Les magasins associés - 6/10 - Cinquième semaine de stage
Récit érotique écrit par Mysterebinr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les magasins associés - 6/10 - Cinquième semaine de stage
Anne avait repris le travail comme d'habitude à quatorze heures le lundi suivant son week-end particulièrement éreintant chez Dick Londar, le roi du porno.
Les parties de baise débridées avec le harder l'avaient épuisée et elle avait dormi d'une traite après son retour chez elle le dimanche soir.
Malgré ses onze heures de sommeil, la jeune femme n'avait pas totalement récupéré et elle avait hâte de finir son service pour retrouver son lit au plus tôt.
De son côté, l'acteur avait pris l'avion en fin de matinée. Ses vacances étaient terminées et il devait regagner Paris pour retrouver ses affaires ainsi que sa fiancée, la star du X Jennifer Latrick.
@-------@
Le lendemain, après une seconde nuit de sommeil de plus de dix heures, Anne était de nouveau en pleine forme prête à passer une soirée torride avec Karim, son petit ami, qu'elle avait beaucoup délaissé depuis qu'elle avait fait la connaissance de Richard Longequeue. Alors qu'elle commençait à avoir faim et pensait de plus à plus à son déjeuner, elle reçut la visite surprise de sa marraine.
- Coucou ma chérie, avait simplement lâché Mademoiselle Péchenot en approchant de sa filleule.
La femme aux cheveux châtains d'un mètre cinquante-cinq était juchée sur des talons aiguille de quatorze centimètres et était vêtue d'un tailleur qui découvrait ses genoux ronds et mettait en valeur un joli et profond décolleté.
Elle s'arrêta un moment pour examiner Anne appréciant d'un oeil averti la tenue sexy de la jeune femme.
- Tu es absolument craquante ma belle! lâcha Sonia impressionnée. Tu devrais dire à ta mère de prendre exemple sur toi. Elle ne resterait pas seule longtemps.
La jolie blonde s'approcha de sa marraine pour lui faire la bise.
- Tu aurais dû me dire que tu comptais passer me voir. Je me serais arrangée pour t'accueillir.
- Ne t'inquiètes pas ma chérie. Je suis venue sur un coup de tête. J'étais censée déjeuner avec Germain, un homme que j'ai rencontré il y a une semaine dans un dancing. Mais il m'a posé un lapin. Inutile de te dire qu'il n'est pas prêt de me revoir. Donc me voilà à nouveau libre pour une nouvelle aventure.
En tout cas, il en faut plus que l'impolitesse d'un goujat pour me couper l'appétit. Ça te dirait de déjeuner avec moi ? C'est moi qui invite bien sûr.
- Avec plaisir. Surtout que je commence à être affamée. Ma pause déjeuner débute dans dix minutes. Veux tu que je te montre quelques nouveautés en attendant?
- Ça dépend. J'aimerais bien m'offrir quelques petites culottes affriolantes même s'il m'arrive de sortir sans, déclara Sonia avec un clin d'oeil appuyé à sa filleule.
Toi même, tu portes quel genre de slip en ce moment avec tes jolis bas plumetis ?
La question fit rougir Anne qui hésita à répondre.
Sa marraine esquissa un sourire.
- Ne me dis pas que tu n'en as pas !
Anne devenait de plus en plus rouge. Elle s'approcha de Sonia pour lui avouer d'une petite voix:
- Ça fait plus de deux semaines que la hiérarchie m'a demandé de ne pas porter de culotte pendant mon service.
Sonia regarda sa filleule les yeux ronds.
- Ah bon ! Et ça ne te gêne pas ?
- Non, c'est plutôt agréable et je n'y fais même plus attention.
- Et bien dis donc! tu es sûre que tu es la fille de mon amie Danielle? déclara Sonia en riant.
- Je vois qu'il est l'heure, ajouta-t-elle en consultant sa montre. Ça te tente d'aller manger dans la brasserie à côté ?
- Bien sûr ! Répondit Anne.
- Super ! Je suis sûre que tu as plein de choses à me raconter que tu n'as pas forcément envie de confier à ta mère.
Mlle Péchenot avait commandé une bouteille de vin lorsque le maître d'hôtel les eut installées. Après avoir descendu un verre et demi de Madiran, sa filleule était devenue beaucoup plus diserte.
Les révélations d'Anne estomaquèrent sa marraine.
- Et bien dis donc ma chérie. Tu caches bien ton jeu. À ton âge, j'avais déjà eu pas mal d'amants mais aucun acteur porno ni directeur de magasin monté comme un âne. Ainsi tu t'es faite sauter par Dick Londar. Je n'en reviens pas.
- Oui. Il m'a même proposé de tourner dans un de ses films le mois prochain.
Figure toi qu'il a installé un grand studio de prises de vues dans son sous-sol.
- Tu te fiches de moi je suppose ?
Anne fit la moue.
- Pas du tout. Il m'a dit que je pourrais tourner une scène avec Malcolm Doublix un acteur dont la cote est paraît-il en pleine ascension. Tu le connais ?
- Je vais peut être te surprendre mais figure toi qu'il m'est souvent arrivé de regarder des vidéos porno ma chérie. Notamment avec Romuald un de mes ex, qui avait toujours rêver de faire carrière dans ce métier mais qui n'a jamais pu percer. Et pourtant je peux te dire que son engin, sans rivaliser bien sûr avec celui de Dick Londar, est de fort belle taille. Le problème c'est qu'il perd tous ses moyens dès qu'il y a du public. La seule fois où il m'avait emmenée dans un club échangiste, il avait été incapable de bander. Par contre moi, ce jour là, j'avais pris cher. Un très bon souvenir finalement.
- Alors il est comment ce Malcolm Doublix? Demanda Anne de plus en plus curieuse.
- Magnifique ma chérie. Un très bel homme noir grand et musclé avec une queue superbe. Une colonne de chair couleur charbon très épaisse qui au repos ne doit pas mesurer loin de vingt centimètres.
Vous feriez sans aucun doute un très beau couple Malcolm et toi.
Anne s'était mise à mouiller en imaginant l'étalon décrit par sa tante en train de la sodomiser devant la caméra.
- Cette semaine, je risque d'être disponible par la force des choses expliqua Sonia. Si tu veux, je peux nous louer pour un soir une vidéo avec Malcolm et nous la regarderons ensemble chez moi devant un bon repas.
Anne réfléchit quelques secondes avant de pousser une petite exclamation.
- Je ne t'ai pas tout dit concernant mon week-end avec Dick Londar. Figure toi que son père vit à l'année dans la maison de son fils. Il a plus de soixante ans mais il est très bien conservé et surtout il a un machin énorme qui devrait te plaire.
- Ne me dis pas qu'il t'a sautée lui aussi !
Anne rougit à peine.
- En fait j'ai eu pitié lorsque Riton - c'est comme ça que l'appelle son fils - s'est pointé dans la chambre alors que Richard était en train de me sodomiser. Et j'ai accepté qu'il me baise la chatte en même temps.
- Tu veux dire que tu as eu droit à une double pénétration avec le roi du porno et son père !
Anne baissa les yeux et éluda la question:
- Ce dont je suis sûre c'est que dans leur maison, il y a une impressionnante collection de vidéos pornographiques et il doit forcément y avoir des films de Malcolm Doublix.
- Écoute! je te laisse organiser tout ça. Je me sens un peu dépassée. Demain soir serait pas mal. Tu n'auras qu'à dire à ton Riton s'il est d'accord, que j'apporterai ce qu'il faut pour le dîner.
- Ok je l'appellerai dans l'après-midi et je te rappellerai ce soir de la maison, avant d'aller retrouver mon copain chez lui, pour te confirmer le rendez-vous.
Sonia ne put s'empêcher de rire.
- Dis donc ton copain, il est drôlement compréhensif. Ça ne l'embête pas que sa petite amie se tape des acteurs pornos et des vieux cochons.
- Ça ne me semble pas utile de lui en parler, déclara la jolie blonde avec un aplomb qui sidéra Sonia.
@-------@
Le mercredi soir, Anne se présenta vers sept heures en compagnie de sa marraine à la porte d'entrée de la grande villa de Richard Longequeue.
Riton, le père du propriétaire vint leur ouvrir la porte.
Peigné et rasé de frais, il avait passé son vieux costume et ses chaussures anglaises poussant même le raffinement à arborer fièrement une cravate pour recevoir ses invitées.
- Tu es toujours aussi belle Anne! Lâcha l'homme avec un regard gourmand avant de faire la bise à la jolie blonde.
- Bonjour Riton. Je te présente Sonia ma marraine.
- Bonjour Mademoiselle, c'est mon jour de chance on dirait. Recevoir le même soir deux femmes aussi sexys et ravissantes, ça ne m'était pas arrivé depuis des années.
- Bonjour Riton. Vous n'êtes pas mal non plus, minauda Sonia agréablement surprise par l'apparence de leur hôte.
"Je crois que j'ai bien fait de ne pas mettre de culotte ce soir" se rejouit-elle intérieurement en espérant que son célibat forcé n'allait guère perdurer alors que le maître de maison les conduisait dans le salon pour leur offrir l'apéritif.
Riton remplit les coupes de Champagne avant d'entamer la conversation.
- Je suis ravi qu'Anne ait décidé de me présenter sa marraine. Ça ne vous embête pas Sonia si on se tutoie.
- Pas du tout Riton. Bien au contraire. Je suis moi aussi très heureuse de te rencontrer. Anne m'a avoué que tu t'ennuyais un peu dans cette grande maison et lorsqu'elle m'a proposé qu'on vienne te tenir compagnie ce soir, j'ai évidemment accepté.
- C'est très gentil de ta part. Et je suis d'autant plus heureux que ta filleule m'a expliqué que tu es un vrai cordon bleu.
- C'est vrai que j'aime cuisiner mais ce soir ce sera très simple. Nous ne sommes pas venues pour nous gaver.
- Je sais. Anne m'a demandé si j'avais des vidéos de Malcolm Doublix. Évidemment, expliqua Riton, mon fils possède toutes ses oeuvres puisque c'est lui qui produit ses films depuis qu'il a commencé à être connu. Si vous êtes d'accord, nous allons commencer par dîner et ensuite nous irons dans la salle de projection voir un de ces longs métrages qui vous intéressent tant.
@-------@
L'alcool aidant, le repas fut très gai et Sonia s'était fortement rapprochée de Riton. Tant et si bien qu'ils se retrouvèrent tous les deux côte à côte sur le confortable canapé de la salle de projection laissant Anne s'étendre sur une des méridiennes.
La première scène d'action réunissant Jennifer Latrick et Malcolm Doublix ne tarda pas et Anne avait la chatte toute humide en voyant le beau noir honorer sa partenaire.
Riton était lui aussi très en forme et même s'il avait déjà vu le film à plusieurs reprises, la présence de Sonia à ses côtés était un puissant stimulant.
D'ailleurs, la jolie femme, elle aussi très émoustillée par la bosse apparue à l'entrejambe de Riton, n'avait guère attendu pour extirper son énorme queue de son caleçon avant de l'emboucher avec délectation.
Quelques minutes plus tard, le spectacle était autant à l'écran que dans la pièce.
Empalée sur l'énorme chibre du sexagénaire, Sonia gémissait bruyamment en coulissant sur le pieu qui distendait son fourreau intime.
Subjuguée par l'étalon noir qui s'activait sur l'écran, Anne avait relevé sa jupe pour pouvoir se caresser à loisir. Lorsque l'orgasme la terrassa, Sonia et son nouvel amant avaient déjà rejoint la chambre de Riton pour s'envoyer en l'air en toute intimité.
Les cris de sa marraine prouvaient que malgré son âge, leur hôte était sacrément vigoureux et que les années n'avaient que peu d'influence sur son endurance.
- Oh Riton! Tu es inépuisable ! Tu vas m'ouvrir en deux avec ton engin monstrueux, s'était écriée Sonia alors qu'elle venait de prendre son pied en hurlant de plaisir.
- Putain ! Qu'est ce que t'es bonne ma jolie. Ça fait des années que j'avais pas fourré comme ça. Je vais te démonter toute la nuit.
- Oh ouiiii ! Démonte moi mon chéri. Baise moi...
Sonia avait visiblement perdu tout contrôle et Anne se demandait si elle allait lui proposer de la raccompagner avant la fin de la nuit.
@-------@
La jeune femme profita donc de sa mise à l'écart pour partir à l'exploration de la maison. En ouvrant un des placards de la chambre du propriétaire, elle tomba sur une magnifique collection de godemichés de tailles et de formes diverses.
Elle emprunta alors un modèle en latex très réaliste avec ses grosses veines saillantes. Puis elle alla le nettoyer dans la salle de bain attenante avant de s'allonger sur le lit les jambes bien écartées.
Ensuite, Anne titilla longuement son bouton turgescent avec le gros gland en caoutchouc avant d'introduire le gode dans sa chatte et de le faire coulisser dans son vagin jusqu'à ce qu'un puissant orgasme la laisse pantelante.
Provisoirement repue, la belle blonde s'endormit peu après, le sextoy posé à ses côtés.
@-------@
Le lendemain du dîner chez Riton tombant un jeudi, Anne put faire la grasse matinée et ainsi dormir jusqu'à dix heures et quart.
À son réveil, une tâche de sang maculait ses draps car la jeune femme qui dormait nue habituellement n'avait pas senti que les anglaises allaient débarquer.
Était ce dû à son activité sexuelle particulièrement intensive les semaines précédentes ? Toujours est il que ça ne lui était jamais arrivé de ne pas anticiper ses règles depuis qu'elle avait commencé à prendre la pilule l'année de ses dix-huit ans.
Anne se dirigea alors vers la douche puis une fois séchée, elle introduisit un tampon hygiénique dans son vagin. Elle tira légèrement sur la ficelle et constata avec satisfaction que le tampon tenait parfaitement ce qui la rassura sur l'état de ses muscles intimes malgré l'épaisseur très imposante des queues qu'elle avait récemment accueilli dans sa chatte.
Avant de partir, Anne se demanda si elle devait porter une culotte pendant son service pour éviter les risques de fuite et elle pensa aussi à Karim avec qui elle devait passer la soirée espérant que cette abondance de sécrétions féminines ne l'indisposerait pas.
@-------@
Anne avait commencé son service depuis plus d'une heure.
Dès son arrivée, elle avait été accueillie par Irène Dalembre qui l'avait avertie que le directeur des ventes souhaitait la voir après la fin de sa journée.
Se doutant de la raison de cette convocation et peu désireuse de s'offrir au vieux cochon dans cette période de son cycle menstruel, elle tenta de plaider à Irène son indisponibilité passagère.
- Que crois tu ma petite ? avait répondu la cheffe. Monsieur Frachon s'en fiche et puis il y a plusieurs chemins pour honorer une femme n'est ce pas ?
Anne avait tordu le nez car elle avait envie de passer la soirée avec Karim et elle s'était demandée comment elle allait pouvoir se sortir de cette situation.
Sachant qu'il n'aurait servi à rien d'argumenter à ce moment là, elle avait donc rejoint son rayon pour assurer son service.
La stagiaire venait de conclure la vente d'une guépière gris et noir en satin et de bas brillants gris à un couple de touristes anglais de passage dans la région.
La femme avait une quarantaine d'années. Dotée d'une belle chevelure rousse à la mise en pli typique des séries américaines prisées par les ménagères de moins de cinquante ans, d'un long nez et de grandes dents, elle possédait un très beau corps qu'elle n'hésitait pas à montrer en arborant un pull en laine au décolleté abyssal, une mini jupe en cuir et des bottines en cuir noir à talons aiguille.
Le mari grand et sec avait dépassé la cinquantaine. Il était doté d'une épaisse moustache grise recourbée aux extrémités et il portait un élégant costume trois pièces et des chaussures à lacets en daim.
L'homme n'avait pas cessé de mater avec une discrétion toute relative les formes avenantes et les jolies cuisses d'Anne pendant qu'elle s'occupait de son épouse.
Celle-ci avait donc fini par lui en faire la remarque en anglais, langue que la jolie stagiaire comprenait plutôt bien même si elle osait rarement s'y exprimer.
"Mon cher, au lieu de regarder avec concupiscence cette charmante jeune femme que vous seriez bien incapable d'honorer, je vous rappelle que vous devez me trouver avant ce soir un étalon fortement membré pour me baiser devant vous alors que je porterai la lingerie que vous êtes en train de m'offrir".
Anne avait saisi le sens général du propos et elle avait dû détourner la tête pour ne pas montrer son trouble au couple.
Pendant que le mari faisait la queue pour payer ses achats, la stagiaire prit son courage à deux mains pour s'adresser à la femme anglaise.
- Excusez moi, commença t-elle légèrement gênée, mais je pense avoir saisi ce que vous disiez à votre mari.
- Vraiment! S'étonna la quadragénaire d'une voix peu engageante.
- Je pense oui, et je peux peut-être vous aider dans votre recherche.
- Tiens donc ! fit la femme en prenant un ton plus obligeant.
- Si vous voulez bien m'attendre quelques minutes. Je vais en parler à ma responsable.
- Je ne pense pas qu'il soit utile que tout le magasin connaisse la vie intime de mon couple! répondit-elle à voix basse mais visiblement contrariée.
- Que se passe-t-il darling ? Déclara alors l'anglais en revenant de la caisse.
La femme s'exprima dans sa langue maternelle pour lui faire part de la conversation qu'elle venait d'avoir avec la jeune femme blonde.
L'homme considéra Anne mi surpris, mi amusé.
- Vraiment ? Commença t-il. Vous connaissez un homme qui pourrait contenter Margaret ce soir.
- Je crois, oui... Il n'est ni jeune ni beau mais il me semble que ce n'est pas forcément ce que recherche Margaret.
- En effet mon petit, admit le sujet britannique. Ma femme a besoin avant tout d'un homme vigoureux, endurant avec une très grosse bite.
"Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse" comme disent les Français.
Anne rosit légèrement choquée par la crudité du propos de l'anglais.
- Monsieur Frachon, le directeur des ventes du magasin où vous vous trouvez actuellement, correspond tout à fait à votre description.
- Ah bon! Et pourquoi ce monsieur accepterait il de sauter Margaret ?
- Parce que madame est une belle femme et le directeur adore les belles femmes.
- Comme vous par exemple Mademoiselle ? Questionna l'anglaise.
Anne éluda la question.
- Ce que je peux vous dire c'est que si ma proposition vous intéresse, il faut en parler à ma responsable qui transmettra votre demande à Monsieur Frachon.
L'anglais réfléchit quelques secondes avant de déclarer.
- Et bien soit allons voir cette dame.
Anne conduisit le couple jusqu'au bureau d'Irène Dalembre puis elle frappa à la porte.
- Oui. Qui est là ?
- C'est moi Anne, madame, je suis avec des clients qui ont une demande particulière à formuler.
Irène attendit que la surprise disparaisse de son visage avant d'aller ouvrir.
- Je vous présente Monsieur et madame Smith de Newcastle, commença Anne.
Ils fêtent leur anniversaire de rencontre aujourd'hui et Monsieur Smith souhaiterait offrir un cadeau un peu spécial à sa charmante épouse.
Voyant le grand sac à l'enseigne du magasin dans les mains de l'homme, la responsable du rayon afficha un large sourire commercial.
- Je vous en prie. Entrez et asseyez vous, dit elle en s'adressant au couple.
Que pouvons-nous faire pour vous ?
Anne prit alors la parole.
- Si vous n'avez plus besoin de moi, je vais retourner à mon rayon.
- C'est ça Anne. Tu peux y aller. Je vais m'occuper de madame et monsieur Smith, décida Irène.
Un quart d'heure plus tard, la stagiaire vit sa cheffe raccompagner les deux anglais à la sortie du magasin. Puis Irène vint la retrouver.
- Dis donc ma petite. Qu'est ce que c'est que cette initiative. Tu as de la chance que Monsieur Frachon l'ait bien pris et qu'il ait pu se mettre d'accord avec le couple de clients. Il voudrait néanmoins te voir avant que tu rentres chez toi ce soir.
@-------@
- Décidément, tu es pleine de surprise ma belle! commença Frachon alors qu'Anne lui faisait face debout dans son bureau.
Peux tu me dire pourquoi tu as proposé aux anglais de venir me voir pour formuler leur requête plutôt inhabituelle ?
Anne prit une voix humble pour répondre.
- j'ai expliqué à madame Dalembre que je suis actuellement indisposée et que dans ces conditions je préférais éviter certaines relations. J'ai donc profité de l'opportunité pour vanter votre virilité à ces touristes.
- Allons ! Tu verras bien vite que ces indispositions n'en sont pas et que tu trouveras autant de plaisir à coucher avec un homme pendant tes périodes que les autres jours. Tu as bien compris que ce qui compte avant tout chez un homme, c'est son outil et la manière dont il s'en sert.
- Oui Monsieur.
- Néanmoins je te remercie car, grâce à toi, je vais me taper ce soir une femme très bien foutue qui m'a l'air en outre extrêmement salope. Pourtant, vois-tu, elle semblait un peu réticente au début de notre entrevue mais quand je lui ai déballé la marchandise, elle a très vite revu sa position, s'esclaffa bruyamment le directeur avant de poursuivre sur un ton glacial.
- Je suppose que ton indisposition aura pris fin lundi prochain.
- Je l'espère répondit Anne.
- En ce cas, je t'attendrai dans mon bureau après ton service. Tu me rendras visite comme d'habitude sans culotte ni soutien gorge. C'est bien compris !
- Oui Monsieur, répondit la stagiaire.
- Parfait. Je tiens à ce que mes employés restent à leur place. Bon! assez palabré pour ce soir. Je ne veux pas faire attendre Margaret car comme tu le sais, on ne fait pas attendre les clients. Allez, tire toi maintenant !
Anne salua le directeur avec froideur avant de quitter le grand bureau.
"Ce type est vraiment un connard" pensa-t-elle en se dirigeant vers la sortie du personnel.
Le lundi suivant, la stagiaire sexy put s'épargner un nouveau tête à tête avec Frachon forcé de passer la journée au lit à cause d'une rage de dents carabinée.
@-------@
Quelques minutes après avoir quitté le chef des ventes, Anne retrouva Karim qui l'attendait casque à la main à côté de sa Honda. Les deux jeunes gens échangèrent un long baiser avant qu'Anne grimpe sur la selle au grand plaisir du vieux type qui attendait à son poste habituel espérant apercevoir une fois de plus la chatte de la jolie blonde. Mais cette fois-ci, il en fut pour ses frais car Anne portait une culotte plutôt couvrante pour prévenir les risques de fuite.
Une fois la moto garée, Anne mit son petit copain au courant de l'arrivée de ses règles mais celui-ci ne sembla pas plus affecté que ça.
- Je m'en fiche ma chérie. À moins que ça te gêne d'une manière ou d'une autre c'est pas ça qui va m'empêcher de te sauter.
- Ah bon ? Fit Anne avec un air mutin. Alors je veux bien si tu me lèches le minou avant.
Karim éclata de rire.
- T'es une sacrée nana toi! déclara t-il avant d'embrasser Anne à nouveau.
Effectivement, les règles de la jolie blonde furent vite oubliées et Karim honora tous les orifices de la jeune femme jusqu'à une heure tardive de la soirée.
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Le lendemain, Anne fut surprise de voir le touriste anglais lui rendre à nouveau visite dans son rayon. Après l'avoir salué avec déférence, elle se permit de l'interroger.
- Vous n'êtes pas venu avec votre femme aujourd'hui ?
- Non mon petit. Votre directeur l'a tellement éreintée la nuit dernière qu'elle a préféré rester dans notre location. Ce type s'est comporté comme une brute odieuse avec Margaret mais à ma grande surprise, ma femme a adoré se faire traiter de la sorte par ce butor. Il faut dire qu'avant hier soir je n'avais jamais vu Margaret accueillir un braquemart aussi gros dans la chatte et le cul et éprouver de tels orgasmes.
Je vous remercie donc pour votre à-propos qui a permis à mon épouse de vivre cette nuit qui restera sans doute inoubliable pour elle.
Le type s'interrompit quelques secondes avant de reprendre.
- Mais je ne suis pas venu aujourd'hui pour vous parler des coïts de ma femme.
Margaret a besoin de quelques paires de bas supplémentaires avant que nous poursuivions notre voyage vers l'Espagne.
Anne conseilla donc son client qui repartit avec cinq boîtes de bas fantaisie qui, selon la jolie blonde, mettraient parfaitement en valeur les jambes magnifiques de son épouse.
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Irène Dalembre était assise dans le bureau du directeur.
- Ah ma bonne Irène! Commença Frachon. Je suis tombé hier soir sur une sacrée salope, tu peux me croire. Ces anglaises sont incroyables.
Je saurai remercier notre petite stagiaire comme il se doit lundi soir ajouta l'homme avec une grimace libidineuse. Il faut dire qu'elle est elle aussi une belle petite salope... et elle n'a que vingt-et-un ans.
Le directeur des ventes resta pensif quelques secondes.
- j'ai l'impression que je suis en train de retrouver mon énergie de la grande époque ma bonne Irène. Ça tombe bien. Nos Ventes Ultra Privées ont lieu dans quatre semaines. Il faudra absolument que je dispose d'une chambre dans le "Monastère" pour pouvoir m'occuper de quelques clientes à la recherche d'émotions fortes. Tu es d'accord Irène n'est ce pas ?
- Je m'en occuperai Roger. Vous pouvez me faire confiance.
- Je connais ta dévotion pour l'entreprise et pour moi ma chère, ajouta Frachon en se levant pour dégraffer sa ceinture. C'est pourquoi tu vas venir me sucer maintenant.
La responsable se leva aussitôt pour aller satisfaire son chef.
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Les parties de baise débridées avec le harder l'avaient épuisée et elle avait dormi d'une traite après son retour chez elle le dimanche soir.
Malgré ses onze heures de sommeil, la jeune femme n'avait pas totalement récupéré et elle avait hâte de finir son service pour retrouver son lit au plus tôt.
De son côté, l'acteur avait pris l'avion en fin de matinée. Ses vacances étaient terminées et il devait regagner Paris pour retrouver ses affaires ainsi que sa fiancée, la star du X Jennifer Latrick.
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Le lendemain, après une seconde nuit de sommeil de plus de dix heures, Anne était de nouveau en pleine forme prête à passer une soirée torride avec Karim, son petit ami, qu'elle avait beaucoup délaissé depuis qu'elle avait fait la connaissance de Richard Longequeue. Alors qu'elle commençait à avoir faim et pensait de plus à plus à son déjeuner, elle reçut la visite surprise de sa marraine.
- Coucou ma chérie, avait simplement lâché Mademoiselle Péchenot en approchant de sa filleule.
La femme aux cheveux châtains d'un mètre cinquante-cinq était juchée sur des talons aiguille de quatorze centimètres et était vêtue d'un tailleur qui découvrait ses genoux ronds et mettait en valeur un joli et profond décolleté.
Elle s'arrêta un moment pour examiner Anne appréciant d'un oeil averti la tenue sexy de la jeune femme.
- Tu es absolument craquante ma belle! lâcha Sonia impressionnée. Tu devrais dire à ta mère de prendre exemple sur toi. Elle ne resterait pas seule longtemps.
La jolie blonde s'approcha de sa marraine pour lui faire la bise.
- Tu aurais dû me dire que tu comptais passer me voir. Je me serais arrangée pour t'accueillir.
- Ne t'inquiètes pas ma chérie. Je suis venue sur un coup de tête. J'étais censée déjeuner avec Germain, un homme que j'ai rencontré il y a une semaine dans un dancing. Mais il m'a posé un lapin. Inutile de te dire qu'il n'est pas prêt de me revoir. Donc me voilà à nouveau libre pour une nouvelle aventure.
En tout cas, il en faut plus que l'impolitesse d'un goujat pour me couper l'appétit. Ça te dirait de déjeuner avec moi ? C'est moi qui invite bien sûr.
- Avec plaisir. Surtout que je commence à être affamée. Ma pause déjeuner débute dans dix minutes. Veux tu que je te montre quelques nouveautés en attendant?
- Ça dépend. J'aimerais bien m'offrir quelques petites culottes affriolantes même s'il m'arrive de sortir sans, déclara Sonia avec un clin d'oeil appuyé à sa filleule.
Toi même, tu portes quel genre de slip en ce moment avec tes jolis bas plumetis ?
La question fit rougir Anne qui hésita à répondre.
Sa marraine esquissa un sourire.
- Ne me dis pas que tu n'en as pas !
Anne devenait de plus en plus rouge. Elle s'approcha de Sonia pour lui avouer d'une petite voix:
- Ça fait plus de deux semaines que la hiérarchie m'a demandé de ne pas porter de culotte pendant mon service.
Sonia regarda sa filleule les yeux ronds.
- Ah bon ! Et ça ne te gêne pas ?
- Non, c'est plutôt agréable et je n'y fais même plus attention.
- Et bien dis donc! tu es sûre que tu es la fille de mon amie Danielle? déclara Sonia en riant.
- Je vois qu'il est l'heure, ajouta-t-elle en consultant sa montre. Ça te tente d'aller manger dans la brasserie à côté ?
- Bien sûr ! Répondit Anne.
- Super ! Je suis sûre que tu as plein de choses à me raconter que tu n'as pas forcément envie de confier à ta mère.
Mlle Péchenot avait commandé une bouteille de vin lorsque le maître d'hôtel les eut installées. Après avoir descendu un verre et demi de Madiran, sa filleule était devenue beaucoup plus diserte.
Les révélations d'Anne estomaquèrent sa marraine.
- Et bien dis donc ma chérie. Tu caches bien ton jeu. À ton âge, j'avais déjà eu pas mal d'amants mais aucun acteur porno ni directeur de magasin monté comme un âne. Ainsi tu t'es faite sauter par Dick Londar. Je n'en reviens pas.
- Oui. Il m'a même proposé de tourner dans un de ses films le mois prochain.
Figure toi qu'il a installé un grand studio de prises de vues dans son sous-sol.
- Tu te fiches de moi je suppose ?
Anne fit la moue.
- Pas du tout. Il m'a dit que je pourrais tourner une scène avec Malcolm Doublix un acteur dont la cote est paraît-il en pleine ascension. Tu le connais ?
- Je vais peut être te surprendre mais figure toi qu'il m'est souvent arrivé de regarder des vidéos porno ma chérie. Notamment avec Romuald un de mes ex, qui avait toujours rêver de faire carrière dans ce métier mais qui n'a jamais pu percer. Et pourtant je peux te dire que son engin, sans rivaliser bien sûr avec celui de Dick Londar, est de fort belle taille. Le problème c'est qu'il perd tous ses moyens dès qu'il y a du public. La seule fois où il m'avait emmenée dans un club échangiste, il avait été incapable de bander. Par contre moi, ce jour là, j'avais pris cher. Un très bon souvenir finalement.
- Alors il est comment ce Malcolm Doublix? Demanda Anne de plus en plus curieuse.
- Magnifique ma chérie. Un très bel homme noir grand et musclé avec une queue superbe. Une colonne de chair couleur charbon très épaisse qui au repos ne doit pas mesurer loin de vingt centimètres.
Vous feriez sans aucun doute un très beau couple Malcolm et toi.
Anne s'était mise à mouiller en imaginant l'étalon décrit par sa tante en train de la sodomiser devant la caméra.
- Cette semaine, je risque d'être disponible par la force des choses expliqua Sonia. Si tu veux, je peux nous louer pour un soir une vidéo avec Malcolm et nous la regarderons ensemble chez moi devant un bon repas.
Anne réfléchit quelques secondes avant de pousser une petite exclamation.
- Je ne t'ai pas tout dit concernant mon week-end avec Dick Londar. Figure toi que son père vit à l'année dans la maison de son fils. Il a plus de soixante ans mais il est très bien conservé et surtout il a un machin énorme qui devrait te plaire.
- Ne me dis pas qu'il t'a sautée lui aussi !
Anne rougit à peine.
- En fait j'ai eu pitié lorsque Riton - c'est comme ça que l'appelle son fils - s'est pointé dans la chambre alors que Richard était en train de me sodomiser. Et j'ai accepté qu'il me baise la chatte en même temps.
- Tu veux dire que tu as eu droit à une double pénétration avec le roi du porno et son père !
Anne baissa les yeux et éluda la question:
- Ce dont je suis sûre c'est que dans leur maison, il y a une impressionnante collection de vidéos pornographiques et il doit forcément y avoir des films de Malcolm Doublix.
- Écoute! je te laisse organiser tout ça. Je me sens un peu dépassée. Demain soir serait pas mal. Tu n'auras qu'à dire à ton Riton s'il est d'accord, que j'apporterai ce qu'il faut pour le dîner.
- Ok je l'appellerai dans l'après-midi et je te rappellerai ce soir de la maison, avant d'aller retrouver mon copain chez lui, pour te confirmer le rendez-vous.
Sonia ne put s'empêcher de rire.
- Dis donc ton copain, il est drôlement compréhensif. Ça ne l'embête pas que sa petite amie se tape des acteurs pornos et des vieux cochons.
- Ça ne me semble pas utile de lui en parler, déclara la jolie blonde avec un aplomb qui sidéra Sonia.
@-------@
Le mercredi soir, Anne se présenta vers sept heures en compagnie de sa marraine à la porte d'entrée de la grande villa de Richard Longequeue.
Riton, le père du propriétaire vint leur ouvrir la porte.
Peigné et rasé de frais, il avait passé son vieux costume et ses chaussures anglaises poussant même le raffinement à arborer fièrement une cravate pour recevoir ses invitées.
- Tu es toujours aussi belle Anne! Lâcha l'homme avec un regard gourmand avant de faire la bise à la jolie blonde.
- Bonjour Riton. Je te présente Sonia ma marraine.
- Bonjour Mademoiselle, c'est mon jour de chance on dirait. Recevoir le même soir deux femmes aussi sexys et ravissantes, ça ne m'était pas arrivé depuis des années.
- Bonjour Riton. Vous n'êtes pas mal non plus, minauda Sonia agréablement surprise par l'apparence de leur hôte.
"Je crois que j'ai bien fait de ne pas mettre de culotte ce soir" se rejouit-elle intérieurement en espérant que son célibat forcé n'allait guère perdurer alors que le maître de maison les conduisait dans le salon pour leur offrir l'apéritif.
Riton remplit les coupes de Champagne avant d'entamer la conversation.
- Je suis ravi qu'Anne ait décidé de me présenter sa marraine. Ça ne vous embête pas Sonia si on se tutoie.
- Pas du tout Riton. Bien au contraire. Je suis moi aussi très heureuse de te rencontrer. Anne m'a avoué que tu t'ennuyais un peu dans cette grande maison et lorsqu'elle m'a proposé qu'on vienne te tenir compagnie ce soir, j'ai évidemment accepté.
- C'est très gentil de ta part. Et je suis d'autant plus heureux que ta filleule m'a expliqué que tu es un vrai cordon bleu.
- C'est vrai que j'aime cuisiner mais ce soir ce sera très simple. Nous ne sommes pas venues pour nous gaver.
- Je sais. Anne m'a demandé si j'avais des vidéos de Malcolm Doublix. Évidemment, expliqua Riton, mon fils possède toutes ses oeuvres puisque c'est lui qui produit ses films depuis qu'il a commencé à être connu. Si vous êtes d'accord, nous allons commencer par dîner et ensuite nous irons dans la salle de projection voir un de ces longs métrages qui vous intéressent tant.
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L'alcool aidant, le repas fut très gai et Sonia s'était fortement rapprochée de Riton. Tant et si bien qu'ils se retrouvèrent tous les deux côte à côte sur le confortable canapé de la salle de projection laissant Anne s'étendre sur une des méridiennes.
La première scène d'action réunissant Jennifer Latrick et Malcolm Doublix ne tarda pas et Anne avait la chatte toute humide en voyant le beau noir honorer sa partenaire.
Riton était lui aussi très en forme et même s'il avait déjà vu le film à plusieurs reprises, la présence de Sonia à ses côtés était un puissant stimulant.
D'ailleurs, la jolie femme, elle aussi très émoustillée par la bosse apparue à l'entrejambe de Riton, n'avait guère attendu pour extirper son énorme queue de son caleçon avant de l'emboucher avec délectation.
Quelques minutes plus tard, le spectacle était autant à l'écran que dans la pièce.
Empalée sur l'énorme chibre du sexagénaire, Sonia gémissait bruyamment en coulissant sur le pieu qui distendait son fourreau intime.
Subjuguée par l'étalon noir qui s'activait sur l'écran, Anne avait relevé sa jupe pour pouvoir se caresser à loisir. Lorsque l'orgasme la terrassa, Sonia et son nouvel amant avaient déjà rejoint la chambre de Riton pour s'envoyer en l'air en toute intimité.
Les cris de sa marraine prouvaient que malgré son âge, leur hôte était sacrément vigoureux et que les années n'avaient que peu d'influence sur son endurance.
- Oh Riton! Tu es inépuisable ! Tu vas m'ouvrir en deux avec ton engin monstrueux, s'était écriée Sonia alors qu'elle venait de prendre son pied en hurlant de plaisir.
- Putain ! Qu'est ce que t'es bonne ma jolie. Ça fait des années que j'avais pas fourré comme ça. Je vais te démonter toute la nuit.
- Oh ouiiii ! Démonte moi mon chéri. Baise moi...
Sonia avait visiblement perdu tout contrôle et Anne se demandait si elle allait lui proposer de la raccompagner avant la fin de la nuit.
@-------@
La jeune femme profita donc de sa mise à l'écart pour partir à l'exploration de la maison. En ouvrant un des placards de la chambre du propriétaire, elle tomba sur une magnifique collection de godemichés de tailles et de formes diverses.
Elle emprunta alors un modèle en latex très réaliste avec ses grosses veines saillantes. Puis elle alla le nettoyer dans la salle de bain attenante avant de s'allonger sur le lit les jambes bien écartées.
Ensuite, Anne titilla longuement son bouton turgescent avec le gros gland en caoutchouc avant d'introduire le gode dans sa chatte et de le faire coulisser dans son vagin jusqu'à ce qu'un puissant orgasme la laisse pantelante.
Provisoirement repue, la belle blonde s'endormit peu après, le sextoy posé à ses côtés.
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Le lendemain du dîner chez Riton tombant un jeudi, Anne put faire la grasse matinée et ainsi dormir jusqu'à dix heures et quart.
À son réveil, une tâche de sang maculait ses draps car la jeune femme qui dormait nue habituellement n'avait pas senti que les anglaises allaient débarquer.
Était ce dû à son activité sexuelle particulièrement intensive les semaines précédentes ? Toujours est il que ça ne lui était jamais arrivé de ne pas anticiper ses règles depuis qu'elle avait commencé à prendre la pilule l'année de ses dix-huit ans.
Anne se dirigea alors vers la douche puis une fois séchée, elle introduisit un tampon hygiénique dans son vagin. Elle tira légèrement sur la ficelle et constata avec satisfaction que le tampon tenait parfaitement ce qui la rassura sur l'état de ses muscles intimes malgré l'épaisseur très imposante des queues qu'elle avait récemment accueilli dans sa chatte.
Avant de partir, Anne se demanda si elle devait porter une culotte pendant son service pour éviter les risques de fuite et elle pensa aussi à Karim avec qui elle devait passer la soirée espérant que cette abondance de sécrétions féminines ne l'indisposerait pas.
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Anne avait commencé son service depuis plus d'une heure.
Dès son arrivée, elle avait été accueillie par Irène Dalembre qui l'avait avertie que le directeur des ventes souhaitait la voir après la fin de sa journée.
Se doutant de la raison de cette convocation et peu désireuse de s'offrir au vieux cochon dans cette période de son cycle menstruel, elle tenta de plaider à Irène son indisponibilité passagère.
- Que crois tu ma petite ? avait répondu la cheffe. Monsieur Frachon s'en fiche et puis il y a plusieurs chemins pour honorer une femme n'est ce pas ?
Anne avait tordu le nez car elle avait envie de passer la soirée avec Karim et elle s'était demandée comment elle allait pouvoir se sortir de cette situation.
Sachant qu'il n'aurait servi à rien d'argumenter à ce moment là, elle avait donc rejoint son rayon pour assurer son service.
La stagiaire venait de conclure la vente d'une guépière gris et noir en satin et de bas brillants gris à un couple de touristes anglais de passage dans la région.
La femme avait une quarantaine d'années. Dotée d'une belle chevelure rousse à la mise en pli typique des séries américaines prisées par les ménagères de moins de cinquante ans, d'un long nez et de grandes dents, elle possédait un très beau corps qu'elle n'hésitait pas à montrer en arborant un pull en laine au décolleté abyssal, une mini jupe en cuir et des bottines en cuir noir à talons aiguille.
Le mari grand et sec avait dépassé la cinquantaine. Il était doté d'une épaisse moustache grise recourbée aux extrémités et il portait un élégant costume trois pièces et des chaussures à lacets en daim.
L'homme n'avait pas cessé de mater avec une discrétion toute relative les formes avenantes et les jolies cuisses d'Anne pendant qu'elle s'occupait de son épouse.
Celle-ci avait donc fini par lui en faire la remarque en anglais, langue que la jolie stagiaire comprenait plutôt bien même si elle osait rarement s'y exprimer.
"Mon cher, au lieu de regarder avec concupiscence cette charmante jeune femme que vous seriez bien incapable d'honorer, je vous rappelle que vous devez me trouver avant ce soir un étalon fortement membré pour me baiser devant vous alors que je porterai la lingerie que vous êtes en train de m'offrir".
Anne avait saisi le sens général du propos et elle avait dû détourner la tête pour ne pas montrer son trouble au couple.
Pendant que le mari faisait la queue pour payer ses achats, la stagiaire prit son courage à deux mains pour s'adresser à la femme anglaise.
- Excusez moi, commença t-elle légèrement gênée, mais je pense avoir saisi ce que vous disiez à votre mari.
- Vraiment! S'étonna la quadragénaire d'une voix peu engageante.
- Je pense oui, et je peux peut-être vous aider dans votre recherche.
- Tiens donc ! fit la femme en prenant un ton plus obligeant.
- Si vous voulez bien m'attendre quelques minutes. Je vais en parler à ma responsable.
- Je ne pense pas qu'il soit utile que tout le magasin connaisse la vie intime de mon couple! répondit-elle à voix basse mais visiblement contrariée.
- Que se passe-t-il darling ? Déclara alors l'anglais en revenant de la caisse.
La femme s'exprima dans sa langue maternelle pour lui faire part de la conversation qu'elle venait d'avoir avec la jeune femme blonde.
L'homme considéra Anne mi surpris, mi amusé.
- Vraiment ? Commença t-il. Vous connaissez un homme qui pourrait contenter Margaret ce soir.
- Je crois, oui... Il n'est ni jeune ni beau mais il me semble que ce n'est pas forcément ce que recherche Margaret.
- En effet mon petit, admit le sujet britannique. Ma femme a besoin avant tout d'un homme vigoureux, endurant avec une très grosse bite.
"Qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse" comme disent les Français.
Anne rosit légèrement choquée par la crudité du propos de l'anglais.
- Monsieur Frachon, le directeur des ventes du magasin où vous vous trouvez actuellement, correspond tout à fait à votre description.
- Ah bon! Et pourquoi ce monsieur accepterait il de sauter Margaret ?
- Parce que madame est une belle femme et le directeur adore les belles femmes.
- Comme vous par exemple Mademoiselle ? Questionna l'anglaise.
Anne éluda la question.
- Ce que je peux vous dire c'est que si ma proposition vous intéresse, il faut en parler à ma responsable qui transmettra votre demande à Monsieur Frachon.
L'anglais réfléchit quelques secondes avant de déclarer.
- Et bien soit allons voir cette dame.
Anne conduisit le couple jusqu'au bureau d'Irène Dalembre puis elle frappa à la porte.
- Oui. Qui est là ?
- C'est moi Anne, madame, je suis avec des clients qui ont une demande particulière à formuler.
Irène attendit que la surprise disparaisse de son visage avant d'aller ouvrir.
- Je vous présente Monsieur et madame Smith de Newcastle, commença Anne.
Ils fêtent leur anniversaire de rencontre aujourd'hui et Monsieur Smith souhaiterait offrir un cadeau un peu spécial à sa charmante épouse.
Voyant le grand sac à l'enseigne du magasin dans les mains de l'homme, la responsable du rayon afficha un large sourire commercial.
- Je vous en prie. Entrez et asseyez vous, dit elle en s'adressant au couple.
Que pouvons-nous faire pour vous ?
Anne prit alors la parole.
- Si vous n'avez plus besoin de moi, je vais retourner à mon rayon.
- C'est ça Anne. Tu peux y aller. Je vais m'occuper de madame et monsieur Smith, décida Irène.
Un quart d'heure plus tard, la stagiaire vit sa cheffe raccompagner les deux anglais à la sortie du magasin. Puis Irène vint la retrouver.
- Dis donc ma petite. Qu'est ce que c'est que cette initiative. Tu as de la chance que Monsieur Frachon l'ait bien pris et qu'il ait pu se mettre d'accord avec le couple de clients. Il voudrait néanmoins te voir avant que tu rentres chez toi ce soir.
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- Décidément, tu es pleine de surprise ma belle! commença Frachon alors qu'Anne lui faisait face debout dans son bureau.
Peux tu me dire pourquoi tu as proposé aux anglais de venir me voir pour formuler leur requête plutôt inhabituelle ?
Anne prit une voix humble pour répondre.
- j'ai expliqué à madame Dalembre que je suis actuellement indisposée et que dans ces conditions je préférais éviter certaines relations. J'ai donc profité de l'opportunité pour vanter votre virilité à ces touristes.
- Allons ! Tu verras bien vite que ces indispositions n'en sont pas et que tu trouveras autant de plaisir à coucher avec un homme pendant tes périodes que les autres jours. Tu as bien compris que ce qui compte avant tout chez un homme, c'est son outil et la manière dont il s'en sert.
- Oui Monsieur.
- Néanmoins je te remercie car, grâce à toi, je vais me taper ce soir une femme très bien foutue qui m'a l'air en outre extrêmement salope. Pourtant, vois-tu, elle semblait un peu réticente au début de notre entrevue mais quand je lui ai déballé la marchandise, elle a très vite revu sa position, s'esclaffa bruyamment le directeur avant de poursuivre sur un ton glacial.
- Je suppose que ton indisposition aura pris fin lundi prochain.
- Je l'espère répondit Anne.
- En ce cas, je t'attendrai dans mon bureau après ton service. Tu me rendras visite comme d'habitude sans culotte ni soutien gorge. C'est bien compris !
- Oui Monsieur, répondit la stagiaire.
- Parfait. Je tiens à ce que mes employés restent à leur place. Bon! assez palabré pour ce soir. Je ne veux pas faire attendre Margaret car comme tu le sais, on ne fait pas attendre les clients. Allez, tire toi maintenant !
Anne salua le directeur avec froideur avant de quitter le grand bureau.
"Ce type est vraiment un connard" pensa-t-elle en se dirigeant vers la sortie du personnel.
Le lundi suivant, la stagiaire sexy put s'épargner un nouveau tête à tête avec Frachon forcé de passer la journée au lit à cause d'une rage de dents carabinée.
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Quelques minutes après avoir quitté le chef des ventes, Anne retrouva Karim qui l'attendait casque à la main à côté de sa Honda. Les deux jeunes gens échangèrent un long baiser avant qu'Anne grimpe sur la selle au grand plaisir du vieux type qui attendait à son poste habituel espérant apercevoir une fois de plus la chatte de la jolie blonde. Mais cette fois-ci, il en fut pour ses frais car Anne portait une culotte plutôt couvrante pour prévenir les risques de fuite.
Une fois la moto garée, Anne mit son petit copain au courant de l'arrivée de ses règles mais celui-ci ne sembla pas plus affecté que ça.
- Je m'en fiche ma chérie. À moins que ça te gêne d'une manière ou d'une autre c'est pas ça qui va m'empêcher de te sauter.
- Ah bon ? Fit Anne avec un air mutin. Alors je veux bien si tu me lèches le minou avant.
Karim éclata de rire.
- T'es une sacrée nana toi! déclara t-il avant d'embrasser Anne à nouveau.
Effectivement, les règles de la jolie blonde furent vite oubliées et Karim honora tous les orifices de la jeune femme jusqu'à une heure tardive de la soirée.
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Le lendemain, Anne fut surprise de voir le touriste anglais lui rendre à nouveau visite dans son rayon. Après l'avoir salué avec déférence, elle se permit de l'interroger.
- Vous n'êtes pas venu avec votre femme aujourd'hui ?
- Non mon petit. Votre directeur l'a tellement éreintée la nuit dernière qu'elle a préféré rester dans notre location. Ce type s'est comporté comme une brute odieuse avec Margaret mais à ma grande surprise, ma femme a adoré se faire traiter de la sorte par ce butor. Il faut dire qu'avant hier soir je n'avais jamais vu Margaret accueillir un braquemart aussi gros dans la chatte et le cul et éprouver de tels orgasmes.
Je vous remercie donc pour votre à-propos qui a permis à mon épouse de vivre cette nuit qui restera sans doute inoubliable pour elle.
Le type s'interrompit quelques secondes avant de reprendre.
- Mais je ne suis pas venu aujourd'hui pour vous parler des coïts de ma femme.
Margaret a besoin de quelques paires de bas supplémentaires avant que nous poursuivions notre voyage vers l'Espagne.
Anne conseilla donc son client qui repartit avec cinq boîtes de bas fantaisie qui, selon la jolie blonde, mettraient parfaitement en valeur les jambes magnifiques de son épouse.
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Irène Dalembre était assise dans le bureau du directeur.
- Ah ma bonne Irène! Commença Frachon. Je suis tombé hier soir sur une sacrée salope, tu peux me croire. Ces anglaises sont incroyables.
Je saurai remercier notre petite stagiaire comme il se doit lundi soir ajouta l'homme avec une grimace libidineuse. Il faut dire qu'elle est elle aussi une belle petite salope... et elle n'a que vingt-et-un ans.
Le directeur des ventes resta pensif quelques secondes.
- j'ai l'impression que je suis en train de retrouver mon énergie de la grande époque ma bonne Irène. Ça tombe bien. Nos Ventes Ultra Privées ont lieu dans quatre semaines. Il faudra absolument que je dispose d'une chambre dans le "Monastère" pour pouvoir m'occuper de quelques clientes à la recherche d'émotions fortes. Tu es d'accord Irène n'est ce pas ?
- Je m'en occuperai Roger. Vous pouvez me faire confiance.
- Je connais ta dévotion pour l'entreprise et pour moi ma chère, ajouta Frachon en se levant pour dégraffer sa ceinture. C'est pourquoi tu vas venir me sucer maintenant.
La responsable se leva aussitôt pour aller satisfaire son chef.
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Minielulu
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Minielulu