Les magasins associés - 4/10 - Troisième semaine de stage

- Par l'auteur HDS Mysterebinr -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les magasins associés - 4/10 - Troisième semaine de stage Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les magasins associés - 4/10 - Troisième semaine de stage
La troisième semaine avait commencé comme la précédente. Anne, la jeune stagiaire du département lingerie et accessoires des "Magasins Associés" avait débuté son service à quatorze heures ce lundi.
Et pour montrer à Karim, son nouveau petit copain qui l'avait defiée la veille au soir, qu'elle n'avait pas froid aux yeux ni ailleurs, la jeune stagiaire avait accepté de faire son service tout l'après midi sans porter de culotte.

Il est vrai que le week-end qu'elle avait passé en majeure partie dans le grand lit du jeune homme avait été particulièrement torride et Anne se sentait de plus en plus à l'aise avec son corps.

Karim était passé la voir alors qu'elle prenait sa pause de l'après-midi et il avait pu constater par lui-même en promenant ses mains sous la jupe de la jeune femme qu'elle ne s'était pas dégonflée et que son beau cul était libre de toute étoffe. Cette découverte fila illico une terrible gaule au fougueux magasinier. Gaule que qui ne disparut qu'après il ait emmené la jolie blonde dans un réduit du sous sol où il la baisa à la hussarde en la collant contre le mur du local.
- C'est malin, avait dit Anne après avoir pris son pied et retrouvé sa lucidité. Maintenant, ton sperme va s'écouler entre mes cuisses jusqu'à ce soir. Je vais devoir remettre un slip rapidement si je ne veux pas tacher mes bas et mes bottes.
- Ne t'en fais pas ma chérie. Je considère quand même que tu as gagné ton pari de bosser sans culotte cet après-midi, avait répondu Karim avant d'embrasser tendrement sa petite amie.

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Tous les lundis vers vingt heures, Karim allait jouer au foot avec ses potes et Anne allait donc se retrouver célibataire ce soir là. Elle en avait profité pour demander à sa mère chez qui elle était toujours domiciliée de l'attendre pour le dîner.

C'était l'occasion pour Anne de souffler un peu après une semaine très animée et elle comptait bien profiter de ces quelques moments d'intimité d'autant plus qu'elle était rarement seule et tranquille lorsqu'elle effectuait son service aux "Magasins Associés".
Il lui restait moins d'une heure à faire avant de quitter le magasin et l'activité était plutôt calme ce jour-là. C'est le moment que choisit Irène Dalembre pour la rencontrer et lui demander de la rejoindre à son bureau cinq minutes plus tard.

L'air renfrogné de la chef ne présageait rien de bon et Anne était un peu inquiète en entrant dans la pièce où l'attendait Irène, raide comme un piquet dans son siège.
- Veux-tu bien soulever ta jupe ordonna la femme d'un ton sec dès que la stagiaire fut suffisamment proche.
Anne s'exécuta sans discuter.
- C'est bien ce que je pensais. Tu ne portes pas de slip fendu, commenta Irène en découvrant une culotte bien trop sage à son goût.
- Peux-tu m'en donner la raison ?
Anne avait rougi d'un coup.
- Allez! Je t'écoute; tâche d'être convaincante.
La jolie blonde finit par avouer son escapade avec Karim. Elle crut qu'elle allait se faire engueuler copieusement mais au contraire, Irène se radoucit.
- Ça s'est passé pendant ta pause n'est ce pas ?
- Oui madame.
- Et ton petit copain ne fait pas partie de mon personnel. Donc je n'ai rien à dire sur la manière dont il gère ses heures de travail. Par conséquent, je vais oublier cette affaire. Néanmoins, pour marquer le coup, cette semaine, je te demande d'effectuer ton service sans culotte et s'il te reprend l'envie de te faire sauter avant ton heure de départ quotidienne, tu feras en sorte d'avoir des tampons hygiéniques à disposition pour éviter les fuites. C'est bien compris ?
- Oui madame... répondit Anne les yeux baissés.
- Tu peux aller terminer ton service maintenant et tu reviendras me voir demain soir à six heures et demie.
La stagiaire salua sa cheffe avant de retourner dans son rayon.

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Lorsque Anne se rendit au bureau de madame Dalembre le lendemain, elle prit garde à respecter scrupuleusement l'horaire indiqué par sa cheffe lors de leur entrevue de la veille.
- Retire ta jupe! ordonna immédiatement la responsable.
Anne obéit dévoilant une nouvelle fois son beau cul nu à Irène Dalembre.
- Parfait! Je constate que tu as bien effectué ton service ainsi que je te l'ai demandé hier. Tu peux t'asseoir maintenant.
La jeune femme posa ses fesses nues directement sur le faux cuir du siège ce qui lui procura un léger frisson au contact du tissu froid.
- Est-ce que ça te gêne de travailler sans culotte? demanda ensuite Irène sur un ton amical.
- Pas du tout, avoua Anne sans fard. Je trouve l'étoffe de ma jupe très agréable au contact de ma peau. Et j'oublie rapidement que je ne porte pas de slip quand je travaille.
- Je m'en doutais un peu et je trouve ça très bien. Si mes vendeuses pouvaient être du même avis que toi... Mais à part Linda qui porte rarement des culottes, les autres n'osent pas souvent franchir le pas.

Irène changea de sujet après une courte pause.
- Jeudi soir, tu devras rester un peu plus longtemps après ton service.
Anne se redressa pour écouter la suite.
- J'aimerais te faire essayer de nouvelles pièces de lingerie pour remplacer tes porte-jarretelles plutôt sages. Un de nos fournisseurs nous a envoyé des échantillons d'une nouvelle collection très coquine et Monsieur Frachon m'a dit qu'il souhaiterait te voir les porter... sans culotte bien sûr.
- Comment ça! s'exclama Anne dont le coeur se mit à battre plus fort. Je ne peux pas me déshabiller devant un homme que je ne connais pas.
- Allons! Ne joue pas les prudes. Il y en a plus d'un aux "Magasins Associés" qui se rince l'oeil régulièrement en matant tes cuisses, ton décolleté et depuis peu ton beau cul nu.

Anne rougit un peu plus.

- Le directeur est un gentleman qui sait se tenir et il est doté d'une queue absolument énorme qu'il sait fort bien utiliser. Parles-n avec Linda: Elle te le confirmera.
- Mais je ne suis pas intéressée et j'ai un nouveau petit ami qui n'aimerait pas que je m'exhibe devant un autre homme, bafouilla Anne en écrasant une larme au coin de son oeil.
- On verra bien. En attendant, tu seras bien présente jeudi soir pour faire les essayages dont je t'ai parlé. Je ne te le redemanderai pas une seconde fois! appuya Irène d'un ton sans réplique.
Rentre chez toi maintenant!

La jolie blonde remit sa jupe et se rendit à son vestiaire le coeur triste pour récupérer son sac et son manteau puis elle quitta le magasin oubliant qu'elle ne portait toujours pas de culotte.

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Anne devait retrouver Karim à son domicile afin de passer la nuit avec lui.
Lorsqu'il vit l'air triste de sa nouvelle chérie, le jeune homme la prit dans les bras pour la réconforter.
Après un verre de vin, Anne avait repris un peu de couleur et Karim lui proposa de retirer son top et son soutien gorge avant d'aller s'étendre sur son lit.
Karim adorait quand Anne l'attendait sur le dos jambes écartées et vulve offerte prête à se faire saillir. Et son beau corps doté de formes pleines et généreuses l'excitait encore plus dans son écrin constitué de cuissardes à talons et de bas nylon fixés à un porte-jarretelle.

Lorsque Karim apparut entièrement nu dans l'encadrement de la porte, sa belle queue fièrement dressée vers le ciel, Anne était déjà bien excitée prête à recevoir le cep noueux dans son intimité. Mais Karim s'installa entre les jambes de sa belle et se mit à lui butiner le bouton turgescent. C'était la première fois qu'Anne expérimentait ce type de caresses et après avoir joui sous les coups de langue agile de son petit ami, elle se dit une fois de plus qu'Aurélien était un bien piètre amant et qu'elle avait bien fait de le quitter.
La jolie blonde se sentit alors obligée de rendre la pareille à Karim en embouchant son dard de mais elle manquait singulièrement de pratique et le jeune homme préféra rapidement changer d'orifice pour s'orienter vers une sodomie qui ravit tout le monde et notamment Anne qui appréciait de plus en plus de se faire aléser énergiquement le fondement.
- Puis-je savoir ce qui te donnait l'air si malheureux quand tu es arrivée ? demanda Karim à sa belle après avoir tapissé ses boyaux de son foutre.

Anne révéla alors à son amant la teneur de son entrevue avec madame Dalembre.
Karim l'écouta sans l'interrompre avant de laisser échapper un sifflement de désapprobation.
- Ça ne m'étonne pas de ce gros porc de Frachon. Les filles m'ont déjà parlé de ses façons de faire et je crois qu'il y en a plus d'une qui est passée à la casserole.
- Alors qu'est ce que je devrais faire d'après toi? J'ai besoin de ce stage et puis la mère Dalembre sait que nous sortons ensemble et je ne voudrais pas que tu aies à en pâtir.
- Je t'adore! lâcha alors Karim en serrant Anne dans ses bras pour l'embrasser à pleine bouche.
Les deux amants echangèrent un long baiser et la jolie blonde attrapa la queue toute dure de Karim.
- Et bien dis donc, je ne sais pas si c'est l'idée que je mette à poil devant Frachon qui te fait de l'effet mais t'es drôlement en forme.
- C'est toi seule qui me fait de l'effet ma chérie. J'ai envie de toi.
- Moi ce qui me fait de l'effet, c'est quand tu me la mets dans le cul.
- Oui mais moi pour le moment, j'ai plutôt envie de ta petite chatte... Attends, j'ai une idée. Karim se leva pour se rendre dans la cuisine et Anne entendit l'eau couler au robinet pendant près d'une minute.
Puis le jeune homme réapparut triomphal avec une belle courgette dans la main.
- Ça c'est pour ton cul ma chérie! dit-il en exhibant le légume. Et ça c'est pour ta chatte, ajouta t-il en saisissant sa bite toute raide avec sa main libre.
- Oh! s'exclama Anne plus amusée que choquée. Tu as choisi la plus grosse du frigo ?
- Évidemment ma belle. Allez, remonte tes cuisses sur ton ventre. je vais y aller délicatement. La jolie blonde s'exécuta attrapant ses fesses à pleines mains pour les écarter et dévoiler son petit trou d'où suintait le foutre de Karim.
- Super! c'est plein de lubrifiant, lâcha l'homme en enfonçant doucement le gros bout rond du légume dans le fondement de sa maîtresse qui ne tarda pas à manifester son approbation.
- Hum, c'est bon mon chéri. Elle me fait du bien ta courgette. Elle est encore plus épaisse que ta queue.
La bite prête à éclater, Karim ne put pas se retenir plus longtemps et il planta son dard dans la chatte trempée d'Anne qui se mit rapidement à gémir ravie de se retrouver avec les deux orifices bien remplis.
Pendant plus de douze minutes, le jeune homme lima le con trempé de son amie la faisant jouir intensément à plusieurs reprises avant d'éjaculer.

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Le lendemain matin, Anne profita de sa pause pour aller s'entretenir avec Linda. Elle voulait lui faire part de l'entrevue qu'elle avait eue la veille au soir avec Irène Dalembre et connaître son avis sur la position à tenir vis à vis de la hiérarchie des "Magasins Associés".
En raison de l'affluence inhabituelle ce jour là, la vendeuse rousse ne fut pas en mesure de l'écouter mais constatant le désarroi de la jeune stagiaire, elle lui proposa de l'inviter pour le déjeuner dans une pizzeria située à proximité.
- Comme tu ne bosses pas cet après-midi, tu seras plus à l'aise pour me faire part de tes soucis, avait déclaré Linda avant d'aller s'occuper d'une cliente.
Anne était alors allée terminer sa pause à la machine à café où l'attendait Karim puis elle était retournée à son rayon.

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Après avoir bu une gorgée du verre de vin inclus dans la formule déjeuner, Linda avait sagement écouté Anne lui relater sa conversation de la veille avec Irène Dalembre.
Ne sachant trop quel conseil elle aurait pu donner à la jeune femme, la vendeuse prit le parti de lui narrer son expérience personnelle juste après que le serveur eut apporté les pizzas qu'elles avaient commandées.

- Frachon a toujours été très attiré par la chair fraîche, attaqua Linda sans fioritures. Il y a une quinzaine d'années, j'étais un peu plus âgée que toi aujourd'hui, j'ai été embauchée aux magasins associés. Et très vite le directeur des ventes, il venait juste d'obtenir le poste, s'est mis à me draguer. Pour l'anecdote et d'après la rumeur, sa promotion était largement due à une liaison qu'il aurait entretenue avec madame G. qui avec ses frères et soeurs était alors une des propriétaires des "Magasins Associés".
Il faut dire qu'a l'époque, Robert Frachon avait une autre dégaine que maintenant. Il avait encore tous ses cheveux, il faisait attention à sa ligne et son visage avenant ne déplaisait pas aux filles.
Alors comme j'étais plus ou moins célibataire à cette époque, je n'ai pas tardé à finir dans son lit.
Et là je peux te dire que ça a été la révélation. D'abord ce mec est monté comme un cheval. J'avais déjà vu pas mal de bites dans ma vie. Mais rien qui puisse approcher de près ou de loin l'engin de Frachon. En plus à l'époque, c'était une vraie bête de sexe - il s'est pas mal calmé depuis d'après ce qu'on m'a dit-. Toujours est-il qu'il y quinze ans, il pouvait tirer trois ou quatre coups de suite sans débander et te limer vingt minutes sans s'arrêter. Au début c'était pas évident de baiser avec un étalon pareil, mais rapidement je suis devenue complètement accro à sa grosse queue. Notre relation a duré plus de trois ans. Puis alors que j'approchais de la trentaine, Frachon a estimé que j'étais trop vieille et il en a trouvé une plus jeune pour me remplacer. Le problème c'est qu'en trois ans, il m'avait sacrément élargi les orifices et mes petits copains qui ont suivi avaient un peu l'impression de nager quand on baisait.

Anne n'avait pas pipé mot, écoutant religieusement Linda lui raconter son aventure avec le directeur. La jolie blonde était toute rouge et sa chatte ruisselante. Heureusement qu'elle avait pensé à remettre une culotte en quittant les "Magasins Associés" car sinon la banquette aurait été trempée.
- Et bien dis donc! avait alors déclaré Linda en constatant que la pizza d'Anne était pratiquement intacte. J'espère que je ne t'ai pas coupé l'appétit en te racontant mon histoire.
- Non non! Rassure toi! avait lâché Anne, je n'ai pas très faim, c'est tout. Je trouve aussi que Frachon a été dégueulasse de te larguer comme ça du jour au lendemain.
- Que veux tu ! Ça devait arriver un jour ou l'autre. Un coq dans son genre avec le paquet qu'il a entre les cuisses n'a pas de mal à se trouver des jolies poulettes toutes heureuses de se faire ramoner par son engin. Sans parler des vieilles poules en manque qui n'attendent que ça. Il m'a fait prendre un pied d'enfer pendant trois ans. Je ne vais pas le regretter.

Les deux femmes se séparèrent peu après car il était l'heure pour Linda d'aller rejoindre son poste.

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Anne flâna dans les rues avant de rejoindre sa maison. Sa mère n'allait pas rentrer avant dix-sept heures et la jolie blonde avait donc pas loin de trois heures à occuper avant son retour.
Elle commença d'abord par prendre une bonne douche. Et comme les révélations de Linda l'avaient bien excitée, elle passa un petit moment sous l'eau chaude à se caresser et à se masturber avec le pommeau de douche jusqu'à ce qu'elle prenne son pied.
Ensuite elle fit quelques essayages dans l'idée de faire un peu de tri dans ses vêtements avant de s'installer à son bureau pour bosser sur son rapport de stage. Mais elle avait du mal à se concentrer. Son esprit était toujours accaparé par le rendez-vous du lendemain avec madame Dalembre et le directeur Frachon.
Elle espérait que Karim qu'elle avait prévu de retrouver après le dîner pourrait l'aider ou au moins la réconforter au lieu de lui fourrer un gros légume dans le cul avant de la sauter comme il l'avait fait la veille.
Ce n'est pas qu'Anne avait trouvé l'initiative déplaisante, bien au contraire, mais in fine assez peu constructive pour l'aider à identifier le comportement adéquat à tenir lors de ce rendez-vous qui s'annonçait pour le moins border line.

Vers vingt heures, lorsqu'elle frappa à la porte de son petit ami, Anne avait momentanément oublié l'objet de ses tourments. Elle avait une furieuse envie de baiser tout comme Karim qui lui laissa à peine le temps de retirer sa jupe et son chemisier avant de lui sauter dessus. Comme la jolie blonde n'avait pas jugé utile de porter un slip et un soutien gorge pour se rendre chez son amant, les deux tourtereaux ne perdirent guère de temps en préliminaires et Anne se retrouva très vite allongée sur le lit couvert par Karim dont la queue lui pilonnait la chatte. L'orgasme ne tarda pas à emporter les deux jeunes gens particulièrement excités ce soir là.
- Et bien ma chérie, tu es chaude comme la braise ce soir! lâcha Karim après avoir embrassé sa petite amie. C'est ton rencard de demain qui te met dans cet état ?

La jolie blonde fit la moue.
- Justement, ça m'inquiète pas mal.
- ne t'en fais pas ma belle. Tu as un corps magnifique dont tu peux être fière. Et j'ai bien vu que tu appréciais que les hommes te matent. Alors si ce vieux cochon de Frachon a envie de te voir en dessous coquins, fais lui ce plaisir.
- Et s'il me demande de me balader devant lui sans culotte ?
- Tous mes collègues savent que tu bosses sans culotte depuis la semaine dernière. Et je leur ai même dit que c'était à cause d'un pari entre toi et moi.
- Oh! quel salaud! Lâcha Anne mi outrée mi amusée. Et tu leur racontes quoi d'autre à tes collègues ?
- Rien d'important rassure toi. Je leur dirai jamais que tu as adoré que je t'enfile une courgette dans le cul.
- Trop sympa! Lâcha Anne légèrement vexée.
- Allons ne fais pas cette tête. J'ai une surprise pour toi ce soir.
Karim plongea alors sa main sous l'oreiller et en extirpa une belle aubergine bien brillante.
- Ça te tente ma chérie ?
- Tu as vu le diamètre de ce truc ? T'es pas un peu maboule!
- Oh, ne monte pas sur tes grands chevaux. Je suis sûr que ce truc comme tu dis te fera le plus grand bien.
Karim joignit le geste à la parole et posa le bout arrondi du légume sur la vulve d'Anne avant de le faire glisser sur la fente luisante de foutre.
Anne ferma les yeux et laissa son amant jouer avec l'aubergine pour titiller son clitoris turgescent ou faire mine de l'enfoncer à l'entrée de son vagin. Ce petit jeu excitait énormément Karim qui bandait comme un cerf en baladant le légume sur le pubis de sa petite amie. N'y tenant plus celle ci finit par supplier Karim de l'enculer sur le champ.
Finalement les caresses de son ami lui avaient bien échauffé les sens et si elle ne sentait pas prête à accueillir l'aubergine dans son fondement, elle était tout à fait partante pour que son petit ami lui bourre le cul avec sa belle queue épaisse.

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Roger Frachon était enfoncé dans le profond fauteuil de son bureau. Devant lui, Anne la jeune stagiaire du rayon lingerie se tenait debout, la foufoune à l'air seulement vêtue d'une guépière rouge et noire sans bonnets, de bas coutures et de bottines à talons aiguille.

La séance d'essayage avait mis du temps à démarrer, mais après deux verres de vin, la jeune femme avait fini par se déshiniber acceptant de se dévêtir complètement avant de passer les bas à couture en nylon et les bottines à talons aiguilles qu'elle allait porter tout au long de la soirée avec les diverses pièces de lingerie sélectionnées par Frachon lui même pour le petit défilé préparé par Irène Dalembre, sa plus fidèle collaboratrice.

Le directeur des ventes n'avait pas attendu très longtemps avant d'extirper son énorme braquemart sous les yeux d'Anne, sidérée à la fois par le geste du directeur et par l'incroyable grosseur de son engin.
Irène avait alors pris un ton péremptoire pour s'adresser à sa stagiaire.
- Lorsque tu auras montré tous les modèles à Monsieur le directeur, tu iras t'accroupir à ses genoux et tu le suceras.
- Mais... Anne voulut protester- Tu n'as pas compris ce que j'ai dit ! La phrase claqua comme un coup de fusil.
- Si Madame... articula Anne qui était devenue couleur pivoine.
- Bien. On peut donc passer au modèle suivant.

Pendant toute la durée de la séance, Roger tripota machinalement sa bite de cheval en se régalant du spectacle offert par sa jolie et plantureuse employée.
Mise à part une tentative récente et peu aboutie avec son petit ami du moment, Anne n'avait jamais sucé d'homme jusque là. Si l'injonction de sa cheffe l'avait d'abord contrariée, elle n'avait pu s'empêcher de mouiller abondamment en s'exhibant la foufoune à l'air devant ce gros homme libidineux doté d'un sexe gigantesque. Elle se demandait néanmoins comment elle allait pouvoir emboucher un engin aussi volumineux qui avait à peine commencé à se déployer grâce à l'afflux de sang qui remplissait peu à peu ce gros corps caverneux.

Irène Dalembre estimait avoir mené à bien la mission que lui avait confiée son chef depuis qu'il avait fait la connaissance de la jolie stagiaire blonde. Il est vrai que le détachement naturel d'Anne vis à vis des règles morales définissant le comportement honorable de toute jeune femme avait bien aidé la responsable.
Après trois semaines de stage aux "Magasins Associés", la nouvelle recrue était toute dévouée à Irène et discutait rarement ses ordres acceptant sans trop se poser de questions ses propositions les plus inconvenantes. Anne avait avec le sexe un rapport certes naissant mais réellement dénué d'arrière pensée.
Et avec un corps comme le sien, nul doute que la liste de ses amants allait s'allonger très vite.

Fortement impressionnée par l'énorme mentule, Anne alla s'agenouiller entre les cuisses du responsable puis attrapa le morceau de chair afin de le branler. Le contact de ce gros engin qu'elle ne pouvait entourer avec ses doigts la troublait énormément. Il était au moins deux fois plus gros que le sexe d'Aurélien, son ex fiancé avec qui elle avait rompu une dizaine de jours plus tôt. Le chibre était aussi plus long et épais que le membre de Robert, le quadragénaire pourtant bien pourvu, qui l'avait sautée un soir dans sa luxueuse voiture. Et de fait bien plus imposant que la queue de Karim qui avait tout récemment pris la place d'Aurélien dans le coeur de la jolie blonde.
- Allez ma petite! ordonna Irène, montre à Monsieur Frachon ce que tu sais faire avec ta bouche.

Maladroitement, Anne approcha ses lèvres du gland turgescent s'arrêtant au contact du méat, légèrement indisposée par la forte odeur d'urine du membre viril. Le directeur impatient saisit la tête de la stagiaire qu'il tira sèchement vers lui pour la forcer à l'emboucher. La jeune femme faisait de son mieux mais son inexpérience évidente contraria Frachon.
- Bon sang! Irène, cette petite ne sait pas sucer. Il va falloir que vos filles fassent son éducation. Je vous rappelle que nos ventes très privées ont lieu dans moins de deux mois. Puis s'adressant à Anne d'un ton impérieux : lève toi et viens t'empaler sur ma queue. J'espère que ta chatte est plus accueillante que ta bouche.

Le visage écarlate, la stagiaire se redressa et vint enjamber son chef qui l'attrapa par les hanches.
- Chope mon braquemart et glisse le dans ta fente.
Une fois positionné, Frachon força la jeune femme à coulisser sur son pieu. Anne ne put retenir un cri de douleur alors que le tenon écartelait ses chairs.
- Putain! Ce que tu es étroite ma jolie, s'exclama le chef.
La jeune femme souffrait. Elle avait l'impression de perdre sa virginité pour la seconde fois mais une sensation délicieuse commençait à se diffuser dans son bassin tandis que la mentule la remplissait inexorablement.
Elle poussa un cri lorsque l'énorme gland percuta sa matrice. Frachon fixa la jeune femme avec un air dominateur sûr de sa puissance puis il se mit à la faire aller et venir sur sa hampe soulevant la belle plante avec une aisance incroyable pour un homme de son gabarit. Peu à peu le fourreau intime s'adaptait au calibre qui l'emplissait.
Anne ne pouvait retenir les gémissements qui témoignaient du plaisir que lui procurait Frachon. Et elle se cabra submergée par un formidable orgasme lorsque la sève de son amant inonda son ventre.
Le directeur considéra la stagiaire avec un air satisfait. Il avait ajouté une nouvelle ligne à la longue liste des femelles qu'il avait possédé et fait jouir. Et il se disait qu'il allait profiter de cette jolie plante blonde à sa guise pendant un bon bout de temps.

Lorsque Anne eut quitté le bureau directorial après s'être rhabillée avant de rentrer chez elle, Frachon s'adressa à son adjointe qui avait assisté en silence au coït.
- Ma chère Irène, cette petite ingénue est une vraie perle que j'ai bien l'intention d'enfiler aussi souvent qu'il me plaira. Je compte sur toi pour en faire une bonne courtisane capable de me faire jouir dans tous ses orifices.
Disant cela, le directeur saisit sa queue et commença à s'astiquer. Lorsque le mandrin monstrueux fut gorgé de sang, Irène avait retiré sa longue jupe pour venir positionner son anus bien élargi sur la poutre dressée vers le ciel attendant les yeux clos et le coeur battant que Roger l'encule sans autre forme de procès.

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Le lendemain, Linda fut convoquée par Irène qui lui fit part de la rencontre d'Anne avec le directeur des ventes.
Une dizaine d'années plus tôt, Linda avait été la favorite de Frachon qui la baisait alors pratiquement tous les jours lui remplissant également tous les orifices à plusieurs reprises quand il lui en prenait l'envie. De cette époque, Linda avait conservé les orifices bien élargis et seuls les mâles extrêmement bien montés comme Miguel son compagnon, Mustafa le meilleur pote de Miguel ou quelques étalons africains étaient en capacité de la satisfaire.
- Notre petite stagiaire est infoutue de sucer une grosse queue ma chère, avait déclaré Irène à Linda. Je compte sur toi pour apprendre à cette gourgandine l'art de la fellation.

Lorsque la femme rousse l'emmena chez elle le samedi après sa journée de travail, la stagiaire avait préalablement été avertie qu'elle devrait passer la fin du week-end avec elle et Miguel, son petit ami.
- Est-ce que toutes les filles ont dû coucher avec Monsieur Frachon? avait demandé Anne ingénuement pendant que Linda la conduisait dans sa maison située en périphérie de Pau au volant de son 4x4.
- Qu'est-ce que tu crois ma jolie, depuis vingt ans aucune femme n'obtient de CDI aux "Magasins Associés" si Roger Frachon n'a pas donné son aval. Celle qui refuse ses avances ne passe pas la période d'essai.
- Je t'ai fait part de mon expérience personnelle l'autre jour. Mais ce queutard a aussi sauté toutes les autres filles du service, même la mère Lemaire qui va partir en retraite dans quelques mois et qui était donc déjà embauchée lors de l'arrivée de Roger dans la boîte il y a vingt-cinq ans.
Mais elle n'a pas su résister quand il l'a draguée quelques semaines après avoir intégré l'entreprise. Il faut dire que lorsqu'il était jeune, il était beaucoup plus mince et plutôt beau gosse. Donc la Martine, elle s'est sentie flattée quand il lui a fait du gringue et elle a tout de suite apprécié le bazooka qu'il lui a collé entre les cuisses plusieurs fois par semaine pendant quelques années.

- Tu avais prévu de sortir avec Karim? avait demandé Linda à sa stagiaire.
- Plus ou moins. Mais je lui ai dit que je ne serais pas disponible car tu m'invitais dans ta maison jusqu'à dimanche soir.
- T'es une petite futée toi. T'as même pas eu besoin de lui mentir.

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Une fois dans le pavillon de Linda, Anne rencontra Miguel le compagnon de la vendeuse. Il jouait à la console Nintendo installé dans le canapé du salon. Le type particulièrement velu était agé d'une quarantaine d'années. Il n'avait pas pris la peine de se raser et de s'habiller depuis qu'il s'était levé vers midi trente et il se livrait à son activité favorite en caleçon et maillot de corps. Une demi-douzaine de bouteilles de bière vides était posée sur la table du séjour. Miguel lâcha un sifflement d'admiration en découvrant Anne.
- C'est qui cette jolie petite pouliche que tu nous amènes là? demanda t-il à Linda avant de se lever.
- C'est Anne notre nouvelle stagiaire. La mère Dalembre m'a demandé de la déniaiser un peu. Il paraît qu'elle suce comme une potiche et qu'elle a besoin qu'on lui élargisse les orifices.

La réponse de Linda fit rougir Anne.

Miguel souleva alors la jupe de la jolie blonde dévoilant son slip tanga fendu et le haut dénudé de ses cuisses.
- Ouais joli petit lot! lâcha t-il satisfait en dégrafant la jupe et en l'envoyant sur un fauteuil.
- Je vais proposer à Mustafa de venir nous voir demain. Il va m'aider à s'occuper des trous de cette jouvencelle déclara-t-il en s'adressant à sa maîtresse avant d'ajouter à l'attention d'Anne :- Voyons si t'es si nulle que ça ajouta l'homme. Tu vas d'abord retirer ton haut pour que je puisse mater à loisir ta belle paire de loches.
Anne s'exécuta en rougissant à nouveau. Miguel poussa un sifflement en découvrant les gros seins fermes aux tétons gorgés de sang puis il appuya sur la tête de la jeune femme pour la forcer à s'accroupir à ses pieds.
- Tu vas sortir ma grosse bite de mon caleçon et tu vas me sucer bien gentiment.

Anne s'exécuta avec fébrilité curieuse de découvrir une nouvelle queue différente de celles qu'elle avait accueilli entre ses cuisses depuis qu'elle avait officiellement commencé son stage. La longue tige épaisse était légèrement courbée vers la gauche et surmontée d'un énorme gland violacé que la jolie blonde eut quelque mal à emboucher.

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Constatant l'incapacité d'Anne à exécuter les caresses buccales en accord avec le braquemart imposant qui palpitait dans ses mains, Linda décida de faire une démonstration à sa stagiaire.
Riche de sa longue expérience dans l'art de la fellation, la rousse montra tout son savoir-faire à Anne qui assista studieusement à la leçon prodiguée tout en mouillant abondamment.
Il s'avéra que la jolie blonde avait un certain don car une fois les erreurs de débutante corrigées, elle réussit assez rapidement à faire gicler Miguel dans sa bouche se délectant de son foutre goûteux qu'elle avala jusqu'à la dernière goutte.
- Putain ! S'exclama le mâle ravi, j'ai l'impression que cette petite aime la bite! Pas vrai ma jolie?

Anne rosit sous le compliment ce qui fit rigoler le mâle mais il est vrai que sa prestation l'avait bien excitée et elle avait très envie de sentir une grosse queue entre ses cuisses. Miguel s'en rendit compte et il lui demanda de se mettre à quatre pattes pour la baiser en levrette, une position qu'elle avait eu l'occasion d'expérimenter depuis qu'elle sortait avec Karim. Et qu'elle trouva encore plus agréable après les deux orgasmes procurés par le gros engin qui la fouilla énergiquement pendant près d'un quart d'heure avant de libérer son jus dans le con accueillant.

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Le compagnon de Linda venait de juter pour la troisième fois en une heure et il était momentanément hors service.
En revanche, Anne en plein apprentissage des plaisirs de la chair était loin d'être rassasiée et Linda excitée par le spectacle de son mâle besognant sa stagiaire s'en rendit compte. Elle décida donc de la convier dans son lit pour une partie de broute minou qui se poursuivit jusqu'à ce que Miguel se plaigne d'avoir la dalle.

À son réveil le lendemain, Miguel avait enculé la jolie blonde avant d'aller se servir un café à la cuisine. Une fois seules dans le lit, les deux femmes reprirent leurs petits jeux lesbiens.
C'est le moment que choisit Mustafa pour se pointer dans la maison. Après avoir salué son pote qui sirotait son café devant la télévision, il se dirigea vers la chambre de la propriétaire.
En découvrant le mignon petit oeillet de la belle poupée blonde qui lapait avec délice le sucre d'orge de Linda, Mustafa ne put empêcher son mandrin de se dresser comme un ressort.
- Salut les filles, lâcha l'homme trappu et frisé. Il était temps que j'arrive. Vous avez complètement asséché les couilles de mon pote d'après ce qu'il m'a dit.

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Lorsque le gros gland circoncis de Mustapha franchit la barrière élastique de son sphincter pour s'enfoncer à moitié dans son fondement, Anne trouva la sensation délicieuse. Elle connaissait l'extrême sensibilité de son conduit anal pour y avoir introduit à plusieurs reprises des carottes ou des courgettes de taille moyenne et depuis peu le sexe épais de Karim, son nouveau petit copain mais elle n'avait jamais imaginé le plaisir que pourrait lui procurer une queue aussi imposante que celle du copain de Miguel une fois plantée dans son cul.

Décidément Anne se découvrait de plus en plus de goût pour la pénétration anale et elle essaya de s'imaginer ce qu'elle pourrait ressentir si jamais il lui arrivait de se faire enculer par Frachon le directeur des ventes des "Magasins Associés".

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Texte coquin : Les magasins associés - 4/10 - Troisième semaine de stage
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