Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 2 : Roger découvre sa bisexualité
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 2 : Roger découvre sa bisexualité
Avant de continuer à dérouler notre histoire, je souhaiterais revenir sur mon adolescence. Je pense que j’ai toujours été bi. Même si, comme pour beaucoup, mes parents et surtout ma mère m’avaient socialisé en tant que personne hétérosexuelle et masculine, mes premiers "éveils sexuels", mes premières expériences d'admiration, d'engouement et d'excitation pendant mon enfance s’étaient produits avec des hommes. Comme j'avais en même temps conscience de mon attirance pour les filles, ma socialisation hétérosexuelle m'avait fait accorder peu d'importance à ma fascination pour les hommes. C’était important pour moi de vous préciser cela.
Nous étions donc en 1991, j'avais trente-quatre ans, j’avais rencontré Carole en 1982, c’était un coup de foudre réciproque, nous nous étions mariés en 1983, mon épouse était une femme adorable, jolie, aimant le sexe, adorant même le sexe, je pourrais même affirmer maintenant qu’elle avait une sexualité compulsive, toujours en recherche continue et persistante du plaisir sexuel et bien entendu toujours ouverte à mes demandes particulières. Après huit ans de mariage, nous avions un fils de quatre ans, nous formions une petite famille « formidable », sans problème matériel et financier. Tout aurait pu être merveilleux, si mon épouse n'avait pas eu des gros problèmes de santé une année après la naissance de notre fils. Je ne souhaite pas rentrer dans les détails, mais ses traitements lourds avaient très vite modifié notre vie et notre sexualité. Cette thérapie créait d’importants effets secondaires difficilement supportables pour Carole pendant ces années de 1988 à 1990. Les besoins sexuels de mon épouse étaient inexistants, les rapports se faisaient rares. Mais mes besoins existaient toujours, j'étais très actif avant, avec des rapports journaliers. La maladie de mon épouse me rongeait de l’intérieur. Je n’étais pas heureux et très inquiet. Et puis pour être heureux en couple, cela incluait la sexualité, c’était très important pour moi pour une raison simple, la sexualité faisait le couple. Malgré cela, nous pouvions partager des loisirs, des vacances, notre maison, des pensées et même des fous-rires. Mais sans sexualité, nous vivions comme des frères et des sœurs. Nous n'étions plus un couple.
Je ne souhaitais surtout pas tromper Carole, et donc j'avais de plus en plus recours à la masturbation avec quand mon épouse était plus en forme une participation de sa part plus ou moins active. Cela me faisait du bien, quand elle me pénétrait en mettant un doigt puis deux, et que je sentais le plaisir monter en moi. Je pensais que cela l’excitait également. Elle reproduisait les mêmes gestes que je lui prodiguais avant ses ennuis de santé. Elle me mettait du lubrifiant sur ma rondelle, enduisait le gode, son gode, me demandait de me mettre en levrette et elle l'introduisait doucement. Le gode avait un bon diamètre et je sentais régulièrement une douleur quand elle l’enfonçait complètement. Mais elle disparaissait rapidement, quand elle commençait les « va-et-vient ». Tout en me faisant enculer par mon épouse, je prenais un immense plaisir et je me branlais.
J’avais développé une autre forme de sexualité qui ne me déplaisait pas. Qui satisfaisait également mon épouse qui se plaisait à me répéter que j’aimais cela, que j’étais sa petite salope. Généralement des râles mâles et femelles emplissaient la chambre. Je finissais par jouir, il fallait à chaque fois, à sa demande que je lèche et avale mon propre sperme. Je devais lui démontrer que j’étais son petit homo. Au début je n’en raffolais pas, je goûtais malgré moi, et puis au fil des expériences, j’avais pris un plaisir fou à avaler mon propre sperme. Cela me permettait aussi de comprendre pourquoi Carole aimait tant que je l’encule. Pendant cette période, les traitements s’enchaînaient, nous alternions entre espoir et désespoir en fonction de l’évolution et des retours des médecins. Mais, en cette fin d’année 1990, nous reprenions espoir, mon épouse allait mieux, elle pouvait retravailler, ce qui était important pour elle. Nous retrouvions un équilibre familial. La vie redevenait belle pour nous trois. Et pourtant en février, l'hiver s'éternisait, la météo ne me permettait pas de retourner faire du sport, course à pieds et VTT et pour le tennis, le gymnase était en travaux et donc indisponible, je m’ennuyais quelque peu. Je pense que moralement j’étais affaibli, le rôle d’accompagnant d’une femme malade pendant toutes ces années ne fût pas simple à vivre. La relation particulière que j’avais développée avec Carole me plaisait bien, mais je voulais sans oser me l’avouer, peut-être passer une étape supérieure. Je me souvenais nostalgique de quelques expériences lors de mon service militaire qui était encore obligatoire.
Dans mon régiment, nous étions vingt-huit par chambre, je vous laisse imaginer et j’avais eu quelques petites aventures, plutôt tactiles sous les douches collectives, caresses et quelques masturbations avec un ami de chambre qui s’appelait Éric.
Je ne sais pas comment cela c’était fait, mais un soir dans cette chambre avec quatorze lits superposés, je m’étais retrouvé avec la queue d’Éric dans la main et lui avec la mienne ! Nous avions ensuite renouvelé souvent ce petit jeu entre militaires. Je n’avais pas l'impression de faire du mal au contraire, les bonnes paluchades entre nous étaient bien agréables. Nous nous faisions du bien chaque fois que possible.
Éric, mon ami bidasse souhaitait aller plus loin, mais j’avais longuement refusé. Ce n’était pas que je n’en avais pas envie, mais c’était plus pour la morale. Ma mère dont j’étais proche, étant le petit dernier, très catholique, avait un problème avec l’homosexualité. Elle en parlait comme d’un « péché ». C’était une chose abominable pour elle. Ce comportement sexuel était moralement répréhensible. Les relations sexuelles devaient être réservées à des personnes de sexe différent, elle affirmait que l’homosexualité était une sorte de maladie. Je ne voulais surtout pas la décevoir ainsi que mon entourage, je devais résister à la tentation, ne surtout pas satisfaire les demandes répétées de mon ami Éric.
Parfois, les hasards de la vie vous font perdre tout contrôle sur vous-même. A ma période, pendant notre service national, nous pouvions bénéficier de permissions de différentes durées. Et un week-end, Éric et moi, nous disposions d'une « 36 heures ». Du samedi 12h00 au dimanche soir minuit. Trop court pour moi pour revenir dans ma ville natale où je résidais en Normandie. Éric, lui habitait, Pierrefitte-sur-Seine en banlieue parisienne.
Il m'invitait chez lui, chez ses parents, j'appréciais cette invitation qui allait me permettre de changer d'air après quatre semaines passées à la caserne. Quand nous étions arrivés chez lui dans un appartement d'une grande tour de banlieue, j’étais surpris d'apprendre que ses parents et ses deux sœurs étaient absents pour le week-end. Après le dîner, Éric, me semblait anormalement excité, mais après une bonne douche, nous décidions de nous rendre dans un cinéma de la ville. En sortant de la salle de bain, Éric était arrivé en tenue de jogging très moulante, sa vue m'avait provoqué une poussée d'adrénaline. Il s'était approché de moi et m'avait fait la bise en me disant que j'étais très mignon habillé comme j'étais ce soir-là. J'avais souri en lui disant que lui aussi en matant son cul musclé, moulé dans son jogging et sa grosse bosse sur le devant. Nous avions bu de manière excessive, et je pensais que c'était l'abus d'alcool qui m'avait fait réagir de la sorte.
Nous nous étions rendus à salle du ciné, Éric s'était installé au fond dans une petite rangée de quatre fauteuils, en me disant que nous serions tranquilles ici. Une fois la salle plongée dans le noir, il me disait à l'oreille qu'il avait pensé à ce moment toute la journée. J'avais tourné la tête pour lui répondre, il était tellement proche que nos lèvres se sont touchées. J'avais ressenti un frissonnement particulier, sans pouvoir me l'expliquer, j'avais pris l'initiative à ma grande surprise, poussé par une envie irrésistible, en l'embrassant à pleine bouche. Il avait répondu à mon baiser avec fougue, sa main s'était posée sur ma cuisse et avait remonté le long de ma jambe. Instinctivement j'avais écarté les jambes pour qu'il puisse atteindre facilement mon entrejambe. Tandis que sa main me caressait le sexe et les couilles, que sa langue fusionnait avec la mienne, je glissais ma main dans son jogging.
C'était la première fois que je me lâchais ainsi. Rien à voir avec les masturbations mutuelles de la caserne. Une montée d'adrénaline m'envahissait faisant dresser encore plus ma verge quand je sentais qu'il ne portait rien sous son jogging ! Éric me disait à l'oreille :
- Ça te plaît, nous pourrions rentrer tout de suite si tu le souhaites ?
Ma respiration s'arrêtait un instant. Le moment tant attendu allait arriver. Je lui disais, OK. En refermant ma braguette et mon pantalon, il me disait :
- On y va maintenant ?
Il ne me laissait pas le temps de répondre, il se levait. Je l'avais suivi tout excité. Nous avions rejoint l'appartement de ses parents sans un mot, à peine la porte refermée, Éric me collait au mur en m'embrassant et en défaisant ma chemise. Je glissais mes mains sous son tee-shirt pour lui retirer. Le contact de son torse musclé m'excitait.
Après toutes ces années, ou je n'avais rien tenté lorsque j'avais eu des coups de cœur non hétéros car je me sentais intimidé par ces personnes, ce soir-là, je sentais que mes blocages par rapport à la morale, sautaient de façon naturelle. Il retirait mon pantalon qui tombait au sol, ma queue raide était dressée dans l'anneau, mes fesses entourées par un mini-slip.
- Ça donne envie tout ça ! Me déclarait Éric.
Je lui répondais en baissant son jogging, son énorme verge toute lisse jaillissait courbée vers le plafond. Il se dirigeait vers son lit et me disait :
- Viens allonge-toi.
Je me couchais sur le dos, il s'était installé au-dessus de moi à quatre pattes tête-bêche.
Je sentais sa langue humide et chaude remonter le long de ma tige, ses mains caressaient mes couilles, tandis qu'il massait avec un doigt mon périnée. Cela me faisait un effet dingue !
Je gémissais en ouvrant la bouche, il en profitait pour y poser son sexe. Quel effet, cela éveillait immédiatement une envie de sexe de ma part. Ses lèvres posées sur mon gland me décalottaient et je sentais la chaleur de sa bouche et sa langue agile progresser le long de ma tige. Je gémissais en sentant son sexe forcer l'entrée de ma bouche, mes lèvres serrées le décalottaient, il gémissait aussi. Ses lèvres touchaient mon pubis tout lisse, il bouffait ma queue en entier le salaud. Alors j'ouvrais grand ma bouche et il y enfonçait son gros sexe, je faillis étouffer. Impossible pour moi d'avaler son sexe impressionnant. Vu son épaisseur et heureusement que j'ai une grande bouche. J'étais comme dans rêve, excité par un plaisir intense, un 69 pour ma première vraie expérience sexuelle. J'avais une bite en bouche et elle était excellente. Je la suçais donc avec frénésie, mais aussi très maladroitement vu que c'était la première fois. Mais je suçais la queue d’Éric avec envie comme si j'avais fait ça toute ma vie. Sa langue experte me donnait un plaisir intense, son doigt massant mon périnée et sa main chauffait mes couilles, il commençait à faire monter le plaisir en moi. C'était difficile pour moi de me retenir...
Éric l’avait senti, il accélérait sa fellation pour provoquer mon premier jet. Il continuait à me sucer pour profiter de mon deuxième jet. Éric gémissait. Je jouissais en le suçant avec encore plus d'ardeur. Il ondulait du cul pour bien me limer la bouche, je sentais son sexe s'enfoncer dans ma gorge. Je lui caressais les couilles et ses fesses musclées. Puis je sentais son sexe devenir plus rapide et se contracter. Par manque d'expérience, je n'avais pas réalisé tout de suite qu'il avait un orgasme. Éric gémissait très fort et je sentais ma bouche se remplir de chaleur et d'un liquide chaud et salé. Son deuxième jet me remplissait complètement la bouche, son sperme chaud débordait sur mes lèvres. Son sexe sortait de ma bouche et un dernier jet m'inondait la figure. Je réalisais que je venais de recevoir ma première éjaculation faciale et dans la bouche. Mon sexe se contractait une dernière fois et je giclais aussi une dernière fois sur le visage d’Éric. Celui-ci me déclarait que cette première expérience m'avait visiblement beaucoup plu.
Je gémissais en lui répondant positivement et en avalant son sperme. Je m'étais toujours demandé si cela ne me dégoûterait pas, si j'aimerais le goût. Et là maintenant que c'était arrivé, j'aimais ça, comme si c'était naturel. Nous nous étions levés pour aller nous doucher. Sous les jets d’eau, nous poursuivions nos caresses en échangeant des baisers fougueux, Éric en voulait encore plus, personnellement je ne me lassais pas de l’embrasser, au fond de moi j’avais aussi envie d’autre chose !
Mais ça, c'était une autre histoire. J'étais jeune et inexpérimenté, j'avais l'impression d'avoir franchi une étape importante. Je me persuadais de me calmer. Éric souhaitait continuer notre petit jeu en vue de poursuivre mon initiation. Il est vrai que je commençais de plus en plus à voir Éric autrement que comme mon meilleur ami de régiment. Ce week-end à Pierrefitte s'était passé à la fin de notre « mobilisation », après notre retour dans notre régiment, j’étais resté distant et fuyant vis-à-vis d’Éric, car je ne souhaitais surtout pas éveiller de soupçons par rapport à nos copains de chambrée. Et pourtant j’avais apprécié cette soirée, ma première fellation.
Et puis c’était la « libération », le retour à la vie civile et dans ma famille, je reprenais mon activité professionnelle, je retrouvais mes amies et amis. Mon aventure avec Éric était toujours dans un petit coin de la tête. Et puis à l'occasion d'une visite au salon de la voiture de course qui était organisé à Paris, j'avais décidé de contacter mon ami Éric pour lui proposer de m'accompagner. La réponse était immédiate et positive, Éric se chargeait de l'hébergement, car il venait d'emménager seul dans un minuscule appartement dans Paris.
Les retrouvailles étaient chaleureuses, nous visitions le salon, Éric ne s'imaginait pas à quel point j'étais passionné par le sport automobile. Il était fasciné par ma connaissance du milieu. Après cette visite, nous nous étions restaurés, puis nous étions rentrés chez lui, avec une bonne dose d'alcool, mais trop joyeux d'être ensemble. Nous nous retrouvions dans sa chambre, presque sans un mot, mais aussi impatients l’un que l’autre, nous nous étions déshabillés rapidement. L'alcool faisait son effet, notre libido s'était enclenchée et nous nous étions pris au jeu. Nous nous retrouvions nus, nous nous jetions l'un contre l'autre pour s'embrasser passionnément, se caresser et se frotter l'un contre l'autre.
Éric m'entraînait sur le lit, je l'embrassais encore et encore. Nos sexes se frottaient l'un contre l'autre. Il me caressait et me retournait sur le dos pour prendre les choses en main. Il se frottait contre moi encore un instant avant de descendre doucement sa tête sur mon sexe et se mettait à me sucer. C'était trop bon de le sentir faire. Je gémissais très vite de plaisir, redécouvrant les plaisirs entre hommes tant désirés. Il me caressait les couilles, me faisait gémir de plus en plus, il s'arrêtait de me sucer au moment où il sentait que j'allais venir en lui. Je n'en pouvais plus. Je passais mes mains sur sa tête et je jouissais rapidement dans sa bouche.
Il remontait pour m'embrasser et je le sentais se frotter sur moi tout en m'embrassant. Éric était tellement excité, que j'écartais mes jambes pour mieux le sentir sur mon corps, très vite je sentais qu'il jouissait sur moi. Nous nous regardions, puis nous rigolions un instant de notre exploit avant de nous embrasser de nouveau. Nous rebandions très vite. Éric me faisait comprendre qu'il souhaitait plus. Il me regardait tendrement, mais personnellement, je n'étais pas encore prêt mentalement à me faire sodomiser, j'en avais très envie, mais j'avais comme une sorte de blocage inexplicable. Éric avait vraiment envie d’être le premier, mais n’insistait pas. Je comprenais ses envies et sa demande, et devant son regard attendri, je passais à l'action. Je faisais lever légèrement ses jambes, je lui avais longuement caressé les fesses avant de lui lécher sa petite rondelle puis je pointais mon sexe contre son petit trou. De sa main droite, il réussissait à attraper mon sexe encore dur pour le faire rentrer entre ses fesses. J'étais euphorique par cette sensation que j'éprouvais à ce moment-là. Lentement, je l'avais pénétré, je l'embrassais tendrement et entrais en lui calmement sans précipitation, je le faisais légèrement crier. Je prenais mon temps, tout mon temps, je voulais lui faire prendre son plaisir. Plaisir réclamé depuis si longtemps. Je savourais également ma première sodomie.
Éric s'habituait à mon sexe, et lentement, je reprenais un mouvement de va-et-vient en lui. C'était bon, trop bon pour moi, de sodomiser mon copain Éric. Mais c'était également bon pour lui. Il gémissait de plaisir, il me demandait d'aller de plus en plus vite, et je gémissais à mon tour, je me sentais bien en lui. Pendant vingt bonnes minutes, je lui faisais l'amour avant de jouir en lui. Malgré ses demandes, je savourais ce plaisir d’être au plus profond de mon premier amant. J'avais à peine le temps de jouir en lui qu'il s'écroulait à côté de moi, et nous nous embrassions chaleureusement. Éric était heureux, nous étions l'un et l'autre très heureux d'avoir enfin osé passer ce pas. Je sentais qu’Éric était comblé. Nous nous étions endormis, bras dans les bras, rassasiés par cet instant magique et libérateur. Le lendemain matin, Éric m’avait demandé de renouveler l’expérience en voulant être pris de manière plus virile et violente. Et, puis, après ce moment particulier pour moi, de retour chez moi en Normandie, j'avais beaucoup culpabilisé, sur cette relation particulière. J'avais pris bêtement la décision de ne plus jamais revoir Eric, avant tout par sagesse et un manque de courage, ne voulant pas m'avouer ma bisexualité.
Nous étions donc en 1991, j'avais trente-quatre ans, j’avais rencontré Carole en 1982, c’était un coup de foudre réciproque, nous nous étions mariés en 1983, mon épouse était une femme adorable, jolie, aimant le sexe, adorant même le sexe, je pourrais même affirmer maintenant qu’elle avait une sexualité compulsive, toujours en recherche continue et persistante du plaisir sexuel et bien entendu toujours ouverte à mes demandes particulières. Après huit ans de mariage, nous avions un fils de quatre ans, nous formions une petite famille « formidable », sans problème matériel et financier. Tout aurait pu être merveilleux, si mon épouse n'avait pas eu des gros problèmes de santé une année après la naissance de notre fils. Je ne souhaite pas rentrer dans les détails, mais ses traitements lourds avaient très vite modifié notre vie et notre sexualité. Cette thérapie créait d’importants effets secondaires difficilement supportables pour Carole pendant ces années de 1988 à 1990. Les besoins sexuels de mon épouse étaient inexistants, les rapports se faisaient rares. Mais mes besoins existaient toujours, j'étais très actif avant, avec des rapports journaliers. La maladie de mon épouse me rongeait de l’intérieur. Je n’étais pas heureux et très inquiet. Et puis pour être heureux en couple, cela incluait la sexualité, c’était très important pour moi pour une raison simple, la sexualité faisait le couple. Malgré cela, nous pouvions partager des loisirs, des vacances, notre maison, des pensées et même des fous-rires. Mais sans sexualité, nous vivions comme des frères et des sœurs. Nous n'étions plus un couple.
Je ne souhaitais surtout pas tromper Carole, et donc j'avais de plus en plus recours à la masturbation avec quand mon épouse était plus en forme une participation de sa part plus ou moins active. Cela me faisait du bien, quand elle me pénétrait en mettant un doigt puis deux, et que je sentais le plaisir monter en moi. Je pensais que cela l’excitait également. Elle reproduisait les mêmes gestes que je lui prodiguais avant ses ennuis de santé. Elle me mettait du lubrifiant sur ma rondelle, enduisait le gode, son gode, me demandait de me mettre en levrette et elle l'introduisait doucement. Le gode avait un bon diamètre et je sentais régulièrement une douleur quand elle l’enfonçait complètement. Mais elle disparaissait rapidement, quand elle commençait les « va-et-vient ». Tout en me faisant enculer par mon épouse, je prenais un immense plaisir et je me branlais.
J’avais développé une autre forme de sexualité qui ne me déplaisait pas. Qui satisfaisait également mon épouse qui se plaisait à me répéter que j’aimais cela, que j’étais sa petite salope. Généralement des râles mâles et femelles emplissaient la chambre. Je finissais par jouir, il fallait à chaque fois, à sa demande que je lèche et avale mon propre sperme. Je devais lui démontrer que j’étais son petit homo. Au début je n’en raffolais pas, je goûtais malgré moi, et puis au fil des expériences, j’avais pris un plaisir fou à avaler mon propre sperme. Cela me permettait aussi de comprendre pourquoi Carole aimait tant que je l’encule. Pendant cette période, les traitements s’enchaînaient, nous alternions entre espoir et désespoir en fonction de l’évolution et des retours des médecins. Mais, en cette fin d’année 1990, nous reprenions espoir, mon épouse allait mieux, elle pouvait retravailler, ce qui était important pour elle. Nous retrouvions un équilibre familial. La vie redevenait belle pour nous trois. Et pourtant en février, l'hiver s'éternisait, la météo ne me permettait pas de retourner faire du sport, course à pieds et VTT et pour le tennis, le gymnase était en travaux et donc indisponible, je m’ennuyais quelque peu. Je pense que moralement j’étais affaibli, le rôle d’accompagnant d’une femme malade pendant toutes ces années ne fût pas simple à vivre. La relation particulière que j’avais développée avec Carole me plaisait bien, mais je voulais sans oser me l’avouer, peut-être passer une étape supérieure. Je me souvenais nostalgique de quelques expériences lors de mon service militaire qui était encore obligatoire.
Dans mon régiment, nous étions vingt-huit par chambre, je vous laisse imaginer et j’avais eu quelques petites aventures, plutôt tactiles sous les douches collectives, caresses et quelques masturbations avec un ami de chambre qui s’appelait Éric.
Je ne sais pas comment cela c’était fait, mais un soir dans cette chambre avec quatorze lits superposés, je m’étais retrouvé avec la queue d’Éric dans la main et lui avec la mienne ! Nous avions ensuite renouvelé souvent ce petit jeu entre militaires. Je n’avais pas l'impression de faire du mal au contraire, les bonnes paluchades entre nous étaient bien agréables. Nous nous faisions du bien chaque fois que possible.
Éric, mon ami bidasse souhaitait aller plus loin, mais j’avais longuement refusé. Ce n’était pas que je n’en avais pas envie, mais c’était plus pour la morale. Ma mère dont j’étais proche, étant le petit dernier, très catholique, avait un problème avec l’homosexualité. Elle en parlait comme d’un « péché ». C’était une chose abominable pour elle. Ce comportement sexuel était moralement répréhensible. Les relations sexuelles devaient être réservées à des personnes de sexe différent, elle affirmait que l’homosexualité était une sorte de maladie. Je ne voulais surtout pas la décevoir ainsi que mon entourage, je devais résister à la tentation, ne surtout pas satisfaire les demandes répétées de mon ami Éric.
Parfois, les hasards de la vie vous font perdre tout contrôle sur vous-même. A ma période, pendant notre service national, nous pouvions bénéficier de permissions de différentes durées. Et un week-end, Éric et moi, nous disposions d'une « 36 heures ». Du samedi 12h00 au dimanche soir minuit. Trop court pour moi pour revenir dans ma ville natale où je résidais en Normandie. Éric, lui habitait, Pierrefitte-sur-Seine en banlieue parisienne.
Il m'invitait chez lui, chez ses parents, j'appréciais cette invitation qui allait me permettre de changer d'air après quatre semaines passées à la caserne. Quand nous étions arrivés chez lui dans un appartement d'une grande tour de banlieue, j’étais surpris d'apprendre que ses parents et ses deux sœurs étaient absents pour le week-end. Après le dîner, Éric, me semblait anormalement excité, mais après une bonne douche, nous décidions de nous rendre dans un cinéma de la ville. En sortant de la salle de bain, Éric était arrivé en tenue de jogging très moulante, sa vue m'avait provoqué une poussée d'adrénaline. Il s'était approché de moi et m'avait fait la bise en me disant que j'étais très mignon habillé comme j'étais ce soir-là. J'avais souri en lui disant que lui aussi en matant son cul musclé, moulé dans son jogging et sa grosse bosse sur le devant. Nous avions bu de manière excessive, et je pensais que c'était l'abus d'alcool qui m'avait fait réagir de la sorte.
Nous nous étions rendus à salle du ciné, Éric s'était installé au fond dans une petite rangée de quatre fauteuils, en me disant que nous serions tranquilles ici. Une fois la salle plongée dans le noir, il me disait à l'oreille qu'il avait pensé à ce moment toute la journée. J'avais tourné la tête pour lui répondre, il était tellement proche que nos lèvres se sont touchées. J'avais ressenti un frissonnement particulier, sans pouvoir me l'expliquer, j'avais pris l'initiative à ma grande surprise, poussé par une envie irrésistible, en l'embrassant à pleine bouche. Il avait répondu à mon baiser avec fougue, sa main s'était posée sur ma cuisse et avait remonté le long de ma jambe. Instinctivement j'avais écarté les jambes pour qu'il puisse atteindre facilement mon entrejambe. Tandis que sa main me caressait le sexe et les couilles, que sa langue fusionnait avec la mienne, je glissais ma main dans son jogging.
C'était la première fois que je me lâchais ainsi. Rien à voir avec les masturbations mutuelles de la caserne. Une montée d'adrénaline m'envahissait faisant dresser encore plus ma verge quand je sentais qu'il ne portait rien sous son jogging ! Éric me disait à l'oreille :
- Ça te plaît, nous pourrions rentrer tout de suite si tu le souhaites ?
Ma respiration s'arrêtait un instant. Le moment tant attendu allait arriver. Je lui disais, OK. En refermant ma braguette et mon pantalon, il me disait :
- On y va maintenant ?
Il ne me laissait pas le temps de répondre, il se levait. Je l'avais suivi tout excité. Nous avions rejoint l'appartement de ses parents sans un mot, à peine la porte refermée, Éric me collait au mur en m'embrassant et en défaisant ma chemise. Je glissais mes mains sous son tee-shirt pour lui retirer. Le contact de son torse musclé m'excitait.
Après toutes ces années, ou je n'avais rien tenté lorsque j'avais eu des coups de cœur non hétéros car je me sentais intimidé par ces personnes, ce soir-là, je sentais que mes blocages par rapport à la morale, sautaient de façon naturelle. Il retirait mon pantalon qui tombait au sol, ma queue raide était dressée dans l'anneau, mes fesses entourées par un mini-slip.
- Ça donne envie tout ça ! Me déclarait Éric.
Je lui répondais en baissant son jogging, son énorme verge toute lisse jaillissait courbée vers le plafond. Il se dirigeait vers son lit et me disait :
- Viens allonge-toi.
Je me couchais sur le dos, il s'était installé au-dessus de moi à quatre pattes tête-bêche.
Je sentais sa langue humide et chaude remonter le long de ma tige, ses mains caressaient mes couilles, tandis qu'il massait avec un doigt mon périnée. Cela me faisait un effet dingue !
Je gémissais en ouvrant la bouche, il en profitait pour y poser son sexe. Quel effet, cela éveillait immédiatement une envie de sexe de ma part. Ses lèvres posées sur mon gland me décalottaient et je sentais la chaleur de sa bouche et sa langue agile progresser le long de ma tige. Je gémissais en sentant son sexe forcer l'entrée de ma bouche, mes lèvres serrées le décalottaient, il gémissait aussi. Ses lèvres touchaient mon pubis tout lisse, il bouffait ma queue en entier le salaud. Alors j'ouvrais grand ma bouche et il y enfonçait son gros sexe, je faillis étouffer. Impossible pour moi d'avaler son sexe impressionnant. Vu son épaisseur et heureusement que j'ai une grande bouche. J'étais comme dans rêve, excité par un plaisir intense, un 69 pour ma première vraie expérience sexuelle. J'avais une bite en bouche et elle était excellente. Je la suçais donc avec frénésie, mais aussi très maladroitement vu que c'était la première fois. Mais je suçais la queue d’Éric avec envie comme si j'avais fait ça toute ma vie. Sa langue experte me donnait un plaisir intense, son doigt massant mon périnée et sa main chauffait mes couilles, il commençait à faire monter le plaisir en moi. C'était difficile pour moi de me retenir...
Éric l’avait senti, il accélérait sa fellation pour provoquer mon premier jet. Il continuait à me sucer pour profiter de mon deuxième jet. Éric gémissait. Je jouissais en le suçant avec encore plus d'ardeur. Il ondulait du cul pour bien me limer la bouche, je sentais son sexe s'enfoncer dans ma gorge. Je lui caressais les couilles et ses fesses musclées. Puis je sentais son sexe devenir plus rapide et se contracter. Par manque d'expérience, je n'avais pas réalisé tout de suite qu'il avait un orgasme. Éric gémissait très fort et je sentais ma bouche se remplir de chaleur et d'un liquide chaud et salé. Son deuxième jet me remplissait complètement la bouche, son sperme chaud débordait sur mes lèvres. Son sexe sortait de ma bouche et un dernier jet m'inondait la figure. Je réalisais que je venais de recevoir ma première éjaculation faciale et dans la bouche. Mon sexe se contractait une dernière fois et je giclais aussi une dernière fois sur le visage d’Éric. Celui-ci me déclarait que cette première expérience m'avait visiblement beaucoup plu.
Je gémissais en lui répondant positivement et en avalant son sperme. Je m'étais toujours demandé si cela ne me dégoûterait pas, si j'aimerais le goût. Et là maintenant que c'était arrivé, j'aimais ça, comme si c'était naturel. Nous nous étions levés pour aller nous doucher. Sous les jets d’eau, nous poursuivions nos caresses en échangeant des baisers fougueux, Éric en voulait encore plus, personnellement je ne me lassais pas de l’embrasser, au fond de moi j’avais aussi envie d’autre chose !
Mais ça, c'était une autre histoire. J'étais jeune et inexpérimenté, j'avais l'impression d'avoir franchi une étape importante. Je me persuadais de me calmer. Éric souhaitait continuer notre petit jeu en vue de poursuivre mon initiation. Il est vrai que je commençais de plus en plus à voir Éric autrement que comme mon meilleur ami de régiment. Ce week-end à Pierrefitte s'était passé à la fin de notre « mobilisation », après notre retour dans notre régiment, j’étais resté distant et fuyant vis-à-vis d’Éric, car je ne souhaitais surtout pas éveiller de soupçons par rapport à nos copains de chambrée. Et pourtant j’avais apprécié cette soirée, ma première fellation.
Et puis c’était la « libération », le retour à la vie civile et dans ma famille, je reprenais mon activité professionnelle, je retrouvais mes amies et amis. Mon aventure avec Éric était toujours dans un petit coin de la tête. Et puis à l'occasion d'une visite au salon de la voiture de course qui était organisé à Paris, j'avais décidé de contacter mon ami Éric pour lui proposer de m'accompagner. La réponse était immédiate et positive, Éric se chargeait de l'hébergement, car il venait d'emménager seul dans un minuscule appartement dans Paris.
Les retrouvailles étaient chaleureuses, nous visitions le salon, Éric ne s'imaginait pas à quel point j'étais passionné par le sport automobile. Il était fasciné par ma connaissance du milieu. Après cette visite, nous nous étions restaurés, puis nous étions rentrés chez lui, avec une bonne dose d'alcool, mais trop joyeux d'être ensemble. Nous nous retrouvions dans sa chambre, presque sans un mot, mais aussi impatients l’un que l’autre, nous nous étions déshabillés rapidement. L'alcool faisait son effet, notre libido s'était enclenchée et nous nous étions pris au jeu. Nous nous retrouvions nus, nous nous jetions l'un contre l'autre pour s'embrasser passionnément, se caresser et se frotter l'un contre l'autre.
Éric m'entraînait sur le lit, je l'embrassais encore et encore. Nos sexes se frottaient l'un contre l'autre. Il me caressait et me retournait sur le dos pour prendre les choses en main. Il se frottait contre moi encore un instant avant de descendre doucement sa tête sur mon sexe et se mettait à me sucer. C'était trop bon de le sentir faire. Je gémissais très vite de plaisir, redécouvrant les plaisirs entre hommes tant désirés. Il me caressait les couilles, me faisait gémir de plus en plus, il s'arrêtait de me sucer au moment où il sentait que j'allais venir en lui. Je n'en pouvais plus. Je passais mes mains sur sa tête et je jouissais rapidement dans sa bouche.
Il remontait pour m'embrasser et je le sentais se frotter sur moi tout en m'embrassant. Éric était tellement excité, que j'écartais mes jambes pour mieux le sentir sur mon corps, très vite je sentais qu'il jouissait sur moi. Nous nous regardions, puis nous rigolions un instant de notre exploit avant de nous embrasser de nouveau. Nous rebandions très vite. Éric me faisait comprendre qu'il souhaitait plus. Il me regardait tendrement, mais personnellement, je n'étais pas encore prêt mentalement à me faire sodomiser, j'en avais très envie, mais j'avais comme une sorte de blocage inexplicable. Éric avait vraiment envie d’être le premier, mais n’insistait pas. Je comprenais ses envies et sa demande, et devant son regard attendri, je passais à l'action. Je faisais lever légèrement ses jambes, je lui avais longuement caressé les fesses avant de lui lécher sa petite rondelle puis je pointais mon sexe contre son petit trou. De sa main droite, il réussissait à attraper mon sexe encore dur pour le faire rentrer entre ses fesses. J'étais euphorique par cette sensation que j'éprouvais à ce moment-là. Lentement, je l'avais pénétré, je l'embrassais tendrement et entrais en lui calmement sans précipitation, je le faisais légèrement crier. Je prenais mon temps, tout mon temps, je voulais lui faire prendre son plaisir. Plaisir réclamé depuis si longtemps. Je savourais également ma première sodomie.
Éric s'habituait à mon sexe, et lentement, je reprenais un mouvement de va-et-vient en lui. C'était bon, trop bon pour moi, de sodomiser mon copain Éric. Mais c'était également bon pour lui. Il gémissait de plaisir, il me demandait d'aller de plus en plus vite, et je gémissais à mon tour, je me sentais bien en lui. Pendant vingt bonnes minutes, je lui faisais l'amour avant de jouir en lui. Malgré ses demandes, je savourais ce plaisir d’être au plus profond de mon premier amant. J'avais à peine le temps de jouir en lui qu'il s'écroulait à côté de moi, et nous nous embrassions chaleureusement. Éric était heureux, nous étions l'un et l'autre très heureux d'avoir enfin osé passer ce pas. Je sentais qu’Éric était comblé. Nous nous étions endormis, bras dans les bras, rassasiés par cet instant magique et libérateur. Le lendemain matin, Éric m’avait demandé de renouveler l’expérience en voulant être pris de manière plus virile et violente. Et, puis, après ce moment particulier pour moi, de retour chez moi en Normandie, j'avais beaucoup culpabilisé, sur cette relation particulière. J'avais pris bêtement la décision de ne plus jamais revoir Eric, avant tout par sagesse et un manque de courage, ne voulant pas m'avouer ma bisexualité.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à vous Sylvain, pour votre commentaire, je confirme qu'à cette période, ce n'était pas facile d'avouer sa bisexualité.
Fort heureusement, les mentalités ont bien changées.
Je ne peux que vous encourager à écrire, c'est important pour vous, vous verrez.
En ce qui nous concerne Carole et moi, cela nous rapproche encore un peu plus d'écrire et de nous souvenir.
Nous rouvrons nos journaux intimes et visionnons quelques vidéos. Cela nous fait un bien fou.
Carole et Roger.
Fort heureusement, les mentalités ont bien changées.
Je ne peux que vous encourager à écrire, c'est important pour vous, vous verrez.
En ce qui nous concerne Carole et moi, cela nous rapproche encore un peu plus d'écrire et de nous souvenir.
Nous rouvrons nos journaux intimes et visionnons quelques vidéos. Cela nous fait un bien fou.
Carole et Roger.
Pas facile d avouer sa bisexualité dans ces années là, il fallait rester discret !
Récit très excitant !
A continuer
Récit très excitant !
A continuer
Merci pour ces confessions, pas facile a l époque d'avouer sa bisexualité, j ai eu une expérience semblable...j'en ferai peut être un récit un jour.
Sylvain
Sylvain
Merci Olga pour votre commentaire, c'est très encourageant pour nous de lire les témoignages des lecteurs.
Concernant Carole et ma bisexualité, je vous laisse découvrir la suite sans dévoiler encore notre histoire.
Roger.
Concernant Carole et ma bisexualité, je vous laisse découvrir la suite sans dévoiler encore notre histoire.
Roger.
Une très belle confession, Roger. J'espère que, comme je l'ai fait avec mon mari, Carole a encouragé ta bisexualité