Les mille et une nuits
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2011 dans la catégorie En solitaire
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Les mille et une nuits
Je dois partir pour diriger les travaux que mon entreprise a eut après adjudication en Afrique. Je connais pas mal le Sénégal, je ne suis pas dépaysé, je parle en wolof, même si la langue officielle est le français. Je préfère aller en Afrique qu’au Canada car je crains le froid.
Je dois laisser ma femme seule en France. Pour nous deux c’est déchirant, ce n'est pas marrant de laisser derrière soit une femme qu’on aime, avec qui on fait l’amour toujours comme au premiers jours et qui le demande... souvent. Nous savons qu’elle se masturbera en mon absence, comme nous savons que je le ferai aussi.
Avant de partir elle met dans une valise un gros cahier : je dois en lire une page chaque soir en me couchant. Elle m’interdit même de le feuilleter, sinon, ce ne serait pas correct de ma part.
Je dois partir le lendemain, direction Roissy et grand départ. Cette soirée pourrait se dérouler dans une ambiance de tristesse. Elle se transforme en annexe de la maison d’Eros. Elle est déchaînée. Elle me veut partout à la fois !!!
Elle a commencé par m’embrasser longuement, m’a fait tirer la langue pour que la sienne vienne la caresser hors de nos bouches. Elle m’a déshabillé, embrassé partout, surtout la bite. J’ai pu apprécier quand elle léchait ma colonne de bas en haut et retour. Je ne pouvais rien faire quand, étant sur le dos, elle me chevauchait pour entrer ma queue dans sa chatte. Penchée en arrière, elle profitait également de sa main sur son clitoris. Je voyais ses seins sursauter au fur et à mesure de la baise. Juste avant de jouir, elle se couchait sur moi pour m’embrasser encore. Vers la fin, elle s’est mise en levrette en me demandant de l’enculer. Je suis venu sur elle, lui ai bien mouillé la pastille juste avant de forcer à peine pour l’enfiler. Nous avons joui pratiquement ensemble.
J’ai pu dormir 2 heures avant de m’habiller pour le départ. Elle n’a pas voulu m’accompagner, je l’ai embrassée encore une dernière fois, je lui ai posé un instant une main sur le pubis et je suis parti.
Arrivé à Yoff, 5 heures plus tard, je suis reçu par le correspondant local de ma société. J’ai reçu un coup de chaleur juste en sortant de l’avion quand la porte s’est ouverte. Maintenant, je suis dirigé vers le chantier, pour y arriver à la fin du jour, sous les tropique le soleil tombe vite.
J’ai droit à une tente pour moi tout seul, tente encombrée d’un bureau. Je grignote un peu avant d'aller me coucher, même si le décalage horaire est faible je suis fatigué un peu du voyage et beaucoup de la dernière nuit. Je tombe sur le lit comme un sac de plomb. Je dors sans me réveiller jusqu’au matin 9 heures.
Je suis frais et dispos au réveil. Le personnel arrive doucement, mon travail de la journée est calme : je dois constituer les premières équipes. Nous prenons nos repas ensemble. Le soir tombe et tout le monde rejoint sa tente.
Je repense au gros cahier de ma femme. Je le trouve au fond de ma valise. Je l’ouvre et je commence la lecture :
« Mon chéri, ne lit que cette entrée en matière et le premier chapitre. « Tu ne dois jamais aller plus loin, un seul chapitre par jour, comme « dans les Mille et une Nuits, ce doit être aussi intéressant. Sache que je « t’aime, que mon corps aime le tiens, que je me servirai de mon gode, « celui que tu m’as offert pour la Saint Valentin. Je m’en servirai trois fois par jour : le matin au réveil, dans l’après midi, vers 16 heures et le soir en me couchant. Je penserai toujours à nos baises. Quand tu te branleras essaie de respecter ces horaires en pensant que je suis à tes cotés pendant que te me baise par la pensée.
Je me suis arrangée pour que tu lises ce que j’ai écris vers 22 heures. Fais en autant, ne te branle pas avant, ni après.
Je commence à bander, je la vois nue, sur le lit le gode dans son sexe, sa main droite dirigeant le gode et l’autre main sur le sein gauche, sa tête en arrière comme elle le fait toujours juste avant de jouir.
Je regarde l’heure : il est presque l'heure, j’ai le temps de me déshabiller, de m’allonger et d’ouvrir le cahier. Je le tiens dans la main gauche, je fais bien de le tenir ainsi.
La suite du cahier est assez chaude. Elle décrit du mieux possible ce qu’elle ressent quand elle se masturbe :
Elle commence par avoir un creux au fond de son ventre. Elle sait ce que veut dire ce creux depuis qu’elle est adolescente. Elle ne connait que deux moyens pour le faire passer : le premier est de baiser, le second et de se donner elle-même du plaisir. Elle explique qu’au début, elle se caressait seulement les grandes lèvres, une copine avec qui elle parlait lui indiquait qu’il fallait qu’elle trouve son clitoris, qu’elle le caresse doucement et qu’elle jouirai d’avantage. Depuis c’est ainsi qu’elle jouit en plaisir solitaire, même si c’est fait devant moi.
Nous aimons c’est vrai nous branler l’un devant l’autre : elle est couchée sur le dos, je suis à genoux entre ses jambes, sa main caresse de plus en plus vite son bouton. Ma main enserre ma bite, comme elle, je vais de plus en plus vite. Nous essayons de jouir ensemble Ce que nous aimons est de voir le visage de l’autre au moment de l’orgasme.
Quand elle est seule, elle jouit d’abord avec le clitoris et ensuite elle se baise avec le gode. Elle le prend d’abord dans le bouche, le lèche comme si c’était ma pine, le pose sur ses tétons tout mouillés. Elle le fait glisser des seins jusqu’au pubis en le faisant à peine entrer dans le nombril, elle saute sa fourrure, le passe sur son bouton, le fait courir entre ses lèvres pour effleurer son entrée et aller se perdre un instant sur l’anus.
Elle caresse l’anus pour être encore plus excitée, remonte le gode et d’un seul coup l’enfile dans la chatte. Elle le lâche quand il est au fond de son ventre. Elle caresse ses seins, surtout les tétons. Petit à petit le gode sort de sa chatte. Elle sait qu’elle a le temps avant qu’il soit totalement dehors, alors elle passe une main sous ses fesses pour aller entrer juste une phalange dans son cul. Elle fait bouger son doigt à l’intérieur de son cul. Quand elle sent que le gode va la quitter, elle le reprend en main et commence les allers et venues. Elle enfonce trois doigts dans l’anus, elle se fait ainsi une double pénétration, chose que je lui ai promis et que je n’ai jamais provoqué.
Elle jouit une première fois avant de changer le gode de place, elle le pose sur son anus, après l’avoir bien mouillé et s’encule seule. Elle se masturbe aussi le bouton : son plaisir est décuplé.
Elle fantasme sur moi, elle me voit sur elle, ma bite dans son cul. Si elle fait les mouvements aller et retour, c’est justement pour mimer les miens.
Elle arrête son chapitre à cet endroit. Je me suis branlé depuis la première ligne de son récit, je jouis à la dernière. Comme elle le demande je réserve la suite du cahier pour demain soir.
Elle a gagné son pari, nous avons du jouir presque ensemble à travers l’espace. Demain avant de me lever je me masturberai encore en pensant fortement à elle et à sa main qui la caresse. Ce soir, j’aurai la possibilité de lire une suite aussi chaude et je me branlerai encore grâce à ma femme.
J’écris une première lettre où je lui raconte en détail ce que j’ai fait , comment je me suis branlé et combien j’ai aimé son récit. Dire que nous devrons passer plus de trois mois ainsi. Qu’elle baise nous est promis pour mon retour !
Je dois laisser ma femme seule en France. Pour nous deux c’est déchirant, ce n'est pas marrant de laisser derrière soit une femme qu’on aime, avec qui on fait l’amour toujours comme au premiers jours et qui le demande... souvent. Nous savons qu’elle se masturbera en mon absence, comme nous savons que je le ferai aussi.
Avant de partir elle met dans une valise un gros cahier : je dois en lire une page chaque soir en me couchant. Elle m’interdit même de le feuilleter, sinon, ce ne serait pas correct de ma part.
Je dois partir le lendemain, direction Roissy et grand départ. Cette soirée pourrait se dérouler dans une ambiance de tristesse. Elle se transforme en annexe de la maison d’Eros. Elle est déchaînée. Elle me veut partout à la fois !!!
Elle a commencé par m’embrasser longuement, m’a fait tirer la langue pour que la sienne vienne la caresser hors de nos bouches. Elle m’a déshabillé, embrassé partout, surtout la bite. J’ai pu apprécier quand elle léchait ma colonne de bas en haut et retour. Je ne pouvais rien faire quand, étant sur le dos, elle me chevauchait pour entrer ma queue dans sa chatte. Penchée en arrière, elle profitait également de sa main sur son clitoris. Je voyais ses seins sursauter au fur et à mesure de la baise. Juste avant de jouir, elle se couchait sur moi pour m’embrasser encore. Vers la fin, elle s’est mise en levrette en me demandant de l’enculer. Je suis venu sur elle, lui ai bien mouillé la pastille juste avant de forcer à peine pour l’enfiler. Nous avons joui pratiquement ensemble.
J’ai pu dormir 2 heures avant de m’habiller pour le départ. Elle n’a pas voulu m’accompagner, je l’ai embrassée encore une dernière fois, je lui ai posé un instant une main sur le pubis et je suis parti.
Arrivé à Yoff, 5 heures plus tard, je suis reçu par le correspondant local de ma société. J’ai reçu un coup de chaleur juste en sortant de l’avion quand la porte s’est ouverte. Maintenant, je suis dirigé vers le chantier, pour y arriver à la fin du jour, sous les tropique le soleil tombe vite.
J’ai droit à une tente pour moi tout seul, tente encombrée d’un bureau. Je grignote un peu avant d'aller me coucher, même si le décalage horaire est faible je suis fatigué un peu du voyage et beaucoup de la dernière nuit. Je tombe sur le lit comme un sac de plomb. Je dors sans me réveiller jusqu’au matin 9 heures.
Je suis frais et dispos au réveil. Le personnel arrive doucement, mon travail de la journée est calme : je dois constituer les premières équipes. Nous prenons nos repas ensemble. Le soir tombe et tout le monde rejoint sa tente.
Je repense au gros cahier de ma femme. Je le trouve au fond de ma valise. Je l’ouvre et je commence la lecture :
« Mon chéri, ne lit que cette entrée en matière et le premier chapitre. « Tu ne dois jamais aller plus loin, un seul chapitre par jour, comme « dans les Mille et une Nuits, ce doit être aussi intéressant. Sache que je « t’aime, que mon corps aime le tiens, que je me servirai de mon gode, « celui que tu m’as offert pour la Saint Valentin. Je m’en servirai trois fois par jour : le matin au réveil, dans l’après midi, vers 16 heures et le soir en me couchant. Je penserai toujours à nos baises. Quand tu te branleras essaie de respecter ces horaires en pensant que je suis à tes cotés pendant que te me baise par la pensée.
Je me suis arrangée pour que tu lises ce que j’ai écris vers 22 heures. Fais en autant, ne te branle pas avant, ni après.
Je commence à bander, je la vois nue, sur le lit le gode dans son sexe, sa main droite dirigeant le gode et l’autre main sur le sein gauche, sa tête en arrière comme elle le fait toujours juste avant de jouir.
Je regarde l’heure : il est presque l'heure, j’ai le temps de me déshabiller, de m’allonger et d’ouvrir le cahier. Je le tiens dans la main gauche, je fais bien de le tenir ainsi.
La suite du cahier est assez chaude. Elle décrit du mieux possible ce qu’elle ressent quand elle se masturbe :
Elle commence par avoir un creux au fond de son ventre. Elle sait ce que veut dire ce creux depuis qu’elle est adolescente. Elle ne connait que deux moyens pour le faire passer : le premier est de baiser, le second et de se donner elle-même du plaisir. Elle explique qu’au début, elle se caressait seulement les grandes lèvres, une copine avec qui elle parlait lui indiquait qu’il fallait qu’elle trouve son clitoris, qu’elle le caresse doucement et qu’elle jouirai d’avantage. Depuis c’est ainsi qu’elle jouit en plaisir solitaire, même si c’est fait devant moi.
Nous aimons c’est vrai nous branler l’un devant l’autre : elle est couchée sur le dos, je suis à genoux entre ses jambes, sa main caresse de plus en plus vite son bouton. Ma main enserre ma bite, comme elle, je vais de plus en plus vite. Nous essayons de jouir ensemble Ce que nous aimons est de voir le visage de l’autre au moment de l’orgasme.
Quand elle est seule, elle jouit d’abord avec le clitoris et ensuite elle se baise avec le gode. Elle le prend d’abord dans le bouche, le lèche comme si c’était ma pine, le pose sur ses tétons tout mouillés. Elle le fait glisser des seins jusqu’au pubis en le faisant à peine entrer dans le nombril, elle saute sa fourrure, le passe sur son bouton, le fait courir entre ses lèvres pour effleurer son entrée et aller se perdre un instant sur l’anus.
Elle caresse l’anus pour être encore plus excitée, remonte le gode et d’un seul coup l’enfile dans la chatte. Elle le lâche quand il est au fond de son ventre. Elle caresse ses seins, surtout les tétons. Petit à petit le gode sort de sa chatte. Elle sait qu’elle a le temps avant qu’il soit totalement dehors, alors elle passe une main sous ses fesses pour aller entrer juste une phalange dans son cul. Elle fait bouger son doigt à l’intérieur de son cul. Quand elle sent que le gode va la quitter, elle le reprend en main et commence les allers et venues. Elle enfonce trois doigts dans l’anus, elle se fait ainsi une double pénétration, chose que je lui ai promis et que je n’ai jamais provoqué.
Elle jouit une première fois avant de changer le gode de place, elle le pose sur son anus, après l’avoir bien mouillé et s’encule seule. Elle se masturbe aussi le bouton : son plaisir est décuplé.
Elle fantasme sur moi, elle me voit sur elle, ma bite dans son cul. Si elle fait les mouvements aller et retour, c’est justement pour mimer les miens.
Elle arrête son chapitre à cet endroit. Je me suis branlé depuis la première ligne de son récit, je jouis à la dernière. Comme elle le demande je réserve la suite du cahier pour demain soir.
Elle a gagné son pari, nous avons du jouir presque ensemble à travers l’espace. Demain avant de me lever je me masturberai encore en pensant fortement à elle et à sa main qui la caresse. Ce soir, j’aurai la possibilité de lire une suite aussi chaude et je me branlerai encore grâce à ma femme.
J’écris une première lettre où je lui raconte en détail ce que j’ai fait , comment je me suis branlé et combien j’ai aimé son récit. Dire que nous devrons passer plus de trois mois ainsi. Qu’elle baise nous est promis pour mon retour !
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