Les soeurs jumelles
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les soeurs jumelles
Elodie et Lori, deux soeurs jumelles de vingt cinq ans, sont propriétaire d'une grande parfumerie dans le sud de la France.
Ces deux superbes blondes aux cheveux courts partent rejoindre leur mari en Bretagne, pour passer une semaine de vacances. Les époux sont partis deux jours avant pour ranger l'appartement.
Les deux femmes ont prévus un arrêt dans le centre de la France pour se reposer. Tout est réservé.
Les deux soeurs n'ont aucun secret une pour l'autre, allant même à se raconter leurs ébats sexuels.
-Avant de partir, dit Lori, mon mari m'a mis la chatte en feu, oh la la.
-Moi pareil, répond Elodie. Il m'a baisé comme une bête. Mais bon, la routine.
-Tu n’es pas tenté pour vivre une autre aventure ? Demande Lori.
-De plus en plus, répond Elodie. Il n’en faudrait pas beaucoup pour que je craque.
-Si tu sautes le pas, moi aussi, reprend Lori.
Elles arrivent à leur hôtel vers dix sept heures. Elles montent à la chambre déposer leur affaires, prennent une douche, et descendent prendre leur repas.
Elles sont vêtues toutes les deux d'une jupe courte, et d'un petit haut.
Elles s'installent à une table légèrement à l'écart, juste en face un jeune couple.
Lui, cheveux bruns, yeux bleus, style italien. Très beau. Elle, brune également, une bombe.
-Tu as vu le mec, fait remarqué Elodie. Là, il y a un canon.
-Et la fille, répond Lori, ce n’est pas un canon ?
-Tu vois, reprend Elodie, ce qu'on disait en route. Ben là, je succomberai.
Le couple, lui, tient des propos érotiques. Les deux soeurs en captent quelques extraits.
-Je vais te baiser toute la nuit, dit-il. Parole de Mario.
-C'est dommage qu'il n'y est pas une fille avec nous, ajoute la femme.
-Je vais aux toilettes, dit Lori. C'est propos m'ont excité. J'ai taché mon string.
Une fois aux toilettes, Lori entre dans les wc , quitte son string et s'essuie la chatte.
En sortant elle se trouve nez à nez avec la femme brune.
-Bonsoir, dit-elle.
-Bonsoir, répond Lori.
Les deux femmes sont devant la glace.
-Zut, dit la femme brune, j'ai tombé mes klinex dans l'eau.
-Je peux vous dépannez, je m'appelle Lori.
-C'est gentil, merci. Moi c'est Carla. C'est vous qui avez ce parfum envoûtant. Vous devez faire fureur auprès des hommes.
-Vous croyez, je ne sais pas, répond Lori.
-Je peux sentir de plus près, demande Carla.
-Si vous voulez, dit Lori.
Carla se penche vers Lori, lui frôle le cou avec son nez et ses lèvres.
-Hum, vous sentez de partout comme çà ? Demande-t-elle.
Lori est appuyée contre la porte des toilettes. Personne ne peut entrer. Les deux femmes se regardent dans les yeux. Carla descend une main entre les jambes de Lori, sous la jupe. Et glisse deux doigts entre les lèvres humides.
-Pas de string, constate Carla.
-C'est à dire que j'ai eu un petit souci, répond Lori.
-Mais vous n'avez pas besoin de vous justifiez, reprend Carla. Moi aussi çà m'arrive d'être nue dessous. Par contre vous êtes toute mouillée.
-Euh; non, dit Lori. C'est que je viens de me laver.
Carla sort ses doigts, et les portent à sa bouche. Elle en lèche un.
-Mais non, dit Carla, c'est vôtre mouille, allez-y, goûtez.
Machinalement, Lori ouvre la bouche, et suce le doigt de Carla.
"Je perds la tête, pense-t-elle. Qu'est ce qu'il m'arrive"
Lori ferme les yeux, prend la main de Carla, et la guide elle même vers sa chatte. Elle écarte ses jambes et avance son bassin pour mieux se faire doigter. De l'autre main, elle prend Carla par la nuque, l'attire à elle et l'embrasse. Les langues s'enroulent entre elles.
-Vas-y, dit Lori, fait moi jouir. Va doucement, c'est la première fois avec une femme.
Carla s'accroupit. De ses deux mains elle écarte la chatte de Lori, et commence à la sucer mordant le clitoris. Il n'en fallait pas plus.
-Ha...ha...ha...ha, soupire Lori, c'est bon, mange moi, oui, oui, oh Carla. Je joui.
-Tu aimes on dirai, demande Carla. Tu en veux encore ?
Les jambes de lori se dérobent. Elle se retrouve à genoux face à Carla.
-Pas ici, répond Lori. Si on pouvait avoir une chambre.
Les deux femmes reviennent dans la salle de restaurant. Elodie et Mario discutent et rient ensemble.
-Si on prenait un verre dans nôtre chambre ? Propose Elodie.
-Ah, c'est moi qui offre la bouteille, dit Mario. Vous en pensez quoi les filles ?
-Ce sera l'occasion pour faire connaissance, poursuit Carla.
Arrivé dans la chambre, Mario détend l'atmosphère.
-Trois belles femmes que pour moi.
-Faudra assurer, ironise Elodie.
-Vous voulez relever le défi ? Dit -il.
-Chiche, répond Lori. On verra qui abandonnera le premier.
Tout le monde se déshabille, intégralement nu. Elodie siffle en voyant les attributs de Mario.
-Si mon mari pouvait en avoir une comme çà, dit-elle. Allonge toi sur le lit.
Mario obéit, la queue en érection. Elodie avance sa tête et lui prend les couilles à pleine bouche. Elle remonte jusqu'au gland qu'elle agace avec sa langue.
Mario pousse des plaintes de plaisir. Elodie l'enjambe, lui prend la queue. La guide vers sa chatte, et s'y empale dessus en poussant un haaa de plaisir. Elle fait jouer les muscles de sont vagin.
-Oh putain, comme elle me serre, un vrai étau, dit Mario. Que c'est bon.
Lori est allongée à l'autre bout du lit. Carla lui a soulevé les fesses, et lui prend la chatte à pleine bouche.
-Con, dit-elle, comme mon clitoris se fait prendre.
-Regardez comme elle mouille, dit Carla. Tu es une petite pute. Tu aimes te faire doigter.
Tu jouis, hein?
-Oui, oui, ha..ha, oh Carla, vas-y ha..ha oui.
Carla se lève, vient se placer derrière Elodie toujours empalée sur la queue de Mario.
Elle lui saisit les seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts. Elle lui tourne la tête et lui prend les lèvres.
-Tu es entrain de te faire introduire par mon mari, salope. C'est un bon coup ? demande
Carla.
-Putain, si c'est un bon coup. Je vais en profiter jusqu'à ce que ses couilles soient vides.
-Tu vas l'entendre gueuler. Je vais le mettre minable.
-Et moi, implore Lori. Personne ne s’occupe de ma minette ?
-Mais si, répond Mario. Viens la poser sur ma bouche.
Lori se jette littéralement sur Mario.
-Et je ne me lève pas tant que ma chatte ne s’est pas vidée dans ta bouche, poursuit Lori.
Le spectacle vaut le déplacement.
Mario suce le bouton de Lori tout en lui caressant les seins.
Elodie est sur la queue de mario, se faisant caresser les seins par Carla.
Les deux soeurs sont prises par les seins et par la chatte.
-Tu te régales petite pute ? Murmure Carla à l'oreille d'Elodie. Tu vas voir comme je vais te chatter tout à l'heure.
-Tais toi, répond Elodie, laisse le me finir. Je sens qu'il se vide. Oh putain, qu'est-ce-qu'il me met le salaud. Ha..ha..ha..oui. Tire mes bouts Carla, oui, comme çà ha ouiii.
-Tiens, bois, crie Lori, oui ha oui,, je joui, vas-y, suce, suce.
Mario, à son tour, hurle son plaisir.
-On a fait jouir les deux soeurs ensemble, quel pied. Tu as vu ces deux petites putes.
-Elles aiment, hein. Allez, poursuit Carla. On change.
Lori supplie Mario de la prendre en levrette.Elle se met en place.
-Regarde mes reins comme ils sont bien cambrés. Je suis assez écartée ? dit moi.
Je t'offre ma chatte mon chéri, prend la.
Mario, le sexe toujours en érection, se place contre Lori, et la pénètre doucement jusqu’à ce que ses couilles soient en contact avec ses fesses.
Carla saisit Elodie par l'oreille.
-Viens ici toi que je m'amuse un peu avec ton corps. Ecarte toi bien la chatte avec tes mains.
Elodie, soumise, obéit. Elle sait que la nuit n'est pas finie. Carla fait des va et vient sur les lèvres enflées d'Elodie, pince le clitoris. Elodie est totalement offerte.
-Tu aimes te faire doigter, dit Carla. Tu le remues ton cul, salope. Et çà, c'est quoi.
-C'est mon petit trou, répond Elodie. Tu peux jouer avec si tu veux, vas-y.
Carla, les doigts imbibés de mouille, branle et sodomise Elodie.
A côté d'elles, Lori se cambre de plus en plus pour mieux se faire prendre. Mario, d'une main, joue avec son clitoris. Il retire sa queue, et l'appuie sur la rosette de Lori.
-Mais qu'est ce que tu veux me faire, salaud ? demande Lori. Vas-y nique moi.
-Oh mon dieu, crie Elodie, je joui. Regarde comme elle me doigte et me sodomise.
-Et moi, hurle Lori. Tu as vu comme il m'encule, oh putain. Si mon mari voyait comme je me le fais mettre par une grosse queue.
Dans un même élan les quatre amants d'une nuit jouissent. Des mots crus et obscènes s'échappent de leur bouche. Les jumelles en redemandent. Carla et Mario vont leur en donner. Ils vont se servir d'elles, les baiser, les sucer, se faire sucer.
-Il faudrait bien que tu me niques moi aussi, fait remarquer Carla à Mario. Tu ne t’es pas occupé de moi. Je suis quand même ta femme.
Le couple regagne sa chambre.
-Mon dieu, qu'est ce qu'on a fait à nos mari, sanglote Lori. Qu'est ce qu'on a fait ?
-On a fait les connes, répond Elodie. Mais d'un autre côté, je ne regrette rien. Tu as vu comme on s'est faite baiser, niquer, enculer, gouiner. On ne connaîtra plus des moments comme çà.
-C'est vrai, dit Lori. Ce que Carla a fait avec moi, comme elle m'a faite jouir. C'est dommage qu'on soit soeur.
-Mais, répond Elodie, dans cette chambre, personne ne le sait…
Ces deux superbes blondes aux cheveux courts partent rejoindre leur mari en Bretagne, pour passer une semaine de vacances. Les époux sont partis deux jours avant pour ranger l'appartement.
Les deux femmes ont prévus un arrêt dans le centre de la France pour se reposer. Tout est réservé.
Les deux soeurs n'ont aucun secret une pour l'autre, allant même à se raconter leurs ébats sexuels.
-Avant de partir, dit Lori, mon mari m'a mis la chatte en feu, oh la la.
-Moi pareil, répond Elodie. Il m'a baisé comme une bête. Mais bon, la routine.
-Tu n’es pas tenté pour vivre une autre aventure ? Demande Lori.
-De plus en plus, répond Elodie. Il n’en faudrait pas beaucoup pour que je craque.
-Si tu sautes le pas, moi aussi, reprend Lori.
Elles arrivent à leur hôtel vers dix sept heures. Elles montent à la chambre déposer leur affaires, prennent une douche, et descendent prendre leur repas.
Elles sont vêtues toutes les deux d'une jupe courte, et d'un petit haut.
Elles s'installent à une table légèrement à l'écart, juste en face un jeune couple.
Lui, cheveux bruns, yeux bleus, style italien. Très beau. Elle, brune également, une bombe.
-Tu as vu le mec, fait remarqué Elodie. Là, il y a un canon.
-Et la fille, répond Lori, ce n’est pas un canon ?
-Tu vois, reprend Elodie, ce qu'on disait en route. Ben là, je succomberai.
Le couple, lui, tient des propos érotiques. Les deux soeurs en captent quelques extraits.
-Je vais te baiser toute la nuit, dit-il. Parole de Mario.
-C'est dommage qu'il n'y est pas une fille avec nous, ajoute la femme.
-Je vais aux toilettes, dit Lori. C'est propos m'ont excité. J'ai taché mon string.
Une fois aux toilettes, Lori entre dans les wc , quitte son string et s'essuie la chatte.
En sortant elle se trouve nez à nez avec la femme brune.
-Bonsoir, dit-elle.
-Bonsoir, répond Lori.
Les deux femmes sont devant la glace.
-Zut, dit la femme brune, j'ai tombé mes klinex dans l'eau.
-Je peux vous dépannez, je m'appelle Lori.
-C'est gentil, merci. Moi c'est Carla. C'est vous qui avez ce parfum envoûtant. Vous devez faire fureur auprès des hommes.
-Vous croyez, je ne sais pas, répond Lori.
-Je peux sentir de plus près, demande Carla.
-Si vous voulez, dit Lori.
Carla se penche vers Lori, lui frôle le cou avec son nez et ses lèvres.
-Hum, vous sentez de partout comme çà ? Demande-t-elle.
Lori est appuyée contre la porte des toilettes. Personne ne peut entrer. Les deux femmes se regardent dans les yeux. Carla descend une main entre les jambes de Lori, sous la jupe. Et glisse deux doigts entre les lèvres humides.
-Pas de string, constate Carla.
-C'est à dire que j'ai eu un petit souci, répond Lori.
-Mais vous n'avez pas besoin de vous justifiez, reprend Carla. Moi aussi çà m'arrive d'être nue dessous. Par contre vous êtes toute mouillée.
-Euh; non, dit Lori. C'est que je viens de me laver.
Carla sort ses doigts, et les portent à sa bouche. Elle en lèche un.
-Mais non, dit Carla, c'est vôtre mouille, allez-y, goûtez.
Machinalement, Lori ouvre la bouche, et suce le doigt de Carla.
"Je perds la tête, pense-t-elle. Qu'est ce qu'il m'arrive"
Lori ferme les yeux, prend la main de Carla, et la guide elle même vers sa chatte. Elle écarte ses jambes et avance son bassin pour mieux se faire doigter. De l'autre main, elle prend Carla par la nuque, l'attire à elle et l'embrasse. Les langues s'enroulent entre elles.
-Vas-y, dit Lori, fait moi jouir. Va doucement, c'est la première fois avec une femme.
Carla s'accroupit. De ses deux mains elle écarte la chatte de Lori, et commence à la sucer mordant le clitoris. Il n'en fallait pas plus.
-Ha...ha...ha...ha, soupire Lori, c'est bon, mange moi, oui, oui, oh Carla. Je joui.
-Tu aimes on dirai, demande Carla. Tu en veux encore ?
Les jambes de lori se dérobent. Elle se retrouve à genoux face à Carla.
-Pas ici, répond Lori. Si on pouvait avoir une chambre.
Les deux femmes reviennent dans la salle de restaurant. Elodie et Mario discutent et rient ensemble.
-Si on prenait un verre dans nôtre chambre ? Propose Elodie.
-Ah, c'est moi qui offre la bouteille, dit Mario. Vous en pensez quoi les filles ?
-Ce sera l'occasion pour faire connaissance, poursuit Carla.
Arrivé dans la chambre, Mario détend l'atmosphère.
-Trois belles femmes que pour moi.
-Faudra assurer, ironise Elodie.
-Vous voulez relever le défi ? Dit -il.
-Chiche, répond Lori. On verra qui abandonnera le premier.
Tout le monde se déshabille, intégralement nu. Elodie siffle en voyant les attributs de Mario.
-Si mon mari pouvait en avoir une comme çà, dit-elle. Allonge toi sur le lit.
Mario obéit, la queue en érection. Elodie avance sa tête et lui prend les couilles à pleine bouche. Elle remonte jusqu'au gland qu'elle agace avec sa langue.
Mario pousse des plaintes de plaisir. Elodie l'enjambe, lui prend la queue. La guide vers sa chatte, et s'y empale dessus en poussant un haaa de plaisir. Elle fait jouer les muscles de sont vagin.
-Oh putain, comme elle me serre, un vrai étau, dit Mario. Que c'est bon.
Lori est allongée à l'autre bout du lit. Carla lui a soulevé les fesses, et lui prend la chatte à pleine bouche.
-Con, dit-elle, comme mon clitoris se fait prendre.
-Regardez comme elle mouille, dit Carla. Tu es une petite pute. Tu aimes te faire doigter.
Tu jouis, hein?
-Oui, oui, ha..ha, oh Carla, vas-y ha..ha oui.
Carla se lève, vient se placer derrière Elodie toujours empalée sur la queue de Mario.
Elle lui saisit les seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts. Elle lui tourne la tête et lui prend les lèvres.
-Tu es entrain de te faire introduire par mon mari, salope. C'est un bon coup ? demande
Carla.
-Putain, si c'est un bon coup. Je vais en profiter jusqu'à ce que ses couilles soient vides.
-Tu vas l'entendre gueuler. Je vais le mettre minable.
-Et moi, implore Lori. Personne ne s’occupe de ma minette ?
-Mais si, répond Mario. Viens la poser sur ma bouche.
Lori se jette littéralement sur Mario.
-Et je ne me lève pas tant que ma chatte ne s’est pas vidée dans ta bouche, poursuit Lori.
Le spectacle vaut le déplacement.
Mario suce le bouton de Lori tout en lui caressant les seins.
Elodie est sur la queue de mario, se faisant caresser les seins par Carla.
Les deux soeurs sont prises par les seins et par la chatte.
-Tu te régales petite pute ? Murmure Carla à l'oreille d'Elodie. Tu vas voir comme je vais te chatter tout à l'heure.
-Tais toi, répond Elodie, laisse le me finir. Je sens qu'il se vide. Oh putain, qu'est-ce-qu'il me met le salaud. Ha..ha..ha..oui. Tire mes bouts Carla, oui, comme çà ha ouiii.
-Tiens, bois, crie Lori, oui ha oui,, je joui, vas-y, suce, suce.
Mario, à son tour, hurle son plaisir.
-On a fait jouir les deux soeurs ensemble, quel pied. Tu as vu ces deux petites putes.
-Elles aiment, hein. Allez, poursuit Carla. On change.
Lori supplie Mario de la prendre en levrette.Elle se met en place.
-Regarde mes reins comme ils sont bien cambrés. Je suis assez écartée ? dit moi.
Je t'offre ma chatte mon chéri, prend la.
Mario, le sexe toujours en érection, se place contre Lori, et la pénètre doucement jusqu’à ce que ses couilles soient en contact avec ses fesses.
Carla saisit Elodie par l'oreille.
-Viens ici toi que je m'amuse un peu avec ton corps. Ecarte toi bien la chatte avec tes mains.
Elodie, soumise, obéit. Elle sait que la nuit n'est pas finie. Carla fait des va et vient sur les lèvres enflées d'Elodie, pince le clitoris. Elodie est totalement offerte.
-Tu aimes te faire doigter, dit Carla. Tu le remues ton cul, salope. Et çà, c'est quoi.
-C'est mon petit trou, répond Elodie. Tu peux jouer avec si tu veux, vas-y.
Carla, les doigts imbibés de mouille, branle et sodomise Elodie.
A côté d'elles, Lori se cambre de plus en plus pour mieux se faire prendre. Mario, d'une main, joue avec son clitoris. Il retire sa queue, et l'appuie sur la rosette de Lori.
-Mais qu'est ce que tu veux me faire, salaud ? demande Lori. Vas-y nique moi.
-Oh mon dieu, crie Elodie, je joui. Regarde comme elle me doigte et me sodomise.
-Et moi, hurle Lori. Tu as vu comme il m'encule, oh putain. Si mon mari voyait comme je me le fais mettre par une grosse queue.
Dans un même élan les quatre amants d'une nuit jouissent. Des mots crus et obscènes s'échappent de leur bouche. Les jumelles en redemandent. Carla et Mario vont leur en donner. Ils vont se servir d'elles, les baiser, les sucer, se faire sucer.
-Il faudrait bien que tu me niques moi aussi, fait remarquer Carla à Mario. Tu ne t’es pas occupé de moi. Je suis quand même ta femme.
Le couple regagne sa chambre.
-Mon dieu, qu'est ce qu'on a fait à nos mari, sanglote Lori. Qu'est ce qu'on a fait ?
-On a fait les connes, répond Elodie. Mais d'un autre côté, je ne regrette rien. Tu as vu comme on s'est faite baiser, niquer, enculer, gouiner. On ne connaîtra plus des moments comme çà.
-C'est vrai, dit Lori. Ce que Carla a fait avec moi, comme elle m'a faite jouir. C'est dommage qu'on soit soeur.
-Mais, répond Elodie, dans cette chambre, personne ne le sait…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super bravo les filles!j'aurais aimée participer a une soiré pareille, en attendant j'ai enlevée ma culotte et j'astique mon clito.