Les deux godes - histoire érotique

Nous vivons ensemble depuis deux ans, nous sommes bien ensemble. Je crois qu’elle surtout est bien avec moi. Elle aime tellement quand je la baise que je lui fais l’amour comme elle adore. Si au début elle n’osait pas trop se masturber pour avoir un autre plaisir, maintenant elle le fait souvent, surtout devant moi. Elle me fait bander ainsi pour la baiser mieux.
Elle cherche ma queue pour se faire mettre. Des fois je suis en panne à cause de mes activités. Elle se contente seule avec une vieille culotte. Au début j’étais étonné de la voir introduire dans le vagin cette vieillerie. Elle a une façon de la plier avant de l’introduire qui la fait mouiller encore plus. Elle commence à entrer un angle de cet habit juste sur le dessus pour l’introduire en entier dans son intimité. Elle la fait enter entièrement dans le vagin. Ce n’est que quand elle a tout ou presque dans son ventre qu’elle appuie encore avec trois doigts de la main droite aidés par deux de la main gauche. Elle appuie profondément, laisse ressortir le bout pour recommencer.
Son corps est arqué sous le plaisir. Ses reins sont tendus vers le haut, son visage est livide, ses yeux renversés, ses lèvres pincées. Elle gémit juste avant d’être renversée par le plaisir qui l’inonde.
Un jour, pour lui faire plaisir j’achète deux godes. J’espère la voir utiliser les deux séparément, un pour le vagin, l’autre pour l’anus. Je suis un « chou » d’avoir pensé à elle. La voilà allongée sur le lit, un gode dans la main droite. Elle le mange d’abord comme elle fait avec ma queue. Enfin, satisfaite de l’odeur sans doute, elle le met sur l’entrée de sa cathédrale. Elle me regarde d’un air particulièrement coquin. Elle passe le gode dans sa fente, le pousse à peine pour aller vers le cul. En le redressant, elle le fait aller juste à l’entrée de son con.
Je regarde en bandant. Je sais ce qu’elle va faire, je le redoute même un peu. Je reste assis sur le lit, à ses coté, mon regard fixé sur sa main. Elle serre l’engin avec sa paume, on dirait qu’elle va le branler. Lentement, elle commence à se branler, elle. Si ses yeux se ferment c’est à cause du plaisir qu’elle sait qu’elle va avoir.
Lentement le gode entre. C’est bien plus lent que quand je la baise. Son autre main vient à l’aide pour écarter les lèvres du sexe. Elle fait ressortir ainsi le clitoris. La fausse bite entre presqu’à fond. Elle se retient pour ne pas jouir rapidement, elle tient à déguster l’orgasme. Elle murmure des mots indistincts, gémit beaucoup.
Elle arrête tout en sortant le gode. En le prenant dans la bouche, elle le lèche pour récupérer son jus. Elle me regarde en souriant. Sans le dire, elle me dédit son plaisir.
Enfin elle remet le gode dans son étui personnel. La masturbation reprend à un rythme plus soutenu. Elle force un peu sur ses reins, se soulève un brin. Elle est rempli par le gode. Les vas et vient sont puissants.
Je regarde les lèvres de son sexes, elles entrent à peine dans le vagin selon les mouvements de la main. Ils sont plus rapides, plus longs également. Elle prend son plaisir en poussant un petit cri. Je vois les mouvements de son vagin autour du godemichet. Elle jouit longuement, plus il me semble que quand je la lui mets. Elle est épuisée de son orgasme. Je la comprends : je l’ai vu se masturber comme elle le fait rarement, même avec sa culotte.
Je la laisse se calmer. Je suis toujours excité, j’ai un besoin anormal de jouir. Je commence à prendre ma queue dans la main, elle me voit. Je commence à me branler, comme souvent en sa présence. Je me propose de jouir sur son visage. Ce n’est pas de son gout aujourd’hui. Si une de ses main reste sur et dans sa chatte, elle me prend dans la bouche. Ses lèvres font descendre le prépuce lentement le long de la colonne. Sa langue s’y met aussi. Le gland est entre sa langue et ses joues, comme toujours. Je vois sa main caresser le clitoris, sa bouche me pomper. Elle sait bien comment faire pour que nous jouissions tous deux.
Il me semble entendre un léger bruit quand le sperme sort de mon méat. Je sais surtout que je la noie dans ma semence. Elle me garde en elle jusqu’à ce que je débande. Ma bite est toute propre Pour ce dimanche après midi, c’est fini.
Le même sujet revient le soir même. Cette fois elle prend les deux godes. Rien de particulier, sinon la couleur ne les distingue. Elle commence par me sucer pour avoir la paix C’est vrai qu’une fois après avoir joui une fois, je suis plus tranquille.
Elle se couche sur le ventre. Son dos, ses fesses sont exquis à voir et caresser. Les deux godes sont à sa portée. Elle passe une main sous elle. Je la vois se relever à peine pour la passer. Elle se branle encore une fois le petit bouton. Son autre main prend un gode, le premier venu. Elle le passe sur ses fesses. Je me demande où elle va le mettre. La suspense n’est pas long, elle se relève encore pour se baiser. Cette fois ce sont les fesses qui seules assurent l’éteinte. Encore un fois j’entends ses gémissements. Elle se fait jouir avant d’aller plus loin. Elle suce l’autre gode, le mouille bien pour aller se le fourrer dans le cul. Là je vois bien les mouvements.
Elle assure seule la double pénétration, chose qu’elle désire depuis longtemps. Sa tête ne peut rester en place, on dirait qu’elle approuve ce qu’elle se fait. Je le sens partir loin, jouir longtemps. Rien ne la retiend, elle recommence aussitôt après avoir joui. J’entends des « encore » étoufés.Elle peut se passer de ma queue.