Les nuits d'Afrique #2 - Tanguieta
Récit érotique écrit par Lookingforvenus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les nuits d'Afrique #2 - Tanguieta
Rappel de l’épisode précédent : Marine et moi, un couple de jeunes coopérants, la vingtaine, apprivoisons les bruits de la capitale du Bénin, Cotonou. La fatigue, la chaleur, l’excitation, tout concourt pour une nuit des plus démentes, où les seins trempés de Marine deviennent un terrain de jeu des plus glissants.
Quelques semaines plus tard, Marine et moi habitons une habitation rustique dans le nord du Bénin, à Tanguieta.
Une maison d’une seule pièce en terre battue, un toit de tôle laissant apparaître quelques fuites, une matelas double posé sur une natte, bordée par une moustiquaire, une ouverture sans fenêtre mais avec barreaux, une lampe à huile et une petite lampe torche pour s’éclairer la nuit, pas d’électricité ni d’eau courante. C’est ainsi que nous avons souhaité vivre, Marine et moi, pour essayer de partager le plus possible la vie des béninois avec lesquels nous partageons nos activités quotidiennes et nos soirées. Nous nous adaptons plutôt bien à ce mode de vie, nos hôtes restent assez impressionnés par notre capacité à nous adapter à leur quotidien en tant que blancs.
Seule ombre au tableau, se laver participe de toute une entreprise. Il faut aller chercher de l’eau au puits à quelques centaines de mètres de la maison, elle sort trouble et sableuse, puis nous nous douchons séparément dans une cabine de douche en terre cuite qui nous masque jusqu’à mi-hauteur, l’endroit sent fort l’urine, nous apprenons à nous doucher avec peu de savon et un seul seau d’eau. Le lavage des dents est plus qu’aléatoire, il nous faut purifier cette même eau trouble avec des pastilles de chlore, mais je m’y astreins malgré tout par respect pour ma belle Marine qui fait également de son mieux pour masquer ses odeurs. Nous partageons une toute nouvelle intimité, faite de maux de ventre terrifiants, de fièvres fulgurantes et d’odeurs corporelles nouvelles que nous apprenons à aimer. Quelle aventure ! Est-ce que ces conditions spartiates ont une quelconque influence sur notre libido ? Oui…, la fatigue de journées chargées, la chaleur écrasante et de réguliers problèmes gastriques espacent nos chevauchements.
Marine est habituellement une femme qui n’a pas peur de prendre des initiatives, afin de satisfaire ses besoins, quasi-quotidiens. Si je tombe de fatigue, elle ne l’entend que rarement ainsi et prend les choses en main. Elle stimule mon sexe d’une main experte et décidée, et même parfois, d’une caresse buccale, et dès qu’elle m’a réanimé, vient s’empaler sur ma bite durcie, avec une forte détermination. Quand son envie est irrépressible, elle ne s’embarrasse pas de préliminaires, seule compte ma bite et son plaisir, il faut que ma bite soit dure et folle, que je sois fort et endurant, qu’elle prenne son pied jusqu’à son premier orgasme. C’est seulement après qu’elle ait atteint la sensation de jouissance, qu’elle se montre enfin généreuse et à l’écoute de mes envies. Eduquée comme moi au porno hard, elle enchaîne souvent sur une pipe menée à un rythme d’enfer. Sa bouche est gourmande, les premières fois, j’ai même pensé qu’elle allait me bouffer la pine. Sa langue est déchainée, elle tournoie dans tous les sens, je sens parfois ses dents rayer mon pauvre membre, elle veut le gober tout entier et qu’importe qu’elle me fasse mal. Tout de même, je suis aux anges, aucune fille avant elle ne m’avait sucé avec autant d’appétit. Allongé sur le dos, elle prend toutes les initiatives et me propose maintenant de la sucer en retour en position de 69. Oubliant ma fatigue et souhaitant sortir d’une attitude passive, ma langue rentre enfin en action, elle visite cette partie de son corps qui la fait vibrer. Instinctivement, je sais où et comment la glisser. Rapidement, ma langue prend les arômes de sa jeune chatte brûlante, on prend notre pied avec ce cuni d’enfer. Un moment, elle perd le contrôle de la situation, elle jouit, elle crie de plaisir, puis me supplie, « je voudrais que tu dures toujours », ma langue redouble d’ardeur, son sexe est dilaté et trempé, elle crie encore, sans retenue pour les voisins qui se demandent sans doute si cette jeune femme d’apparence sage est la même personne qui laisse exploser son plaisir aux sues de l’immeuble. Pendant un bref instant, son plaisir est si vif qu’elle en a oublié mon sexe qui bénéficie d’un bref instant de répit, mais elle le reprend sans ménagement. Elle met sa main à son sexe, en retire un zeste de cyprine, puis se lèche la main avant de lubrifier mon sexe. C’est l’assaut final, elle est bien décidée à me faire jouir par les actions cumulées de sa langue et de ses lèvres. Je glisse un timide, « j’aime quand tu me pipes », elle n’offre aucune autre réaction que de me faire rentrer jusqu’au fond de la gorge, sa bouche a pris le contrôle total de ma bite. Elle accélère encore, elle m’aspire. Je rugis. Explosion dans sa bouche, suivie de quelques répliques. Elle attend jusqu’à mon tout dernier spasme, afin de ne pas en perdre une goutte, puis, lâche enfin mon sexe, crache en essayant de viser mon gland et m’embrasse goulument afin de me faire partager le goût de la jouissance.
Autre scène cocasse de la vie quotidienne ordinaire avec Marine, quand il me vient l’envie de me masturber. Nous habitons un 15 m2, une pièce –cuisine – douche à Paris, elle est là, entièrement concentrée à ses révisions. De mon côté, sans crier gare, mon sexe est dur. Il est urgent de me soulager. Oui, mais où ? Les seules options sont : le couloir de notre chambre de bonne (avec quelques risques tout de même) ou la douche. C’est donc presque toujours la douche ! En plein milieu de l’après-midi, je ferme la porte de la salle de bain, tire le rideau de la baignoire, fait couler l’eau et puis je commence à me branler énergiquement. Dans la pièce d’à côté, Marine n’est pas dupe, la studette n’est pas suffisamment grande pour ne pas percevoir un jet d’eau saccadé par mes mouvements de plus en plus violents, le bruit d’un sexe manipulé à grande vitesse, quelques grognements sourds mais que je ne peux malgré tout réfréner. Discrètement, elle pénètre à son tour dans la salle de bain, tire le rideau, me surprend en pleine action et, d’un regard, m’engueule presque : pourquoi ne m’as-tu pas demandé ? Le plus souvent, sa main prend le relais, elle savonne le membre durci, le rince et le prend en bouche. C’est comme ça qu’elle l’aime : dur, excité et savonneux.
Ça, c’est notre vie de jeunes bobos parisiens, branchés quasi-quotidiennement sur le sexe dans nos petits studios mal isolés (pauvres voisins…). Mais, à présent, nous sommes à Tanguieta, Bénin, livrés à des conditions difficiles, souhaitant vivre une aventure authentique, c’est difficile pour chacun, nous faisons de notre mieux pour nous entraider, mais nous n’avons plus trop la tête aux chevauchements et aux délices buccaux. Tout au plus, quand elle voit mon sexe en érection (il fait si chaud et nous dormons nus), elle ne résiste pas à l’attraction d’une petite branlette rapide, elle sait que je ne peux m’en passer et préfère me masturber plutôt que j’aie à m’en charger moi-même. Je me laisse faire mais peine à lui donner en retour, nos corps sont anesthésiés par cette chaleur plombante, nos peaux sont liquides, ma sueur m’accompagne du matin jusqu’au matin. J’ai peur d’offrir à mon amoureuse des arômes nauséabondes, sortant de ma bouche, de ma peau, mon sexe est sale, mon ventre est liquide, de l’extérieur comme à l’intérieur, les diarrhées succèdent aux diarrhées, les fièvres aux fièvres. Marine reste trois jours couchée, assommée par un puissant palud, ses yeux sont vitreux, son corps est amaigri, je la veille trois jours soucieux de l’hydrater et de maîtriser sa fièvre, en vain. A peine remise, ma gourmandise me condamne à vivre avec de vilains amibes, je suis pris de spasmes intenses qui me tordent de douleur, je monte aussi en température, de manière spectaculaire, Marine est là à son tour, douce, patiente, attentive. Je dors beaucoup et quand je me réveille, je la vois un peu floue, je lui adresse des mots sans queue ni tête qui parlent de sentiments très forts. Signe de ma faiblesse, j’ai perdu jusqu’à l’envie de baiser et de fait, je ne bande plus pendant quelques jours, une première depuis que je ne suis plus un enfant. Enfin, la maladie bat de l’aile, je retrouve l’envie de me lever, de sortir dans la rue, et même de manger.
Marine ne s’est jamais plainte, mais elle a pris sur elle. De mon côté, j’ai besoin de repos, mais aussi de me remplumer, je ressors amaigri d’une telle épreuve. D’un commun accord avec notre ONG, nous nous octroyons quelques jours de vacances, dans un hôtel pour touristes blancs, en mal de safari. Presque du luxe. Après avoir partagé le quotidien de nos frères béninois pendant près de deux mois, nous avons besoin de nous retrouver dans le confort d’une chambre d’hôtel, ventilée, avec au centre une piscine, quelques transats et un personnel aux petits soins. Nous nous sentons un peu coupables de déserter le mode de vie spartiate, mais il en va de notre rétablissement rapide. Les deux jours et les deux premières nuits, nous sommes incapables du moindre mouvement et dormons presque non-stop, nous nous levons tout juste pour manger une assiette de riz ou boire un verre d’eau et Marine s’offre un massage.
Au matin de la troisième nuit, je me réveille au lever du jour sur le spectacle éblouissant du corps de Marine. Son corps est enfin frais, épilé de la veille, sa respiration est apaisée, son haleine est douce, la maladie l’a abandonnée. Je scanne chaque partie de son corps, comme pour pouvoir m’en souvenir si la vie devait un jour nous séparer. J’ai une fougueuse envie d’elle, mais il serait criminel de la réveiller. En attendant qu’elle s’éveille, je pique une tête à la piscine, une énergie nouvelle m’habite, je me sens reprendre possession de mon corps. Il est encore très tôt, seul le personnel de l’hôtel s’affaire désormais dans la salle du petit déjeuner. Je regagne la chambre direction la douche, je commence à m’astiquer sans retenue, mais je me freine pour ne pas compromettre la suite. Savonné, lustré, je regagne la moustiquaire. Marine est en plein rêve qui semble plaisant. Elle a la bouche ouverte, sa respiration est plus saccadée, c’est certain, elle est sous l’emprise d’un rêve agréable. Quand nous parlons de nos rêves, sa franchise est désarmante, elle m’avoue que son imagination la conduit à être prise par des inconnus, parfois nombreux, parfois violents. Et en même temps, qu’elle n’est pas encore prête à vivre de tels fantasmes. Je reste un long moment à la regarder rêver, me demandant inquiet puis de manière narcissique si je fais partie de ses rêves. Puis, me rassurant : puisqu’elle ne peut pas accomplir de tels fantasmes, c’est sur moi qu’elle reportera ses désirs.
Marine ouvre enfin les yeux sur le spectacle de son homme lustré comme jamais, entièrement nu, amaigri, mais d’humeur viril. Elle jette un regard amusé sur mon sexe dressé comme à la parade. De son côté, mes doigts effleurent sa poitrine, son ventre et ses cuisses, je la sens prête à exploser. Elle se jette sur ma bouche, m’embrasse copieusement, nos langues se déchaînent. Ses seins durcis sont écrasés contre mon corps. Puis, la bouche de Marine en descente en rappel le long de mon corps, elle savoure mon torse, mon ventre, elle descend encore vers mon membre gonflé de désir. Elle le saisit, elle l’aspire, elle le dévore de longues minutes. Je suis en pleine féérie buccale. Mais Marine ne souhaite certainement pas en rester là, alors qu’elle sent que je ne vais pas pouvoir résister tellement plus longtemps à ses caresses. Elle remonte le long de mon corps, le lèche de partout sans retenue, puis, d’autorité, prend ma main droite, la déplace entre ses cuisses, pas besoin de me faire un dessin. Mes doigts explorent les contours et l’entrée de son intimité. La porte est grande ouverte, l’un d’eux s’engouffre, puis deux puis trois. Son sexe est si humide qu’il accueille facilement mes doigts agiles, beaucoup de doigts rejoints de temps à autre par l’index de Marine. Marine est allongée sur le dos, un peu cambrée, elle fait de légers bonds, puis ferme les yeux, avant de m’ordonner : « plus vite, plus profond !» Encouragé, mes doigts sont incontrôlables, tout comme son index, Marine semble prendre beaucoup de plaisir à ce que nos doigts mêlés soient hors de contrôle dans sa chatte béante. Et son plaisir est sonore quoique la bande-son est classique de deux jeunes gens bien décidés à aller jusqu’au bout de leurs envies pour se faire du bien : « encore, encore, plus vite, encore plus profond » m’ordonne t-elle d’un ton mi-autoritaire, mi-suppliant. Je lui réponds en redoublant d’ardeur, tandis que je suggère à sa main restante de s’occuper de mon engin prêt à être jeté dans la bataille. A ma grande surprise, elle me branle mollement, comme si je ne la savais pas capable de se faire du bien et de me faire du bien à la fois. Je glisse un quatrième doigt dans sa fente, que je n’ai jamais connue si ouverte, à telle point que je me mets à rêver que mon sexe et ses doigts puissent coulisser à l’unisson vers sa jouissance. Elle ne peut plus résister et elle jouit bruyamment pour en faire profiter tout l’hôtel agrémenté d’un sonore, « c’est bon, c’est trop bon ». Puis, elle redescend très vite de son nuage, m’embrasse goulument et ajoute embêtée : « tu sais, j’ai vraiment envie que tu viennes en moi, que tu jouisses en moi, mais avec la maladie, j’ai pris ma pilule avec beaucoup de retard, on va devoir se frustrer jusqu’au mois prochain ». Je lui réponds que, bien sûr je suis frustré, et bien sûr que je la comprends. Je lui demande si elle accepterait de mettre une capote, mais, depuis notre première nuit ensemble, elle refuse catégoriquement qu’il y ait un filtre de plastique entre nous, elle n’en a pas envie, elle n’éprouverait aucun plaisir. Je ravale ma déception, je lui dis que je comprends parfaitement, que nous venons de vivre un bon moment et qu’il y a des choses plus graves, mais que, je me sens tellement proche d’elle, que j’aurais vraiment aimé la pénétrer. Elle m’écoute attentivement, me regarde les yeux brillants puis me lance, énigmatique : « il y a peut-être une solution ». Je ne saisis pas tout de suite, elle m’invite à la rejoindre à la douche. Oui, une vraie douche, avec un jet d’eau très faible, mais continu, je la savonne sagement, elle me savonne énergiquement, puis savonne avec malice mon sexe qui regonfle instantanément. «Brave Marine, elle a compris ma frustration, elle va me prendre en bouche et me gratifier d’une pipe d’anthologie » me dis-je soucieux de ne rien provoquer. Mais, à ma surprise, elle prend ma main et enfourne une fois de plus mes doigts dans sa chatte de nouveau ouverte. Je mordille ses seins gonflés, puis m’accroupis de manière à ce que ma langue puisse se glisser dans sa fente que j’aspire et lèche, tandis qu’un doigt la pénètre. « Oui, tu as compris, encore, c’est ça » m’encourage-t-elle. Je m’applique à lui donner le meilleur cuni de sa vie quand, à ma grande surprise, elle sort mon index de son sexe. Elle me relève, puis suce ce même doigt. Toujours sous un mince filet d’eau, elle se retourne, prend ma matin, écarte ses fesses, rapproche ma main et me suggère d’introduire toujours ce même index dans ce lieu de plaisir inconnu. Timide mais encouragé, j’y glisse ce doigt chanceux quoique téméraire, tandis que, pour me rassurer, d’autres doigts reprennent leur labeur un peu plus bas, dans une cavité plus familière. Marine apprécie que je m’applique avec délicatesse dans son antre interdite, je la doigte sans interruption pendant un long moment avant de substituer mon majeur à mon index. Depuis que nous sommes ensemble, elle ne m’a jamais clairement proposé de la sodomiser, quoiqu’une nuit, alors que je la pilonnais en levrette, elle a écarté sa fente dans laquelle j’ai essayé de m’engouffrer, sans succès, car je ne voyais pas comment rentrer mon large sexe gonflé dans son fion étroit sans lui faire mal. Elle a semblé soulager que je ne m’aventure pas davantage, et nous n’en avons pas reparlé.
A présent, j’ai un doigt dans son anus, trois doigts dans sa chatte et, à ma grand surprise, je m’aperçois que mes doigts peuvent se sentir entre sa paroi vaginale et anale. Cette découverte m’encourage à aller encore plus loin, son cul est suffisamment habitué pour que j’enfourne désormais deux doigts, elle exprime un petit rictus de douleur mais, visiblement, elle en autant envie que moi. Mes doigts la pénètrent désormais à un rythme soutenu, je lui demande si ça va, elle me répond d’un geste d’aller encore plus vite avec mes doigts dans son cul. Soudain, elle m’encourage : « viens maintenant ». Je réalise à peine que Marine vient de me demander de la sodomiser, je lui demande : « tu es sûr, tu n’as pas mal ? ». Elle me répond : « un peu, mais j’en ai envie, comme toi, je veux le faire avec toi ». Toujours sous un fin jet d’eau, elle se plie en équerre, en position de levrette, pour que puisse la pénétrer par derrière. Mes doigts sont toujours en action, à un rythme soutenu, j’approche ma bite de son cul, je m’aperçois qu’il est légèrement ouvert, je retire un doigt et essaie d’y substituer ma bite, Marine me lance, « vas-y, mais doucement » . Le premier centimètre me semble infranchissable, mais mon sexe progresse lentement, très lentement, puis passe un cap si bien que je suis dans son cul. Je continue pour aller jusqu’au bout, c’est désormais plus facile mais je progresse toujours millimètre après millimètre. Marine pousse un râle de douleur, je manque de me retirer, mais elle me supplie, « non, ne te retire pas, continue, j’ai un peu mal, mais que c’est bon !». Je reste un moment au fond de son cul, puis me lance dans un léger va-et-vient qui est beaucoup moins ample que lorsque je suis dans son sexe. Je m’enhardis tout à coup, tandis que je vois son visage transformé de plaisir quand mon sexe gonflé avance jusqu’au bout. Une seule fois, je me retire complètement et constate que son anus est désormais tellement dilaté qu’il peut avaler aisément ma queue qui explore ce continent nouveau pour nous deux. Je retiens Marine par les hanches, mes coups de queue sont maintenant si puissants que je crains qu’elle tombe en avant sur le carrelage mouillé de la douche. L’eau continue de tomber en fin filet, tantôt sur son dos, tantôt sur mon torse, je me sens si profondément lié à Marine que j’aimerais que nous prolongions l’expérience pendant plusieurs heures, mon sexe est désormais brûlant et énorme, je prends Marine comme un animal sauvage, de temps à autre, je la fesse d’abord timidement, mais puisqu’elle redouble de plaisir, je la fesse plus fort et elle s’agrippe aux miennes. Soudain, Marine se relève : « j’ai envie que tu t’arrêtes pour m’embrasser ! » Tellement bon ces baisers en plein acte de sauvagerie, ils ont un goût intense et violent, mais ils restent des baisers, la douceur en suspension…Mais Marine se baisse à nouveau, elle veut encore de ma sauvagerie, je la pénètre avec précaution, mais le passage est désormais ouvert, c’est la première fois pour elle et moi, nous sommes à un niveau d’excitation maximal, et mon sexe est désormais familier de son cul, je vais et viens comme si nous étions de vieux routiers de la sodomie, d’autant plus qu’elle m’ordonne : « vas-y à fond, maintenant ». Elle jouit la première, son orgasme se traduit par de nets tremblements et des cris si sonores qu’ils s’échappent par la fenêtre de la salle de bain vers la piscine. Je la prends violemment par les hanches, puis par les seins, ma bite s’empale dans son cul toujours éclaboussé par le clapotis de la douche, je sens que je vais jouir dans son cul, j’éjacule au plus profond d’elle. La scène torride n’a pas duré plus d’un quart d’heure, mais nous sommes comme euphoriques, tous deux joyeux d’avoir expérimenté un nouveau plaisir, si intense, tellement sauvage.
Nous nous lovons mouillés sur le lit, de temps en temps, nous nous regardons rigolards et complices. Je lance à Marine : « alors, est-ce que je t’ai permis de prolonger tes rêves agréables ? ». Marine prend un air sérieux, puis troublé, puis éclate de rire : « il se peut, qu’avec toi, la réalité dépasse la fiction ! »
Toutes les belles histoires de sexe ont une fin, mais ce n’est pas la fin des nuits d’Afrique, il y a encore eu de belles nuits de sexe dans ma vie africaine, je vous promets une suite d’ici quelques jours ou quelques semaines, soyez patient-e-s. Si vous avez pris du plaisir à me lire, n’hésitez pas à m’en informer et à me faire part de vos ressentis !
Quelques semaines plus tard, Marine et moi habitons une habitation rustique dans le nord du Bénin, à Tanguieta.
Une maison d’une seule pièce en terre battue, un toit de tôle laissant apparaître quelques fuites, une matelas double posé sur une natte, bordée par une moustiquaire, une ouverture sans fenêtre mais avec barreaux, une lampe à huile et une petite lampe torche pour s’éclairer la nuit, pas d’électricité ni d’eau courante. C’est ainsi que nous avons souhaité vivre, Marine et moi, pour essayer de partager le plus possible la vie des béninois avec lesquels nous partageons nos activités quotidiennes et nos soirées. Nous nous adaptons plutôt bien à ce mode de vie, nos hôtes restent assez impressionnés par notre capacité à nous adapter à leur quotidien en tant que blancs.
Seule ombre au tableau, se laver participe de toute une entreprise. Il faut aller chercher de l’eau au puits à quelques centaines de mètres de la maison, elle sort trouble et sableuse, puis nous nous douchons séparément dans une cabine de douche en terre cuite qui nous masque jusqu’à mi-hauteur, l’endroit sent fort l’urine, nous apprenons à nous doucher avec peu de savon et un seul seau d’eau. Le lavage des dents est plus qu’aléatoire, il nous faut purifier cette même eau trouble avec des pastilles de chlore, mais je m’y astreins malgré tout par respect pour ma belle Marine qui fait également de son mieux pour masquer ses odeurs. Nous partageons une toute nouvelle intimité, faite de maux de ventre terrifiants, de fièvres fulgurantes et d’odeurs corporelles nouvelles que nous apprenons à aimer. Quelle aventure ! Est-ce que ces conditions spartiates ont une quelconque influence sur notre libido ? Oui…, la fatigue de journées chargées, la chaleur écrasante et de réguliers problèmes gastriques espacent nos chevauchements.
Marine est habituellement une femme qui n’a pas peur de prendre des initiatives, afin de satisfaire ses besoins, quasi-quotidiens. Si je tombe de fatigue, elle ne l’entend que rarement ainsi et prend les choses en main. Elle stimule mon sexe d’une main experte et décidée, et même parfois, d’une caresse buccale, et dès qu’elle m’a réanimé, vient s’empaler sur ma bite durcie, avec une forte détermination. Quand son envie est irrépressible, elle ne s’embarrasse pas de préliminaires, seule compte ma bite et son plaisir, il faut que ma bite soit dure et folle, que je sois fort et endurant, qu’elle prenne son pied jusqu’à son premier orgasme. C’est seulement après qu’elle ait atteint la sensation de jouissance, qu’elle se montre enfin généreuse et à l’écoute de mes envies. Eduquée comme moi au porno hard, elle enchaîne souvent sur une pipe menée à un rythme d’enfer. Sa bouche est gourmande, les premières fois, j’ai même pensé qu’elle allait me bouffer la pine. Sa langue est déchainée, elle tournoie dans tous les sens, je sens parfois ses dents rayer mon pauvre membre, elle veut le gober tout entier et qu’importe qu’elle me fasse mal. Tout de même, je suis aux anges, aucune fille avant elle ne m’avait sucé avec autant d’appétit. Allongé sur le dos, elle prend toutes les initiatives et me propose maintenant de la sucer en retour en position de 69. Oubliant ma fatigue et souhaitant sortir d’une attitude passive, ma langue rentre enfin en action, elle visite cette partie de son corps qui la fait vibrer. Instinctivement, je sais où et comment la glisser. Rapidement, ma langue prend les arômes de sa jeune chatte brûlante, on prend notre pied avec ce cuni d’enfer. Un moment, elle perd le contrôle de la situation, elle jouit, elle crie de plaisir, puis me supplie, « je voudrais que tu dures toujours », ma langue redouble d’ardeur, son sexe est dilaté et trempé, elle crie encore, sans retenue pour les voisins qui se demandent sans doute si cette jeune femme d’apparence sage est la même personne qui laisse exploser son plaisir aux sues de l’immeuble. Pendant un bref instant, son plaisir est si vif qu’elle en a oublié mon sexe qui bénéficie d’un bref instant de répit, mais elle le reprend sans ménagement. Elle met sa main à son sexe, en retire un zeste de cyprine, puis se lèche la main avant de lubrifier mon sexe. C’est l’assaut final, elle est bien décidée à me faire jouir par les actions cumulées de sa langue et de ses lèvres. Je glisse un timide, « j’aime quand tu me pipes », elle n’offre aucune autre réaction que de me faire rentrer jusqu’au fond de la gorge, sa bouche a pris le contrôle total de ma bite. Elle accélère encore, elle m’aspire. Je rugis. Explosion dans sa bouche, suivie de quelques répliques. Elle attend jusqu’à mon tout dernier spasme, afin de ne pas en perdre une goutte, puis, lâche enfin mon sexe, crache en essayant de viser mon gland et m’embrasse goulument afin de me faire partager le goût de la jouissance.
Autre scène cocasse de la vie quotidienne ordinaire avec Marine, quand il me vient l’envie de me masturber. Nous habitons un 15 m2, une pièce –cuisine – douche à Paris, elle est là, entièrement concentrée à ses révisions. De mon côté, sans crier gare, mon sexe est dur. Il est urgent de me soulager. Oui, mais où ? Les seules options sont : le couloir de notre chambre de bonne (avec quelques risques tout de même) ou la douche. C’est donc presque toujours la douche ! En plein milieu de l’après-midi, je ferme la porte de la salle de bain, tire le rideau de la baignoire, fait couler l’eau et puis je commence à me branler énergiquement. Dans la pièce d’à côté, Marine n’est pas dupe, la studette n’est pas suffisamment grande pour ne pas percevoir un jet d’eau saccadé par mes mouvements de plus en plus violents, le bruit d’un sexe manipulé à grande vitesse, quelques grognements sourds mais que je ne peux malgré tout réfréner. Discrètement, elle pénètre à son tour dans la salle de bain, tire le rideau, me surprend en pleine action et, d’un regard, m’engueule presque : pourquoi ne m’as-tu pas demandé ? Le plus souvent, sa main prend le relais, elle savonne le membre durci, le rince et le prend en bouche. C’est comme ça qu’elle l’aime : dur, excité et savonneux.
Ça, c’est notre vie de jeunes bobos parisiens, branchés quasi-quotidiennement sur le sexe dans nos petits studios mal isolés (pauvres voisins…). Mais, à présent, nous sommes à Tanguieta, Bénin, livrés à des conditions difficiles, souhaitant vivre une aventure authentique, c’est difficile pour chacun, nous faisons de notre mieux pour nous entraider, mais nous n’avons plus trop la tête aux chevauchements et aux délices buccaux. Tout au plus, quand elle voit mon sexe en érection (il fait si chaud et nous dormons nus), elle ne résiste pas à l’attraction d’une petite branlette rapide, elle sait que je ne peux m’en passer et préfère me masturber plutôt que j’aie à m’en charger moi-même. Je me laisse faire mais peine à lui donner en retour, nos corps sont anesthésiés par cette chaleur plombante, nos peaux sont liquides, ma sueur m’accompagne du matin jusqu’au matin. J’ai peur d’offrir à mon amoureuse des arômes nauséabondes, sortant de ma bouche, de ma peau, mon sexe est sale, mon ventre est liquide, de l’extérieur comme à l’intérieur, les diarrhées succèdent aux diarrhées, les fièvres aux fièvres. Marine reste trois jours couchée, assommée par un puissant palud, ses yeux sont vitreux, son corps est amaigri, je la veille trois jours soucieux de l’hydrater et de maîtriser sa fièvre, en vain. A peine remise, ma gourmandise me condamne à vivre avec de vilains amibes, je suis pris de spasmes intenses qui me tordent de douleur, je monte aussi en température, de manière spectaculaire, Marine est là à son tour, douce, patiente, attentive. Je dors beaucoup et quand je me réveille, je la vois un peu floue, je lui adresse des mots sans queue ni tête qui parlent de sentiments très forts. Signe de ma faiblesse, j’ai perdu jusqu’à l’envie de baiser et de fait, je ne bande plus pendant quelques jours, une première depuis que je ne suis plus un enfant. Enfin, la maladie bat de l’aile, je retrouve l’envie de me lever, de sortir dans la rue, et même de manger.
Marine ne s’est jamais plainte, mais elle a pris sur elle. De mon côté, j’ai besoin de repos, mais aussi de me remplumer, je ressors amaigri d’une telle épreuve. D’un commun accord avec notre ONG, nous nous octroyons quelques jours de vacances, dans un hôtel pour touristes blancs, en mal de safari. Presque du luxe. Après avoir partagé le quotidien de nos frères béninois pendant près de deux mois, nous avons besoin de nous retrouver dans le confort d’une chambre d’hôtel, ventilée, avec au centre une piscine, quelques transats et un personnel aux petits soins. Nous nous sentons un peu coupables de déserter le mode de vie spartiate, mais il en va de notre rétablissement rapide. Les deux jours et les deux premières nuits, nous sommes incapables du moindre mouvement et dormons presque non-stop, nous nous levons tout juste pour manger une assiette de riz ou boire un verre d’eau et Marine s’offre un massage.
Au matin de la troisième nuit, je me réveille au lever du jour sur le spectacle éblouissant du corps de Marine. Son corps est enfin frais, épilé de la veille, sa respiration est apaisée, son haleine est douce, la maladie l’a abandonnée. Je scanne chaque partie de son corps, comme pour pouvoir m’en souvenir si la vie devait un jour nous séparer. J’ai une fougueuse envie d’elle, mais il serait criminel de la réveiller. En attendant qu’elle s’éveille, je pique une tête à la piscine, une énergie nouvelle m’habite, je me sens reprendre possession de mon corps. Il est encore très tôt, seul le personnel de l’hôtel s’affaire désormais dans la salle du petit déjeuner. Je regagne la chambre direction la douche, je commence à m’astiquer sans retenue, mais je me freine pour ne pas compromettre la suite. Savonné, lustré, je regagne la moustiquaire. Marine est en plein rêve qui semble plaisant. Elle a la bouche ouverte, sa respiration est plus saccadée, c’est certain, elle est sous l’emprise d’un rêve agréable. Quand nous parlons de nos rêves, sa franchise est désarmante, elle m’avoue que son imagination la conduit à être prise par des inconnus, parfois nombreux, parfois violents. Et en même temps, qu’elle n’est pas encore prête à vivre de tels fantasmes. Je reste un long moment à la regarder rêver, me demandant inquiet puis de manière narcissique si je fais partie de ses rêves. Puis, me rassurant : puisqu’elle ne peut pas accomplir de tels fantasmes, c’est sur moi qu’elle reportera ses désirs.
Marine ouvre enfin les yeux sur le spectacle de son homme lustré comme jamais, entièrement nu, amaigri, mais d’humeur viril. Elle jette un regard amusé sur mon sexe dressé comme à la parade. De son côté, mes doigts effleurent sa poitrine, son ventre et ses cuisses, je la sens prête à exploser. Elle se jette sur ma bouche, m’embrasse copieusement, nos langues se déchaînent. Ses seins durcis sont écrasés contre mon corps. Puis, la bouche de Marine en descente en rappel le long de mon corps, elle savoure mon torse, mon ventre, elle descend encore vers mon membre gonflé de désir. Elle le saisit, elle l’aspire, elle le dévore de longues minutes. Je suis en pleine féérie buccale. Mais Marine ne souhaite certainement pas en rester là, alors qu’elle sent que je ne vais pas pouvoir résister tellement plus longtemps à ses caresses. Elle remonte le long de mon corps, le lèche de partout sans retenue, puis, d’autorité, prend ma main droite, la déplace entre ses cuisses, pas besoin de me faire un dessin. Mes doigts explorent les contours et l’entrée de son intimité. La porte est grande ouverte, l’un d’eux s’engouffre, puis deux puis trois. Son sexe est si humide qu’il accueille facilement mes doigts agiles, beaucoup de doigts rejoints de temps à autre par l’index de Marine. Marine est allongée sur le dos, un peu cambrée, elle fait de légers bonds, puis ferme les yeux, avant de m’ordonner : « plus vite, plus profond !» Encouragé, mes doigts sont incontrôlables, tout comme son index, Marine semble prendre beaucoup de plaisir à ce que nos doigts mêlés soient hors de contrôle dans sa chatte béante. Et son plaisir est sonore quoique la bande-son est classique de deux jeunes gens bien décidés à aller jusqu’au bout de leurs envies pour se faire du bien : « encore, encore, plus vite, encore plus profond » m’ordonne t-elle d’un ton mi-autoritaire, mi-suppliant. Je lui réponds en redoublant d’ardeur, tandis que je suggère à sa main restante de s’occuper de mon engin prêt à être jeté dans la bataille. A ma grande surprise, elle me branle mollement, comme si je ne la savais pas capable de se faire du bien et de me faire du bien à la fois. Je glisse un quatrième doigt dans sa fente, que je n’ai jamais connue si ouverte, à telle point que je me mets à rêver que mon sexe et ses doigts puissent coulisser à l’unisson vers sa jouissance. Elle ne peut plus résister et elle jouit bruyamment pour en faire profiter tout l’hôtel agrémenté d’un sonore, « c’est bon, c’est trop bon ». Puis, elle redescend très vite de son nuage, m’embrasse goulument et ajoute embêtée : « tu sais, j’ai vraiment envie que tu viennes en moi, que tu jouisses en moi, mais avec la maladie, j’ai pris ma pilule avec beaucoup de retard, on va devoir se frustrer jusqu’au mois prochain ». Je lui réponds que, bien sûr je suis frustré, et bien sûr que je la comprends. Je lui demande si elle accepterait de mettre une capote, mais, depuis notre première nuit ensemble, elle refuse catégoriquement qu’il y ait un filtre de plastique entre nous, elle n’en a pas envie, elle n’éprouverait aucun plaisir. Je ravale ma déception, je lui dis que je comprends parfaitement, que nous venons de vivre un bon moment et qu’il y a des choses plus graves, mais que, je me sens tellement proche d’elle, que j’aurais vraiment aimé la pénétrer. Elle m’écoute attentivement, me regarde les yeux brillants puis me lance, énigmatique : « il y a peut-être une solution ». Je ne saisis pas tout de suite, elle m’invite à la rejoindre à la douche. Oui, une vraie douche, avec un jet d’eau très faible, mais continu, je la savonne sagement, elle me savonne énergiquement, puis savonne avec malice mon sexe qui regonfle instantanément. «Brave Marine, elle a compris ma frustration, elle va me prendre en bouche et me gratifier d’une pipe d’anthologie » me dis-je soucieux de ne rien provoquer. Mais, à ma surprise, elle prend ma main et enfourne une fois de plus mes doigts dans sa chatte de nouveau ouverte. Je mordille ses seins gonflés, puis m’accroupis de manière à ce que ma langue puisse se glisser dans sa fente que j’aspire et lèche, tandis qu’un doigt la pénètre. « Oui, tu as compris, encore, c’est ça » m’encourage-t-elle. Je m’applique à lui donner le meilleur cuni de sa vie quand, à ma grande surprise, elle sort mon index de son sexe. Elle me relève, puis suce ce même doigt. Toujours sous un mince filet d’eau, elle se retourne, prend ma matin, écarte ses fesses, rapproche ma main et me suggère d’introduire toujours ce même index dans ce lieu de plaisir inconnu. Timide mais encouragé, j’y glisse ce doigt chanceux quoique téméraire, tandis que, pour me rassurer, d’autres doigts reprennent leur labeur un peu plus bas, dans une cavité plus familière. Marine apprécie que je m’applique avec délicatesse dans son antre interdite, je la doigte sans interruption pendant un long moment avant de substituer mon majeur à mon index. Depuis que nous sommes ensemble, elle ne m’a jamais clairement proposé de la sodomiser, quoiqu’une nuit, alors que je la pilonnais en levrette, elle a écarté sa fente dans laquelle j’ai essayé de m’engouffrer, sans succès, car je ne voyais pas comment rentrer mon large sexe gonflé dans son fion étroit sans lui faire mal. Elle a semblé soulager que je ne m’aventure pas davantage, et nous n’en avons pas reparlé.
A présent, j’ai un doigt dans son anus, trois doigts dans sa chatte et, à ma grand surprise, je m’aperçois que mes doigts peuvent se sentir entre sa paroi vaginale et anale. Cette découverte m’encourage à aller encore plus loin, son cul est suffisamment habitué pour que j’enfourne désormais deux doigts, elle exprime un petit rictus de douleur mais, visiblement, elle en autant envie que moi. Mes doigts la pénètrent désormais à un rythme soutenu, je lui demande si ça va, elle me répond d’un geste d’aller encore plus vite avec mes doigts dans son cul. Soudain, elle m’encourage : « viens maintenant ». Je réalise à peine que Marine vient de me demander de la sodomiser, je lui demande : « tu es sûr, tu n’as pas mal ? ». Elle me répond : « un peu, mais j’en ai envie, comme toi, je veux le faire avec toi ». Toujours sous un fin jet d’eau, elle se plie en équerre, en position de levrette, pour que puisse la pénétrer par derrière. Mes doigts sont toujours en action, à un rythme soutenu, j’approche ma bite de son cul, je m’aperçois qu’il est légèrement ouvert, je retire un doigt et essaie d’y substituer ma bite, Marine me lance, « vas-y, mais doucement » . Le premier centimètre me semble infranchissable, mais mon sexe progresse lentement, très lentement, puis passe un cap si bien que je suis dans son cul. Je continue pour aller jusqu’au bout, c’est désormais plus facile mais je progresse toujours millimètre après millimètre. Marine pousse un râle de douleur, je manque de me retirer, mais elle me supplie, « non, ne te retire pas, continue, j’ai un peu mal, mais que c’est bon !». Je reste un moment au fond de son cul, puis me lance dans un léger va-et-vient qui est beaucoup moins ample que lorsque je suis dans son sexe. Je m’enhardis tout à coup, tandis que je vois son visage transformé de plaisir quand mon sexe gonflé avance jusqu’au bout. Une seule fois, je me retire complètement et constate que son anus est désormais tellement dilaté qu’il peut avaler aisément ma queue qui explore ce continent nouveau pour nous deux. Je retiens Marine par les hanches, mes coups de queue sont maintenant si puissants que je crains qu’elle tombe en avant sur le carrelage mouillé de la douche. L’eau continue de tomber en fin filet, tantôt sur son dos, tantôt sur mon torse, je me sens si profondément lié à Marine que j’aimerais que nous prolongions l’expérience pendant plusieurs heures, mon sexe est désormais brûlant et énorme, je prends Marine comme un animal sauvage, de temps à autre, je la fesse d’abord timidement, mais puisqu’elle redouble de plaisir, je la fesse plus fort et elle s’agrippe aux miennes. Soudain, Marine se relève : « j’ai envie que tu t’arrêtes pour m’embrasser ! » Tellement bon ces baisers en plein acte de sauvagerie, ils ont un goût intense et violent, mais ils restent des baisers, la douceur en suspension…Mais Marine se baisse à nouveau, elle veut encore de ma sauvagerie, je la pénètre avec précaution, mais le passage est désormais ouvert, c’est la première fois pour elle et moi, nous sommes à un niveau d’excitation maximal, et mon sexe est désormais familier de son cul, je vais et viens comme si nous étions de vieux routiers de la sodomie, d’autant plus qu’elle m’ordonne : « vas-y à fond, maintenant ». Elle jouit la première, son orgasme se traduit par de nets tremblements et des cris si sonores qu’ils s’échappent par la fenêtre de la salle de bain vers la piscine. Je la prends violemment par les hanches, puis par les seins, ma bite s’empale dans son cul toujours éclaboussé par le clapotis de la douche, je sens que je vais jouir dans son cul, j’éjacule au plus profond d’elle. La scène torride n’a pas duré plus d’un quart d’heure, mais nous sommes comme euphoriques, tous deux joyeux d’avoir expérimenté un nouveau plaisir, si intense, tellement sauvage.
Nous nous lovons mouillés sur le lit, de temps en temps, nous nous regardons rigolards et complices. Je lance à Marine : « alors, est-ce que je t’ai permis de prolonger tes rêves agréables ? ». Marine prend un air sérieux, puis troublé, puis éclate de rire : « il se peut, qu’avec toi, la réalité dépasse la fiction ! »
Toutes les belles histoires de sexe ont une fin, mais ce n’est pas la fin des nuits d’Afrique, il y a encore eu de belles nuits de sexe dans ma vie africaine, je vous promets une suite d’ici quelques jours ou quelques semaines, soyez patient-e-s. Si vous avez pris du plaisir à me lire, n’hésitez pas à m’en informer et à me faire part de vos ressentis !
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