon plaisir. Ses états d’âme, je m’en branle ! Et puis le rabaisser…Hummm ! C’est super bon !»
J’ai vraiment l’impression de voir Serge. Elle est presque aussi autoritaire, sans cœur et aussi vulgaire.
La musique démarre.
« Viens danser ! C’est un slow.»
Elle me tire par le bras et se pend à mon cou. Moi, très mal à l’aise, je n’ose pas bouger et laisse mes bras ballant.
Elle me regarde étonnée puis elle prend mes mains qu’elle pose sur ses hanches avant de se rependre à mon cou.
« Tu sais plus danser ou quoi ? »
« Je ferais peut être mieux de partir. »
« Dans tes rêves mon chéri ! »
Elle se plaque à moi, enfonce ses doigts dans mes cheveux et se jette sur ma bouche.
Inutile d’essayer de résister à cette furie. Je me rends à son baiser.
Sa poitrine est écrasée contre mon torse. Elle se déhanche pour frotter son bas ventre au mien.
Mes mains glissent vers son cul. Je le pelote à pleine mains puis je viens attraper le bas du short. Je le tire violemment vers le haut. Il se déchire sur les cotés et libère ses fesses. Je les agrippe et les presse avec force, à lui en faire lâcher un cri de douleur.
Elle me regarde étonnée par cette brutalité gratuite et inattendue.
« Ça t’amuse d’être cruelle, hein ? Putain ! Je vais te montrer ce que c’est que la cruauté ! »
Je saisi à pleine main le col de son combi et tire de toute mes forces.
Les boutons volent aux quatre coins de la pièce. Sa ceinture ne me résistera pas non plus et je la brise avant de la jeter sur la table basse.
Vexée, je la vois rougir et ses yeux s’embrumer.
« Arrête ! Qu’est ce qui te prend ! Tu me fais mal ! »
« Oui ! Et ce n’est que le début, salope ! »
Je fini d’arracher le short et je la pousse violemment sur le canapé. Effrayée, elle met ses mains en croix devant son visage.
« Tu crois que ca vas m’arrêter, hein ? Sale chienne ! »
Je me rue sur elle et l’oblige à se mettre à genoux, cul vers moi.
Je déchire les derniers lambeaux de tissu et arrache son string.
La voilà nue, à ma merci.
J’appuis sur son dos pour la faire se cambrer. Ça a pour effet de rehausser ses orifices.
Pour donner de la force à ma pénétration, j’attrape ses cheveux et les tire l’obligeant à lever la tête.
Je fais tomber mon pantalon et mon caleçon, libérant ma verge déjà dressée, excitée par la soumission que j’afflige à Laetitia.
Mon gland se pose sur sa pastille brune.
J’assène une énorme claque sur son cuissot et la pénètre violemment, d’un coup.
Je lui arrache des cris de douleur. Magnifique musique pour accompagner mes coups de butoir, loin dans son fondement.
Je tire si fort sur ses cheveux, sa tête est tellement en arrière, qu’elle ne peut presque plus fermer la bouche et des filets de salive coulent aux commissures de ses lèvres et viennent se répandre sur ses mains.
Elle ne crie plus. Elle ne pousse plus que des râles. Je serrais incapable de dire si c’est de plaisir ou non.
Encore deux trois va et vient rapides et puissant, une claque de plus et j’explose en elle, au fond de ses entrailles.
Je reste en elle un instant. Elle plonge sa tête dans les coussins. Je crois bien qu’elle pleure.
Mais je n’en ai pas fini avec elle.
Je m’extirpe de son cul ravagé et j’appelle Christophe.
« Non ! Nico ! Ne fais pas ca, salaud ! Christophe, reste ou t’es, connard ! Christophe, putain ! Merde ! »
« Viens là mon ami. Regarde sa chatte est toute propre et elle est pour toi. »
Je m’assois près de Laetitia et je lui maintiens la tête pour qu’elle reste en levrette.
Le pauvre Christophe n’est pas très à l’aise, mais l’envie l’emporte.
Malgré les cris de protestations de sa mégère attitrée, il défait sa braguette pour libérer son membre.
Pour la première fois depuis leur mariage, il l’a pénètre propre de toute souillure.
Elle est folle de rage et jure à tour de bras.
« Claque lui le cul, ca vas la calmer ! »
Je n’aurais peut être pas du lui donner cette idée.
Les claques pleuvent sur ses fesses sans discontinuer. Et soudain il pette un câble.
« Je te baise salope, je te baise ! Et maintenant c’est moi qui déciderai. Je te ferais bouffer de la bite quand je voudrais et autant que je le voudrais ! »
Bien qu’il soit encore sur la réserve, je le sens décidé à prendre le pouvoir sur sa femme. Qui vivra, verra.
Il décharge dans un cri de soulagement. Il l’a pousse violemment pour qu’elle s’écroule sur le canapé et lui plante sa queue dans la bouche.
« Tiens, salope ! Suce et nettoie ton nouveau maitre, putain ! »
Je lui fais un clin d’œil complice et je me rhabille.
Je laisse ce gentil petit couple reprendre le cours de leur vie et je m’éclipse.
Épilogue.
Une famille sans histoire.
Voilà six mois que je me suis installé chez et avec Véronique. Elle a reprit gout à la vie.
Les hommes ne se retournent plus sur ses formes, mais sur ses courbes. Elle est de nouveau une femme sexy et désirable. J’en suis très fier.
Le week-end, les filles viennent souvent nous voir et dorment à la maison.
Christophe m’a gentiment demandé d’engrosser de nouveau Laetitia. Ce que j’ai fait avec plaisir.
Il a bien reprit le contrôle. Elle est désormais soumise et obéissante à ses moindres caprices.
Il n’est pas rare que nous la besognions ensemble.
Ces nuits là, Floriane se glisse dans la chambre de Fleurine. Elles s’entendent bien et je ne serais pas étonné qu’elles fassent autre chose que de dormir dans le même lit.
Je me suis beaucoup rapproché de Floriane. Je suis désormais bien plus qu’un père pour elle. Je suis son épaule, son oreille. Nous nous disons presque tout.
Pas rare non plus que je passe une partie de la nuit avec Fleurine. Et là, Floriane s’occupe de son demi-frère et cousin, César. Et oui ! C’est mon petit empereur.
Et Véronique dans tout ca ? Elle accepte mes escapades de fin de semaine, pour, dit t’elle, préserver l’unité et le bien être de sa petite famille, mais à la condition express que je sois dans son lit au matin.
Voilà ! Tout est bien qui finit bien.
Ha oui ! J’allais oublier !
Ma fille Floriane est enceinte.
Vous ne croyez tout de même pas que c’est moi ?
J’ai appris par une indiscrétion de Fleurine, que Christophe ne serrait pas étranger à l’affaire.
Promis, je ne tenterais pas l’aventure d’un arbre généalogique.
Vous êtes arrivez jusqu’ici ?
Vous êtes mes héros ! Bravo !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vous êtes un vrai dingue lol Je dois l'être un peu aussi puisque je deviens votre
héroïne : je suis allé jusqu'au bout lol Avec plaisir en plus ! Vous avez un vrai talent
pour l'écriture... c'est indéniable.
Merci pour ces échappées belles.
DouceVolcane
PS : Dans un autre genre, j'ai bien aimé Sir Jefferson aussi.
héroïne : je suis allé jusqu'au bout lol Avec plaisir en plus ! Vous avez un vrai talent
pour l'écriture... c'est indéniable.
Merci pour ces échappées belles.
DouceVolcane
PS : Dans un autre genre, j'ai bien aimé Sir Jefferson aussi.
une histoire qui me semble en partie réelle, n'est ce pas Claude !
Je suis un fidèle de vos histoires. Celle ci demeure une histoire crédible, bien écrit
avec cette érotisme qui vous va si bien
au plaisir de la prochaine
Je suis un fidèle de vos histoires. Celle ci demeure une histoire crédible, bien écrit
avec cette érotisme qui vous va si bien
au plaisir de la prochaine