Les conquêtes de Mickaël - épisode 2 - Bérénice

- Par l'auteur HDS Abdul75 -
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Récit libertin : Les conquêtes de Mickaël - épisode 2 - Bérénice Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les conquêtes de Mickaël - épisode 2 - Bérénice
J'ai déjà eu l'occasion de me présenter. Je m'appelle mickaël, j'ai dix neuf ans, et après avoir obtenu un bac scientifique sans gloire, je me suis inscrit en fac de sociologie.
Avant de suivre sa petite amie à l'autre bout du monde, mon père m'a légué sa maison en banlieue parisienne et il m'a doté d'une petite rente mensuelle qui me permet de vivre chichement sans rien faire car je n'ai pratiquement aucun frais.

En fait, je passe le plus clair de mon temps à draguer et à séduire des femmes de tous âges trop heureuses de profiter de ma libido exacerbée.
Estimant malgré tout qu'il n'y a pas que le cul dans la vie, j'ai décidé un jour de proposer des cours de maths à de jeunes collégiens afin d'occuper mon temps libre et accessoirement de mettre un peu de beurre dans les épinards.

Je suis bien conscient que mes connaissances en mathématiques sont assez sommaires, mais j'estime néanmoins être suffisamment compétent pour filer des cours à des gamins de troisième et ainsi rassurer des parents inquiets pour leur progéniture avant l'entrée au lycée.
J'ai donc choisi de déposer une petite annonce dans quelques boulangeries d'un arrondissement parisien plutôt chic et au bout d'un délai finalement assez court, j'ai été contacté par quelques bourgeoises désireuses d'améliorer le niveau en mathématiques de leurs rejetons.

C'est pourquoi, je donne actuellement des cours à trois élèves que je vois une ou deux fois par semaine et comme je suis disponible, poli et que les gamins m'apprécient, ça se passe plutôt bien avec mes employeurs.

J'ai parmi mes élèves, depuis le début de l'année, Lucien qui est actuellement en classe de troisième dans un collège du quinzième arrondissement.
Passer une heure en compagnie de cet ado sympathique est une vraie sinécure et j'apprécie son esprit curieux ainsi que sa maturité rare chez un garçon de son âge.
La mère de Lucien est une bourgeoise classique, plutôt réservée mais néanmoins agréable. Et comme elle a cinq mômes à élever, je la trouve touchante et plutôt courageuse.
En fait, les parents de mon élève sont des catholiques bon teint qui goûteraient sans doute assez peu les rapports que j'entretiens avec les représentantes du sexe opposé.
Mais, comme Bérénice V., la mère modèle de Lucien, ignore tout de ma vie sentimentale dissolue, elle n'a aucune matière pour me reprocher quoi que ce soit.

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Je m'apprêtais donc à dispenser mon cours hebdomadaire au jeune Lucien et alors que j'allais sonner à l'interphone de l'immeuble, un des résidents ouvrit la porte pour en sortir. Je profitai donc de l'opportunité pour entrer et me rendre au quatrième étage en empruntant l'escalier.
Arrivé devant la porte, je sonnai et madame V. vint m'ouvrir peu après.
Je remarquai aussitôt ses yeux rougis.
- Bonjour madame, commençai je. Tout va bien ? Est-ce que Lucien m'attend dans sa chambre ?
La mère de famille se mit à rougir.
- Je suis désolée, j'ai oublié de vous prévenir que Lucien ne sera pas là ce soir.
- J'espère qu'il ne lui est rien arrivé dis je avec inquiétude.
- Non, non, n'ayez crainte. Il va très bien. Il passe juste la nuit chez un camarade.

L'air contrarié de madame V. me fit néanmoins tiquer et je voulus en apprendre un peu plus.
- J'ai l'impression que vous me cachez quelque chose, déclarai je alors en refermant la porte derrière moi. Je n'entends aucun de vos enfants, c'est étrange.

Bérénice me regarda avec un regard plein de tristesse avant de fondre en larmes. Ému par cette manifestation inattendue, je la pris respectueusement dans mes bras.
- Allons... que se passe t-il ? demandai je en lui caressant les cheveux ce qui eut pour effet de libérer sa magnifique chevelure habituellement maintenue par un affreux chignon.

Les sanglots de Bérénice redoublèrent. Je la conduisis alors jusqu'au salon où je l'aidai à s'assoir sur le canapé. Comme elle avait du mal à respirer, je lui suggérai de défaire les deux boutons du haut de son chemisier. Elle me jeta un coup d'oeil étonné avant de s'exécuter malgré tout ce qui me permit de découvrir involontairement la vallée de deux seins lourds et bien proportionnés.
Je me dirigeai ensuite vers la vitrine des alcools pour nous servir deux verres de remontant.
- Buvez! ordonnai-je à Bérénice, en lui tendant le verre de liqueur de framboise.
- Ça vous remontera le moral.
Elle saisit le godet et le porta à ses lèvres.
- Allez, cul sec! insistai je. N'hésitez pas à vous épancher et à m'expliquer vos soucis. Je ne vous facturerai pas l'heure.

La mère exemplaire eut un bref sourire avant de descendre son verre d'un trait ce qui eut pour effet de colorer ses joues.

- Le rose va très bien à votre teint, déclarai je alors avant de la baratiner un peu. Vous cachez bien votre jeu avec votre look d'une autre époque mais vous êtes une très belle femme.
Bérénice eut alors un rire amer.
- Il semblerait que mon mari ne partage plus votre avis, déclara t-elle désabusée.
- Comment ça ? lui demandai je réellement surpris.
- Et bien figurez-vous que ce triste sire à qui J'ai donné cinq enfants et mes plus belles années s'est entichée de sa secrétaire.
- Je comprends votre émotion mais à mon avis, il fait preuve d'un manque flagrant de discernement. Si j'avais une femme telle que vous je n'irais sûrement pas voir ailleurs.
- Vous êtes gentil me dit-elle mais je sais bien que je n'ai rien d'une beauté fatale.
- Vous avez tort: vous savez bien que contrairement à ce qu'on dit, l'habit fait le moine. Vous devez sûrement avoir des vêtements plus seyants que ceux que vous portez actuellement.

Bérénice me regarda avec un air désespéré.
- Vous pensez vraiment que j'ai le coeur à faire des effets de toilettes avec ce qui m'arrive.
- Je comprends votre déception et votre ressentiment pour votre mari. Mais je sais aussi que vous êtes une battante et que vous n'allez pas capituler aussi vite face à l'adversité.

Je me levai alors et lui tendis la main.
- Venez, allons rendre visite à votre dressing.
La maîtresse de maison m'adressa un sourire triste.
- Franchement, je ne pense pas que ce soit très adéquat.

- Dans d'autres circonstances, certainement. Mais on ne peut pas dire non plus que votre mari a eu un comportement très adéquat.

J'attrapai alors les doigts délicats de Bérénice attendant qu'ellese lève à son tour. Puis je la laissai me conduire dans le couloir menant aux chambres.

- Retire moi toutes ces vieilles frusques, lui dis je alors qu'elle venait d'ouvrir sa penderie. On va essayer de te rendre un peu plus présentable.
- Mais, mais.. Protesta t-elle gênée, je ne vais pas me mettre en sous vêtements devant vous.
Je pris un ton plus directif.
- D'abord tu arrêtes de me vouvoyer et ensuite tu fais ce que je te demande.

Bérénice rougit violemment et resta immobile.
- Pas de problème, si tu ne veux pas de mon aide, je n'ai plus qu'à m'en aller, déclarai je alors.

La mère modèle hésita avant de répondre. - Très bien puisque c'est ce que vous.. Ce que tu souhaites.

Elle se déshabilla alors lentement jusqu'à ce qu'elle se retrouve en sous-vêtements. En découvrant son corps aux rondeurs plus qu'appétissantes je lâchai un léger murmure d'approbation avant de m'approcher d'elle.
- Ton mari est vraiment un abruti, déclarai je alors avec respect. Tu as un corps admirable.
Et si tu le veux bien, maintenant, je vais te retirer ton soutien gorge. À mon avis, tu peux très bien t'en passer.

Bérénice rougit à nouveau violemment.
- C'est hors de question Mickaël! Pour qui me prends-tu ?
- Pour une très belle femme dont j'ai envie de découvrir le corps.

Une tache presque imperceptible venait d'apparaître sur sa culotte au niveau de sa vulve.
Et la femme troublée ne fit rien pour retenir ma main et m'empêcher de lui enlever son soutien-gorge.
Je découvris avec gourmandise ses beaux tétons tout hérissés tout en constatant que la tache située au niveau de son entrejambe s'était significativement élargie.

Je vins me positionner derrière elle et soulevai sa chevelure magnifique avant de déposer un baiser dans son cou puis de parler doucement à proximité de son oreille.
- Bérénice, je veux que tu ôtes ta culotte.
Elle hésita quelques secondes avant determiner son déshabillage alors que je venais d'entourer ses seins avec mes mains.
Lorsque Bérénice fut entièrement nue, je parcourus délicatement les courbes de son corps. Sa respiration devint plus rapide lorsque mes doigts se risquèrent à la naissance de ses cuisses.

- J'ai envie que tu me déshabilles, lui chuchotai je alors à l'oreille avant de déposer de petits baisers sur le haut de son dos et sur ses omoplates.
- Non Mickaël, ne faites... Ne fais pas ça s'il te plaît.

Je m'écartai lentement.
- Comme tu voudras... déclarai-je calmement, malgré ma furieuse envie de la trousser comme une fille à soldat.

Je me déplaçai en face de la femme entièrement nue qui tentait de masquer sa généreuse poitrine avec ses bras en oubliant la nudité de son mont de vénus.
- Depuis combien de temps n'as-tu pas fait l'amour? Demandai-je de façon anodine. À quand remonte ton dernier orgasme? N'as tu pas envie de te rebeller alors que ton mari préfère lutiner sa secrétaire plutôt qu'honorer sa ravissante épouse ? N'est il pas écrit "oeil pour oeil dent pour dent" ?

Je laissai un silence s'écouler alors qu'elle me fixait avec intérêt.
- De plus je vois bien que je ne te laisse pas indifférente et que tu meurs d'envie de t'offrir.
Une goutte perlait à l'entrée de son sexe. J'ajoutai simplement.
- Et moi j'ai très envie de te prendre.

Bérénice se tourna alors vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je lui rendis son baiser avec passion et je me mis à bander comme un âne.
- Mon Dieu! s'écria t-elle en sentant ma queue durcir contre son ventre, que t'arrive t-il ?
- Je viens de te dire que j'avais très envie de toi.
- Mais, mais, ce n'est pas possible bafouilla t-elle.
- Tais toi et déshabille moi maintenant. Elle s'accroupit alors et me retira ma ceinture avant d'ouvrir ma braguette pendant que je retirais ma chemise.
- Mon Dieu ! Jura Bérénice à nouveau en voyant mon dard turgescent jaillir à travers l'ouverture de mon caleçon. Ton sexe est vraiment énorme. Aucune femme ne pourrait recevoir un phallus pareil.
- Tu en es sûre ? Répondis je simplement en faisant glisser mon jean et mon caleçon à mes pieds avant de m'en débarrasser.
- Tu as enfanté cinq fois il me semble. J'admets que mon engin est particulièrement imposant mais un bébé est autrement plus large, tu l'admettras volontiers. Viens! lui dis je lorsque je fus à poil.

Je pris la mère de Lucien dans mes bras et allai l'étendre dans son lit. Je couvris alors son torse de baisers et descendis doucement jusqu'à sa fine toison avant de me mettre à lécher délicatement sa fente odorante.
Bérénice poussa un petit cri et écarta inconsciemment les cuisses pour faciliter ma caresse. Je me fiai à sa respiration pour adapter le rythme de ma langue et rapidement elle se mit à gémir. Je continuai ainsi à butiner son bouton délicat et ses petites lèvres jusqu'à ce qu'elle se tende comme un arc en atteignant l'orgasme.

Des larmes d'extase embuaient ses jolis yeux.
Je remontai doucement le long du lit pour m'allonger à ses côtés et lorsqu'elle ouvrit les yeux je l'embrassai tendrement. Ma queue plus tendue que jamais vint frapper son ventre ce qui fit sourire Bérénice.
- Mon pauvre Mickaël, ça doit être plutôt handicapant de trimballer un truc pareil entre ses cuisses.
- Parfois oui, mais je m'y suis habitué et c'est une source de plaisir pour de nombreuses femmes. Tu n'as pas envie d'y goûter.
- Je ne sais pas, ça m'effraie un peu.
- Tu as joui n'est ce pas quand je t'ai léché.
- C'est vrai; c'était tellement agréable, admit elle.
- Imagine que ça sera encore mieux lorsque je te pénétrerai.

Tout en négociant j'avais posé le bout de mon dard sur la fente de Bérénice. Puis je me redressai pour l'embrasser à nouveau ce qui permit à mon gland de s'immiscer dans la fente de plus en plus humide. La mère de famille poussa un cri étouffé en se mordant les lèvres.
- Oh la vache! Vas-y doucement! s'exclama t-elle alors que mon dard se frayait doucement mais inexorablement un passage dans son intimité.
Bérénice cria plus fort lorsque mon gland cogna contre sa matrice.
- Ce n'est pas possible Mickaël! Tu es bien trop gros! tu vas me déchirer.

Mais je n'y prêtai pas attention et me mis à limer la pieuse Bérénice qui heureusement lubrifiait abondamment. Elle aurait voulu protester de façon plus virulente mais elle ne pouvait résister au plaisir qui la gagnait peu à peu. Sa chatte enserrait délicieusement ma queue et j'exprimai oralement mon plaisir.
- Ton écrin intime est une merveille de douceur ma belle Bérénice déclarai je en accélérant le rythme. Dis moi que tu aimes que je te baise.
- Ohhhh! gémit elle alors en soupirant de plus en plus bruyamment. Ouiii Mickaël ! baise moi. Ce que je ressens est fantastique.

Je lui labourai le con de plus en plus vite jusqu'à ce que sa jouissance devienne imminente.

- Oooooh Oui! oui! je viens! hurla t-elle alors que son vagin se resserrait comme un étau écrasant mon dard et provoquant un des meilleurs orgasmes que j'eus ressenti.
Bérénice me serra alors de toutes ses forces en sanglotant de bonheur.
- C'était magnifique m'avoua t-elle quelques minutes plus tard en reprenant enfin ses esprits. Reste en moi, m'implora t-elle. Baise moi encore. Je voudrais que ça ne s'arrête jamais.

Je l'embrassai alors à pleine bouche et elle me répondit avec la fougue d'une femme sevrée de sexe depuis trop longtemps.
Alors, j'exauçai Bérénice et je repris mes va et vient dans sa grotte si douce. Bien vite elle se remit à gémir et je m'appliquai à la maintenir à la limite de l'orgasme. Pendant de longues minutes je fis coulisser mon cep dans son vagin admirant son visage à la beauté sublimée par son plaisir. Puis je me vidai enfin au fond de son con la laissant à moitié inconsciente.

Lorsqu'elle émergea j'étais allongé à ses côtés mon bras autour de ses épaules et je lui caressais le front.
- Comment te sens tu belle Bérénice? demandai je alors.
- Je ne me suis jamais senti aussi bien, déclara t-elle radieuse avant de vouloir saisir ma queue avec sa main. Mais c'est incroyable! Ton sexe est toujours aussi raide.
- Que veux tu ? ta chatte est si douce que je ne peux m'en lasser.
- Alors prends moi de nouveau, me supplia t-elle ravie. je veux encore sentir ton sexe durcir en moi.
- D'accord ma belle mais ajoutons un peu de fantaisie à nos étreintes. Mets toi à quatre pattes, je veux te prendre en levrette.

Bérénice se crispa.
Je la rassurai aussitôt.

-N'aie peur! Je n'ai pas l'intention de t'enculer, pas tout de suite en tout cas.
- Ohhh! répondit elle visiblement choquée par mes propos avant de s'installer dans la position demandée.
Je vins alors m'agenouiller derrière elle puis attrapai ses hanches avant de pénétrer doucement sa figue luisante de mouille. Elle poussa un cri lorsque je percutai sa matrice.
- J'ai l'impression d'être encore plus remplie que tout à l'heure geignit elle.
- C'est le but affirmai je en entamant mes va et vient pour une nouvelle chevauchée.

Nous baisâmes jusqu'au milieu de la nuit ne nous arrêtant que pour déguster un délicieux dîner preparé amoureusement par ma nouvelle maîtresse. Plus tard, je pus expliquer à la mère de famille nombreuse comment elle pouvait redonner de la vigueur à un membre viril fatigué en utilisant sa bouche et ses mains. Bérénice était pleine de bonne volonté et son désir d'apprendre était plaisant à voir. Elle ne me permit néanmoins pas de la sodomiser mais je ne doutais pas qu'elle finirait par goûter aussi à ce fruit défendu.

La priorité, pensais je alors en émergeant vers 9h00 après cette nuit de débauche était de donner à Bérénice un aspect plus en rapport avec la jolie femme désirable et sensuelle qui venait de se révéler.
Attiré par l'odeur de café et de pain grillé, je me levai avant de me rendre à la cuisine dans le plus simple appareil. Avant que mon hôtesse me reproche ma tenue, je la pris dans mes bras pour l'embrasser. Puis je m'assis à la vaste table pour faire honneur au petit déjeuner.

Je profitai ensuite de ce moment apaisé pour prodiguer mes conseils à Bérénice. Je lui recommandai notamment de passer chez le coiffeur et l'esthéticienne pour se refaire une beauté et je lui promis que je l'accompagnerais l'après-midi pour l'aider à mettre à jour sa garde robe. Elle fit mine de protester mais en réalité, elle était ravie du programme proposé.

En sortant de la dernière boutique que nous avions visitée, Bérénice était méconnaissable. Avec son maquillage raffiné et sa coupe de cheveux moderne on lui donnait aisément dix ans de moins. Vêtue d'une robe noire joliment décolletée qui mettait en valeur ses beaux seins et découvrait ses genoux et ses jambes fuselées, de bas noirs mat assortis à un porte jarretelle en dentelle, d'une parure slip soutien gorge au chic distingué et d'escarpins ouverts en cuir vernis noir à talons de dix cm, elle aurait sans doute fait bander le curé de sa paroisse.

J'étais ravi de la voir ainsi rayonnante et je l'aurais bien volontiers baisée une nuit de plus. Mais elle devait rentrer chez elle pour retrouver ses enfants qu'elle avait envoyés chez ses parents ou des amis après avoir appris son infortune.
Bérénice avait retrouvé son énergie et elle espérait bien que son mari n'allait pas tarder à lui revenir. Elle saurait alors lui montrer lors de son retour au domicile conjugal de quoi est capable une bourgeoise bien née et aimante lorsqu'il découvrirait sa sage épouse transformée en femme fatale aussi sexy que désirable.

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