Les effeuilleuses
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 973 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 626 547 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2015 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 6 398 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les effeuilleuses
Mon studio sert de cadre à une foule de photos: mariage, portrait de personnes. J'ai aussi une autre clientèle plus particulière: les candidate effeuilleuses. Je ne m'ennuie jamais avec elles: d'abord, elles sont toutes jolies, bien faites et surtout pas farouches. La plus part sont des entraîneuses de cabarets qui la plus part du temps "sortent" avec leurs clients. Parfois leurs prestations sont plus "complètes". Elles s'arrangent souvent pour être à deux sur le pékin. Leurs prestations leur permettent de vivre confortablement. Bien sur je ne fais pas de cadeau. Elles doivent payer comment les clientes normales, selon les nombre de pose. Pourtant il arrive souvent que j'oublie de la faire payer.
Ainsi, dernièrement sont venues ensemble Gladys et Claudine, les surnoms qu'elles se donnent à la fois pour la scène et pour leurs clients. Elles sont inséparables. Nous passons dans le studio réservé à ce genre de clichés. Nous bavardons un moment pour que j'arrive à déterminer ce qu'elles veulent exactement. Ensuite elles passent derrière un paravent pour se mettre dans la tenue qui leur plait. La première à y passer est Gladys: C'est une très jolie et sexy fille de 25 ans environ. Elle est totalement nue: j'aurai préféré qu'elle porte quelque chose de sexy. Bof, c'est elle qui le veut. Le lui demande de se positionner à l'endroit voulu, j'allume les projecteurs. Je règle mon appareil, sa consoeur est à mes coté, comme pour surveiller mon travail.
Maintenant c'est moi qui commende les poses qui m'intéressent. Bien sur je ne leur demande pas de se mettre au garde à vous: de leur pose dépendra leur embauche. Il faut donc que je donne envier à un éventuel employeur de les prendre, d’où des poses érotiques. Gladys saut parfaitement se prêter à la pose; de face, jambes ouvertes laissant à peine deviner un début de sexe, surtout qu'elle est rasée, de dos, in peu penchée en avant pour bien montrer ses fesses, de face les bras en l'air pour faire remonter encore plus ses seins. Je prends en tout une bonne dizaine de poses.
Au tour de Claudine. Elle va se déshabiller et ressort nue, elle aussi. Gladys est à mes cotés: - Elle est belle, n'est ce pas ?
- Oui, elle est belle ?
Elle est sexy, non ?
- Très.
- Elle baise bien aussi.
- Comme le sais-tu ?
- Normal nous faisons souvent l'amour ensemble.
Je ne sais que dire. Je comprends pourquoi ladys reste nue devant son amie. Je me pose une question- Vous baiser seulement entre vous ?
- Non souvent, mais pas seulement on aime bien les garçons.
Elles me donnent envie d'elles brusquement. Pourtant j'en vois presque tous les jours des filles nues, aussi sexy qu'elles. Des aussi directes c'est très rare. Je me surprends à bander. Gladys le voit, le dit à Claudine qui en sourit. Heureusement que j'ai fini mon job. Elles veulent me tenter: elles se mettent enlacées devant moi, s'embrassent longuement. Je vois leurs poitrines se joindrent, leurs pubis se frotter. Elles agissent comme de vraies lesbiennes.
Je suis sur le point de sortir mon vit pour me branler. Une sonnerie: quelque un rentre au magasin. Je dois y aller. Je part en débandant: un client me passe une commande. Je revient au studio: Les deux filles sont toujours nues, cette fois couchées sur le tapis: elles se font l'amour en 69. Ma bite repart à la hausse. Je me déshabille pour les rejoindre. Je vise le premier cul venu: elles me voient, m'invite à venir avec elle partager leurs plaisirs. Elles se désaccouplent pour m'accueillir dans de bonnes conditions. Je vais entre les deux: elles se disputent ma bouche. Finalement nous faisons un baiser à trois, avec les langues dehors: une véritable épreuve de gymnastique pour les langues. En tout cas très bandant. Je suis trop mal placé pour leur caresser les seins. J'allonge mes bras pour fouiller leurs fentes: elles ouvrent aussitôt les jambes: si Gladys est rasée, ce n'est pas le cas de Claudine: elle conserve un ticket de métro. Au fond dans l'état où je suis qu'elles soient rasées ou non m'est bien égal: j'ai deux cons à ma disposition je me doit d'en profiter. Je peux en tout cas comparer les détails des deux sexes: Gladys a le sien avec de larges lèvres et un clitoris petit, alors que c'est l'inverse chez Claudine. Je le leur dit: elles le savent bien pour se baiser souvent. Ce que je sais en revanche c'est qu'elles jouissent très vite.
Je voudrai qu'elles me caressent ensemble, elles semblent m'oublier pour se consacrer à leurs seuls orgasmes. Enfin Claudine fait un tête à queue: elle vient me prendre la queue pour la mettre dans sa bouche. Gladys en profite pour lui brouter le gazon. La bouche de Claudine est très efficace: elle pourrait me faire jouir en peu de temps. Elle sort ma pine de la bouche assez souvent. Elle recommence un petit moment après. La langue de Gladys elle aussi doit bien agir sur le clitoris de Claudine qui sous le coup d'un orgasme me mort un peu la queue. Pour se faire pardonner, je suppose, elle me caresse les couilles et me met un doigt dans le cul. Je crois que c'est le dernier geste qui me fait jouir. Elle garde tout mon sperme pour aller le partager avec Gladys. C'est parait-il un aphrodisiaque plein de vitamines.
En attendant je débande. Gladys n'est pas d'accord: il faut me faire bander plus fort. Avec Claudine elles se font l'amour encore devant moi; l'effet est radical. Je bande à nouveau. J'ai envie de les baiser toutes les deux. Je prends Gladys la couche sur le dos pour la prendre: elle n'aime pas cette position: elle veut être sur le ventre, les fesses en l'air. Elle écarte au maximum ses jambes pour que je puisse accéder à son con. C'est Claudine qui prend ma bite pour la guider vers le vagin de son amie. Quand j'y suis-je peux enfin la prendre complètement. Pour continuer sa jouissance, Claudine va devant le visage de Gladys, ouvre ses cuisses: la langue de Gladys va retrouver le clitoris déjà bien sucé. Je la regarde, posée sur le tapis avec ses avant bras comme appui, les yeux fixés sur moi. Elle surveille ma baise. Quand Gladys jouit, elle le dit. Je sors d'elle: au tour de Claudine. Elle se met convenablement sur le dos, Dès que je suis à fond dans son con, elle passe ses jambes autour de moi.
Gladys ne peut pas intervenir et pourtant je sens une main passer sous ma bite pour aller se planter dans le cul de Claudine. Je jouis dans le con de Claudine qui elle a déjà joui depuis un bon moment plusieurs fois à cause de ma pine et surtout je crois des doigts de Gladys.
A la question normale:- Combien te doit-on ,Je n'ai que la réponse de ma bite:- Rien, c'était un plaisir? Pour le choix des bons clichés revenez la semaine prochaine en fin d'après midi, je vous rendrai ma monnaie.
Ainsi, dernièrement sont venues ensemble Gladys et Claudine, les surnoms qu'elles se donnent à la fois pour la scène et pour leurs clients. Elles sont inséparables. Nous passons dans le studio réservé à ce genre de clichés. Nous bavardons un moment pour que j'arrive à déterminer ce qu'elles veulent exactement. Ensuite elles passent derrière un paravent pour se mettre dans la tenue qui leur plait. La première à y passer est Gladys: C'est une très jolie et sexy fille de 25 ans environ. Elle est totalement nue: j'aurai préféré qu'elle porte quelque chose de sexy. Bof, c'est elle qui le veut. Le lui demande de se positionner à l'endroit voulu, j'allume les projecteurs. Je règle mon appareil, sa consoeur est à mes coté, comme pour surveiller mon travail.
Maintenant c'est moi qui commende les poses qui m'intéressent. Bien sur je ne leur demande pas de se mettre au garde à vous: de leur pose dépendra leur embauche. Il faut donc que je donne envier à un éventuel employeur de les prendre, d’où des poses érotiques. Gladys saut parfaitement se prêter à la pose; de face, jambes ouvertes laissant à peine deviner un début de sexe, surtout qu'elle est rasée, de dos, in peu penchée en avant pour bien montrer ses fesses, de face les bras en l'air pour faire remonter encore plus ses seins. Je prends en tout une bonne dizaine de poses.
Au tour de Claudine. Elle va se déshabiller et ressort nue, elle aussi. Gladys est à mes cotés: - Elle est belle, n'est ce pas ?
- Oui, elle est belle ?
Elle est sexy, non ?
- Très.
- Elle baise bien aussi.
- Comme le sais-tu ?
- Normal nous faisons souvent l'amour ensemble.
Je ne sais que dire. Je comprends pourquoi ladys reste nue devant son amie. Je me pose une question- Vous baiser seulement entre vous ?
- Non souvent, mais pas seulement on aime bien les garçons.
Elles me donnent envie d'elles brusquement. Pourtant j'en vois presque tous les jours des filles nues, aussi sexy qu'elles. Des aussi directes c'est très rare. Je me surprends à bander. Gladys le voit, le dit à Claudine qui en sourit. Heureusement que j'ai fini mon job. Elles veulent me tenter: elles se mettent enlacées devant moi, s'embrassent longuement. Je vois leurs poitrines se joindrent, leurs pubis se frotter. Elles agissent comme de vraies lesbiennes.
Je suis sur le point de sortir mon vit pour me branler. Une sonnerie: quelque un rentre au magasin. Je dois y aller. Je part en débandant: un client me passe une commande. Je revient au studio: Les deux filles sont toujours nues, cette fois couchées sur le tapis: elles se font l'amour en 69. Ma bite repart à la hausse. Je me déshabille pour les rejoindre. Je vise le premier cul venu: elles me voient, m'invite à venir avec elle partager leurs plaisirs. Elles se désaccouplent pour m'accueillir dans de bonnes conditions. Je vais entre les deux: elles se disputent ma bouche. Finalement nous faisons un baiser à trois, avec les langues dehors: une véritable épreuve de gymnastique pour les langues. En tout cas très bandant. Je suis trop mal placé pour leur caresser les seins. J'allonge mes bras pour fouiller leurs fentes: elles ouvrent aussitôt les jambes: si Gladys est rasée, ce n'est pas le cas de Claudine: elle conserve un ticket de métro. Au fond dans l'état où je suis qu'elles soient rasées ou non m'est bien égal: j'ai deux cons à ma disposition je me doit d'en profiter. Je peux en tout cas comparer les détails des deux sexes: Gladys a le sien avec de larges lèvres et un clitoris petit, alors que c'est l'inverse chez Claudine. Je le leur dit: elles le savent bien pour se baiser souvent. Ce que je sais en revanche c'est qu'elles jouissent très vite.
Je voudrai qu'elles me caressent ensemble, elles semblent m'oublier pour se consacrer à leurs seuls orgasmes. Enfin Claudine fait un tête à queue: elle vient me prendre la queue pour la mettre dans sa bouche. Gladys en profite pour lui brouter le gazon. La bouche de Claudine est très efficace: elle pourrait me faire jouir en peu de temps. Elle sort ma pine de la bouche assez souvent. Elle recommence un petit moment après. La langue de Gladys elle aussi doit bien agir sur le clitoris de Claudine qui sous le coup d'un orgasme me mort un peu la queue. Pour se faire pardonner, je suppose, elle me caresse les couilles et me met un doigt dans le cul. Je crois que c'est le dernier geste qui me fait jouir. Elle garde tout mon sperme pour aller le partager avec Gladys. C'est parait-il un aphrodisiaque plein de vitamines.
En attendant je débande. Gladys n'est pas d'accord: il faut me faire bander plus fort. Avec Claudine elles se font l'amour encore devant moi; l'effet est radical. Je bande à nouveau. J'ai envie de les baiser toutes les deux. Je prends Gladys la couche sur le dos pour la prendre: elle n'aime pas cette position: elle veut être sur le ventre, les fesses en l'air. Elle écarte au maximum ses jambes pour que je puisse accéder à son con. C'est Claudine qui prend ma bite pour la guider vers le vagin de son amie. Quand j'y suis-je peux enfin la prendre complètement. Pour continuer sa jouissance, Claudine va devant le visage de Gladys, ouvre ses cuisses: la langue de Gladys va retrouver le clitoris déjà bien sucé. Je la regarde, posée sur le tapis avec ses avant bras comme appui, les yeux fixés sur moi. Elle surveille ma baise. Quand Gladys jouit, elle le dit. Je sors d'elle: au tour de Claudine. Elle se met convenablement sur le dos, Dès que je suis à fond dans son con, elle passe ses jambes autour de moi.
Gladys ne peut pas intervenir et pourtant je sens une main passer sous ma bite pour aller se planter dans le cul de Claudine. Je jouis dans le con de Claudine qui elle a déjà joui depuis un bon moment plusieurs fois à cause de ma pine et surtout je crois des doigts de Gladys.
A la question normale:- Combien te doit-on ,Je n'ai que la réponse de ma bite:- Rien, c'était un plaisir? Pour le choix des bons clichés revenez la semaine prochaine en fin d'après midi, je vous rendrai ma monnaie.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Baiserjouir
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...