Les petits secrets d’un couple ordinaire : Chapitre 1 - Présentations, Carole découvre sa sexualité
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Les petits secrets d’un couple ordinaire : Chapitre 1 - Présentations, Carole découvre sa sexualité
Nous avions découvert votre site par hasard, après quelques lectures intéressantes nous avons décidé mon épouse et moi d’écrire ensemble à quatre mains ou séparément en fonction des périodes l’histoire de notre vie sexuelle.
Nous sommes un couple libertin adepte de pluralité masculine, mon épouse, Carole a soixante-six ans, nous sommes mariés depuis 1983, c’est une jolie femme blonde d’un mètre soixante-quatorze qui pèse cinquante-huit kilos, ses mensurations sont parfaites, malgré son âge elle continue de séduire grâce à sa silhouette incroyable.
En ce qui me concerne, j’ai soixante-huit ans, je suis candauliste et bisexuel. Depuis quarante et un ans, Carole partage ma vie, c’est la femme de ma vie, Je l’accompagne dans nos sorties coquines sauf exceptions, scénario ou amant de confiance. J’adore la regarder prendre du plaisir dans les bras d’un autre. Elle adore partager ce plaisir avec moi et s’exhiber dans des lieux très touristiques sous mon objectif. C’est notre façon à nous de visiter.
Nous avons deux enfants, un garçon né en 1987, Guillaume et une fille née en 1994, Marine.
Nos deux enfants sont beaux, sains, libres et brillants. Avec la tête sur les épaules, c’était des enfants concentrés, motivés, affectueux et sérieux. Ils ont réalisé de brillantes études. Nous avons la chance d’avoir une petite fille de trois ans car notre fils est marié avec une Brésilienne rencontré quand il était en poste à Rio pour une société Française.
Vous voyez, rien d’extraordinaire, nous avons réussi à avoir une vie de famille normale, nous sommes très unis, nous avons la chance d’avoir une très grande maison ou nous pouvons tous nous retrouver. Malgré nos désirs, la famille a toujours été notre priorité. Et pourtant, cela n’a pas toujours aussi simple qu’il y parait. Car pour commencer, une vie de famille, il faut que chacun trouve sa place, chaque individu a son propre caractère, ses idées, sa liste de valeurs. Bref, son propre système d’interprétation. Et cela conduit presque toujours à des incompréhensions, des fausses anticipations, voire même des conflits en bonne et due forme ! Le plus important pour Carole et moi, c’était que nous nous aimions et c’était une vérité bien plus puissante que les petites disputes du quotidien !
Nous avions décidé depuis le départ, de tout nous dire, de rien se cacher, quel que soit les sujets, la recette du bonheur à nos yeux c’était le sentiment de bien-être que l’un procurait à l’autre. Parce que finalement le bonheur c’est un choix.
Depuis plus de quarante ans, mon épouse a réalisée tous mes fantasmes, certainement bien au-delà de mes attentes, j’en conviens. Avec des périodes plus ou moins calmes en fonction des grossesses et de nos disponibilités. Il nous a fallu du temps pour comprendre les désirs et besoins de chacun. Mon femme avait reçu une éducation stricte et religieuse, elle se voulait devenir une épouse fidèle et sage, elle ne voulait pas décevoir sa famille de petits industriels Normands. Pourtant elle avait découvert dès la fin de son adolescence, sans jamais oser se l’avouer, qu’elle avait des besoins sexuels importants, elle avait dix-huit ans, mais n’avait jamais eue encore l’occasion de franchir le pas et cela l’obsédait terriblement. Elle imaginait des relations torrides avec des hommes plus âgés mais tout cela la laissait frustrée après les caresses solitaires qu’elle pratiquait aussi souvent que possible.
Je laisse maintenant la plume à Carole, qui va se faire un plaisir de vous écrire la suite.
Eh bien, comme vous le précisais mon petit mari Roger, dès ma première expérience sexuelle, j’avais alors dix-huit ans, je m’étais rendue compte que j’avais des besoins sexuels hors du commun. Ma première expérience s’est passée pendant des vacances avec mes parents. Nous étions en 1977, à la fin de l’été, j’errais triste et seule sur une vaste plage de l’Atlantique. Mes amis venaient de déserter afin de reprendre leur vie à Paris. Moi, je restais là. Je ne savais que faire entre océan et ville où les touristes étaient toujours aussi nombreux. L’après-midi se finissait alors qu’un léger vent de mer se levait pour faire claquer et tinter les câbles des bateaux amarrés au port.
La radio annonçait la mort du chanteur américain Elvis Presley, mais je m’en moquais totalement.
Malgré mes tentatives trop timides d’aborder les garçons, j’étais encore pucelle. Il est vrai que mes parents me laissaient peu de liberté. Ce jour-là, les bonnes fées de la chatte et de la queue avaient certainement dû se réveiller en s’apercevant qu’elles m’avaient oubliée et le miracle s’est produit.
Sur la plage, j’ai sympathisé avec un couple d’Anglais tout à fait ordinaire en apparence. Ils m’ont simplement demandé de garder leurs affaires pendant qu’ils se baignaient. Sans doute le monsieur avait-il remarqué mes petits seins pâles qui émergeaient sous mon bikini. Heureusement, je parlais leur langue, malgré un accent certes épouvantable, mais qui ne nous empêchait pas de nous comprendre. Sur la plage, nous nous sommes raconté nos vies. Puis, sachant que j’étais libre pour la soirée, mes parents étant en excursion, ils m’ont invité au restaurant. Ils s’appelaient Jake et Gwen, venaient de Birmingham, ils étaient mariés depuis dix-huit ans soit la même année que ma naissance, n’avaient pas d’enfant, et débutaient la quarantaine tous les deux. Des prénoms faciles à retenir que ma mémoire a gardés précieusement. Ils adoraient la France, surtout la côte ouest. Oui, vraiment, les bonnes fées de la moule et de la pine les ont mis sur mon chemin d’errance.
C’est dans un établissement plutôt chic que les choses sérieuses ont commencé. Nous étions le seize août, saison oblige, les clients étaient nombreux. Nous nous sommes installés autour d’une table au fond de la salle, pour être tranquilles. Dès le moment de l’apéritif, les pieds de Gwen, (qui signifie pourtant « blanc, pur, sacré, béni »), assise en face de moi, se sont faits baladeurs et se sont promenés du côté de mon entrejambe, sachant que je portais une petite jupette. Elle avait pour cela retiré ses sandales et ses orteils erraient de mes cuisses jusqu’au niveau de mon string. En même temps, elle m’a avoué que son mari et elle cherchaient des jeunes filles pour épicer leurs relations intimes. Si je voulais bien entrer dans leur jeu, je pourrais passer de très agréables fins de vacances en leur compagnie.
Les petits pieds de Gwen agaçaient avec insistance ma petite chatte. Sans hésiter, j’ai accepté leur proposition en écartant le plus possible la dentelle de mon string afin de permettre à ma pauvre minette déjà très mouillée de respirer à l’air libre, en priant pour que personne ne me voie dans cette position plutôt gênante.
Le magnifique sourire de la femme qui se trouvait en face de moi m’a rassuré. Elle appréciait mon impudeur. Aussitôt, elle a commencé à venir m’asticoter la chatte sous la table, alors qu’au-dessus, nous trinquions comme si de rien n’était. Jake, assis à côté de sa chère et tendre dont il tenait câlinement la main, se rendait compte de la situation, mais il n’a fait aucun commentaire.
La pâleur du visage de Gwen, à peine maquillée, contrastait avec la peau hâlée de son époux, habitué aux régates en bateau avec ses amis. Sous la table, les petons s’activaient à m’exciter, et je sentais que l’inéluctable excitation allait bientôt me procurer un orgasme des grands jours. Soudain, elle a cessé son geste et remis ses pieds dans ses sandales ! Elle et lui ont échangé un sourire entendu. À ce moment-là, j’ai compris que j’étais destinée à être, non pas l’amante d’une charmante Anglaise, mais l’innocent jouet d’un couple pervers. Et je l’acceptais pleinement, en dégustant mon homard mayonnaise.
Le somptueux dîner terminé, nous nous sommes promenés au crépuscule sur le front de mer, alors que les boutiques baissaient leurs rideaux et que les dernières familles désertaient la plage. Jake et Gwen échangeaient d’amoureux baisers tous les cinquante mètres, juste sous mes yeux. S’amusaient-ils à me provoquer, me sachant solitaire ? Mais dans l’ombre épaisse d’une arcade, elle a plongé sa main dans le slip de son mari et attrapé son membre, pour le relâcher aussitôt et se retirer prestement. Il bandait tellement, j’étais fascinée par la verge de ce mâle, rien à voir avec celle de mes camarades avec qui j’avais déjà joué à « touche pipi », j’ai donc flashé sur ce beau mâle.
Gwen me dit à l’oreille :
- Tu aimerais le voir de plus près, n’est-ce pas ? Ma chérie, tu en as envie ?
- Oh oui, ça m’obsède !
- Mon chéri, Carole a manifestement envie de devenir une femme !
- Mais, toi, Gwen, tu serais d’accord ? Tu n’es pas jalouse ?
- Nous nous aimons, et nous sommes libres ! Me répondit Jake.
- J’aime voir Jake donner du plaisir à une autre femme !
- Alors tu es d’accord pour qu’il soit mon premier amant ?
Nous sommes enfin arrivés à leur hôtel. Le couple disposait d’une suite au dernier étage avec une chambre à coucher et un salon dont le balcon possédait une vue où l’océan rejoignait le ciel étoilé. La fenêtre était restée ouverte, l’air doux conservait ses parfums d’été finissant et, pendant tout mon séjour dans cette pièce, le bruit des vagues a constitué notre fond sonore. Dans le silence de la nuit, il me semble que je l’entends encore.
Sans tarder, Gwen s’approchait de moi, me prenait dans ses bras tendrement, me déposait un sage baiser sur les lèvres, puis enlevait mon tee-shirt et ma jupette.
- Petite vicieuse, tu as retiré ton string !
- Euh ! C’était pour pouvoir me caresser plus facilement.
- Je crois Jake que cette Carole sera une amoureuse exceptionnelle !
J’étais nue devant eux, qui par contre n’étaient nullement pressés de se dévêtir. Nous avions bu un Cognac qui, additionné au Saint-Emilion du restaurant, commençait à me faire tourner la tête. Debout en face d’eux, qui étaient assis sur le canapé, les bras ballants, je me laissais examiner comme par deux médecins. Un grand moment de solitude. Mes tétons s’étaient insolemment dressés, la situation me rendait folle d’excitation. J’essayais de réprimer tout ça mais je ressentais des picotements dans le bas-ventre que je n’arrivais pas à contrôler. Et le comble de l'horreur, je sentais du liquide se rependre entre mes jambes. Je mouillais grave. Je serrais les jambes le plus fort possible mais ma liqueur continuait de dégouliner de mon minou en feu.
- Elle est magnifique, ne trouves-tu pas, mon chéri ?
- Si, absolument, ma tendre aimée, a répondu Jake sans se départir de son flegme, une main posée à travers la robe sur la cuisse de son épouse. Nous avons eu de la chance de la croiser.
- Qu’allons-nous faire maintenant, demandait encore Jake ?
- Toi, le baiseur exceptionnel, tu veux bien être son premier amant ? Elle ne l’oubliera jamais.
- Oh, ma chérie, comme j’en ai envie, là, maintenant !
Sur ces derniers mots, je dois avouer que je n’ai jamais oublié le beau Jake, Gwen se mettait derrière moi et de sa main caressait mon intimité. Que c’était bon ! Depuis le temps que j’attendais ce moment. Jake s’approchait à son tour et se mettait à me caresser. Naturellement, je lui offrais mes lèvres, pour un long baiser qui voulait dire que c’était le moment que j’attendais. Je serai à ce mâle.
Quatre mains, deux bouches courraient sur mon corps. Je fermais les yeux, j’étais au paradis. Jake s’occupait tout particulièrement de mes seins, les caressant et sa langue, ses lèvres insistaient sur mes tétons. Jamais je n’avais vu les bouts de mes seins devenir aussi dur.
- Oh ! Ma chérie, tes petits seins sont sensibles ! Me déclarait Jake.
- Ils ont besoin de caresses Jake ! Lui répondait Gwen
C’est elle qui venait abaisser le pantalon de Jake pour dévoiler l’objet de mes rêves. J’étais fascinée.
- N’ai pas peur, approche ma belle Carole, prends le en mains.
Je savais quoi faire, car durant des années j’avais pu observer avec curiosité les cabrioles des différents couples qui venaient séjourner chez nous. J’avais déjà branlé des petits camarades, et j’avais pratiqué sur eux des fellations.
Mais Gwen, en bonne éducatrice m’apprenait comment le masturber, comment pratiquer la fellation pour lui donner le maximum de plaisir. Jake m’encourageait, alors que j’y mettais tout mon cœur.
- Tu es douée Carole. Tu suces aussi bien que Gwen !
- Tu vas la baiser Jake ? Lui demandait Gwen.
- Pourquoi pas ? Nous reste-t-il des préservatifs ?
- Oh non, je crois que nous avons fini la boite hier, avec… Comment se nommait-il, déjà, cet adorable blondinet qui possédait un énorme pénis ? Yann ?
- Plutôt Yannick, ma chérie !
Lui disait Jake en se saisissant du combiné téléphonique pour appeler la réception et réclamer, dans sa langue maternelle, une nouvelle provision de condoms. Bien lubrifiés, et de couleur claire de préférence, afin de ne pas dénaturer la pâleur de son épiderme. Puis, s’adressant à moi :
- Tu ne veux pas une larme de cet excellent whiskey irlandais, ma belle ?
- Non merci, Jake. Je crois avoir absorbé déjà suffisamment d’alcool.
- Tu es une jeune femme raisonnable. Mais tu verras, la vie te dévergondera. Je lève mon verre à tes futurs succès auprès des hommes et peut-être des femmes ! Tu ne vas pas tarder à constater que ma queue est délicieuse au-delà de tout ce que les mots peuvent exprimer.
- Je n’ai aucun doute à ce sujet, Jake ! Osais-je lui répondre avec assurance.
C’est à ce moment-là que je sentais qu’une langue, celle de Gwen, explorait ma chatte. Une nouvelle découverte pour moi. Je gémissais de plaisir. Jake, à son tour, voulait gouter à mon intimité.
Nous étions dérangés au plus mauvais moment pour moi, je sentais l’excitation monter en moi, quand quelqu’un toquait à la porte, une femme de chambre en tenue apportait, sur un plateau, une boite de préservatifs. Elle était jeune, charmante, et m’avait vu dans le plus simple appareil avec Jake à genoux face à moi, ce qui n’avait pas paru l’étonner le moins du monde. Ce couple devait l’avoir blasée par ses frasques. Il y avait comme une pitié dans le sourire qu’elle m’avait offerte. Ce qui me semblait surprenant.
Gwen n’avait même pas eu la patience d’attendre qu’elle s’en aille pour ouvrir la boite de préservatifs, la jeune femme demandait :
- Désirez-vous autre chose, Messieurs-Dame ?
- Votre croupe charmante nous aurait certes tous émerveillés, y compris ma chère épouse qui est bisexuelle, mais je crains que cela ne soit pas très professionnel de votre part de verser ce soir dans la gaudriole, ni très correct de la nôtre de tenter de vous corrompre dans l’exercice de votre service, alors non. Merci beaucoup Mademoiselle ! Avait-t-il conclu en français.
Malgré la courtoisie du ton, la fille rougissait avant de s’éclipser, non sans m’avoir lancé un dernier regard plutôt tendre. Gwen enlevait enfin sa robe, sous laquelle elle ne portait pas de culotte ni de soutien-gorge. Jake s’était dévêtu en un temps record, il était bronzé intégralement, bien musclé, et disposait surtout d’une grosse bite. Pour la première fois de ma vie, j’avais un homme nu à portée de mains. Les miennes devaient trembler. Il s’en était rendu compte et les avait prises dans les siennes, pour m’apaiser.
Jake reprenait son activité interrompue par la jeune femme qui devait avoir mon âge et le moment ultime arrivait. Jake et Gwen me demandait une dernière fois si je n’avais pas changé d’avis.
- Oh que non ! Je vous en supplie, je le veux ! Fais de moi une femme. Prends-moi, baise-moi !
- Tu es certaine de ne pas le regretter ?
- Non, je le veux et s’il vous plait, pas de capote Jake, je veux bien te sentir !
C’est Gwen, tout naturellement qui présentait la matraque de son mari Jake à l’entrée de ma chatte. Et c’est moi qui, en me blottissant dans les bras de mon premier amant, poussait jusqu’à mon dépucelage. Gwen, qui était une femme charmante restait près de moi, elle me rassurait, elle me murmurait des mots tendres, m’encourageant. Elle me couvrait de caresses et de baisers. Passé le moment douloureux de la rupture de l’hymen, Jake avait délicatement et respectueusement su me baiser longtemps, très longtemps. J’appréciais sa manière de m’empaler virilement, en m’attrapant mon bassin à pleines mains pour que je me balance en avant et en arrière. À chaque coup de bélier, il s’enfonçait très profondément, ce qui me conduisais lentement, mais sûrement, à l’extase, Gwen me dira plus tard qu’elle m’entendait gémir de plus en plus fort et que mes feulements de joie couvraient le bruit de l’océan. Et pour cause, mon premier orgasme était dévastateur, j’avais cru m’évanouir, mais Jake encouragé par son épouse continuait, résistait. C’était à ce moment-là que j’avais réalisé que je pouvais avoir des orgasmes multiples, des jouissances répétées. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Je me sentais enfin libérée, j’ouvrais mon cœur et je lâchais prise ! Je me sentais pleinement en accord avec ma conscience, mon cœur et mon sexe.
- Carole, ma chérie, je vais jouir, je vais me retirer !
- Non, je t’en supplie, je ne veux pas, vide toi en moi Jake !
La demande avait inspiré l’Anglais au plus haut point, car n’y tenant plus il éjaculait très vite, il m’envoyait au fond de ma chatte de longues giclées. Je restais un moment, comme inconsciente, couchée entre les deux époux Anglais, qui me caressaient et m’embrassaient tendrement. Gwen toujours aussi prévenante et câline m’avait nettoyé ma chatte, d’où coulait un peu de sang et de grandes quantités de sperme de son coquin de mari. J’avais apprécié ce moment, la belle Anglaise n’avait pas joui. C’était ce même jour que j’avais découvert les plaisirs lesbiens. Gwen se chargeant de m’initier en m’attirant dans ses bras. J’étais très fière de l’avoir faite jouir avec ma langue.
Jake, très endurant avait retrouvé des forces, il s’était allongé sous elle et l’avait pénétrée vaginalement, il se mettait à la baiser à son tour et c’était sans hésiter que je nettoyais sa chatte à mon tour, lapant ce sperme dont je raffolais.
Il y a des jours comme cela, malgré l’insistance de mes parents de les accompagner à leur excursion, j’avais décidé de rester seule, le hasard m’avait permise non seulement d’être initiée, mais j’avais découvert à la fois que j’avais un appétit sexuel hors du commun, ainsi que ma bisexualité.
En sortant, alors que sous la Lune, je marchais entre eux deux sur le boulevard du front de mer, Gwen me disait :
- Nous allons faire de toi une bête de sexe à notre service. Tu as beaucoup de potentiel. Tu es faite pour ça, et rien d’autre.
- Je suis d’accord avec toi, avais-je répondu. Je suis née pour baiser. J’en ai été privée trop longtemps.
- Avec nous, tu ne manqueras jamais de sexe. Jamais. Je te le promets.
Il nous restait une semaine de vacances avec mes parents, je réussissais à ne pas éveiller les soupçons de ceux-ci, je rejoignais chaque soir Jake et Gwen dans leur lit, pour de torrides parties à trois. Plus tard, prétextant des besoins évidents d’améliorer mon Anglais, je faisais des séjours réguliers à Birmingham, ces quelques chaudes semaines me permettaient de parfaire mon éducation. Gwen et Jake étaient de purs libertins, je prenais part activement à leurs ébats, ils me faisaient rencontrer d’autres amants et d’autres maîtresses. Gwen, Jake et leurs nombreux amis étaient ravis, la petite française était particulièrement douée.
Avant de rencontrer Roger a l’âge de vingt-quatre ans, j’avais multiplié les amants, les expériences, sans avoir de liaison durable, bien décidée à en profiter avant de me stabiliser.
Nous sommes un couple libertin adepte de pluralité masculine, mon épouse, Carole a soixante-six ans, nous sommes mariés depuis 1983, c’est une jolie femme blonde d’un mètre soixante-quatorze qui pèse cinquante-huit kilos, ses mensurations sont parfaites, malgré son âge elle continue de séduire grâce à sa silhouette incroyable.
En ce qui me concerne, j’ai soixante-huit ans, je suis candauliste et bisexuel. Depuis quarante et un ans, Carole partage ma vie, c’est la femme de ma vie, Je l’accompagne dans nos sorties coquines sauf exceptions, scénario ou amant de confiance. J’adore la regarder prendre du plaisir dans les bras d’un autre. Elle adore partager ce plaisir avec moi et s’exhiber dans des lieux très touristiques sous mon objectif. C’est notre façon à nous de visiter.
Nous avons deux enfants, un garçon né en 1987, Guillaume et une fille née en 1994, Marine.
Nos deux enfants sont beaux, sains, libres et brillants. Avec la tête sur les épaules, c’était des enfants concentrés, motivés, affectueux et sérieux. Ils ont réalisé de brillantes études. Nous avons la chance d’avoir une petite fille de trois ans car notre fils est marié avec une Brésilienne rencontré quand il était en poste à Rio pour une société Française.
Vous voyez, rien d’extraordinaire, nous avons réussi à avoir une vie de famille normale, nous sommes très unis, nous avons la chance d’avoir une très grande maison ou nous pouvons tous nous retrouver. Malgré nos désirs, la famille a toujours été notre priorité. Et pourtant, cela n’a pas toujours aussi simple qu’il y parait. Car pour commencer, une vie de famille, il faut que chacun trouve sa place, chaque individu a son propre caractère, ses idées, sa liste de valeurs. Bref, son propre système d’interprétation. Et cela conduit presque toujours à des incompréhensions, des fausses anticipations, voire même des conflits en bonne et due forme ! Le plus important pour Carole et moi, c’était que nous nous aimions et c’était une vérité bien plus puissante que les petites disputes du quotidien !
Nous avions décidé depuis le départ, de tout nous dire, de rien se cacher, quel que soit les sujets, la recette du bonheur à nos yeux c’était le sentiment de bien-être que l’un procurait à l’autre. Parce que finalement le bonheur c’est un choix.
Depuis plus de quarante ans, mon épouse a réalisée tous mes fantasmes, certainement bien au-delà de mes attentes, j’en conviens. Avec des périodes plus ou moins calmes en fonction des grossesses et de nos disponibilités. Il nous a fallu du temps pour comprendre les désirs et besoins de chacun. Mon femme avait reçu une éducation stricte et religieuse, elle se voulait devenir une épouse fidèle et sage, elle ne voulait pas décevoir sa famille de petits industriels Normands. Pourtant elle avait découvert dès la fin de son adolescence, sans jamais oser se l’avouer, qu’elle avait des besoins sexuels importants, elle avait dix-huit ans, mais n’avait jamais eue encore l’occasion de franchir le pas et cela l’obsédait terriblement. Elle imaginait des relations torrides avec des hommes plus âgés mais tout cela la laissait frustrée après les caresses solitaires qu’elle pratiquait aussi souvent que possible.
Je laisse maintenant la plume à Carole, qui va se faire un plaisir de vous écrire la suite.
Eh bien, comme vous le précisais mon petit mari Roger, dès ma première expérience sexuelle, j’avais alors dix-huit ans, je m’étais rendue compte que j’avais des besoins sexuels hors du commun. Ma première expérience s’est passée pendant des vacances avec mes parents. Nous étions en 1977, à la fin de l’été, j’errais triste et seule sur une vaste plage de l’Atlantique. Mes amis venaient de déserter afin de reprendre leur vie à Paris. Moi, je restais là. Je ne savais que faire entre océan et ville où les touristes étaient toujours aussi nombreux. L’après-midi se finissait alors qu’un léger vent de mer se levait pour faire claquer et tinter les câbles des bateaux amarrés au port.
La radio annonçait la mort du chanteur américain Elvis Presley, mais je m’en moquais totalement.
Malgré mes tentatives trop timides d’aborder les garçons, j’étais encore pucelle. Il est vrai que mes parents me laissaient peu de liberté. Ce jour-là, les bonnes fées de la chatte et de la queue avaient certainement dû se réveiller en s’apercevant qu’elles m’avaient oubliée et le miracle s’est produit.
Sur la plage, j’ai sympathisé avec un couple d’Anglais tout à fait ordinaire en apparence. Ils m’ont simplement demandé de garder leurs affaires pendant qu’ils se baignaient. Sans doute le monsieur avait-il remarqué mes petits seins pâles qui émergeaient sous mon bikini. Heureusement, je parlais leur langue, malgré un accent certes épouvantable, mais qui ne nous empêchait pas de nous comprendre. Sur la plage, nous nous sommes raconté nos vies. Puis, sachant que j’étais libre pour la soirée, mes parents étant en excursion, ils m’ont invité au restaurant. Ils s’appelaient Jake et Gwen, venaient de Birmingham, ils étaient mariés depuis dix-huit ans soit la même année que ma naissance, n’avaient pas d’enfant, et débutaient la quarantaine tous les deux. Des prénoms faciles à retenir que ma mémoire a gardés précieusement. Ils adoraient la France, surtout la côte ouest. Oui, vraiment, les bonnes fées de la moule et de la pine les ont mis sur mon chemin d’errance.
C’est dans un établissement plutôt chic que les choses sérieuses ont commencé. Nous étions le seize août, saison oblige, les clients étaient nombreux. Nous nous sommes installés autour d’une table au fond de la salle, pour être tranquilles. Dès le moment de l’apéritif, les pieds de Gwen, (qui signifie pourtant « blanc, pur, sacré, béni »), assise en face de moi, se sont faits baladeurs et se sont promenés du côté de mon entrejambe, sachant que je portais une petite jupette. Elle avait pour cela retiré ses sandales et ses orteils erraient de mes cuisses jusqu’au niveau de mon string. En même temps, elle m’a avoué que son mari et elle cherchaient des jeunes filles pour épicer leurs relations intimes. Si je voulais bien entrer dans leur jeu, je pourrais passer de très agréables fins de vacances en leur compagnie.
Les petits pieds de Gwen agaçaient avec insistance ma petite chatte. Sans hésiter, j’ai accepté leur proposition en écartant le plus possible la dentelle de mon string afin de permettre à ma pauvre minette déjà très mouillée de respirer à l’air libre, en priant pour que personne ne me voie dans cette position plutôt gênante.
Le magnifique sourire de la femme qui se trouvait en face de moi m’a rassuré. Elle appréciait mon impudeur. Aussitôt, elle a commencé à venir m’asticoter la chatte sous la table, alors qu’au-dessus, nous trinquions comme si de rien n’était. Jake, assis à côté de sa chère et tendre dont il tenait câlinement la main, se rendait compte de la situation, mais il n’a fait aucun commentaire.
La pâleur du visage de Gwen, à peine maquillée, contrastait avec la peau hâlée de son époux, habitué aux régates en bateau avec ses amis. Sous la table, les petons s’activaient à m’exciter, et je sentais que l’inéluctable excitation allait bientôt me procurer un orgasme des grands jours. Soudain, elle a cessé son geste et remis ses pieds dans ses sandales ! Elle et lui ont échangé un sourire entendu. À ce moment-là, j’ai compris que j’étais destinée à être, non pas l’amante d’une charmante Anglaise, mais l’innocent jouet d’un couple pervers. Et je l’acceptais pleinement, en dégustant mon homard mayonnaise.
Le somptueux dîner terminé, nous nous sommes promenés au crépuscule sur le front de mer, alors que les boutiques baissaient leurs rideaux et que les dernières familles désertaient la plage. Jake et Gwen échangeaient d’amoureux baisers tous les cinquante mètres, juste sous mes yeux. S’amusaient-ils à me provoquer, me sachant solitaire ? Mais dans l’ombre épaisse d’une arcade, elle a plongé sa main dans le slip de son mari et attrapé son membre, pour le relâcher aussitôt et se retirer prestement. Il bandait tellement, j’étais fascinée par la verge de ce mâle, rien à voir avec celle de mes camarades avec qui j’avais déjà joué à « touche pipi », j’ai donc flashé sur ce beau mâle.
Gwen me dit à l’oreille :
- Tu aimerais le voir de plus près, n’est-ce pas ? Ma chérie, tu en as envie ?
- Oh oui, ça m’obsède !
- Mon chéri, Carole a manifestement envie de devenir une femme !
- Mais, toi, Gwen, tu serais d’accord ? Tu n’es pas jalouse ?
- Nous nous aimons, et nous sommes libres ! Me répondit Jake.
- J’aime voir Jake donner du plaisir à une autre femme !
- Alors tu es d’accord pour qu’il soit mon premier amant ?
Nous sommes enfin arrivés à leur hôtel. Le couple disposait d’une suite au dernier étage avec une chambre à coucher et un salon dont le balcon possédait une vue où l’océan rejoignait le ciel étoilé. La fenêtre était restée ouverte, l’air doux conservait ses parfums d’été finissant et, pendant tout mon séjour dans cette pièce, le bruit des vagues a constitué notre fond sonore. Dans le silence de la nuit, il me semble que je l’entends encore.
Sans tarder, Gwen s’approchait de moi, me prenait dans ses bras tendrement, me déposait un sage baiser sur les lèvres, puis enlevait mon tee-shirt et ma jupette.
- Petite vicieuse, tu as retiré ton string !
- Euh ! C’était pour pouvoir me caresser plus facilement.
- Je crois Jake que cette Carole sera une amoureuse exceptionnelle !
J’étais nue devant eux, qui par contre n’étaient nullement pressés de se dévêtir. Nous avions bu un Cognac qui, additionné au Saint-Emilion du restaurant, commençait à me faire tourner la tête. Debout en face d’eux, qui étaient assis sur le canapé, les bras ballants, je me laissais examiner comme par deux médecins. Un grand moment de solitude. Mes tétons s’étaient insolemment dressés, la situation me rendait folle d’excitation. J’essayais de réprimer tout ça mais je ressentais des picotements dans le bas-ventre que je n’arrivais pas à contrôler. Et le comble de l'horreur, je sentais du liquide se rependre entre mes jambes. Je mouillais grave. Je serrais les jambes le plus fort possible mais ma liqueur continuait de dégouliner de mon minou en feu.
- Elle est magnifique, ne trouves-tu pas, mon chéri ?
- Si, absolument, ma tendre aimée, a répondu Jake sans se départir de son flegme, une main posée à travers la robe sur la cuisse de son épouse. Nous avons eu de la chance de la croiser.
- Qu’allons-nous faire maintenant, demandait encore Jake ?
- Toi, le baiseur exceptionnel, tu veux bien être son premier amant ? Elle ne l’oubliera jamais.
- Oh, ma chérie, comme j’en ai envie, là, maintenant !
Sur ces derniers mots, je dois avouer que je n’ai jamais oublié le beau Jake, Gwen se mettait derrière moi et de sa main caressait mon intimité. Que c’était bon ! Depuis le temps que j’attendais ce moment. Jake s’approchait à son tour et se mettait à me caresser. Naturellement, je lui offrais mes lèvres, pour un long baiser qui voulait dire que c’était le moment que j’attendais. Je serai à ce mâle.
Quatre mains, deux bouches courraient sur mon corps. Je fermais les yeux, j’étais au paradis. Jake s’occupait tout particulièrement de mes seins, les caressant et sa langue, ses lèvres insistaient sur mes tétons. Jamais je n’avais vu les bouts de mes seins devenir aussi dur.
- Oh ! Ma chérie, tes petits seins sont sensibles ! Me déclarait Jake.
- Ils ont besoin de caresses Jake ! Lui répondait Gwen
C’est elle qui venait abaisser le pantalon de Jake pour dévoiler l’objet de mes rêves. J’étais fascinée.
- N’ai pas peur, approche ma belle Carole, prends le en mains.
Je savais quoi faire, car durant des années j’avais pu observer avec curiosité les cabrioles des différents couples qui venaient séjourner chez nous. J’avais déjà branlé des petits camarades, et j’avais pratiqué sur eux des fellations.
Mais Gwen, en bonne éducatrice m’apprenait comment le masturber, comment pratiquer la fellation pour lui donner le maximum de plaisir. Jake m’encourageait, alors que j’y mettais tout mon cœur.
- Tu es douée Carole. Tu suces aussi bien que Gwen !
- Tu vas la baiser Jake ? Lui demandait Gwen.
- Pourquoi pas ? Nous reste-t-il des préservatifs ?
- Oh non, je crois que nous avons fini la boite hier, avec… Comment se nommait-il, déjà, cet adorable blondinet qui possédait un énorme pénis ? Yann ?
- Plutôt Yannick, ma chérie !
Lui disait Jake en se saisissant du combiné téléphonique pour appeler la réception et réclamer, dans sa langue maternelle, une nouvelle provision de condoms. Bien lubrifiés, et de couleur claire de préférence, afin de ne pas dénaturer la pâleur de son épiderme. Puis, s’adressant à moi :
- Tu ne veux pas une larme de cet excellent whiskey irlandais, ma belle ?
- Non merci, Jake. Je crois avoir absorbé déjà suffisamment d’alcool.
- Tu es une jeune femme raisonnable. Mais tu verras, la vie te dévergondera. Je lève mon verre à tes futurs succès auprès des hommes et peut-être des femmes ! Tu ne vas pas tarder à constater que ma queue est délicieuse au-delà de tout ce que les mots peuvent exprimer.
- Je n’ai aucun doute à ce sujet, Jake ! Osais-je lui répondre avec assurance.
C’est à ce moment-là que je sentais qu’une langue, celle de Gwen, explorait ma chatte. Une nouvelle découverte pour moi. Je gémissais de plaisir. Jake, à son tour, voulait gouter à mon intimité.
Nous étions dérangés au plus mauvais moment pour moi, je sentais l’excitation monter en moi, quand quelqu’un toquait à la porte, une femme de chambre en tenue apportait, sur un plateau, une boite de préservatifs. Elle était jeune, charmante, et m’avait vu dans le plus simple appareil avec Jake à genoux face à moi, ce qui n’avait pas paru l’étonner le moins du monde. Ce couple devait l’avoir blasée par ses frasques. Il y avait comme une pitié dans le sourire qu’elle m’avait offerte. Ce qui me semblait surprenant.
Gwen n’avait même pas eu la patience d’attendre qu’elle s’en aille pour ouvrir la boite de préservatifs, la jeune femme demandait :
- Désirez-vous autre chose, Messieurs-Dame ?
- Votre croupe charmante nous aurait certes tous émerveillés, y compris ma chère épouse qui est bisexuelle, mais je crains que cela ne soit pas très professionnel de votre part de verser ce soir dans la gaudriole, ni très correct de la nôtre de tenter de vous corrompre dans l’exercice de votre service, alors non. Merci beaucoup Mademoiselle ! Avait-t-il conclu en français.
Malgré la courtoisie du ton, la fille rougissait avant de s’éclipser, non sans m’avoir lancé un dernier regard plutôt tendre. Gwen enlevait enfin sa robe, sous laquelle elle ne portait pas de culotte ni de soutien-gorge. Jake s’était dévêtu en un temps record, il était bronzé intégralement, bien musclé, et disposait surtout d’une grosse bite. Pour la première fois de ma vie, j’avais un homme nu à portée de mains. Les miennes devaient trembler. Il s’en était rendu compte et les avait prises dans les siennes, pour m’apaiser.
Jake reprenait son activité interrompue par la jeune femme qui devait avoir mon âge et le moment ultime arrivait. Jake et Gwen me demandait une dernière fois si je n’avais pas changé d’avis.
- Oh que non ! Je vous en supplie, je le veux ! Fais de moi une femme. Prends-moi, baise-moi !
- Tu es certaine de ne pas le regretter ?
- Non, je le veux et s’il vous plait, pas de capote Jake, je veux bien te sentir !
C’est Gwen, tout naturellement qui présentait la matraque de son mari Jake à l’entrée de ma chatte. Et c’est moi qui, en me blottissant dans les bras de mon premier amant, poussait jusqu’à mon dépucelage. Gwen, qui était une femme charmante restait près de moi, elle me rassurait, elle me murmurait des mots tendres, m’encourageant. Elle me couvrait de caresses et de baisers. Passé le moment douloureux de la rupture de l’hymen, Jake avait délicatement et respectueusement su me baiser longtemps, très longtemps. J’appréciais sa manière de m’empaler virilement, en m’attrapant mon bassin à pleines mains pour que je me balance en avant et en arrière. À chaque coup de bélier, il s’enfonçait très profondément, ce qui me conduisais lentement, mais sûrement, à l’extase, Gwen me dira plus tard qu’elle m’entendait gémir de plus en plus fort et que mes feulements de joie couvraient le bruit de l’océan. Et pour cause, mon premier orgasme était dévastateur, j’avais cru m’évanouir, mais Jake encouragé par son épouse continuait, résistait. C’était à ce moment-là que j’avais réalisé que je pouvais avoir des orgasmes multiples, des jouissances répétées. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Je me sentais enfin libérée, j’ouvrais mon cœur et je lâchais prise ! Je me sentais pleinement en accord avec ma conscience, mon cœur et mon sexe.
- Carole, ma chérie, je vais jouir, je vais me retirer !
- Non, je t’en supplie, je ne veux pas, vide toi en moi Jake !
La demande avait inspiré l’Anglais au plus haut point, car n’y tenant plus il éjaculait très vite, il m’envoyait au fond de ma chatte de longues giclées. Je restais un moment, comme inconsciente, couchée entre les deux époux Anglais, qui me caressaient et m’embrassaient tendrement. Gwen toujours aussi prévenante et câline m’avait nettoyé ma chatte, d’où coulait un peu de sang et de grandes quantités de sperme de son coquin de mari. J’avais apprécié ce moment, la belle Anglaise n’avait pas joui. C’était ce même jour que j’avais découvert les plaisirs lesbiens. Gwen se chargeant de m’initier en m’attirant dans ses bras. J’étais très fière de l’avoir faite jouir avec ma langue.
Jake, très endurant avait retrouvé des forces, il s’était allongé sous elle et l’avait pénétrée vaginalement, il se mettait à la baiser à son tour et c’était sans hésiter que je nettoyais sa chatte à mon tour, lapant ce sperme dont je raffolais.
Il y a des jours comme cela, malgré l’insistance de mes parents de les accompagner à leur excursion, j’avais décidé de rester seule, le hasard m’avait permise non seulement d’être initiée, mais j’avais découvert à la fois que j’avais un appétit sexuel hors du commun, ainsi que ma bisexualité.
En sortant, alors que sous la Lune, je marchais entre eux deux sur le boulevard du front de mer, Gwen me disait :
- Nous allons faire de toi une bête de sexe à notre service. Tu as beaucoup de potentiel. Tu es faite pour ça, et rien d’autre.
- Je suis d’accord avec toi, avais-je répondu. Je suis née pour baiser. J’en ai été privée trop longtemps.
- Avec nous, tu ne manqueras jamais de sexe. Jamais. Je te le promets.
Il nous restait une semaine de vacances avec mes parents, je réussissais à ne pas éveiller les soupçons de ceux-ci, je rejoignais chaque soir Jake et Gwen dans leur lit, pour de torrides parties à trois. Plus tard, prétextant des besoins évidents d’améliorer mon Anglais, je faisais des séjours réguliers à Birmingham, ces quelques chaudes semaines me permettaient de parfaire mon éducation. Gwen et Jake étaient de purs libertins, je prenais part activement à leurs ébats, ils me faisaient rencontrer d’autres amants et d’autres maîtresses. Gwen, Jake et leurs nombreux amis étaient ravis, la petite française était particulièrement douée.
Avant de rencontrer Roger a l’âge de vingt-quatre ans, j’avais multiplié les amants, les expériences, sans avoir de liaison durable, bien décidée à en profiter avant de me stabiliser.
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17 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Tamis pour votre élogieux commentaire.
Beau texte, joli vécu, inoubliable passé... Bravo à vous !
Merci à vous cher lecteur pour vos compliments, la suite est à disposition sous forme de cinq chapitres.
Je vais publier le chapitre 7 : Une première expérience échangiste osée écrit par moi-même avec la conclusion rédigée par Roger.
En attente d'autres commentaires.
Carole.
Je vais publier le chapitre 7 : Une première expérience échangiste osée écrit par moi-même avec la conclusion rédigée par Roger.
En attente d'autres commentaires.
Carole.
Très beau récit , on attend la suite des aventures . Bravo
Merci à vous Sylvain pour votre commentaire. Nous souhaitons démontrer au travers de nos récits qu'il est possible d’être fidèle de cœur tout en vivant des expériences intimes, ce qui a rendu notre amour encore plus intense. Cette forme de fidélité a contribué au bien-être de notre couple en évitant la routine. Cependant, il faut être émotionnellement solide pour adopter cette philosophie de vie et la mettre en pratique. Le libertinage est une mentalité et un style de vie qui est propre à chaque individu et à chaque couple.
Merci pour ce récit, qui donne le ton a une vie sexuelle épanouie sans tabous et dans le respect de son conjoint.
Sylvain
Sylvain
Merci "cher lecteur inconnu" pour votre commentaire, nous sommes satisfaits que vous appréciez le récit de notre vie de couple.
Notre objectif en décidant d'écrire nos "mémoires libertines" c'est de démontrer que des libertins peuvent construire un couple solide. Nous avons souvent été montrés du doigt et mal jugés, et pourtant nous avons toujours essayé d'être les plus discrets possible. Nous souhaitons faire savoir que pour nous, couple libertin, la notion de fidélité est considérée d'une autre façon que dans les couples monogames. Lorsque j'ai proposé cette pratique à Carole, je ne lui signifiais pas que je ne la désirais plus, mais au contraire que j'avais suffisamment confiance en notre couple et en ses sentiments pour pouvoir lui proposer de nouvelles expériences.
J'espère que la suite vous satisfera également.
Carole et Roger.
Notre objectif en décidant d'écrire nos "mémoires libertines" c'est de démontrer que des libertins peuvent construire un couple solide. Nous avons souvent été montrés du doigt et mal jugés, et pourtant nous avons toujours essayé d'être les plus discrets possible. Nous souhaitons faire savoir que pour nous, couple libertin, la notion de fidélité est considérée d'une autre façon que dans les couples monogames. Lorsque j'ai proposé cette pratique à Carole, je ne lui signifiais pas que je ne la désirais plus, mais au contraire que j'avais suffisamment confiance en notre couple et en ses sentiments pour pouvoir lui proposer de nouvelles expériences.
J'espère que la suite vous satisfera également.
Carole et Roger.
Merci à vous "nyalis" pour ces commentaires élogieux, cela nous encourage à poursuivre l'écriture de notre histoire.
Je comprends également après avoir lu une de vos histoires : "Balade en forêt "pourquoi nous avons autant de points communs.
Ce texte est magnifiquement bien écrit, il nous a ravis l'un et l'autre. La description des sensations est tout à fait exceptionnelle.
Nous allons poursuivre la lecture de vos autres récits.
Merci à vous.
Carole et Roger.
Je comprends également après avoir lu une de vos histoires : "Balade en forêt "pourquoi nous avons autant de points communs.
Ce texte est magnifiquement bien écrit, il nous a ravis l'un et l'autre. La description des sensations est tout à fait exceptionnelle.
Nous allons poursuivre la lecture de vos autres récits.
Merci à vous.
Carole et Roger.
Très agréable et exitant à lire.J'ai beaucoup apprécié votre âge qui est proche du mien.
J'aurais le plaisir de lire la suite de vos histoires. Bisous,
Rudy
J'aurais le plaisir de lire la suite de vos histoires. Bisous,
Rudy
Voilà un récit comme je les aime. L'histoire vécue d'un couple authentique sincère racontée à deux.
Cela nous change de ces récits écrits à la chaîne par des "serial writers", par dizaines ou centaines pour certains. Mais comment trouvent-ils le temps ?
Le site est plein, hélas, de ces récits où il n'est question que de sexe décrit avec force détails jusqu'à la nausée.
Merci à Roger et Carole pour leur initiative. Comme Roger je suis candauliste, bisexuel et le même âge. J'ai publié quelques bons souvenirs sous le pseudo nyalis. Au plaisir de continuer à vous lire.
Cela nous change de ces récits écrits à la chaîne par des "serial writers", par dizaines ou centaines pour certains. Mais comment trouvent-ils le temps ?
Le site est plein, hélas, de ces récits où il n'est question que de sexe décrit avec force détails jusqu'à la nausée.
Merci à Roger et Carole pour leur initiative. Comme Roger je suis candauliste, bisexuel et le même âge. J'ai publié quelques bons souvenirs sous le pseudo nyalis. Au plaisir de continuer à vous lire.
Voilà un récit comme je les aime. L'histoire vécue d'un couple, authentique, sincère, racontée en duo. Cela nous change de ces récits où il n'est question que de sexe décrit avec force détails, jusqu'à la nausée. Des récits écrits par dizaines, par centaines par des "serial writers". Mais comment trouvent-ils le temps d'écrire autant de récits sans saveur et vulgaires ?
J'ai des points communs avec Roger, candauliste, bisexuel, le même âge.. Merci à vous deux. J'ai publié aussi quelques bons souvenirs sur ce site. Mon pseudo "nyalis".
J'ai des points communs avec Roger, candauliste, bisexuel, le même âge.. Merci à vous deux. J'ai publié aussi quelques bons souvenirs sur ce site. Mon pseudo "nyalis".
Vous avez complètement raison "chère lectrice" inconnue, j'ai pris d'énormes risques, nous étions en 1977 et j'ai eu beaucoup de chance.
L'inconscience de la jeunesse, il est bien évident que je ne recommande pas ce genre de pratiques, mais malheureusement vous le découvrirez si nous poursuivons notre histoire, nous en avons pris bien d'autres tout aussi irresponsables.
Pour la suite, nous vous proposerons la découverte de la bisexualité de mon mari.
Merci à vous pour votre commentaire, c'est encourageant pour une première.
Carole.
L'inconscience de la jeunesse, il est bien évident que je ne recommande pas ce genre de pratiques, mais malheureusement vous le découvrirez si nous poursuivons notre histoire, nous en avons pris bien d'autres tout aussi irresponsables.
Pour la suite, nous vous proposerons la découverte de la bisexualité de mon mari.
Merci à vous pour votre commentaire, c'est encourageant pour une première.
Carole.
Vous avez pris des risques aussi entre grossesse et IST. On attends la suite.
Nous sommes ravis "chère Olga" de raviver des moments de plaisir pour vous.
Sachez qu'à la base nous avions quelques réticences de nous plonger dans nos souvenirs.
Mais, en énumérant toutes les belles choses qui nous sont arrivées, et d'autres un peu moins glorieuses ou risquées, comme je pense dans tous les couples après quarante ans de mariage, c'était ensuite comme une évidence pour nous, et cela a même boosté notre complicité. Si besoin ?
C'était aussi un moyen de toucher au cœur de l'émotion et de la partager avec vous et les autres lecteurs, mais aussi ensemble, mon épouse et moi.
Si nous n'écrivions pas, des détails précis pourraient bientôt être oubliés. Ces quelques mots partagés avec mon épouse valident notre expérience libertine et donnent un sens à notre vie tout simplement et confirment notre choix de vie.
Si en racontant notre histoire, la vie d'autres personnes pouvait en être enrichie, nous serions l'un et l'autre ravis.
Carole et Roger.
Sachez qu'à la base nous avions quelques réticences de nous plonger dans nos souvenirs.
Mais, en énumérant toutes les belles choses qui nous sont arrivées, et d'autres un peu moins glorieuses ou risquées, comme je pense dans tous les couples après quarante ans de mariage, c'était ensuite comme une évidence pour nous, et cela a même boosté notre complicité. Si besoin ?
C'était aussi un moyen de toucher au cœur de l'émotion et de la partager avec vous et les autres lecteurs, mais aussi ensemble, mon épouse et moi.
Si nous n'écrivions pas, des détails précis pourraient bientôt être oubliés. Ces quelques mots partagés avec mon épouse valident notre expérience libertine et donnent un sens à notre vie tout simplement et confirment notre choix de vie.
Si en racontant notre histoire, la vie d'autres personnes pouvait en être enrichie, nous serions l'un et l'autre ravis.
Carole et Roger.
Merci cher "lecteur inconnu" pour vos encouragements, cela nous motive pour vous raconter modestement nos petits secrets.
Pour le premier chapitre, nous devons vous avouer que nous avons pris beaucoup de plaisir à l'écrire.
C'est notre objectif prioritaire.
Concernant l'écriture, mon épouse n'est pas ravie des petites fautes d'orthographe ici et là !
Comme nous sommes encouragés nous allons poursuivre avec le chapitre 2.
Carole et Roger.
Pour le premier chapitre, nous devons vous avouer que nous avons pris beaucoup de plaisir à l'écrire.
C'est notre objectif prioritaire.
Concernant l'écriture, mon épouse n'est pas ravie des petites fautes d'orthographe ici et là !
Comme nous sommes encouragés nous allons poursuivre avec le chapitre 2.
Carole et Roger.
Très belle initiation, qui me rappelle des souvenirs!
Un recit qui semble reel et en plus bien ecrit