Pour redonner toutes ses lettres de noblesse à la fellation entre amis
Récit érotique écrit par Lookingforvenus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pour redonner toutes ses lettres de noblesse à la fellation entre amis
En cet instant, c’est comme un rêve.
Sa bouche engloutit mon sexe, sa langue explore tous les recoins de ma bite sublimée, elle en connaît tous les secrets, les grands boulevards comme les chemins de traverse, elle la prend sur tous les tons, elle me domine, ralentit, marque une pause, laisse entrevoir ses beaux yeux bleus qui se révulsent quand elle sent que je lui en réclame encore ou quand mes mains frôlent son sexe humide ou ses seins de diablesse.
C’est une diablesse qui me fait cuire à petit feu, elle a tout son temps pour me faire jouir, à l’image de notre rencontre qui s’est étalée sur plusieurs mois après de longues conversations entre inconnus sur internet. A l’image de notre amitié qui s’est emballée dès le premier jour vers des sommets de confidence.
Elle est sublime, je la sens complexée, elle est séductrice, mais elle n’est pas sure d’elle, elle me séduit, je la séduis, mais nous nous réservons, pour plus tard, pour un grand moment. Cette fellation est une terre promise, elle peut bien attendre des années, elle était écrite et elle vient en ce moment.
Ces dernières semaines, nos confidences s’étaient faites plus intenses, nos révélations plus crues. Elle s’était éloignée des réserves de la fille sage que j’ai connue. Un soir, au resto, un peu ivre, tout à fait exaltée, elle me dit avoir sucé un certain nombre de bites, se complaire avec son mec dans la position d’une femme experte et soumise, avoir souffert avec lui, mais aimer le sucer. Mais aussi aimer sucer d’autres mecs pour lui rendre la monnaie de sa pièce, et le tromper à son tour. Et finalement, me confit-elle à la volée, sans même s’apercevoir que le couple de la table d’à côté n’en rate pas une miette, « j’aime sucer ». Et elle se lance dans une liste assez étourdissante. La vieille bite mais vigoureuse d’un ami de ses parents. Et dans la même semaine, le sexe encore inexpérimenté du fils du même ami, un lycéen puceau. Pour rester dans la famille, elle a croqué le meilleur ami de sa sœur. Mais aussi, un ex, un mec chelou dans une soirée, le serveur de son bar préféré, une petite star de la télé, un traducteur et même un inconnu dans une soirée.
Souvent, avec le même mode opératoire. Le mec lui fait un compliment, elle se laisse complimenter, elle lui propose d’aller dans un coin discret, elle s’agenouille, lui baisse le froc, le suce sans avertissement ni ménagement, ferme les yeux, le suce à fond, l’entend grogner, ne lui laisse aucun répit, le laisse jouir un peu où il veut, sur son visage, ses vêtements ou directement dans sa bouche. Puis, elle rouvre les yeux, soupèse avec sa main ce qu’il reste d’un sexe après éjaculation, s’essuie comme elle peut et prend congé au plus vite, laissant le mec comblé mais le plus souvent perplexe. Un peu en mode blitzkrieg, elle prend son pied intensément sans se soucier de faire durer.
Bien sûr, vers la vingtaine, j’ai connu des filles de son âge et de son milieu, la bourgeoisie de petite couronne. Je sais que leur éducation les conduit assez souvent à accepter voire proposer des fellations à des prétendants pleins d’esprit, qui doivent, s’ils veulent accéder au saint-graal, savoir doser entre esprit de conquête et respect pour leur noblesse. Sans d’ailleurs souhaiter aller beaucoup plus loin. Comme une introduction à une sexualité plus active qu’elles réserveront plus tard à un mec de leur rang. Ou pour vivre un grand frisson, un peu volage, sans grande conséquence. Ou que sais-je encore, je vis loin de ce monde bourgeois qui ne m’a cependant jamais semblé farouche sur la petite affaire d’un sexe fourré pour quelques instants dans la bouche sublime de ces filles qui, quelques secondes encore auparavant, me semblaient encore inaccessibles. Au fond, je n’en ai jamais trop abusé, mais je me suis retrouvé à plusieurs reprises, la queue aspirée par une bouche savamment maquillée, sucé avec une application scolaire et sans la folie nécessaire, mais savamment sucé tout de même, au point que, dans une chambre d’ami ou un salon désert, sans la démonstration voire l’once de vulgarité que j’aurais mis avec ma copine d’alors, j’ai aimé être mangé, aspiré et jouir dans la bouche d’une fille bien mise, bien éduquée et très polie, dans la gorge d’une fille au prénom composé ou alors un peu désuet.
A la suite de ses confidences, elle me tire à son tour les vers du nez sur mes aventures récentes. Elle me connait dans mes désirs inavouables, elle m’a suivi dans mes méandres sinueux, mes infidélités, mon goût immodéré pour les plaisirs solitaires. Je la connais comme une femme sublime et fragile, dans ses paradoxes géniaux, dans sa mauvaise foi, ses dénis, ses exagérations et même ses mensonges.
Jusqu’ici, j’ai réussi à mettre à distance mon envie d’elle, parce que je réservais ce désir que je savais mutuel à plus tard, un moment magique, dans un lieu symbolique.
Mais, au moment où elle me confie avec un mélange de confiance et de fébrilité, son expérience de suceuse frénétique en série, je ne retiens plus mon excitation, mon sexe est si dur que je n’arrive plus à me contrôler, je pars me vider aux toilettes du restaurant, une affaire de quelques secondes tellement je suis hors de contrôle.
Nous savons tous deux que, nous serons prochainement deux grenades dégoupillés, prêts à nous lier par la bouche, à nous lier pour le plaisir.
Dix jours plus tard, ayant ressassé ce désir subi, nous nous sommes embrassés sans retenue, c’était une explosion d’envies jusqu’ici refoulées, tout est parti très vite, enivrés par le vin et la fatigue, elle a très vite trouvé mon sexe et après une ardente manipulation, sa bouche a bien vite recueilli le fruit de mon excitation. Impossible pour elle comme pour moi de nous contrôler sous le porche de cet immeuble bourgeois. Mais la lumière de l’interrupteur s’est allumée, l’ascenseur s’est mis en branle et m’a belle m’a embrassé, me souhaitant bonne nuit. Je me suis retrouvé devant une porte close, à nouveau dans l’obscurité. J’ai respecté son souhait d’en rester là, mais je me suis surpris à me masturber énergiquement devant sa porte, avec la seule pensée qu’elle était juste derrière, peut-être à m’épier, et dans tous les cas proche. Je lui ai appris, quelques temps plus tard, avoir éjaculé bruyamment sur sa porte fermée. Elle ne m’a pas jugé, au contraire de mois.
Quelques jours plus tard. C’est donc un soir de récidive après un repas copieux et arrosé, un vagabondage sinueux et nocturne dans les beaux quartiers, un flot de paroles puis un déferlement de baisers, une bande son qui commence par une dévoration bucale, un zip de pantalon, , mon râle quand mon sexe est absorbé tout cru, sa bouche qui m’astique bruyamment, quelques obscénités sans conséquences pour réclamer son emprise totale et pour célébrer sa virtuosité, un grognement pour l’avertir que je vais éjaculer, une accélération pour m’encourager à ne surtout pas me retirer, mon sperme qui inonde sa bouche, suivi de baisers tendres. Mon empressement à lui tendre à nouveau mon sexe, sans pudeur, pour qu’elle le prenne à nouveau, pour éjaculer à nouveau en elle, au plus profond de sa gorge, sans gêne et sans retenue. Car c’est une nuit d’exception, nous nous donnerons entièrement, notre amour est impossible, notre passion est destructrice, il n’y a pas d’étape entre l’amitié et la pornographie, demain, il faudra mettre fin à cette folie. Déjà, nous fixons d’un commun accord les règles, nous nous refusons à nous pénétrer, nos seules armes cette nuit là seront nos bouches, nos mains, nos corps nus, nos deux sexes mouillés, c’est bien assez pour cette nuit. A chaque mois, elle reprend mon sexe en bouche, frénétiquement, elle me prend sous toutes ses gammes. Jamais quelqu’un ne m’avait autant désiré, aussi longtemps sucé, jamais je ne m’étais senti à ce point dévoré par une bouche impossible à rassasier. Jamais je n’aurais pensé trouver autant d’énergie, autant de vitalité, autant de sperme pour la nourrir. Car régulièrement, j’éjacule, elle prend tout, elle me lustre. Puis, on échange quelques mots, on frôle la somnolence, j’agite à nouveau mon sexe, elle le prend à nouveau dans sa bouche ou elle me branle, elle sait comme nulle autre agiter mon sexe, provoquer ma jouissance et répandre mon sperme dans sa bouche, sur sa bouche, entre nous. Au matin, après une courte nuit, je la supplie de me sucer à nouveau et de me branler encore, elle s’exécute, ses beaux yeux bleus exultent de me voir possédé par le démon du sexe, elle a compris que je suis obsédé, que j’ai le démon du sexe en moi, qu’elle est diablesse et qu’elle tient mon démon entre ses mains.
Nous restons des amis, avec quelques ambiguïtés mais sans excès, nous sommes deux bombes qui ont explosé en même temps. Je revois quelques fois en rêve ses beaux yeux révulsés croquant fermement ma bite, cette nuit est unique, elle a le statut d’un rêve.
Sa bouche engloutit mon sexe, sa langue explore tous les recoins de ma bite sublimée, elle en connaît tous les secrets, les grands boulevards comme les chemins de traverse, elle la prend sur tous les tons, elle me domine, ralentit, marque une pause, laisse entrevoir ses beaux yeux bleus qui se révulsent quand elle sent que je lui en réclame encore ou quand mes mains frôlent son sexe humide ou ses seins de diablesse.
C’est une diablesse qui me fait cuire à petit feu, elle a tout son temps pour me faire jouir, à l’image de notre rencontre qui s’est étalée sur plusieurs mois après de longues conversations entre inconnus sur internet. A l’image de notre amitié qui s’est emballée dès le premier jour vers des sommets de confidence.
Elle est sublime, je la sens complexée, elle est séductrice, mais elle n’est pas sure d’elle, elle me séduit, je la séduis, mais nous nous réservons, pour plus tard, pour un grand moment. Cette fellation est une terre promise, elle peut bien attendre des années, elle était écrite et elle vient en ce moment.
Ces dernières semaines, nos confidences s’étaient faites plus intenses, nos révélations plus crues. Elle s’était éloignée des réserves de la fille sage que j’ai connue. Un soir, au resto, un peu ivre, tout à fait exaltée, elle me dit avoir sucé un certain nombre de bites, se complaire avec son mec dans la position d’une femme experte et soumise, avoir souffert avec lui, mais aimer le sucer. Mais aussi aimer sucer d’autres mecs pour lui rendre la monnaie de sa pièce, et le tromper à son tour. Et finalement, me confit-elle à la volée, sans même s’apercevoir que le couple de la table d’à côté n’en rate pas une miette, « j’aime sucer ». Et elle se lance dans une liste assez étourdissante. La vieille bite mais vigoureuse d’un ami de ses parents. Et dans la même semaine, le sexe encore inexpérimenté du fils du même ami, un lycéen puceau. Pour rester dans la famille, elle a croqué le meilleur ami de sa sœur. Mais aussi, un ex, un mec chelou dans une soirée, le serveur de son bar préféré, une petite star de la télé, un traducteur et même un inconnu dans une soirée.
Souvent, avec le même mode opératoire. Le mec lui fait un compliment, elle se laisse complimenter, elle lui propose d’aller dans un coin discret, elle s’agenouille, lui baisse le froc, le suce sans avertissement ni ménagement, ferme les yeux, le suce à fond, l’entend grogner, ne lui laisse aucun répit, le laisse jouir un peu où il veut, sur son visage, ses vêtements ou directement dans sa bouche. Puis, elle rouvre les yeux, soupèse avec sa main ce qu’il reste d’un sexe après éjaculation, s’essuie comme elle peut et prend congé au plus vite, laissant le mec comblé mais le plus souvent perplexe. Un peu en mode blitzkrieg, elle prend son pied intensément sans se soucier de faire durer.
Bien sûr, vers la vingtaine, j’ai connu des filles de son âge et de son milieu, la bourgeoisie de petite couronne. Je sais que leur éducation les conduit assez souvent à accepter voire proposer des fellations à des prétendants pleins d’esprit, qui doivent, s’ils veulent accéder au saint-graal, savoir doser entre esprit de conquête et respect pour leur noblesse. Sans d’ailleurs souhaiter aller beaucoup plus loin. Comme une introduction à une sexualité plus active qu’elles réserveront plus tard à un mec de leur rang. Ou pour vivre un grand frisson, un peu volage, sans grande conséquence. Ou que sais-je encore, je vis loin de ce monde bourgeois qui ne m’a cependant jamais semblé farouche sur la petite affaire d’un sexe fourré pour quelques instants dans la bouche sublime de ces filles qui, quelques secondes encore auparavant, me semblaient encore inaccessibles. Au fond, je n’en ai jamais trop abusé, mais je me suis retrouvé à plusieurs reprises, la queue aspirée par une bouche savamment maquillée, sucé avec une application scolaire et sans la folie nécessaire, mais savamment sucé tout de même, au point que, dans une chambre d’ami ou un salon désert, sans la démonstration voire l’once de vulgarité que j’aurais mis avec ma copine d’alors, j’ai aimé être mangé, aspiré et jouir dans la bouche d’une fille bien mise, bien éduquée et très polie, dans la gorge d’une fille au prénom composé ou alors un peu désuet.
A la suite de ses confidences, elle me tire à son tour les vers du nez sur mes aventures récentes. Elle me connait dans mes désirs inavouables, elle m’a suivi dans mes méandres sinueux, mes infidélités, mon goût immodéré pour les plaisirs solitaires. Je la connais comme une femme sublime et fragile, dans ses paradoxes géniaux, dans sa mauvaise foi, ses dénis, ses exagérations et même ses mensonges.
Jusqu’ici, j’ai réussi à mettre à distance mon envie d’elle, parce que je réservais ce désir que je savais mutuel à plus tard, un moment magique, dans un lieu symbolique.
Mais, au moment où elle me confie avec un mélange de confiance et de fébrilité, son expérience de suceuse frénétique en série, je ne retiens plus mon excitation, mon sexe est si dur que je n’arrive plus à me contrôler, je pars me vider aux toilettes du restaurant, une affaire de quelques secondes tellement je suis hors de contrôle.
Nous savons tous deux que, nous serons prochainement deux grenades dégoupillés, prêts à nous lier par la bouche, à nous lier pour le plaisir.
Dix jours plus tard, ayant ressassé ce désir subi, nous nous sommes embrassés sans retenue, c’était une explosion d’envies jusqu’ici refoulées, tout est parti très vite, enivrés par le vin et la fatigue, elle a très vite trouvé mon sexe et après une ardente manipulation, sa bouche a bien vite recueilli le fruit de mon excitation. Impossible pour elle comme pour moi de nous contrôler sous le porche de cet immeuble bourgeois. Mais la lumière de l’interrupteur s’est allumée, l’ascenseur s’est mis en branle et m’a belle m’a embrassé, me souhaitant bonne nuit. Je me suis retrouvé devant une porte close, à nouveau dans l’obscurité. J’ai respecté son souhait d’en rester là, mais je me suis surpris à me masturber énergiquement devant sa porte, avec la seule pensée qu’elle était juste derrière, peut-être à m’épier, et dans tous les cas proche. Je lui ai appris, quelques temps plus tard, avoir éjaculé bruyamment sur sa porte fermée. Elle ne m’a pas jugé, au contraire de mois.
Quelques jours plus tard. C’est donc un soir de récidive après un repas copieux et arrosé, un vagabondage sinueux et nocturne dans les beaux quartiers, un flot de paroles puis un déferlement de baisers, une bande son qui commence par une dévoration bucale, un zip de pantalon, , mon râle quand mon sexe est absorbé tout cru, sa bouche qui m’astique bruyamment, quelques obscénités sans conséquences pour réclamer son emprise totale et pour célébrer sa virtuosité, un grognement pour l’avertir que je vais éjaculer, une accélération pour m’encourager à ne surtout pas me retirer, mon sperme qui inonde sa bouche, suivi de baisers tendres. Mon empressement à lui tendre à nouveau mon sexe, sans pudeur, pour qu’elle le prenne à nouveau, pour éjaculer à nouveau en elle, au plus profond de sa gorge, sans gêne et sans retenue. Car c’est une nuit d’exception, nous nous donnerons entièrement, notre amour est impossible, notre passion est destructrice, il n’y a pas d’étape entre l’amitié et la pornographie, demain, il faudra mettre fin à cette folie. Déjà, nous fixons d’un commun accord les règles, nous nous refusons à nous pénétrer, nos seules armes cette nuit là seront nos bouches, nos mains, nos corps nus, nos deux sexes mouillés, c’est bien assez pour cette nuit. A chaque mois, elle reprend mon sexe en bouche, frénétiquement, elle me prend sous toutes ses gammes. Jamais quelqu’un ne m’avait autant désiré, aussi longtemps sucé, jamais je ne m’étais senti à ce point dévoré par une bouche impossible à rassasier. Jamais je n’aurais pensé trouver autant d’énergie, autant de vitalité, autant de sperme pour la nourrir. Car régulièrement, j’éjacule, elle prend tout, elle me lustre. Puis, on échange quelques mots, on frôle la somnolence, j’agite à nouveau mon sexe, elle le prend à nouveau dans sa bouche ou elle me branle, elle sait comme nulle autre agiter mon sexe, provoquer ma jouissance et répandre mon sperme dans sa bouche, sur sa bouche, entre nous. Au matin, après une courte nuit, je la supplie de me sucer à nouveau et de me branler encore, elle s’exécute, ses beaux yeux bleus exultent de me voir possédé par le démon du sexe, elle a compris que je suis obsédé, que j’ai le démon du sexe en moi, qu’elle est diablesse et qu’elle tient mon démon entre ses mains.
Nous restons des amis, avec quelques ambiguïtés mais sans excès, nous sommes deux bombes qui ont explosé en même temps. Je revois quelques fois en rêve ses beaux yeux révulsés croquant fermement ma bite, cette nuit est unique, elle a le statut d’un rêve.
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