Les magasins associés - 2/10 - Première semaine de stage

- Par l'auteur HDS Mysterebinr -
Auteur homme.
  • • 16 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.1 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Mysterebinr ont reçu un total de 88 126 visites.
Récit libertin : Les magasins associés - 2/10 - Première semaine de stage Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 733 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Les magasins associés - 2/10 - Première semaine de stage
Anne venait à peine de quitter le bureau d'Irène, sa convention signée dans la main. Et la cheffe de rayon n'avait pas tardé plus avant d'aller s'entretenir avec Linda la vendeuse rousse qui allait chapeauter la jeune étudiante pendant son stage aux "Magasins Associés".
- Je compte sur toi pour mettre aux normes notre nouvelle stagiaire dès lundi. Il faudra que tu lui trouves une tenue en adéquation avec son poste. Je lui ai demandé d'être présente à treize heures. Ça te laissera donc le temps de transformer notre jolie jouvencelle en jeune femme sexy comme doit l'être une employée du rayon lingerie d'un grand magasin.
La vendeuse expérimentée acquiesça respectueusement avant de retourner à son poste.

@-------@
Linda accueillit donc Anne à l'heure prévue le premier jour officiel de sa prise de fonction. Après lui avoir offert un café, elle emmena la nouvelle stagiaire au rayon lingerie générale et lui rappela les règles édictées par la hiérarchie concernant la tenue des vendeuses.

- Comme a dû te le dire madame Dalembre, les employées du rayon lingerie et accessoires doivent porter des dessous sophistiqués comme ceux qu'elles vont proposer à nos clientes.
En effet parmi celles ci, ce sont les bourgeoises et les commerçantes aisées notre cible prioritaire. Elles dépensent beaucoup mais elles apprécient aussi les dessous affriolants pour mettre en valeur leurs charmes féminins.
Car elles n'ont pas envie que leur mari qui leur assure un train de vie enviable aille voir ailleurs. Certaines ont aussi un ou plusieurs amants auxquels elles aiment faire plaisir. Tu ne le sais sans doute pas, mais une femme est généralement beaucoup plus sexy pour aller rendre visite à son amant que pour aller retrouver son mari.

Les révélations de Linda troublèrent Anne. Son innocence et ses origines modestes l'avaient jusqu'alors préservée de cette société dont l'argent et le sexe étaient les moteurs principaux.

- Tu vas aller dans la grande cabine du fond et te déshabiller pendant que je vais chercher de quoi te constituer une tenue en accord avec tes nouvelles fonctions, déclara alors Linda.
En revenant les bras chargés, la vendeuse découvrit Anne qui l'attendait en slip et soutien gorge.

- Tu te mets à poil s'il te plaît. Tu ne vas quand même pas garder ces dessous de gamine.
La jolie blonde devint toute rouge.
- Allez, dépêche toi! C'est pas le moment de jouer les timides. Je sais ce que c'est qu'un corps de femme.

Anne finit par s'exécuter dévoilant ses seins lourds et arrogants et sa croupe bien ronde à la vendeuse. Celle-ci apprécia d'un oeil averti.
- Franchement, tu es super bien foutue et tu n'as pas besoin de lingerie. Mais heureusement, ce n'est pas le cas de toutes nos clientes. Tu vas mettre ce que je viens de poser sur le banc et je reviens te voir dans quelques minutes.
Anne évita de protester et voulut enfiler le slip mais Linda l'interrompit.
- un conseil : tu mets le slip après les bas et le porte jarretelle. Sinon tu seras obligée de défaire les attaches à chaque fois que tu iras pisser.
La jeune femme finit par se retrouver dans la tenue choisie par la vendeuse. Ensemble slip plus soutien-gorge en dentelle bleu marine, porte-jarretelle marron et bas opaques assortis, chemisier beige légèrement décolleté, jupe évasée marron et noire découvrant le genou.
- Pas mal du tout! lâcha Linda de retour en examinant Anne. Je ne vais pas t'imposer de porter des chaussures neuves aujourd'hui. Tes escarpins à talons en cuir imitation serpent devraient faire l'affaire. Voici néanmoins une paire à talons aiguille que tu devras porter à partir de la semaine prochaine.

Anne essaya les chaussures pour vérifier la taille.
- Elles te vont très bien et elles affinent ta jambe. Je te recommande de les faire à ton pied le soir quand tu seras chez toi.

Lorsque les premiers clients de l'après-midi franchirent les portes des "Magasins Associés", Anne était présente à son poste.
Madame Dalembre était passée pour examiner sa tenue avec une réserve marquée de satisfaction retenue.
- Linda ne s'est pas trop mal débrouillée pour te rendre présentable, avait-elle déclaré à la jeune femme.
Je vais te prendre rendez-vous jeudi matin au salon de beauté voisin tenu par madame G. Elle t'apprendra à te maquiller et elle te posera du vernis sur les ongles.

D'autre part, tu me rendras visite ce soir à mon bureau à dix-huit heures trente. Nous ferons ensemble le bilan de cette première journée et nous essaierons de corriger les petits détails gênants.

@-------@
Alors qu'Anne se tenait respectueusement debout face à son bureau, Irène prit le temps de détailler l'aspect physique de la jeune femme.
- Je constate avec plaisir que tu ne sembles pas trop fatiguée après cette première demi journée et que tu présentes toujours bien après quatre heures de travail. C'est important qu'une vendeuse reste présentable jusqu'à la fin de son service.
Tu te souviens de ce que t'a dit Monsieur Frachon la semaine dernière n'est ce pas. Ta plastique est un argument de vente très efficace lorsqu'une de nos clientes vient acheter de la lingerie en galante compagnie. Alors n'hésite pas à en montrer un peu plus pour plaire aux messieurs.

Comme Anne ne réagissait pas, Irène se leva et s'approcha de la jeune stagiaire. Elle la regarda avec détermination et tendit le bras pour défaire le bouton supérieur de son chemisier dévoilant la dentelle de son soutien-gorge et la naissance de la vallée de ses seins.
Puis elle prit un air carnassier tout en se reculant pour avoir une vue d'ensemble du corps d'Anne.
- Voilà qui est mieux. Maintenant montre moi un peu ce que tu caches sous ta jupe.
Anne sembla ne pas comprendre ce qu'attendait la cheffe.
- Allons! dépêche toi! lâcha madame Dalembre avec agacement. Je veux voir si après une journée de travail, tes dessous sont toujours présentables.
La jolie blonde s'exécuta en rosissant dévoilant le triangle de sa culotte, le liseré de ses bas et les attaches de son porte-jarretelle à sa cheffe.
- Bien! Tourne toi maintenant!
La jeune femme pivota sur elle-même exposant le slip qui recouvrait ses fesses rondes et joliment bombées à Irène.
Celle-ci se leva alors et vint glisser un doigt entre l'élastique du slip et la naissance de la cuisse gauche faisant sursauter la stagiaire.
- Ce slip est à mon avis un peu trop couvrant. Je demanderai à Linda de te trouver quelque chose de moins guindé déclara t-elle en laissant courir ses doigts sur le haut dénudé de la cuisse d'Anne avant de donner une petite claque sur le derrière charnu. La jolie blonde ne put réprimer un petit cri de surprise.
- C'est bon, tu peux y aller maintenant, conclut Irène. N'oublie pas de porter ce soir les chaussures à talons aiguille qu'on t'a confiées pour t'habituer à marcher avec.

@-------@
En quittant le magasin peu avant dix-neuf heures, Anne avait du mal à masquer son trouble. Les attouchements de la cheffe avaient provoqué la lubrification inattendue de son vagin et elle avait hâte de retrouver Aurélien à son garage espérant qu'il saurait calmer son excitation une fois qu'il l'aurait ramenée chez lui.

En arrivant devant l'entrée de la boutique, Anne tomba nez à nez avec un colosse mal rasé en salopette. Outre ses tatouages, le type avait de nombreuses taches de cambouis sur les bras et les vêtements et il s'adressa à Anne en lorgnant dans son décolleté.
- Salut ma jolie. Qu'est ce qu'une belle fille comme toi vient faire ici. Je ne me souviens pas que tu nous aies apporter une voiture à réviser.
- Non monsieur, répondit Anne timidement. Je viens chercher Aurélien. On sort ensemble ce soir.
- Il est sacrément verni le gamin d'avoir une copine aussi bien gaulée. À mon avis vous n'êtes pas vraiment assortis. Avec ton physique c'est d'un vrai mâle dont tu as besoin, pas d'un jeune jouvenceau pas vraiment équipé pour te satisfaire.

Le visage de la jeune femme avait pris une teinte pivoine. Elle était incapable de réagir sereinement aux propos outranciers du garagiste. Heureusement, elle aperçut Aurélien qui lui faisait un geste de la main et elle y répondit de la même manière ce qui fit rire le colosse.
- Allons, détends toi. Je te chambrais. Je vais te laisser avec ton amoureux. Quand tu en auras marre de lui, tu n'auras qu'à me faire signe déclara t-il avant de retourner dans l'atelier.

En s'installant à la place avant passager de la vieille 205 d'Aurélien, Anne dévoila involontairement le haut de ses bas et une partie dénudée de sa cuisse à son fiancé.
- Qu'est ce que c'est que cette lingerie? s'étonna le jeune homme surpris.
- Ce sont les bas que je dois porter au magasin, répondit la jeune femme avec candeur en soulevant sa jupe pour faire profiter son petit copain du charmant spectacle.
Le jeune homme fit la moue:- Qu'est ce que c'est que cette histoire! C'est les putes qui portent ce genre de dessous.
Anne devint écarlate.
- pourquoi dis-tu ça ? Toutes les vendeuses du rayon en portent. C'est madame Dalembre la responsable qui l'exige. Et moi je trouve ça très bien. Beaucoup d'hommes adorent ça d'ailleurs. Je ne comprends pas que tu n'aimes pas.
- Ben moi, je trouve que ça fait pute et que tu es trop jeune pour mettre des bas et un porte-jarretelle.
Une larme apparut au coin de l'oeil de la jolie blonde qui se défendit avec dépit.
- Tu es méchant, je viens te chercher à ton garage avec de jolis dessous croyant te faire plaisir et tu m'engueules. C'est vraiment pas sympa. Je suis sûre que le gros costaud que j'ai croisé en arrivant serait ravi que sa copine porte ce genre de lingerie.
- Tu parles sûrement du patron. C'est un cochon ce type! Il passe son temps à draguer les clientes et quand il les raccompagne chez elles aprés qu'elles ont déposé leur voiture, il arrive qu'on ne le voie pas revenir avant une bonne heure.
- Ah Bon ! S'exclama Anne surprise. Il n'est pas marié ?
- Si tu crois que ça le gêne !

Anne frissonna en imaginant l'homme qu'elle avait rencontré un quart d'heure plus tôt en train de tripoter une de ses clientes avec ses grosses paluches maculées de cambouis.
- j'avais prévu de t'inviter à manger une pizza chez Luigi, déclara alors Aurélien. Mais je peux pas te laisser y aller avec tes dessous de pute. On va passer commande par téléphone et on se fera livrer.

Anne se rembrunit, déçue par le manque d'audace de son fiancé dont les remarques désobligeantes avaient eu raison de l' excitation qu'elle ressentait en quittant le grand magasin où elle venait d'effectuer la première vraie journée de travail de sa jeune existence.

Le repas fut assez morose malgré la demi-bouteille de rosé débouchée par Aurélien et les jeunes fiancés passèrent la plus grande partie de la soirée devant la télé au risque de détruire leurs neurones en subissant une émission de télé réalité particulièrement consternante. À la fin du programme, Aurélien emmena Anne dans la chambre et il lui demanda de se déshabiller intégralement avant de se coucher sur elle pour la pénétrer aussitôt.
Linda lui avait pourtant raconter que les hommes adoraient lorsque leur femme où petite amie conservait ses dessous et ses talons pendant qu'ils faisaient l'amour. Mais ce n'était visiblement pas le cas d'Aurélien qui se répandit dans le vagin de sa fiancée après une vingtaine d'allers et retours entre ses cuisses accueillantes. C'était évidemment très insuffisant pour satisfaire la jeune et belle plante qui ne demandait qu'à laisser libre court à la sensualité enfouie depuis trop longtemps sous ses formes épanouies.
Elle allait devoir se masturber une fois de plus pour calmer sa frustration après avoir été raccompagnée par Aurélien, car il n'était même pas foutu de la faire jouir avec ses doigts.

@-------@
Le lendemain matin, Anne arriva au magasin un quart d'heure avant l'ouverture ainsi que l'avait imposé Irène Dalembre. Linda la prit en charge et la conduisit à la réserve avant de lui en expliquer la raison.
- La cheffe a demandé que tu portes un slip moins couvrant. Je t'ai mis quelques tangas de côté. Choisis en un ou deux et va passer celui qui te plaît le plus.
La jolie blonde prit deux pièces de lingerie et se dirigea vers une cabine. En sortant, elle tomba nez à nez avec Irène.
- Bonjour ma petite, voyons un peu ce que tu as enfilé sous ta jupe lâcha la femme d'un ton péremptoire.
Docilement Anne souleva sa jupe dévoilant le tanga noir qui couvrait à peine la moitié de son popotin et dont la fine étoffe laissait deviner les poils blonds et clairsemés. L'oeil brillant, Irène glissa un doigt sous le triangle du sous vêtement ce qui fit frissonner la jolie blonde.
- Jeudi, tu demanderas à l'esthéticienne de mettre un peu d'ordre dans cette touffe, ordonna t-elle tout en poussant son index jusqu'à la naissance de la fente d'Anne dont la vulve s'humidifia aussitôt.

Irène retira son doigt en cachant sa satisfaction. La jeune femme blonde semblait fort réceptive à ses injonctions et de surcroit tout à fait étrangère à certains principes moraux qui auraient pu la dissuader de laisser libre cours à une sensualité qu'Irène avait rapidement identifiée comme particulièrement explosive.

@-------@
La première semaine d'Anne aux "Magasins Associés" se déroula sans incident notable. Elle prenait peu à peu ses marques et n'hésitait pas à faire des suggestions judicieuses aux clientes avant de les accompagner jusqu'à une cabine d'essayage.
Les femmes appréciaient sa disponibilité et sa gentillesse naturelle et les hommes étaient ravis de regarder cette belle plante blonde s'affairer essayant de lorgner qui une attache de son porte-jaretelle qui la profondeur de son décolleté.

Il était dix-neuf heures quinze ce samedi soir. Les derniers clients venaient de quitter le grand magasin.
Debout dans le bureau d'Irène Dalembre, Anne faisait face à sa cheffe. Celle ci avait souhaité la voir en cette fin de semaine pour faire un point rapide.
- Je dois reconnaître que tu t'es plutôt bien débrouillée pendant ces premiers jours de stage. Je ferai un rapport positif à Monsieur Frachon qui pense que tu as le potentiel pour devenir une excellente vendeuse.

Le compliment fit rosir Anne dont le visage se para d'un grand sourire.

- D'autre part, continua Irène comme tu es une jeune femme fort attirante, nous avons pensé qu'il serait bien que tu mettes plus en valeur tes jolies formes. Cela devrait être fort bénéfique aux affaires du magasin donc à ta carrière.

La jolie blonde haussa les sourcils.

Irène reprit son discours :- Dès le début de la semaine prochaine, Outre tes escarpins à talons aiguille que tu devras porter lors de ta prise de service lundi à quatorze heures, je te demanderai de mettre des jupes plus courtes et des décolletés plus aguichants.
La cheffe fit une petite pause pour examiner la réaction de la jolie blonde. Mais celle-ci ne trouvant rien à redire, madame Dalembre voulut tester son ascendant sur la jeune femme:- Veux tu bien te déshabiller maintenant ?

Devant l'air ahuri d'Anne, la responsable haussa le ton.
- tu ne comprends pas ce que je viens de dire! Retire toutes tes fringues à part tes bas, ton porte-jarretelle et tes chaussures. Et dépèche-toi s'il te plaît.

Anne devint toute rouge mais s'exécuta sans protester se retrouvant rapidement les seins et la minette à l'air face à Irène. Celle-ci apprécia le spectacle sans cacher sa satisfaction.
- L'esthéticienne a bien travaillé, lâcha-t-elle en se levant pour approcher d'Anne. Ta toison est beaucoup plus présentable ainsi, commenta t-elle en promenant son index sur la fente intime de la stagiaire.

- Voilà un minou bien appétissant qui ravirait de nombreux messieurs. As-tu un petit ami ? insista Irène en enfonçant le doigt entre les grandes lèvres.
Anne étouffa un petit cri avant de répondre d'une voix blanche:- Oui madame, il est mécanicien dans un grand garage automobile.
- Et comment s'appelle cet heureux garçon ? enchaîna Irène en atteignant les petites lèvres.
- Aurélien madame, il a vingt-trois ans, hoqueta Anne dont le visage avait pris une teinte écarlate.
- Madame Gisèle Delasson, la femme du patron du "Grand Garage Béarnais" est une très bonne cliente. On prétend que son mari est un fieffé coureur de jupons.
- C'est bien là que travaille Aurélien, avoua Anne d'une voix traînante alors que le majeur d'Irène avait rejoint son index dans le vagin de plus en plus mouillé de la stagiaire.

- Est-ce qu'Aurelien est un bon amant ? Les jeunes hommes sont souvent incapables de procurer du plaisir aux belles plantes de leur âge. Un mâle endurant et expérimenté serait bien plus à même de révéler la sensualité qui émane de ton corps si désirable.

Incapable de répondre, Anne avait fermé les yeux lorsqu'Irène avait commencé à faire coulisser ses doigts dans son intimité.
La respiration de la blonde devint de plus en plus forte et rapide jusqu'à ce qu'un orgasme lui coupe le souffle pendant quelques secondes.
Irène retira doucement ses doigts du conduit trempé et elle retourna s'asseoir à son bureau.
- Bien! tu peux te rhabiller maintenant. Lundi tu viendras au magasin une bonne demi-heure avant ta prise de service et je t'aiderai à trouver les tenues que tu porteras tout au long de la semaine prochaine. Tu te souviens que lorsque nous avons eu notre première entrevue, je t'ai parlé de slips fendus.

Anne acquiesça d'un signe de tête.

- À partir de lundi tu ne porteras plus que ce genre de sous-vêtements. C'est bien compris?
- Oui madame, répondit la stagiaire avec docilité avant de remettre ses vêtements.
- Très bien. Que vas tu faire de beau ce week-end ?
- je vais passer la soirée avec Aurélien madame. Mais d'abord je dois passer chez moi pour me changer car il trouve que la lingerie que je porte est vulgaire.
- Je t'interdis de faire ça! déclara la responsable sèchement. Tu ne vas pas troquer tes bas et tes porte-jarretelles contre d'affreux collants et si ton petit copain n'apprécie pas la belle lingerie, changes en! De copain pas de lingerie bien sûr.

Légèrement choquée par le ton de sa responsable, Anne termina de se rhabiller avant de saluer brièvement Irène et de se diriger vers la sortie du magasin réservée au personnel.

Une minute plus tard, madame Dalembre se rendit dans le bureau du directeur Frachon qui l'attendait enfoncé dans son grand fauteuil les cuisses écartées, nu de la taille aux pieds.
- Enfin te voilà ma bonne Irène. Je commençais à m'impatienter. Lorsque tu m'auras sucé, tu me feras un compte rendu détaillé de ton entrevue avec notre charmante stagiaire.

@-------@
Anne avait rejoint la maison où elle vivait avec sa mère. Celle-ci avait pris l'habitude de dîner sans attendre sa fille depuis que cette dernière avait commencé son stage aux "Magasins Associés".
Lorsque Danielle croisa sa fille ce soir là avant qu'elle aille rejoindre son fiancé pour passer la nuit chez lui, elle ne put que constater le changement de statut en cours chez la jolie blonde. Sa fille jusqu'alors discrète et réservée se transformait peu à peu en une belle jeune femme à la féminité assumée.

Danielle désapprouvait les tenues que s'étaient mises à porter Anne, mais comme celle-ci lui avait assuré que c'était une exigence du poste qu'elle occupait, elle n'osait pas lui faire part de sa contrariété, ne faisant pas plus de remarques sur le maquillage un peu trop voyant qu'Anne élaborait chaque matin pendant une bonne dizaine de minutes dans la salle de bains.

En fait, Danielle était tout à fait consciente des charmes voluptueux de sa fille. Elle craignait surtout que la belle plante inexpérimentée tombe dans les griffes d'un prédateur indélicat lorsqu'elle se serait lassée du jeune Aurélien. Car il était évident que ce gentil garçon allait bientôt paraître bien fade pour une fille curieuse dont la sensualité était en pleine éclosion.

Danielle savait de quoi elle parlait. Car si elle avait renoncé aux plaisirs charnels après que son amour de jeunesse l'eut abandonnée lâchement après l'avoir engrossée, elle se souvenait fort bien que ce salaud doté d'un membre viril plus qu'imposant lui avait procuré une multitude d'orgasmes pendant les quelques mois que dura leur relation.

D'ailleurs, la mère d'Anne n'avait jamais imaginé renoncer à se donner du plaisir. Et faute de pénis disponible, elle n'avait pas tardé à prendre conscience de l'usage qu'elle pouvait faire de beaux légumes bien fermes avant de les cuisiner.

@-------@

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Les magasins associés - 2/10 - Première semaine de stage
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Mysterebinr

Humiliation d'un cocu - Récit érotique publié le 15-05-2022
Chaleurs estivales - chapitre 5 - Récit érotique publié le 07-04-2022
Chaleurs estivales - chapitre 4 - Récit érotique publié le 08-03-2022
Chaleurs estivales - Chapitre 3 - Récit érotique publié le 01-03-2022
Chaleurs estivales - Chapitre 2 - Récit érotique publié le 05-02-2022
Chaleurs estivales - chapitre 1 - Récit érotique publié le 14-01-2022
Les magasins associés - 10/10 - Le triomphe de l'amour - Récit érotique publié le 12-11-2021
Les magasins associés - 9/10 - Huitième semaine de stage - Récit érotique publié le 10-11-2021
Les magasins associés - 8/10 - Septième semaine de stage - Récit érotique publié le 08-11-2021
Les magasins associés - 7/10 - Congés et prise de conscience. - Récit érotique publié le 06-11-2021