Les magasins associés - 5/10 - Quatrième semaine de stage
Récit érotique écrit par Mysterebinr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les magasins associés - 5/10 - Quatrième semaine de stage
La responsable du rayon lingerie des "Magasins associés" avait demandé à Anne de de venir à son bureau à treize heures le lundi suivant, premier jour de sa quatrième semaine de stage aux magasins associés.
- Bonjour ma petite. J'espère que ton week-end a été instructif et que tu en as profité pour améliorer certaines de tes techniques.
Irène fixa la jolie blonde de son regard inquisiteur avant de continuer.
- Monsieur Frachon a mis beaucoup d'espoir en toi et il n'apprécierait guère que tu le déçoives.
- Bien sûr madame, répondit Anne d'une voix humble.
- Bon ! Tu vas donc retirer ta jupe et ton chemisier avant d'aller rendre visite au directeur. Il t'attend dans son bureau et il a hâte de vérifier tes progrès.
La stagiaire s'exécuta et se retrouva en slip fendu et soutien gorge toujours juchée sur ses cuissardes.
Irène esquissa une grimace.
- je pensais que tu avais compris que tu ne devais plus porter de culotte dorénavant pendant ton service. Enlève moi ça immédiatement! Ensuite tu iras frapper à la petite porte à côté de l'armoire. Elle communique directement avec le bureau du directeur.
La jolie blonde retira son slip avant de se diriger vers la porte indiquée- Entre! ordonna l'homme après avoir entendu Anne frapper. Tu verrouilleras la porte derrière toi.
Anne salua le directeur après avoir refermé. Il était entièrement nu et son système pileux digne d'un orang outan impressionna autant la jeune femme que le sexe monstrueux qui pendait jusqu'à mi cuisse.
- Approche ma belle que je te vois mieux. Et enlève moi ce soutien gorge. Je t'ai déjà dit qu'avec la paire de nichons que tu trimballes, c'était tout à fait superflu.
Anne retira son sous vêtement et avança jusqu'à ce que Roger puisse la toucher.
Le directeur glissa son gros index boudiné dans la fente déjà bien humide de la jolie blonde.
- J'espère que cette belle chatte a eu droit à sa ration de grosses saucisses pendant tout le week-end. Raconte-moi un peu: qui s'est occupé de tes jolis trous de jeune salope ?
l'expression choqua Anne mais elle répondit néanmoins à la question.
- Miguel, le petit ami de Linda et aussi son copain Mustafa, Monsieur.
- Il paraît que le copain de linda est très bien monté. J'espère qu'il t'a bien alésé la chatte et le cul. Et son pote Mustafa, il en a une aussi grosse ?
- Oui Monsieur mais moins que la vôtre- hé hé! Bien sûr, lâcha Frachon. J'espère au moins que tu as eu droit à une double pénétration ce week-end. J'avais bien insisté auprès de Linda pour qu'elle ne te laisse pas partir avant. Allez dis moi tout petite cochonne! Tu as aimé accueillir en même temps une grosse queue dans ton cul et une autre dans ta moule.
- Oui Monsieur, avoua Anne en baissant les yeux; Mustafa était étendu sur le dos. Il m'a demandé de me coucher sur lui pour qu'il puisse me sodomiser. Ensuite Miguel s'est allongé sur moi et il a enfoncé son gros sexe dans ma chatte pour me baiser. Après ils se sont mis à me bourrer les deux trous en même temps à coups de bite.
Je ne me souviens plus vraiment ce qui s'est passé à ce moment là mais il m'ont dit que je n'ai pas arrêté de crier que ce qu'ils me faisaient était trop bon. C'est vrai que j'ai joui plusieurs fois avant que je sente leur sperme s'écouler en moi.
- Bon sang, j'aurais bien aimé les voir te défoncer. Ils ont dû être ravis de tomber sur une nana aussi chaude que toi.
Anne baissa les yeux en sentant le rouge monter à ses joues.
Et la mienne, tu veux que je la fourre où en premier ? Dans ta chatte de pute ou dans ton cul de chienne ?
Face à cet afflux d'insultes, Anne fut sincèrement choquée. Mais Frachon avait perdu toute retenue. Seul lui importait le plaisir qu'il allait éprouver en possédant le corps voluptueux de la jeune beauté blonde.
- Tu réponds rien ma jolie ? Mets toi à quatre pattes. Je vais commencer par te défoncer le fion. Je suis sûr que tu vas adorer.
Malgré le ton humiliant, la jeune stagiaire s'exécuta attendant que Frachon vienne s'agenouiller derrière elle et lui plante d'un coup son pieu tout raide dans le cul. Anne laissa échapper un cri de douleur mais le directeur n'en eut cure et il se mit à la limer comme un fauve en rut. Pendant plusieurs minutes, elle dut faire un effort pour ne pas pleurer tant la douleur était intense. Puis peu à peu, ses boyaux s'adaptèrent au tenon qui l'écartelait et ses grimaces firent place à des gémissements de plus en plus lascifs.
- J'étais sûr que t'allais adoré que je démonte le fondement petite pute. Dis le que tu aimes ça.
- Oh Ouiiii! c'est bon ! Elle est bonne votre grosse queue! avoua Anne gagnée par un plaisir de plus en plus prégnant.
- Dis le que tu es une bonne salope! gueula Frachon déchaîné.
- Ouiiii! je suis votre salooooope! hurla Anne juste avant qu'un orgasme incroyable la laisse à moitié inconsciente sur la moquette. La bite du directeur n'en finissait pas de tressauter et Anne crut qu'il n'arréterait jamais de se vider dans son fondement.
- Putain! Qu'est ce que je t'ai mis! s'exclama Frachon après avoir repris son souffle. Ça fait longtemps que j'avais pas tiré une nympho comme toi. Tu vas bien me sucer maintenant et quand ma queue sera bien dure je m'occuperai de ton dernier trou. Comme ça il n'y aura pas de jaloux! s'esclaffa le directeur des ventes.
Faisant fi de son anus tout irrité, la jeune beauté blonde s'appliqua à rendre de la vigueur à la bite énorme du directeur. Sa technique s'était bien améliorée lors du week-end passé dans la maison de Linda. Et bien vite le mandrin devint si gros qu'Anne eut quelque mal à le garder en bouche.
- Putain! tu apprends vite toi! lâcha Frachon impressionné malgré lui par le savoir faire récent de la stagiaire.
- Remets toi à quatre pattes maintenant, il est temps que je te remplisse la chatte.
Anne se fit démonter pendant de longues minutes par Roger qui avait l'impression d'avoir rajeuni de dix ans alors que sa jeune maîtresse ne pouvait se retenir de crier de plaisir. La blonde sensuelle se raidit d'un coup lorsqu'un fabuleux orgasme s'empara de son corps balloté en tous sens par la poutre qui lui martelait le con.
Un flot de foutre se répandit en elle et elle s'écroula sur le sol de la pièce complètement vidée par cette séance de sexe absolument démente.
Après deux longues minutes, Anne finit par émerger avant de se relever avec difficulté. Roger avait déjà retrouvé son bureau.
- La vache, tu m'as pompé tout mon jus. J'ai les roustons comme des raisins de Corinthe. Tire toi maintenant. Il ne faudrait pas que tu sois en retard pour débuter ton service.
Alors qu'Anne choquée par le ton de son chef allait récupérer son soutien gorge, il l'apostropha: - à partir d'aujourd'hui, tu éviteras de porter ce type de sous-vêtement au magasin. Je veux pouvoir accéder à tes nichons et à ton cul aussi souvent qu'il me plaira. Madame Dalembre te rendra ton soutien-gorge plus tard et dépêche toi d'aller bosser! aboya Frachon alors qu'Anne traînait un peu pour s'en aller.
La stagiaire retrouvait peu à peu sa lucidité et elle prenait conscience de la toxicité de l'homme qui venait de lui procurer tant de plaisir. Et ce malaise s'accentua lorsque, en se rhabillant dans le bureau d'Irène, la stagiaire remarqua le sourire en coin de la responsable qui n'avait rien raté des propos échangés avec le directeur pendant leur séance de baise.
"Je suis sûre que cette vieille salope s'est branlée pendant tout le temps que j'ai passé à côté" pensa la jolie blonde avant de quitter la pièce sans un mot.
Ce comportement surprit quelque peu Irène qui se dit alors qu'il allait falloir calmer le jeu si Frachon et elle voulaient continuer à profiter des charmes de la jeune femme jusqu'à la fin de son stage.
C'est d'ailleurs ce qu'elle s'empressa d'expliquer à son directeur après qu'il ait remis son costard élimé avant de rejoindre sa collaboratrice dans son Bureau.
- Je te fais confiance ma chère Irène. Même si cette jolie salope est un véritable élixir de jouvence, j'éviterai de trop lui en demander. Et ce soir c'est donc ton cul qui profitera de l'énergie qu'elle m'a transmise.
La cheffe réprima un frisson. Roger allait sans aucun doute lui procurer énormément de plaisir en l'enculant mais elle n'allait pas couper à une bonne crise d'hémorroïdes dans les jours à venir.
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En quittant le magasin à la fin de son service, Anne était plutôt contente de ne pas devoir passer la nuit chez son petit ami Karim, parti jouer au foot avec ses copains une bonne partie de la soirée. En effet ses orifices étaient encore bien irrités après la partie de baise nolimit qu'elle avait partagée quelques heures plus tôt avec le directeur des ventes des "Magasins Associés" et elle estimait qu'il était préférable de ne pas remettre le couvert le jour même.
Elle se demandait aussi ce qu'elle allait pouvoir raconter à son petit ami lorsqu'il lui reparlerait de sa séance d'essayage du jeudi précédent.
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Le début de matinée avait été très calme. Anne se préparait à prendre sa pause lorsqu'elle vit un homme brun et moustachu se diriger vers elle. Le type était vêtu d'un costume beige et de chaussures en daim. Il portait une chemise rouge largement ouverte sur un torse fort velu où il arborait une plaque en or fixée à une épaisse chaîne de même métal.
- Bonjour Mademoiselle, lâcha l'homme en examinant en détail la tenue et la plastique de la jolie blonde.
- Bonjour Monsieur, répondit poliment Anne quelque peu indisposée par le regard sans gêne du type.
- Je voudrais acheter de la lingerie pour une de mes amies qui a, je pense, les mêmes mensurations que toi. J'aimerais bien que tu me conseilles et si possible que tu essaies devant moi les articles que j'aurai sélectionnés.
Le tutoiement et la proposition déstabilisèrent légèrement la stagiaire qui se mit à rosir.
- Je n'ai pas le droit de faire ce genre de choses pour les clients Monsieur. C'est contraire au règlement.
- Allons, tu vas bien faire une exception pour moi. Je ne suis pas n'importe quel client.
Anne était de moins en moins à l'aise et ne voyait pas comment se sortir de cette situation.
Heureusement, Linda qui venait d'en finir avec une quinquagénaire qui lui avait acheté deux soutien-gorges se rendit compte que quelque chose clochait et elle s'approcha de sa protégée.
- Tout va bien Anne?
- Monsieur ici présent voudrait que j'essaie des modèles de lingerie pour les offrir à une de ses amies. J'aimerais lui faire comprendre que ce n'est pas possible.
Linda salua l'homme avant de confirmer :- Ma collègue a raison, nous ne sommes pas autorisées à ...
La vendeuse s'interrompit soudainement après avoir reconnu Dick Londar, alias "Mister trente cm" la vedette du porno bien connu de tous les aficionados pour ses scènes d'anthologie avec sa fiancée et partenaire, Jennifer Latrick.
Richard Longequeue, le véritable nom de l'acteur, était un enfant du pays né à Pau trente-neuf ans plus tôt. Très jeune, il avait rêvé de faire du cinéma mais son jeu de scène médiocre ne lui apporta que des déconvenues jusqu'à ce que la secrétaire d'un producteur spécialisé dans les navets érotico-comiques remarque la partie la plus développée de son anatomie.
Après une nuit particulièrement éreintante passée à se faire démonter les orifices par le fougueux Richard, la femme avait parlé des performances de son amant à son patron qui révisa aussitôt son jugement sur l'acteur et lui proposa peu de temps après le rôle principal dans un film sobrement intitulé "Vacances Suédoises pour le Taureau du Béarn".
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Anne n'avait vu que deux films pornographiques dans sa vie. La première fois, elle se trouvait chez une copine qui avait profité de l'absence de ses parents pour l'inviter à dormir. Les deux filles avaient patiemment attendu minuit pour allumer le décodeur Canal plus et regarder la production lesbienne proposée ce jour là. Anne se souvenait très bien qu'elles avaient bien mouillé en matant le film et elles avaient fini la nuit en s'embrassant et en se caressant mutuellement.
La seconde fois eut lieu chez un copain d'Aurélien qui possédait un magnétoscope et qui pour fêter ses vingt-deux ans avait décidé de louer une cassette porno au vidéo club du coin. Malheureusement pour sa culture cinématographique, Anne qui avait un peu abusé du Champagne s'endormit avant la première scène d'action.
Linda reprit la phrase interrompue.
- En effet, nous ne sommes en principe pas autorisées à faire des essayages pour nos clients. Néanmoins, je peux demander l'avis de notre responsable si vous le souhaitez.
- C'est ça ! Allez demander l'avis du responsable. Je ne suis pas pressé. Je suis en vacances.
La réponse de Linda sidéra Anne qui ne savait plus où se mettre.
Richard s'adressa alors à elle.
- C'est la première fois que je te vois ici ma belle. C'est vrai que je viens rarement mais un petit lot comme toi, je l'aurais forcément repéré. Ça fait longtemps que tu bosses ici ?
- Un peu moins d'un mois, parvint à articuler la jolie blonde.
- Je comprends mieux. Ça fait au moins deux ans que je ne suis pas passé.
À ce moment-là, Anne vit revenir Linda en compagnie d'Irène Dalembre.
La cheffe salua l'homme:- Ma vendeuse m'a fait part de votre requête. Je pense que nous devrions pouvoir y répondre favorablement.
Je vais aller m'entretenir avec mon employée si vous le voulez bien et elle vous rejoindra très vite.
- Je vous en prie. Prenez votre temps. Comme je l'ai dit à cette charmante personne, je suis en vacances ici pour une petite semaine.
Une fois la porte de son bureau fermée, Irène s'adressa à la stagiaire.
- Monsieur Longequeue est un acteur de cinéma reconnu et nous sommes honorés de l'accueillir à notre magasin. Tu feras donc les essayages qu'il te demande.
- Bien madame. Mais il faut d'abord que j'aille remettre une culotte. Je n'en mets plus depuis que vous l'avez exigé.
- Pas la peine. Tu n'en porteras que si le client te le demande. Ce sera plus pratique pour les essayages.
Anne rougit violemment.
- Mais...
- Inutile de discuter, le client est roi. On a dû t'apprendre ça à ton école.
La jeune femme quitta donc le bureau la tête basse pour rejoindre Richard.
- Ma responsable m'a demandé de vous présenter les modèles susceptibles de vous intéresser. Une fois que vous aurez fait votre choix, j'irai avec vous dans notre vestiaire et je me changerai dans la cabine réservée au personnel.
Anne espérait que l'homme lui demanderait d'essayer des parures avec slips car elle n'avait pas très envie de s'exhiber devant lui la foufoune à l'air.
- Jennifer mon amie est en tournage actuellement. Et j'aimerais lui offrir une jolie guépière pour nos retrouvailles. Qu'as tu de beau à me montrer à part ton joli cul?
La question fit rougir Anne.
- Calme toi ma belle. Je te chambre un peu pour te décontracter. Je te trouve un peu tendue.
Je sais que dans ce magasin vous avez beaucoup de modèles plutôt coquins et j'aimerais que les bonnets de la partie soutien gorge soient amovibles. Ça te parle ?
Anne retrouva vite ses réflexes professionnels.
- Vous avez de la chance. On a reçu récemment une nouvelle collection qui devrait vous plaire. Quel type de slip souhaitez-vous pour accompagner la guépière ? String ? Tanga ? Culotte à froufrou ?
- Rien du tout ma jolie. Jennifer n'en porte jamais.
Anne accusa le coup.
- Très bien... Si vous voulez bien m'attendre.
- Ne t'en fais pas. Je risque pas de me barrer. J'ai trop envie de te voir porter la lingerie que je vais choisir.
Anne se dirigea alors vers la réserve pour prendre trois modèles de guépières à sa taille puis elle revint vers son client et lui fit signe de la suivre.
- Inutile de fermer le rideau pour te changer ma jolie. Comme ça je verrai si les fringues que tu as apportées sont faciles à enfiler et à défaire.
Anne se devêtit alors devant l'homme ne conservant que ses bas et ses escarpins à talons aiguille.
Le type lâcha un sifflement admiratif. C'est une bonne idée de vous faire bosser sans culotte. Je sens que je vais venir plus souvent. En tout cas, t'as un super cul et une sacrée paire de nichons. Tu as tout le potentiel pour faire carrière dans le cinéma.
Malgré sa gêne, la jolie blonde commençait à avoir la chatte très humide. La vue des gros tétons herissés au milieu des larges aréoles de la jeune femme provoqua une réaction peu discrète chez Richard. Et Anne remarqua sans peine la barre de chair qui s'était mise à gonfler dans la jambe de pantalon gauche de l'homme.
"c'est pas possible. Il a planqué un gros concombre dans son caleçon" pensa la stagiaire fortement impressionnée par les proportions que prenait le mandrin du type. Elle enfila alors aussitôt la première guépière à laquelle elle fixa ses bas avec application.
- Magnifique ! Lâcha l'homme. Tourne toi que je vois le côté pile.
Richard posa alors son index en bas du dos de la jolie blonde et il le fit glisser dans le sillon culier jusqu'à la naissance des cuisses faisant frissonner Anne malgré elle.
- Tourne toi à nouveau et montre moi ta jolie chatte.
Anne fit demi tour dévoilant sa vulve d'où perlaient quelques gouttes de cyprine. Richard planta deux doigts dans la fente offerte arrachant un petit gémissement à la belle blonde.
- Voilà un minou bien accueillant déclara l'homme en faisant coulisser ses doigts dans le vagin trempé.
Anne ferma les yeux respirant de plus en plus vite jusqu'à ce qu'elle serre ses cuisses en atteignant l'orgasme.
- Et bien dis donc, tu réagis au quart de tour toi. Mais j'ai beaucoup mieux que mes doigts à te proposer ajouta t-il en serrant sa queue turgescente à travers l'étoffe de son pantalon.
- Je te propose de passer chez moi demain après ton service. Je vais aller voir ta cheffe pour qu'elle t'autorise à sortir les modèles. Tu viendras chez moi puis on terminera l'essayage et ensuite je t'inviterai à dîner à la "Taverne d'Henri".
Anne avait entendu parler de cet établissement étoilé mais bien sûr elle n'y avait jamais mangé.
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Richard alla frapper à la porte d'Irène Dalembre en compagnie de la stagiaire.
Après que l'acteur lui eut exposé l'objet de sa requête, la cheffe s'adressa à Anne avec son ton autoritaire habituel.
- J'accepte la proposition de Monsieur Longequeue mais je considère que tu es responsable des pièces que tu emprunteras demain. Alors prends-en bien soin.
- Bien sûr Madame. Mais en principe je ne travaille pas le mercredi après-midi rappela Anne.
Richard sauta sur l'occasion.
- C'est encore mieux. Je te demanderai juste de passer au magasin à dix-sept heures pour récupérer les pièces de lingerie et j'enverrai un taxi te prendre et te conduire chez moi avec les sacs. Ça te convient ? proposa en conclusion l'acteur porno.
- Anne regarda tour à tour sa responsable et le client puis donna son accord.
Irène valida elle aussi avant de renvoyer ses interlocuteurs.
- Bon si tu en as fini avec Monsieur pour le moment, tu peux aller prendre ta pause.
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Le soir un peu avant dix-neuf heures, Karim quitta son poste pour retrouver sa petite amie à son rayon.
- Coucou chérie, lâcha t-il en venant se plaquer contre le dos d'Anne. J'ai pris un casque pour toi. Je te ramène chez moi ?
La jeune femme frotta son joli derrière contre la braguette du jeune homme dont la queue se raidit presque instantanément.
- Tu as l'air en forme dis moi. Alors j'accepte.
Karim rigola en approchant sa bouche de l'oreille de la jolie blonde pour chuchoter:- t'es une sacrée cochonne ma chérie.
Anne s'écarta alors brusquement faisant mine d'être vexée.
- Si tu veux bien me laisser finir mon rangement, je pourrai peut-être t'accompagner.
Le vieux type, qui avait surpris Anne la première fois la foufoune à l'air alors qu'elle enjambait la selle de la moto de Karim, attendait comme tous les soirs de la semaine à proximité du deux roues espérant profiter une fois de plus du spectacle offert par la jolie blonde.
Évidemment Anne avait fini par remarquer le manège du vieil homme et elle s'amusait à l'exciter en écartant largement les cuisses face à lui pour qu'il ait eu une vue imprenable sur son mont de Vénus.
Ce petit jeu la faisait mouiller à chaque fois et à peine arrivée chez Karim, elle se jetait sur son amant qui la prenait généralement à la hussarde contre le mur de l'entrée profitant de l'absence de culotte de sa dulcinée.
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Comme prévu, le taxi commandé par le roi du porno attendait Anne à proximité de la sortie du magasin.
Lorsque la jeune femme se présenta avec ses deux grands sacs dans les mains à la porte de la luxueuse villa que Richard Longequeue s'était fait construire à la périphérie de la ville, l'homme vint lui ouvrir simplement vêtu d'un peignoir de bain et de sandales en plastique.
Après avoir débarrassé la jeune femme, il la conduisit vers le salon.
- Assieds toi ma jolie. Je vais nous préparer un truc à boire.
Avant qu'il ait fait mine de s'éloigner, Un type grisonnant lui ressemblant fortement entra alors dans la pièce. Richard s'adressa à la jeune femme.
- je te présente Riton mon père. Il vit seul depuis que ma mère s'est tirée quand j'avais quinze ans. Elle en avait marre que ce vieux cochon veuille la sauter cinq fois par jour.
Anne rougit en découvrant l'homme vêtu d'un tricot de corps et d'un caleçon généreusement rempli par un imposant membre viril. Elle comprenait en apercevant le sexe de Richard par son peignoir entrouvert, de qui il avait hérité son principal outil de travail.
- Voilà donc la beauté blonde dont tu m'as parlé fiston. Un beau brin de fille.
T'aurais pas une tante dans ton genre à me présenter par hasard, demanda alors Riton en s'adressant à Anne. J'en ai un peu marre de me branler en matant les films de cul que m'envoie régulièrement mon cher fils.
La question surprit la jeune femme qui se mit alors à penser à sa mère qu'elle n'avait jamais vu en compagnie d'un homme. Riton était plutôt bien conservé et il semblait encore très vert pour ses soixante-cinq ans.
Richard s'interposa alors sur un ton ironique.
- Tu devrais montrer ta queue à Anne tant que t'y es. Ça l'aidera peut être à te trouver une copine.
- Le vieux ne se démonta pas et plongea la main dans son caleçon pour en extirper un engin de la taille d'une belle courgette.
- Alors t'en dis quoi ma jolie ? déclara le vieux. Tu crois que ça sera suffisant pour tatie.
Anne était devenue rouge pivoine.
- Mon père a quitté la maison avant ma naissance et ma mère est fille unique, répondit-elle en espérant que Riton change de sujet après cette révélation.
- Alors, il va falloir que tu me présentes ta maman ma petite. Vu le canon qu'elle a enfanté, elle doit être sacrément bonne.
Richard rigola.
- Tu veux bien arrêter d'embêter Mademoiselle. Elle ne sait plus où se foutre.
Le vieux quitta la pièce en bougonnant. - Bon puisque c'est comme ça, j'ai plus qu'à retourner dans le salon télé regarder ma belle fille se faire enfiler par des grands noirs.
Riton faisait référence à la scène culte du film "Les vacances africaines de Jennifer" dans laquelle la compagne de Dick Londar subissait les assauts d'une demi douzaine de blacks très fortement membrés.
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Après avoir servi un verre de vin blanc à la jolie blonde, Richard lui avait demandé de l'accompagner dans sa grande chambre aux murs et au plafond couverts de miroirs pour qu'elle lui montre en situation les différents modèles qu'elle avait sélectionnés.
L'acteur avait assisté à toute la séance assis sur son lit entièrement nu sous son peignoir largement ouvert. Anne avait pu ainsi juger en direct de l'effet produit sur Richard par chacune de ses tenues et vérifier par la même occasion qu'il n'avait pas usurpé son surnom de "Mister trente cm".
À la fin de la séance, la chatte de la belle blonde était trempée. Elle arborait à ce moment là une nuisette noire transparente qui couvrait difficilement sa touffe, un porte-jarretelle constitué de bandes de tissus pas plus larges qu'une ficelle, des bas nylons à couture et des escarpins vernis noirs à plateforme et talons de quinze centimètres empruntés par Richard dans le placard à chaussures de sa maîtresse.
- Bravo ma belle! Tu as bien bossé! lâcha Richard ravi.
- J'ai fini mon choix parmi les diverses tenues que tu m'as présentées.
Maintenant tu as droit à ta récompense. Je te propose donc de venir t'empaler sur ma queue si mon engin ne te fait pas peur.
Anne sentit son coeur s'accélèrer mais ce n'était pas la crainte mais bien l'envie qui était à l'origine de cette réaction. Elle monta donc sur le lit et s'approcha timidement pour positionner sa fente au dessus du pieu dressé vers le ciel.
Richard lui attrapa les hanches et l'aida à coulisser lentement sur le pal tout dur. Anne se mit à gémir dès que le monstre commença à la remplir écartelant ses chairs comme l'avait fait le sexe de Roger Frachon la veille. La queue de Richard était à peine moins épaisse mais plus longue que celle du directeur des ventes et Anne se laissait remplir avec délice les yeux clos jusqu'à ce que le long tenon percute sa matrice. Elle laissa alors échapper un cri de surprise tout en constatant qu'une bonne partie de la tige se trouvait encore à l'extérieur de son con.
- Ne t'en fais pas ma belle. Je te maintiens solidement. Laisse toi aller.
La jeune femme montait et descendait de plus en plus vite sur le pieu dressé gagnée peu à peu par un plaisir qu'elle ne contrôlait plus. Son cri de jouissance résonna dans toute la maison provoquant l'éjaculation abondante du roi du porno qui ne s'était pas retenu - une fois n'est pas coutume - de libérer son abondante semence dans la chatte dilatée de sa partenaire.
Richard aida Anne à extirper le chibre massif de son intimité et lui permit de s'allonger à ses côtés jusqu'à ce qu'elle reprenne ses esprits.
Une claque magistrale sur son fessier rebondi la tira de sa torpeur.
- Allez ma belle, il est temps de te préparer pour aller diner. Tu vas choisir une tenue seyante dans la garde robe de Jennifer. Ce que je veux, c'est que tu portes un haut suffisamment transparent pour qu'on puisse admirer tes beaux gros tétons, une jupe suffisamment courte pour qu'on puisse entrevoir les attaches du porte-jarretelle, que tu mettes les chaussures que je t'ai prêtées pour ta séance d'essayage et bien sûr que tu n'aies ni slip ni soutien gorge.
Anne fit ce que lui demandait son hôte et opta pour un chemisier en tulle noire transparente fort décolleté sur la vallée de ses seins arrogants, une jupe évasée noire descendant à mi cuisses, des bas en dentelle noire et un porte-jarretelle assorti.
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Dans la salle à la décoration toute provinciale, la table occupée par le couple constitué par le roi du porno et sa jeune amie blonde qui laissait entrevoir avec un aplomb désarmant ses formes voluptueuses accaparait tous les regards. Quelques hommes avaient du mal à cacher la trique qui les gagnait peu à peu et certaines bourgeoises averties se remémoraient avec un trouble certain l'appareil génital de l'acteur assis à quelques mètres de leur table.
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Richard avait gardé Anne avec lui toute la nuit. Le tempérament explosif de la jolie blonde jamais rassasiée l'avait complètement rincé. Ce qui avait le plus étonné le harder c'est le plaisir incomparable qu'elle éprouvait à se faire enculer. Et il n'en était toujours pas revenu de la facilité avec laquelle il lui avait enfoncé l'intégralité de son bazooka dans le fondement après avoir généreusement lubrifié son oeillet avec sa semence plus qu'abondante. Le claquement des grosses couilles poilues sur ses fesses rondes et bien fermes avait ravi la jeune beauté.
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Richard l'avait donc invité à passer la fin du week-end chez lui avec une petite idée derrière la tête.
Après avoir fait découvrir à Anne un nouveau restaurant gastronomique, il l'avait ramenée dans sa grande villa prêt à honorer tous ses orifices jusqu'à ce qu'elle crie grâce.
Alors que les deux insatiables amants avaient remis le couvert peu après sept heures du matin, la porte de la chambre s'ouvrit sur Riton. Le paternel de Richard était visiblement de mauvais poil.
- Putain les gamins! vous pouvez pas gueuler un peu moins fort quand vous vous envoyez en l'air. J'ai pratiquement pas fermé l'oeil de la nuit.
Anne lui faisait face entièrement nue, les cuisses largement écartées. Elle était allongée sur Richard qui pelotait ses beaux gros seins en l'enculant à grands coups de bite.
Ce spectacle fila immédiatement la gaule à Riton qui ne pouvait détacher son regard du triangle soigné qui semblait indiquer la vulve offerte de la jeune femme.
Richard s'était arrêté de limer sa belle pour lui chuchoter à l'oreille.
- Je suis sûr que tu n'as jamais connu de double pénétration n'est-ce pas. Ça te dirait d'essayer ?
Anne se contenta d'un petit hochement de tête.
- Anne a pitié de toi Riton, déclara Richard à son père. Tu peux venir lui planter ton chibre dans la chatte.
Le vieux ne se le fit pas dire deux fois avant d'envoyer valdinguer son t-shirt et son caleçon et de venir se coucher sur la jeune beauté.
Lorsque la matraque de Riton percuta sa matrice Anne fut presque immédiatement secouée par un violent orgasme.
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- On s'est bien éclaté tous les deux depuis hier soir, avait commencé Richard alors qu'il déjeunait en compagnie d'Anne au bord de la piscine semi couverte de la villa.
- C'est vrai que tu es un sacré baiseur, admit la beauté blonde comblée par les multiples étreintes partagées avec le harder.
Richard posa sa main sur la cuisse d'Anne avant de poursuivre:- Mais le problème dans le X, quand tu approches quarante ans, tu as beau assurer comme une bête, t'es quand même ringard.
Les amateurs veulent de la chair fraîche et de l'exotisme: Des beaux jeunes gens musclés et élancés par exemple ou de jeunes beautés bronzées au visage angélique. Les vieux étalons dans mon genre n'ont plus vraiment la cote.
Richard se racla la gorge avant de continuer.
- À mon avis, tu devrais te lancer dans cette carrière. Je suis sûr que tu ferais un malheur. Une beauté blonde comme toi sans tabou et qui aime vraiment baiser, c'est ce que recherchent tous les producteurs. En plus, tu es intelligente et je pense que contrairement à la majorité des actrices qui ont un petit pois à la place du cerveau, tu es capable de jouer une scène avec de vrais dialogues.
L'acteur fit une nouvelle pause pour boire une gorgée de café.
- J'ai prévu de revenir dans un mois et si tu le veux bien je vais te montrer le petit studio que je me suis fait aménager dans le sous-sol de la maison.
Ça fait déjà quelques années que j'ai commencé à me lancer dans la production. En effet, dans un an, deux au maximum je serai à la retraite d'office et il faut bien que je pense à me reconversion.
Anne découvrit émerveillée la grande salle de cent mètres carrés qui occupait une grande partie du sous-sol. Des projecteurs, un lit gigantesque, des décors et des cloisons amovibles permettant de recréer diverses pièces d'un appartement... Richard semblait avoir des idées très précises sur les films qu'il allait pouvoir réaliser dans cet espace.
- Donc voilà ma belle. Comme je te l'ai dit, dans un mois je vais revenir avec Jennifer, ma fiancée, et mon équipe technique pour réaliser les prises de vue de mon prochain film qui sortira en salle sous le titre "Salopes à la béarnaise".
Et je te propose aujourd'hui de faire partie de la distribution.
Si tu acceptes, tu participeras à quelques scènes de mon film avec Malcolm Doublix l'acteur qui monte actuellement.
- Tu veux dire qu'il monte beaucoup ? Lâcha Anne avec un grand sourire.
La remarque fit rigoler Richard.
- Oui et j'aimerais le filmer en train de te monter. Tu n'es pas obligée de dire oui tout de suite. Avant que tu partes, je te donnerai une copie du synopsis de "Salopes à la béarnaise" que tu auras le temps de lire avant de te décider. Et je t'appellerai dans une grosse semaine pour savoir si tu es effectivement intéressée.
- Tu penses vraiment que je pourrais réussir dans le cinéma porno, demanda alors Anne quelque peu dubitative.
- J'en suis certain. Tu adores la bite et tu n'as apparemment pas d'a priori qui pourrait brider ton épanouissement dans ce milieu.
Anne fit la moue:- C'est pas très cool de dire que j'adore la bite.
Richard rigola.
- Désolé si je t'ai vexée. Tu as raison. Ce n'est pas la bite que tu aimes. Ce que tu adores en fait, ce sont les très grosses bites. Et rassure toi, si tu joues dans mon film tu auras droit à mes acteurs les mieux membrés.
Anne répondit finaude:- Pourquoi ? c'est pas toi qui a la plus grosse ?
- Pas forcément ma jolie. D'après Jennifer ma fiancée, celle de Malcolm Doublix est encore plus imposante.
- Tu dis ça pour me convaincre de jouer dans ton film.
- Tu jugeras par toi-même ma belle. Je suis persuadé que tu plairas beaucoup à Malcolm.
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- Bonjour ma petite. J'espère que ton week-end a été instructif et que tu en as profité pour améliorer certaines de tes techniques.
Irène fixa la jolie blonde de son regard inquisiteur avant de continuer.
- Monsieur Frachon a mis beaucoup d'espoir en toi et il n'apprécierait guère que tu le déçoives.
- Bien sûr madame, répondit Anne d'une voix humble.
- Bon ! Tu vas donc retirer ta jupe et ton chemisier avant d'aller rendre visite au directeur. Il t'attend dans son bureau et il a hâte de vérifier tes progrès.
La stagiaire s'exécuta et se retrouva en slip fendu et soutien gorge toujours juchée sur ses cuissardes.
Irène esquissa une grimace.
- je pensais que tu avais compris que tu ne devais plus porter de culotte dorénavant pendant ton service. Enlève moi ça immédiatement! Ensuite tu iras frapper à la petite porte à côté de l'armoire. Elle communique directement avec le bureau du directeur.
La jolie blonde retira son slip avant de se diriger vers la porte indiquée- Entre! ordonna l'homme après avoir entendu Anne frapper. Tu verrouilleras la porte derrière toi.
Anne salua le directeur après avoir refermé. Il était entièrement nu et son système pileux digne d'un orang outan impressionna autant la jeune femme que le sexe monstrueux qui pendait jusqu'à mi cuisse.
- Approche ma belle que je te vois mieux. Et enlève moi ce soutien gorge. Je t'ai déjà dit qu'avec la paire de nichons que tu trimballes, c'était tout à fait superflu.
Anne retira son sous vêtement et avança jusqu'à ce que Roger puisse la toucher.
Le directeur glissa son gros index boudiné dans la fente déjà bien humide de la jolie blonde.
- J'espère que cette belle chatte a eu droit à sa ration de grosses saucisses pendant tout le week-end. Raconte-moi un peu: qui s'est occupé de tes jolis trous de jeune salope ?
l'expression choqua Anne mais elle répondit néanmoins à la question.
- Miguel, le petit ami de Linda et aussi son copain Mustafa, Monsieur.
- Il paraît que le copain de linda est très bien monté. J'espère qu'il t'a bien alésé la chatte et le cul. Et son pote Mustafa, il en a une aussi grosse ?
- Oui Monsieur mais moins que la vôtre- hé hé! Bien sûr, lâcha Frachon. J'espère au moins que tu as eu droit à une double pénétration ce week-end. J'avais bien insisté auprès de Linda pour qu'elle ne te laisse pas partir avant. Allez dis moi tout petite cochonne! Tu as aimé accueillir en même temps une grosse queue dans ton cul et une autre dans ta moule.
- Oui Monsieur, avoua Anne en baissant les yeux; Mustafa était étendu sur le dos. Il m'a demandé de me coucher sur lui pour qu'il puisse me sodomiser. Ensuite Miguel s'est allongé sur moi et il a enfoncé son gros sexe dans ma chatte pour me baiser. Après ils se sont mis à me bourrer les deux trous en même temps à coups de bite.
Je ne me souviens plus vraiment ce qui s'est passé à ce moment là mais il m'ont dit que je n'ai pas arrêté de crier que ce qu'ils me faisaient était trop bon. C'est vrai que j'ai joui plusieurs fois avant que je sente leur sperme s'écouler en moi.
- Bon sang, j'aurais bien aimé les voir te défoncer. Ils ont dû être ravis de tomber sur une nana aussi chaude que toi.
Anne baissa les yeux en sentant le rouge monter à ses joues.
Et la mienne, tu veux que je la fourre où en premier ? Dans ta chatte de pute ou dans ton cul de chienne ?
Face à cet afflux d'insultes, Anne fut sincèrement choquée. Mais Frachon avait perdu toute retenue. Seul lui importait le plaisir qu'il allait éprouver en possédant le corps voluptueux de la jeune beauté blonde.
- Tu réponds rien ma jolie ? Mets toi à quatre pattes. Je vais commencer par te défoncer le fion. Je suis sûr que tu vas adorer.
Malgré le ton humiliant, la jeune stagiaire s'exécuta attendant que Frachon vienne s'agenouiller derrière elle et lui plante d'un coup son pieu tout raide dans le cul. Anne laissa échapper un cri de douleur mais le directeur n'en eut cure et il se mit à la limer comme un fauve en rut. Pendant plusieurs minutes, elle dut faire un effort pour ne pas pleurer tant la douleur était intense. Puis peu à peu, ses boyaux s'adaptèrent au tenon qui l'écartelait et ses grimaces firent place à des gémissements de plus en plus lascifs.
- J'étais sûr que t'allais adoré que je démonte le fondement petite pute. Dis le que tu aimes ça.
- Oh Ouiiii! c'est bon ! Elle est bonne votre grosse queue! avoua Anne gagnée par un plaisir de plus en plus prégnant.
- Dis le que tu es une bonne salope! gueula Frachon déchaîné.
- Ouiiii! je suis votre salooooope! hurla Anne juste avant qu'un orgasme incroyable la laisse à moitié inconsciente sur la moquette. La bite du directeur n'en finissait pas de tressauter et Anne crut qu'il n'arréterait jamais de se vider dans son fondement.
- Putain! Qu'est ce que je t'ai mis! s'exclama Frachon après avoir repris son souffle. Ça fait longtemps que j'avais pas tiré une nympho comme toi. Tu vas bien me sucer maintenant et quand ma queue sera bien dure je m'occuperai de ton dernier trou. Comme ça il n'y aura pas de jaloux! s'esclaffa le directeur des ventes.
Faisant fi de son anus tout irrité, la jeune beauté blonde s'appliqua à rendre de la vigueur à la bite énorme du directeur. Sa technique s'était bien améliorée lors du week-end passé dans la maison de Linda. Et bien vite le mandrin devint si gros qu'Anne eut quelque mal à le garder en bouche.
- Putain! tu apprends vite toi! lâcha Frachon impressionné malgré lui par le savoir faire récent de la stagiaire.
- Remets toi à quatre pattes maintenant, il est temps que je te remplisse la chatte.
Anne se fit démonter pendant de longues minutes par Roger qui avait l'impression d'avoir rajeuni de dix ans alors que sa jeune maîtresse ne pouvait se retenir de crier de plaisir. La blonde sensuelle se raidit d'un coup lorsqu'un fabuleux orgasme s'empara de son corps balloté en tous sens par la poutre qui lui martelait le con.
Un flot de foutre se répandit en elle et elle s'écroula sur le sol de la pièce complètement vidée par cette séance de sexe absolument démente.
Après deux longues minutes, Anne finit par émerger avant de se relever avec difficulté. Roger avait déjà retrouvé son bureau.
- La vache, tu m'as pompé tout mon jus. J'ai les roustons comme des raisins de Corinthe. Tire toi maintenant. Il ne faudrait pas que tu sois en retard pour débuter ton service.
Alors qu'Anne choquée par le ton de son chef allait récupérer son soutien gorge, il l'apostropha: - à partir d'aujourd'hui, tu éviteras de porter ce type de sous-vêtement au magasin. Je veux pouvoir accéder à tes nichons et à ton cul aussi souvent qu'il me plaira. Madame Dalembre te rendra ton soutien-gorge plus tard et dépêche toi d'aller bosser! aboya Frachon alors qu'Anne traînait un peu pour s'en aller.
La stagiaire retrouvait peu à peu sa lucidité et elle prenait conscience de la toxicité de l'homme qui venait de lui procurer tant de plaisir. Et ce malaise s'accentua lorsque, en se rhabillant dans le bureau d'Irène, la stagiaire remarqua le sourire en coin de la responsable qui n'avait rien raté des propos échangés avec le directeur pendant leur séance de baise.
"Je suis sûre que cette vieille salope s'est branlée pendant tout le temps que j'ai passé à côté" pensa la jolie blonde avant de quitter la pièce sans un mot.
Ce comportement surprit quelque peu Irène qui se dit alors qu'il allait falloir calmer le jeu si Frachon et elle voulaient continuer à profiter des charmes de la jeune femme jusqu'à la fin de son stage.
C'est d'ailleurs ce qu'elle s'empressa d'expliquer à son directeur après qu'il ait remis son costard élimé avant de rejoindre sa collaboratrice dans son Bureau.
- Je te fais confiance ma chère Irène. Même si cette jolie salope est un véritable élixir de jouvence, j'éviterai de trop lui en demander. Et ce soir c'est donc ton cul qui profitera de l'énergie qu'elle m'a transmise.
La cheffe réprima un frisson. Roger allait sans aucun doute lui procurer énormément de plaisir en l'enculant mais elle n'allait pas couper à une bonne crise d'hémorroïdes dans les jours à venir.
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En quittant le magasin à la fin de son service, Anne était plutôt contente de ne pas devoir passer la nuit chez son petit ami Karim, parti jouer au foot avec ses copains une bonne partie de la soirée. En effet ses orifices étaient encore bien irrités après la partie de baise nolimit qu'elle avait partagée quelques heures plus tôt avec le directeur des ventes des "Magasins Associés" et elle estimait qu'il était préférable de ne pas remettre le couvert le jour même.
Elle se demandait aussi ce qu'elle allait pouvoir raconter à son petit ami lorsqu'il lui reparlerait de sa séance d'essayage du jeudi précédent.
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Le début de matinée avait été très calme. Anne se préparait à prendre sa pause lorsqu'elle vit un homme brun et moustachu se diriger vers elle. Le type était vêtu d'un costume beige et de chaussures en daim. Il portait une chemise rouge largement ouverte sur un torse fort velu où il arborait une plaque en or fixée à une épaisse chaîne de même métal.
- Bonjour Mademoiselle, lâcha l'homme en examinant en détail la tenue et la plastique de la jolie blonde.
- Bonjour Monsieur, répondit poliment Anne quelque peu indisposée par le regard sans gêne du type.
- Je voudrais acheter de la lingerie pour une de mes amies qui a, je pense, les mêmes mensurations que toi. J'aimerais bien que tu me conseilles et si possible que tu essaies devant moi les articles que j'aurai sélectionnés.
Le tutoiement et la proposition déstabilisèrent légèrement la stagiaire qui se mit à rosir.
- Je n'ai pas le droit de faire ce genre de choses pour les clients Monsieur. C'est contraire au règlement.
- Allons, tu vas bien faire une exception pour moi. Je ne suis pas n'importe quel client.
Anne était de moins en moins à l'aise et ne voyait pas comment se sortir de cette situation.
Heureusement, Linda qui venait d'en finir avec une quinquagénaire qui lui avait acheté deux soutien-gorges se rendit compte que quelque chose clochait et elle s'approcha de sa protégée.
- Tout va bien Anne?
- Monsieur ici présent voudrait que j'essaie des modèles de lingerie pour les offrir à une de ses amies. J'aimerais lui faire comprendre que ce n'est pas possible.
Linda salua l'homme avant de confirmer :- Ma collègue a raison, nous ne sommes pas autorisées à ...
La vendeuse s'interrompit soudainement après avoir reconnu Dick Londar, alias "Mister trente cm" la vedette du porno bien connu de tous les aficionados pour ses scènes d'anthologie avec sa fiancée et partenaire, Jennifer Latrick.
Richard Longequeue, le véritable nom de l'acteur, était un enfant du pays né à Pau trente-neuf ans plus tôt. Très jeune, il avait rêvé de faire du cinéma mais son jeu de scène médiocre ne lui apporta que des déconvenues jusqu'à ce que la secrétaire d'un producteur spécialisé dans les navets érotico-comiques remarque la partie la plus développée de son anatomie.
Après une nuit particulièrement éreintante passée à se faire démonter les orifices par le fougueux Richard, la femme avait parlé des performances de son amant à son patron qui révisa aussitôt son jugement sur l'acteur et lui proposa peu de temps après le rôle principal dans un film sobrement intitulé "Vacances Suédoises pour le Taureau du Béarn".
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Anne n'avait vu que deux films pornographiques dans sa vie. La première fois, elle se trouvait chez une copine qui avait profité de l'absence de ses parents pour l'inviter à dormir. Les deux filles avaient patiemment attendu minuit pour allumer le décodeur Canal plus et regarder la production lesbienne proposée ce jour là. Anne se souvenait très bien qu'elles avaient bien mouillé en matant le film et elles avaient fini la nuit en s'embrassant et en se caressant mutuellement.
La seconde fois eut lieu chez un copain d'Aurélien qui possédait un magnétoscope et qui pour fêter ses vingt-deux ans avait décidé de louer une cassette porno au vidéo club du coin. Malheureusement pour sa culture cinématographique, Anne qui avait un peu abusé du Champagne s'endormit avant la première scène d'action.
Linda reprit la phrase interrompue.
- En effet, nous ne sommes en principe pas autorisées à faire des essayages pour nos clients. Néanmoins, je peux demander l'avis de notre responsable si vous le souhaitez.
- C'est ça ! Allez demander l'avis du responsable. Je ne suis pas pressé. Je suis en vacances.
La réponse de Linda sidéra Anne qui ne savait plus où se mettre.
Richard s'adressa alors à elle.
- C'est la première fois que je te vois ici ma belle. C'est vrai que je viens rarement mais un petit lot comme toi, je l'aurais forcément repéré. Ça fait longtemps que tu bosses ici ?
- Un peu moins d'un mois, parvint à articuler la jolie blonde.
- Je comprends mieux. Ça fait au moins deux ans que je ne suis pas passé.
À ce moment-là, Anne vit revenir Linda en compagnie d'Irène Dalembre.
La cheffe salua l'homme:- Ma vendeuse m'a fait part de votre requête. Je pense que nous devrions pouvoir y répondre favorablement.
Je vais aller m'entretenir avec mon employée si vous le voulez bien et elle vous rejoindra très vite.
- Je vous en prie. Prenez votre temps. Comme je l'ai dit à cette charmante personne, je suis en vacances ici pour une petite semaine.
Une fois la porte de son bureau fermée, Irène s'adressa à la stagiaire.
- Monsieur Longequeue est un acteur de cinéma reconnu et nous sommes honorés de l'accueillir à notre magasin. Tu feras donc les essayages qu'il te demande.
- Bien madame. Mais il faut d'abord que j'aille remettre une culotte. Je n'en mets plus depuis que vous l'avez exigé.
- Pas la peine. Tu n'en porteras que si le client te le demande. Ce sera plus pratique pour les essayages.
Anne rougit violemment.
- Mais...
- Inutile de discuter, le client est roi. On a dû t'apprendre ça à ton école.
La jeune femme quitta donc le bureau la tête basse pour rejoindre Richard.
- Ma responsable m'a demandé de vous présenter les modèles susceptibles de vous intéresser. Une fois que vous aurez fait votre choix, j'irai avec vous dans notre vestiaire et je me changerai dans la cabine réservée au personnel.
Anne espérait que l'homme lui demanderait d'essayer des parures avec slips car elle n'avait pas très envie de s'exhiber devant lui la foufoune à l'air.
- Jennifer mon amie est en tournage actuellement. Et j'aimerais lui offrir une jolie guépière pour nos retrouvailles. Qu'as tu de beau à me montrer à part ton joli cul?
La question fit rougir Anne.
- Calme toi ma belle. Je te chambre un peu pour te décontracter. Je te trouve un peu tendue.
Je sais que dans ce magasin vous avez beaucoup de modèles plutôt coquins et j'aimerais que les bonnets de la partie soutien gorge soient amovibles. Ça te parle ?
Anne retrouva vite ses réflexes professionnels.
- Vous avez de la chance. On a reçu récemment une nouvelle collection qui devrait vous plaire. Quel type de slip souhaitez-vous pour accompagner la guépière ? String ? Tanga ? Culotte à froufrou ?
- Rien du tout ma jolie. Jennifer n'en porte jamais.
Anne accusa le coup.
- Très bien... Si vous voulez bien m'attendre.
- Ne t'en fais pas. Je risque pas de me barrer. J'ai trop envie de te voir porter la lingerie que je vais choisir.
Anne se dirigea alors vers la réserve pour prendre trois modèles de guépières à sa taille puis elle revint vers son client et lui fit signe de la suivre.
- Inutile de fermer le rideau pour te changer ma jolie. Comme ça je verrai si les fringues que tu as apportées sont faciles à enfiler et à défaire.
Anne se devêtit alors devant l'homme ne conservant que ses bas et ses escarpins à talons aiguille.
Le type lâcha un sifflement admiratif. C'est une bonne idée de vous faire bosser sans culotte. Je sens que je vais venir plus souvent. En tout cas, t'as un super cul et une sacrée paire de nichons. Tu as tout le potentiel pour faire carrière dans le cinéma.
Malgré sa gêne, la jolie blonde commençait à avoir la chatte très humide. La vue des gros tétons herissés au milieu des larges aréoles de la jeune femme provoqua une réaction peu discrète chez Richard. Et Anne remarqua sans peine la barre de chair qui s'était mise à gonfler dans la jambe de pantalon gauche de l'homme.
"c'est pas possible. Il a planqué un gros concombre dans son caleçon" pensa la stagiaire fortement impressionnée par les proportions que prenait le mandrin du type. Elle enfila alors aussitôt la première guépière à laquelle elle fixa ses bas avec application.
- Magnifique ! Lâcha l'homme. Tourne toi que je vois le côté pile.
Richard posa alors son index en bas du dos de la jolie blonde et il le fit glisser dans le sillon culier jusqu'à la naissance des cuisses faisant frissonner Anne malgré elle.
- Tourne toi à nouveau et montre moi ta jolie chatte.
Anne fit demi tour dévoilant sa vulve d'où perlaient quelques gouttes de cyprine. Richard planta deux doigts dans la fente offerte arrachant un petit gémissement à la belle blonde.
- Voilà un minou bien accueillant déclara l'homme en faisant coulisser ses doigts dans le vagin trempé.
Anne ferma les yeux respirant de plus en plus vite jusqu'à ce qu'elle serre ses cuisses en atteignant l'orgasme.
- Et bien dis donc, tu réagis au quart de tour toi. Mais j'ai beaucoup mieux que mes doigts à te proposer ajouta t-il en serrant sa queue turgescente à travers l'étoffe de son pantalon.
- Je te propose de passer chez moi demain après ton service. Je vais aller voir ta cheffe pour qu'elle t'autorise à sortir les modèles. Tu viendras chez moi puis on terminera l'essayage et ensuite je t'inviterai à dîner à la "Taverne d'Henri".
Anne avait entendu parler de cet établissement étoilé mais bien sûr elle n'y avait jamais mangé.
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Richard alla frapper à la porte d'Irène Dalembre en compagnie de la stagiaire.
Après que l'acteur lui eut exposé l'objet de sa requête, la cheffe s'adressa à Anne avec son ton autoritaire habituel.
- J'accepte la proposition de Monsieur Longequeue mais je considère que tu es responsable des pièces que tu emprunteras demain. Alors prends-en bien soin.
- Bien sûr Madame. Mais en principe je ne travaille pas le mercredi après-midi rappela Anne.
Richard sauta sur l'occasion.
- C'est encore mieux. Je te demanderai juste de passer au magasin à dix-sept heures pour récupérer les pièces de lingerie et j'enverrai un taxi te prendre et te conduire chez moi avec les sacs. Ça te convient ? proposa en conclusion l'acteur porno.
- Anne regarda tour à tour sa responsable et le client puis donna son accord.
Irène valida elle aussi avant de renvoyer ses interlocuteurs.
- Bon si tu en as fini avec Monsieur pour le moment, tu peux aller prendre ta pause.
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Le soir un peu avant dix-neuf heures, Karim quitta son poste pour retrouver sa petite amie à son rayon.
- Coucou chérie, lâcha t-il en venant se plaquer contre le dos d'Anne. J'ai pris un casque pour toi. Je te ramène chez moi ?
La jeune femme frotta son joli derrière contre la braguette du jeune homme dont la queue se raidit presque instantanément.
- Tu as l'air en forme dis moi. Alors j'accepte.
Karim rigola en approchant sa bouche de l'oreille de la jolie blonde pour chuchoter:- t'es une sacrée cochonne ma chérie.
Anne s'écarta alors brusquement faisant mine d'être vexée.
- Si tu veux bien me laisser finir mon rangement, je pourrai peut-être t'accompagner.
Le vieux type, qui avait surpris Anne la première fois la foufoune à l'air alors qu'elle enjambait la selle de la moto de Karim, attendait comme tous les soirs de la semaine à proximité du deux roues espérant profiter une fois de plus du spectacle offert par la jolie blonde.
Évidemment Anne avait fini par remarquer le manège du vieil homme et elle s'amusait à l'exciter en écartant largement les cuisses face à lui pour qu'il ait eu une vue imprenable sur son mont de Vénus.
Ce petit jeu la faisait mouiller à chaque fois et à peine arrivée chez Karim, elle se jetait sur son amant qui la prenait généralement à la hussarde contre le mur de l'entrée profitant de l'absence de culotte de sa dulcinée.
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Comme prévu, le taxi commandé par le roi du porno attendait Anne à proximité de la sortie du magasin.
Lorsque la jeune femme se présenta avec ses deux grands sacs dans les mains à la porte de la luxueuse villa que Richard Longequeue s'était fait construire à la périphérie de la ville, l'homme vint lui ouvrir simplement vêtu d'un peignoir de bain et de sandales en plastique.
Après avoir débarrassé la jeune femme, il la conduisit vers le salon.
- Assieds toi ma jolie. Je vais nous préparer un truc à boire.
Avant qu'il ait fait mine de s'éloigner, Un type grisonnant lui ressemblant fortement entra alors dans la pièce. Richard s'adressa à la jeune femme.
- je te présente Riton mon père. Il vit seul depuis que ma mère s'est tirée quand j'avais quinze ans. Elle en avait marre que ce vieux cochon veuille la sauter cinq fois par jour.
Anne rougit en découvrant l'homme vêtu d'un tricot de corps et d'un caleçon généreusement rempli par un imposant membre viril. Elle comprenait en apercevant le sexe de Richard par son peignoir entrouvert, de qui il avait hérité son principal outil de travail.
- Voilà donc la beauté blonde dont tu m'as parlé fiston. Un beau brin de fille.
T'aurais pas une tante dans ton genre à me présenter par hasard, demanda alors Riton en s'adressant à Anne. J'en ai un peu marre de me branler en matant les films de cul que m'envoie régulièrement mon cher fils.
La question surprit la jeune femme qui se mit alors à penser à sa mère qu'elle n'avait jamais vu en compagnie d'un homme. Riton était plutôt bien conservé et il semblait encore très vert pour ses soixante-cinq ans.
Richard s'interposa alors sur un ton ironique.
- Tu devrais montrer ta queue à Anne tant que t'y es. Ça l'aidera peut être à te trouver une copine.
- Le vieux ne se démonta pas et plongea la main dans son caleçon pour en extirper un engin de la taille d'une belle courgette.
- Alors t'en dis quoi ma jolie ? déclara le vieux. Tu crois que ça sera suffisant pour tatie.
Anne était devenue rouge pivoine.
- Mon père a quitté la maison avant ma naissance et ma mère est fille unique, répondit-elle en espérant que Riton change de sujet après cette révélation.
- Alors, il va falloir que tu me présentes ta maman ma petite. Vu le canon qu'elle a enfanté, elle doit être sacrément bonne.
Richard rigola.
- Tu veux bien arrêter d'embêter Mademoiselle. Elle ne sait plus où se foutre.
Le vieux quitta la pièce en bougonnant. - Bon puisque c'est comme ça, j'ai plus qu'à retourner dans le salon télé regarder ma belle fille se faire enfiler par des grands noirs.
Riton faisait référence à la scène culte du film "Les vacances africaines de Jennifer" dans laquelle la compagne de Dick Londar subissait les assauts d'une demi douzaine de blacks très fortement membrés.
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Après avoir servi un verre de vin blanc à la jolie blonde, Richard lui avait demandé de l'accompagner dans sa grande chambre aux murs et au plafond couverts de miroirs pour qu'elle lui montre en situation les différents modèles qu'elle avait sélectionnés.
L'acteur avait assisté à toute la séance assis sur son lit entièrement nu sous son peignoir largement ouvert. Anne avait pu ainsi juger en direct de l'effet produit sur Richard par chacune de ses tenues et vérifier par la même occasion qu'il n'avait pas usurpé son surnom de "Mister trente cm".
À la fin de la séance, la chatte de la belle blonde était trempée. Elle arborait à ce moment là une nuisette noire transparente qui couvrait difficilement sa touffe, un porte-jarretelle constitué de bandes de tissus pas plus larges qu'une ficelle, des bas nylons à couture et des escarpins vernis noirs à plateforme et talons de quinze centimètres empruntés par Richard dans le placard à chaussures de sa maîtresse.
- Bravo ma belle! Tu as bien bossé! lâcha Richard ravi.
- J'ai fini mon choix parmi les diverses tenues que tu m'as présentées.
Maintenant tu as droit à ta récompense. Je te propose donc de venir t'empaler sur ma queue si mon engin ne te fait pas peur.
Anne sentit son coeur s'accélèrer mais ce n'était pas la crainte mais bien l'envie qui était à l'origine de cette réaction. Elle monta donc sur le lit et s'approcha timidement pour positionner sa fente au dessus du pieu dressé vers le ciel.
Richard lui attrapa les hanches et l'aida à coulisser lentement sur le pal tout dur. Anne se mit à gémir dès que le monstre commença à la remplir écartelant ses chairs comme l'avait fait le sexe de Roger Frachon la veille. La queue de Richard était à peine moins épaisse mais plus longue que celle du directeur des ventes et Anne se laissait remplir avec délice les yeux clos jusqu'à ce que le long tenon percute sa matrice. Elle laissa alors échapper un cri de surprise tout en constatant qu'une bonne partie de la tige se trouvait encore à l'extérieur de son con.
- Ne t'en fais pas ma belle. Je te maintiens solidement. Laisse toi aller.
La jeune femme montait et descendait de plus en plus vite sur le pieu dressé gagnée peu à peu par un plaisir qu'elle ne contrôlait plus. Son cri de jouissance résonna dans toute la maison provoquant l'éjaculation abondante du roi du porno qui ne s'était pas retenu - une fois n'est pas coutume - de libérer son abondante semence dans la chatte dilatée de sa partenaire.
Richard aida Anne à extirper le chibre massif de son intimité et lui permit de s'allonger à ses côtés jusqu'à ce qu'elle reprenne ses esprits.
Une claque magistrale sur son fessier rebondi la tira de sa torpeur.
- Allez ma belle, il est temps de te préparer pour aller diner. Tu vas choisir une tenue seyante dans la garde robe de Jennifer. Ce que je veux, c'est que tu portes un haut suffisamment transparent pour qu'on puisse admirer tes beaux gros tétons, une jupe suffisamment courte pour qu'on puisse entrevoir les attaches du porte-jarretelle, que tu mettes les chaussures que je t'ai prêtées pour ta séance d'essayage et bien sûr que tu n'aies ni slip ni soutien gorge.
Anne fit ce que lui demandait son hôte et opta pour un chemisier en tulle noire transparente fort décolleté sur la vallée de ses seins arrogants, une jupe évasée noire descendant à mi cuisses, des bas en dentelle noire et un porte-jarretelle assorti.
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Dans la salle à la décoration toute provinciale, la table occupée par le couple constitué par le roi du porno et sa jeune amie blonde qui laissait entrevoir avec un aplomb désarmant ses formes voluptueuses accaparait tous les regards. Quelques hommes avaient du mal à cacher la trique qui les gagnait peu à peu et certaines bourgeoises averties se remémoraient avec un trouble certain l'appareil génital de l'acteur assis à quelques mètres de leur table.
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Richard avait gardé Anne avec lui toute la nuit. Le tempérament explosif de la jolie blonde jamais rassasiée l'avait complètement rincé. Ce qui avait le plus étonné le harder c'est le plaisir incomparable qu'elle éprouvait à se faire enculer. Et il n'en était toujours pas revenu de la facilité avec laquelle il lui avait enfoncé l'intégralité de son bazooka dans le fondement après avoir généreusement lubrifié son oeillet avec sa semence plus qu'abondante. Le claquement des grosses couilles poilues sur ses fesses rondes et bien fermes avait ravi la jeune beauté.
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Richard l'avait donc invité à passer la fin du week-end chez lui avec une petite idée derrière la tête.
Après avoir fait découvrir à Anne un nouveau restaurant gastronomique, il l'avait ramenée dans sa grande villa prêt à honorer tous ses orifices jusqu'à ce qu'elle crie grâce.
Alors que les deux insatiables amants avaient remis le couvert peu après sept heures du matin, la porte de la chambre s'ouvrit sur Riton. Le paternel de Richard était visiblement de mauvais poil.
- Putain les gamins! vous pouvez pas gueuler un peu moins fort quand vous vous envoyez en l'air. J'ai pratiquement pas fermé l'oeil de la nuit.
Anne lui faisait face entièrement nue, les cuisses largement écartées. Elle était allongée sur Richard qui pelotait ses beaux gros seins en l'enculant à grands coups de bite.
Ce spectacle fila immédiatement la gaule à Riton qui ne pouvait détacher son regard du triangle soigné qui semblait indiquer la vulve offerte de la jeune femme.
Richard s'était arrêté de limer sa belle pour lui chuchoter à l'oreille.
- Je suis sûr que tu n'as jamais connu de double pénétration n'est-ce pas. Ça te dirait d'essayer ?
Anne se contenta d'un petit hochement de tête.
- Anne a pitié de toi Riton, déclara Richard à son père. Tu peux venir lui planter ton chibre dans la chatte.
Le vieux ne se le fit pas dire deux fois avant d'envoyer valdinguer son t-shirt et son caleçon et de venir se coucher sur la jeune beauté.
Lorsque la matraque de Riton percuta sa matrice Anne fut presque immédiatement secouée par un violent orgasme.
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- On s'est bien éclaté tous les deux depuis hier soir, avait commencé Richard alors qu'il déjeunait en compagnie d'Anne au bord de la piscine semi couverte de la villa.
- C'est vrai que tu es un sacré baiseur, admit la beauté blonde comblée par les multiples étreintes partagées avec le harder.
Richard posa sa main sur la cuisse d'Anne avant de poursuivre:- Mais le problème dans le X, quand tu approches quarante ans, tu as beau assurer comme une bête, t'es quand même ringard.
Les amateurs veulent de la chair fraîche et de l'exotisme: Des beaux jeunes gens musclés et élancés par exemple ou de jeunes beautés bronzées au visage angélique. Les vieux étalons dans mon genre n'ont plus vraiment la cote.
Richard se racla la gorge avant de continuer.
- À mon avis, tu devrais te lancer dans cette carrière. Je suis sûr que tu ferais un malheur. Une beauté blonde comme toi sans tabou et qui aime vraiment baiser, c'est ce que recherchent tous les producteurs. En plus, tu es intelligente et je pense que contrairement à la majorité des actrices qui ont un petit pois à la place du cerveau, tu es capable de jouer une scène avec de vrais dialogues.
L'acteur fit une nouvelle pause pour boire une gorgée de café.
- J'ai prévu de revenir dans un mois et si tu le veux bien je vais te montrer le petit studio que je me suis fait aménager dans le sous-sol de la maison.
Ça fait déjà quelques années que j'ai commencé à me lancer dans la production. En effet, dans un an, deux au maximum je serai à la retraite d'office et il faut bien que je pense à me reconversion.
Anne découvrit émerveillée la grande salle de cent mètres carrés qui occupait une grande partie du sous-sol. Des projecteurs, un lit gigantesque, des décors et des cloisons amovibles permettant de recréer diverses pièces d'un appartement... Richard semblait avoir des idées très précises sur les films qu'il allait pouvoir réaliser dans cet espace.
- Donc voilà ma belle. Comme je te l'ai dit, dans un mois je vais revenir avec Jennifer, ma fiancée, et mon équipe technique pour réaliser les prises de vue de mon prochain film qui sortira en salle sous le titre "Salopes à la béarnaise".
Et je te propose aujourd'hui de faire partie de la distribution.
Si tu acceptes, tu participeras à quelques scènes de mon film avec Malcolm Doublix l'acteur qui monte actuellement.
- Tu veux dire qu'il monte beaucoup ? Lâcha Anne avec un grand sourire.
La remarque fit rigoler Richard.
- Oui et j'aimerais le filmer en train de te monter. Tu n'es pas obligée de dire oui tout de suite. Avant que tu partes, je te donnerai une copie du synopsis de "Salopes à la béarnaise" que tu auras le temps de lire avant de te décider. Et je t'appellerai dans une grosse semaine pour savoir si tu es effectivement intéressée.
- Tu penses vraiment que je pourrais réussir dans le cinéma porno, demanda alors Anne quelque peu dubitative.
- J'en suis certain. Tu adores la bite et tu n'as apparemment pas d'a priori qui pourrait brider ton épanouissement dans ce milieu.
Anne fit la moue:- C'est pas très cool de dire que j'adore la bite.
Richard rigola.
- Désolé si je t'ai vexée. Tu as raison. Ce n'est pas la bite que tu aimes. Ce que tu adores en fait, ce sont les très grosses bites. Et rassure toi, si tu joues dans mon film tu auras droit à mes acteurs les mieux membrés.
Anne répondit finaude:- Pourquoi ? c'est pas toi qui a la plus grosse ?
- Pas forcément ma jolie. D'après Jennifer ma fiancée, celle de Malcolm Doublix est encore plus imposante.
- Tu dis ça pour me convaincre de jouer dans ton film.
- Tu jugeras par toi-même ma belle. Je suis persuadé que tu plairas beaucoup à Malcolm.
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