Les magasins associés - 1/10 - L'entretien d'embauche

- Par l'auteur HDS Mysterebinr -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les magasins associés - 1/10 - L'entretien d'embauche Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les magasins associés - 1/10 - L'entretien d'embauche
Anne était inscrite en BTS force de vente à l'IUT de Pau. Pour valider son diplôme, elle devait terminer sa scolarité par un stage de six mois dans une entreprise de la région.
Sa marraine - amie d'enfance de sa mère - qui connaissait très bien une chef de rayon aux "Magasins Associés" de la ville avait pu lui obtenir un entretien avec Mademoiselle Dalembre qui dirigeait d'une poigne de fer le département lingerie et accessoires du grand magasin.

Irène Dalembre était une femme brune et célibataire d'une cinquantaine d'années. D'apparence austère, entièrement dévouée à son travail, elle imposait respect et obéissance à l'ensemble de son personnel.
Plutôt grande, les cheveux tirés en arrière par un chignon soigné, Irène était mince et dépourvue de formes à l'exception de ses seins lourds solidement maintenus par un soutien-gorge à large armature.
Hormis ses sempiternels chemisiers blancs à jabot boutonnés jusqu'au cou, madame Dalembre s'habillait exclusivement en noir. Ses tenues se composaient la plupart du temps d'une jupe étroite qui couvrait ses genoux, de bas opaques fixés à un corset destiné à aplatir son ventre et à faire jaillir ses seins, de lingerie en dentelle et de bottines à lacets à talons hauts.

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Anne venait d'avoir vingt-et-un ans. Elle avait prévu une fois son diplôme en poche de s'installer dans un appartement en ville avec son fiancé Aurélien qui travaillait comme mécanicien dans le plus grand garage de Pau.
Physiquement, Anne était bien différente de Mademoiselle Dalembre. Blonde à la silhouette très féminine, elle arborait de charmantes rondeurs bien fermes qui attiraient spontanément le regard des hommes de tous âges.
La jeune femme vivait avec sa mère dans une petite maison de ville située à une vingtaine de minutes à pied des "Magasins Associés".
Danielle Leroy était secrétaire comptable dans une entreprise de transport. Elle avait tout juste dix-huit ans lorsqu'elle s'était laissée séduire par le géniteur d'Anne qui avait disparu dans la nature après l'avoir engrossée. Danielle avait acquis à la suite de cette malheureuse expérience un ressentiment tenace pour la gente masculine et on ne lui connaissait pas d'autre liaison depuis la naissance de sa fille unique.
La jeunesse d'Anne se déroula donc entre sa mère et sa grand-mère qui pour sa part était déjà veuve lorsque sa petite-fille vint au monde. Ghislaine Leroy, alias mamy Gigi, était depuis partie s'installer sur la côte basque avec Henri, son second mari, qu'elle épousa le lendemain du quatorzième anniversaire d'Anne.

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Anne faisait face à Irène Dalembre. Impressionnée par l'autorité dégagée par la quinquagénaire, elle l'écoutait parler sans bouger.
- Madame Lemaire, notre vendeuse la plus expérimentée au rayon lingerie, partira en retraite au mois d'avril prochain. Nous souhaiterions évidemment, Monsieur Frachon, le directeur des ventes, et moi-même lui trouver une remplaçante avant l'été. Cette place pourrait très bien te revenir si tu effectues ton stage chez nous et si tu sais te montrer à la hauteur de nos attentes pendant ces quelques mois.

Anne rosit légèrement alors que madame Dalembre faisait une pause en la fixant d'un oeil inquisiteur.

La responsable n'en laissait rien paraître mais elle savait fort bien que la silhouette très féminine et le joli visage de la jeune femme blonde étaient des arguments qui lui conféraient un avantage certain sur les autres postulantes.
Irène avait en outre deviné que tel un diamant brut très pur, cette belle jeunesse pourrait devenir un véritable joyau si on savait tailler sa personnalité avec un art maîtrisé.

- Je vais d'abord te poser quelques questions sur ta réelle motivation, attaqua Irène.
Anne se redressa imperceptiblement pour écouter la suite.
- Peux-tu ainsi m'expliquer pourquoi je choisirais Anne Leroy plutôt qu'une autre ?

La jolie blonde réfléchit quelques secondes avant de répondre.
- Et bien voyez-vous, je pense que j'ai les qualités pour ce poste. D'abord j'aime les contacts humains, c'est pour cette raison que j'ai choisi de faire des études dans la vente. Ensuite j'ai toujours adoré la mode. Petite déjà, j'empruntais la machine à coudre de ma grand mère et je fabriquais moi même certains des vêtements que je portais. En plus, je trouve que la lingerie est particulièrement intéressante car les diverses pièces sont techniquement beaucoup plus complexes à réaliser que les autres vêtements.

- Je constate que tu as bien préparé ta réponse déclara Irène avec un léger sourire. Voilà un point positif pour toi. Est ce que tu aimes porter de la lingerie ?

- Bien sûr, c'est important pour moi d'avoir des sous-vêtements de qualité qui maintiennent bien mes formes.

- Évidemment, mais qu'est ce que tu penses des bas, des porte-jarretelles et des strings par exemple.

Anne se mit à rosir.
- Eh bien je n'ai pas vraiment l'habitude de porter ce genre de dessous.
- Si tu travailles chez nous, il faudra pourtant que tu le fasses. Monsieur Frachon pense qu'une bonne vendeuse doit utiliser les articles qu'elle propose à sa clientèle. Et comme tu t'en doutes, je partage évidemment son avis.
Le magasin fait de grosses marges sur les serre-tailles et les guépières par exemple ainsi que sur les dessous un peu coquins comme les slips fendus ou les soutien-gorges sans bonnet, précisa la responsable.

Anne était devenue rouge pivoine.
- Tu sais ce qu'est un slip fendu ou une guépière sans bonnet n'est ce pas? demanda Irène sur un ton anodin.

- Oui... admit la jolie blonde d'une voix faible.
- Tu accepteras d'en porter si la direction l'exige ?
- Je ne sais pas... bredouilla Anne gênée, peut-être...
- Peut être ou sûrement ? rétorqua Irène en haussant le ton.
- Sûrement. Peut-être... finit par lâcher Anne de plus en plus mal à l'aise.
- Très bien nous verrons cela. Et n'oublie pas que si tu obtiens ce stage, tu seras rémunérée. 500 Francs par semaine, ce n'est pas rien. Tu auras de plus droit à des réductions sur tes achats aux "Magasins associés" dont tu pourras évidemment faire profiter ta famille.

Irène se leva avant de s'adresser de nouveau à la candidate.
- En attendant, suis-moi, je vais te présenter les vendeuses présentes cet après-midi. J'espère que ces dames t'adopteront car c'est une condition sine qua non à ton embauche chez nous. La cohésion dans une équipe de ventes est, tu le sais comme moi, primordiale pour la bonne réussite des affaires.

Toutes les femmes du rayon avaient dépassé la quarantaine et Anne remarqua qu'elles étaient fort maquillées et que leurs tenues étaient assez suggestives.

Après avoir présenté les vendeuses présentes à Anne, Irène s'adressa à Linda, une fausse rousse bien roulée vêtue d'une jupe courte et étroite, d'un cache-coeur très décolleté et d'escarpins marrons à hauts talons.
- Ma chère Linda, je souhaite évaluer Anne avant d'accepter sa candidature en tant que stagiaire. Elle te suivra donc à ton rayon à partir de jeudi après midi. Samedi midi, nous ferons le point toutes les trois et nous déciderons alors si nous gardons cette jeune personne avec nous.

Madame Dalembre s'adressa de nouveau à la candidate stagiaire.
- Tu passeras me voir à mon bureau jeudi à dix heures trente afin que je te fasse faire le tour du magasin et des équipes et bien sûr que je t'explique ce qu'on attend de toi.
Je compte sur toi pour être à l'heure car la ponctualité est la première qualité d'une bonne vendeuse insista Irène avant de conclure:- Linda va te donner quelques informations complémentaires puis elle te raccompagnera.

La vendeuse confirmée expliqua à la candidate que la direction ne tolérait pas que le personnel féminin des rayons mode porte un pantalon et des chaussures plates.
- Je te recommande donc de mettre une robe ou une jupe et des talons hauts quand tu débuteras ton évaluation jeudi matin. Sinon, tu risques de ne pas faire long feu aux "Magasins Associés".
- Je suis bien consciente que les clientes souhaitent avoir à faire à des vendeuses accortes déclara Anne avec candeur. De toute façon, j'ai très peu de pantalons dans ma garde robe, juste quelques shorts pour l'été et j'adore porter des talons.
- C'est parfait alors. Ne change rien et tout se passera bien, répondit Linda avec un sourire amusé.
- Ça vous étonne ? demanda Anne un peu vexée.
- Un peu oui. De nos jours, les jeunes filles ou garçons portent la plupart du temps des jeans et des baskets.
- Et bien pas moi. Les baskets c'est bon pour faire du sport. Pas pour sortir ou aller travailler.
- Ne t'inquiète pas. Je trouve ça très bien et puis laisse tomber le vouvoiement avec moi. D'accord ?
- D'accord Linda. Vivement jeudi. EtBonne fin de journée alors.

La vendeuse regarda Anne s'éloigner avec un petit pincement au coeur surprise qu'à quelques années à peine de la fin du millénaire, il existe encore quelques jeunes femmes qui continuent à préférer les tenues féminines à l'uniforme jean plus t-shirt tant prisé par leurs congénères.

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Anne se présenta avec un bon quart d'heure d'avance au rendez-vous fixé par madame Dalembre.
Celle-ci la fit attendre une dizaine de minutes avant de la faire entrer dans son bureau. Elle avait pu constater la ponctualité de sa candidate. Elle voulait profiter du délai pour s'assurer qu'elle savait aussi être patiente.

Madame Dalembre fit faire un tour rapide du magasin à Anne lui montrant notamment les vestiaires du personnel, les locaux techniques, les réserves et bien sûr la petite cantine.
Elle lui présenta aussi une partie du personnel présent ce jeudi et lui expliqua ce qu'elle allait être censée faire pendant ces deux jours d'initiation.

Irène termina ensuite de briffer Linda avant de s'adresser une dernière fois à la stagiaire.
- Tu vas comprendre que rester debout la plus grande partie de la journée est assez dur physiquement. Aujourd'hui, comme il est pratiquement midi, je te propose d'aller déjeuner à la cantine avec Linda et ensuite tu prendras ton service en même temps qu'elle. Ce soir et demain, tu termineras ta journée à dix-sept heures trente. En revanche demain, tu commenceras à dix heures et quart. Puis tu viendras me voir à mon bureau avant de quitter le magasin. On fera un premier bilan ensemble avant que tu rentres chez toi.

Anne acquiesça respectueusement prête à accompagner Linda tout au long de ces deux journées, afin d'identifier et d'apprendre les pratiques qui feraient d'elle une vendeuse efficace et rentable pour le magasin.
Elle n'y prêta pas vraiment attention mais sa présence s'avéra être un bon stimulant pour le chiffre d'affaires de Linda lorsqu'une des clientes venait faire ses emplettes accompagnée de son chevalier servant. L'homme ne se gênait généralement pas pour se rincer l'oeil en matant avec plus ou moins de discrétion la plastique inspirante de la jolie blonde. Et cette vision enchanteresse lui faisait oublier en partie la note qu'il allait devoir régler pour satisfaire sa compagne.

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Le samedi était le dernier des trois jours prévus pour l'évaluation de la candidate stagiaire. Madame Dalembre était allée voir Anne lors de sa pause matinale pour lui annoncer que linda et ses collègues lui avaient fait des retours très positifs sur sa prestation et qu'elle allait en faire part au directeur des ventes.

- Nous allons préparer ta convention de stage et tu viendras me voir dans mon bureau cet après-midi à quinze heures pour la signer. Ainsi tu pourras commencer ton service officiellement dès lundi à quatorze heures puisque nous t'avons accordé trois demi journées de repos conformément au protocole fourni par l'IUT. J'espère que tu es contente.
- Je suis ravie madame et je ferai tout pour ne pas vous décevoir.
- Mais j'y compte bien et n'aie crainte, je serai très exigeante.

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Lorsque Anne entra dans le bureau d'Irène, elle découvrit un homme en costume installé dans le fauteuil situé contre un des murs de la pièce. La cinquantaine, de taille moyenne, le type rondouillard arborait un bouc soigneusement taillé. Pour masquer une calvitie naissante,il maintenait ses cheveux rares plaqués sur son crâne.
L'homme examina d'un oeil averti et libidineux la jolie plante blonde qui venait d'apparaître dans le bureau de la responsable.

- Bonsoir Anne, commença la femme, je te présente Monsieur Frachon, le directeur des ventes du magasin. Il tenait absolument à te rencontrer.
- Bonjour monsieur, déclara poliment la candidate stagiaire d'une voix humble en se tournant vers Frachon.
- Bonsoir ma petite, comment se sont passées ces premières journées ? questionna l'homme d'une voix puissante qui impressionna Anne.
- Plutôt bien. J'ai bien observé Linda et les autres vendeuses et je pense que je devrais pouvoir m'en sortir.

L'homme détailla le physique de la jeune femme avec un air gourmand qui mit Anne mal à l'aise avant de s'adresser à sa collaboratrice.
- Votre recrue me semble très prometteuse, il faudra veiller à ce qu'elle mette un peu mieux en valeur ses avantages plantureux.
Puis se tournant vers Anne, il ajouta:- Tu vois ma jolie, quand je te regarde, je me dis par exemple qu'une paire de nichons comme les tiens, c'est un véritable argument pour la vente de soutien-gorges. Tu comprends où je veux en venir n'est-ce pas ?
- Oui monsieur, répondit la jolie blonde en rougissant.
- Parfait. Je suis sûr que tu sauras t'en souvenir. Sinon, j'ai déposé ta convention de stage signée sur le bureau de madame Dalembre.
Anne fit un grand sourire.
- Tu n'as plus qu'à la signer à ton tour et à emporter avec toi l'exemplaire qui t'est destiné, poursuivit le directeur.
Bon! je passerais bien un moment avec toi pour faire plus ample connaissance, mais j'ai une réunion qui débute dans quelques minutes. Je te laisse donc régler les formalités avec madame Dalembre.
De toute façon, on devrait se revoir assez vite, conclut Frachon en passant sa langue sur ses lèvres avant de se lever avec une souplesse inattendue chez un homme de sa corpulence.

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Pour remercier son amie Sonia Péchenot, la marraine d'Anne, Danielle Leroy l'avait invitée à déjeuner le dimanche.
Autant Danielle était austère et s'évertuait à porter des vêtements informes destinés à cacher au maximum son corps pourtant harmonieux, autant Sonia était exubérante n'éprouvant aucune gêne à mettre des tenues moulantes malgré quelques petits bourrelets parfaitement assumés.

Anne avait toujours eu beaucoup d'admiration pour sa marraine, une femme châtain clair aux ongles rouge vif, qui arborait sans complexe des décolletés aguichants, des jupes fendues qui découvraient ses genoux ronds, des talons démesurés pour compenser son mètre cinquante-cinq et de la lingerie affriolante. Mais ce dernier point, Anne l'avait découvert plus tard lorsqu'elle s'était mise à observer plus attentivement Sonia dans l'idée de s'inspirer de son look.

Les trois convives avaient échangé des banalités pendant tout le repas et elles venaient d'attaquer le gâteau apporté par Sonia pour le dessert.

- Alors ma chérie? commença la femme en s'adressant à sa filleule. Comment se sont passés ces premiers jours aux "Magasins Associés" ?
- Très bien. Les filles sont très sympathiques avec moi et je pense que madame Dalembre la responsable m'apprécie même si elle garde ses distances avec son personnel.
- C'est vrai que ce n'est pas une dame avec qui on pense spontanément à faire la fête, rigola Sonia.
En tout cas, je suis heureuse que tu aies pu obtenir ce stage. Je viendrai te voir souvent pour élargir ma collection de lingerie fine. J'espère que tu pourras me faire des prix.
- La responsable m'a dit que les familles des employés pouvaient bénéficier de réductions aux "Magasins Associés". J'espère que ça concerne aussi les marraines.

Sonia se tourna alors vers son amie d'enfance.
- Danielle, tu entends ce que vient de te dire ta fille. Tu devrais en profiter pour aller rajeunir ta garde robe. Je ne comprends pas pourquoi une femme aussi belle que toi continue à s'habiller comme une nonne. Tu vas avoir quarante ans. Je pense qu'il est temps que tu te retrouves un homme.
- Ça ne m'intéresse pas! répondit la mère d'Anne d'un ton sec. Quand je vois comment ça se passe pour toi, je ne t'envie pas du tout. Tu changes de mec plus souvent que de culotte.
- Tu exagères. Il m'arrive souvent de sortir sans culotte plus rarement sans un homme, répondit Sonia en rigolant.
La remarque amusa beaucoup Anne mais beaucoup moins sa mère.
- C'est malin, dit celle-ci en haussant les épaules.
- Quand je pense que lorsqu'on était au lycée, tous les garçons rêvaient de sortir avec toi. Tu trouvais leur empressement plutôt agréable à l'époque.

Sonia s'adressa à nouveau à Anne.
- Ta mère n'avait que l'embarras du choix. Mais au lieu de s'amuser un peu et de faire son expérience avec quelques uns de ses soupirants, elle a craqué pour le bad boy du lycée. Remarque, j'en ai profité pour me taper certains des garçons éconduits par ta maman. J'ai appris à l'occasion qu'au lit tous les hommes ne se valaient pas.

Danielle avait écouté son amie d'enfance en se tassant sur sa chaise. Sonia s'en aperçut et se leva pour serrer la mère d'Anne dans ses bras.
- Allons ma chérie. Je sais que je ne prends pas de gants dans mes propos mais je suis sincèrement triste de voir la plus belle fille du lycée s'étioler comme tu le fais.

Anne proposa aux deux femmes d'aller s'installer dans le salon où elle comptait leur apporter des infusions après avoir débarrassé.
En apportant le plateau, elle regarda avec intérêt le haut des bas de sa marraine dont les jambes croisées laissaient apparaître la partie dénudée de la cuisse et l'attache du porte-jarretelle.
Sonia remarqua le petit jeu de sa filleule.
- Désolée ma chérie. Je n'ai pas acheté cette jolie lingerie aux "Magasins Associés". C'est un de mes soupirants qui me l'a offerte. Tu comprendras vite que les hommes adorent que leurs compagnes portent de la belle lingerie. Ils considèrent un peu ça comme de beaux écrins destinés à mettre en valeur leurs formes. Tu veux voir le reste ?

Anne se mit à rougir ce qui fit rire Sonia.
- N'aie crainte! J'ai mis un slip pour vous rendre visite aujourd'hui.
La femme se leva alors spontanément et souleva sa robe pour dévoiler le string qui ne cachait pas grand chose du popotin joufflu de sa propriétaire.

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