Les vacances d'Elise, L'arrivée de Justine.

- Par l'auteur HDS Osiris -
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les vacances d'Elise, L'arrivée de Justine. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les vacances d'Elise, L'arrivée de Justine.
Arrivée de Justine.



Le lendemain, comme prévu, Justine arrive en pleine après-midi avec une grosse et une petite valise.
Coucou, bonjour les filles.
Elle m’embrasse en me prenant dans ses bras et s’adresse à Élise.
Eh bien, quel changement, tu es une femme maintenant.
Cela fait combien de temps ? Élise répond, au moins 5 ans. Je viens d’avoir mes 20 ans.
Que le temps passe. Tu es vraiment très belle. Tes petits copains doivent être à leurs aises avec toi.
Justine la regarde en la détaillant puis l’embrasse pour lui dire bonjour.

La journée se passe, on mange, on bavarde, puis arrive le moment de se coucher.

Je propose à Justine de venir avec moi dans ma chambre, car il y a deux lits et aussi pour « protéger » un peu Élise.
Élise, a sa chambre de l’autre côté du mobile home.

Justine accepte, et décide de prendre une douche. Elle commence à se déshabiller devant moi et se met complètement à poils.
Elle a encore de très beaux restes pour 45 ans. Elle est grande. Ses seins sont toujours fermes, une paire de fesses rebondies et un petit ventre légèrement bombé. Ce qui me surprend, c’est qu’elle n'a pas de poils, son sexe est entièrement lisse et l’on peut voir ses grandes lèvres facilement.

Bon, dit Justine, juste avant ma douche, je vais souhaiter une bonne nuit à la petite.
Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit et la voilà déjà partie à poil chez Élise.
Elle frappe à la porte et rentre sans attendre l’autorisation.
Surprise de la nudité de Justine, la jeune fille lit une revue, assise, la poitrine à l’air, le drap étant tombé sur son basin.

Aussitôt, Élise laisse le livre, reprend le drap et le soutien sur ses seins.
Je viens te souhaiter une bonne nuit, dit Justine.
Tu sais de tels trésors, en parlant des seins d’Élise doivent être montrés.
Justine s’assoit au bord du lit et, doucement, baisse le drap. Tu as de très jolis seins, ma puce.
Bonne nuit, mes petits trésors, à bientôt et elle dépose un baiser sur chaque téton qui se dresse sans attendre.
Puis sa bouche se dirige vers le visage de la petite et dépose un tendre baiser au coin de sa bouche.
Justine se lève, bonne nuit, à demain mon poussin. Moi, je vais prendre ma douche.

Cela s’est passé tellement vite qu’Élise reste abasourdie.

Justine vient se coucher au pré de Julie et commence à lui dire que la petite est vraiment à son goût et que si elle n’a rien contre, elle va la manger toute crue. Après tout, elle est majeure.
Je m’en doutais, mais dès le premier soir, c’est quand même tôt.
Je ne lui dis rien de ce qui s’est passé entre Élise et moi.
Et tu vas faire quoi au juste avec elle ?
Justine me confirme qu’elle a emmené avec elle sa collection de godes de toutes tailles et formes dans sa petite valise.
Moi, je pense, qu'elle devient complètement maboul de sexe.
Elle se venge de ce qu’elle a connu avec ses deux anciens maris, mais sur les femmes.

Justine compte utiliser ses jouets dans le corps de la jeune fille.
Avec mon expérience, me dit-elle, je suis sûr que je peux rendre la mignonne complètement soumise à mes moindres caprices.
Si tu veux, tu pourras participer, depuis le temps que j’ai envie de te baiser et que tu me résistes.
Le lendemain matin, Justine se lève la première. Elle met une culotte et un soutien - gorge.
Elle se dirige vers la chambre de la petite et rentre directement.
Élise dort encore.
Justine la regarde, elle baisse le drap sur les pieds et la jeune fille lui apparaît entièrement nue.
On devine à peine le sexe de la gamine, car ses grandes lèvres sont fermées.
Elle dépose un doux baiser sur la bouche et commence à la peloter, tantôt lui pinçant les seins, puis en lui massant le ventre jusqu’aux poils pubiens.
Allez, réveille toi, c’est l’heure.
Sa main est bien à plat sur le sexe, le masse lentement en exerçant une pression.
Julie, qui est dans la chambre voisine, entend des sons plaintifs et des petits gémissements. Elle comprend la situation.
Justine dit à la gamine, je ne vais pas te faire jouir maintenant, nous avons toute la journée pour ça.
Il va pleuvoir toute la journée et nous allons rester au mobile home.

Par contre, il faut que tu saches, qu’à partir de maintenant, tu m’appartiens et je ferai de toi ce que je veux. En échange, je te promets de te faire jouir pendant toutes ses vacances et de toutes les façons possibles.

Acceptes tu ce contrat, petite fille ?
En disant ses mots, le pouce de Justine titille et tourne autour du clitoris de la pauvre gamine qui ouvre sa bouche en grand et agite ses jambes.
Alors, j’attends ta réponse.
C’est oui, mais je veux Julie avec moi.
On verra, dit la femme.

Allez, lève toi maintenant et dresse le petit-déjeuner.
Met simplement une culotte et reste torse nu.
Les rideaux sont fermés, on ne peut pas te voir de l’extérieur.
Justine s’assoit et appelle Julie, le petit-déjeuner est servi.
Julie arrive et découvre la situation, elle embrasse Élise et lui dit. Si tu n’es pas d’accord, Justine arrête tout de suite, ce n’est qu’un jeu. Élise baisse les yeux et ne dit rien.
Julie s’assoit sur la chaise en face de son amie.
Justine parle d’un ton sec à Élise, met toi sur le ventre sur les genoux de ta préférée, présente lui tes fesses.
Tu mérites une fessée.
Mais pourquoi, dit la petite. Tu as simplement oublié le sucre.
En regardant Julie, la petite s’allonge au travers de ses genoux.
Maintenant, Julie, baisse lui sa culotte et donne lui une fessée, elle le mérite. Donne-lui, dix bonnes claques, sur chaque fesse.
Julie s’exécute et regarde avec envie ce petit cul offert et imagine en son centre son petit trou secret qui ne se montre pas.
Tu es prête, dit Julie. Oui.
La main se lève et s’abat sur la fesse gauche, Élise sursaute et commence à crier de peur, plus que de douleurs.
Cette main si douce d’habitude, devient rude et recommence à s’abattre, mais sur l’autre fesse.
Au fur et à mesure de la fessée, les cris se transforment en complaintes et en gémissements.
La gamine finie par sangloter doucement.
Le quota des dix claques se termine. Les fesses sont maintenant d’un joli rouge carmin.
Élise veut se lever, reste dans cette position, je veux vérifier quelque chose lui dit Justine.

Elle se lève et vient derrière, se met à genoux et approche son visage.
Julie, écarte lui la raie et sa fente avec tes deux mains et regarde bien.
C’est bien ce que je pensais, tu vois, dit la tortionnaire, elle est toute trempée et son sexe est gonflé.
Elle aime la fessée cette gamine.
Cela mérite une récompense, continue à lui écarter la raie. Justine colle son visage et son nez, sort sa langue et commence à lui lécher tout le sillon de son cul. Au passage, elle rentre sa langue pointue et dure dans le petit orifice.
La petite respire de plus en plus fort.
En plus de la langue, deux doigts pénètrent doucement son vagin, ils se positionnent en crochet et vont et viennent de plus en plus vite à l’intérieur.
Élise tourne la tête sur le côté, Julie peut voir maintenant les traits de son visage se déformer sous les caresses ainsi que sa bouche qui reste grande ouverte.
On entend, dans la pièce, le bruit des clapotis de sa figue ainsi que ses beuglements.

Je crois qu’elle va jouir, dit Julie. Justine en profite pour enfoncer son index de sa main droite d’un seul coup dans son anus.

Cela suffit pour déclencher un orgasme profond et bruyant. Ses fesses se lèvent et se contractent, ses jambes sont prises de terribles tremblements puis elles se calment doucement.
Elle reste un moment dans cette position, désemparée.

La tortionnaire, elle, se lève avec un grand sourire de satisfaction, se tourne vers son amie et lui dit, tu as vu comment c’est facile de faire plier une jeune fille. Avec des caresses et de l’autorité, tout est possible.
Puis Justine s’approche de Julie, la regarde droit dans les yeux et lui dit, maintenant, c’est à ton tour ma belle.

Je pense que tu en as besoin et surtout très envie, après ce magnifique spectacle.
Lève-toi Élise, laisse mon amie se lever et viens avec nous dans la chambre, tu vas nous regarder.
Justine prend la main de Julie et l’emmène presque de force dans la chambre.
Elle la couche d’autorité, lui enlève sa culotte et son soutien-gorge. Oh, quelle touffe ma belle, laisse moi voir ce qu’elle cache en dessous.
Écarte bien les jambes. De ses deux doigts, elle entrouvre les lèvres déjà humides et aperçoit son bouton d’amour.
La bouche de Justine se colle littéralement comme une ventouse sur le sexe ouvert de son amie qui lui prend la tête entre ses mains, pour mieux la diriger.
Elle la broute, l’aspire, c’est une véritable vorace.
Des bruits de sucions ainsi que des gémissements se font entendre dans la pièce sous le regard désabusé d’Élise qui se masturbe devant cette scène.

Soudain, Justine arrête tout contact et se lève. Frustration totale pour Julie.
Elle prend dans sa petite valise un code ceinture.
Elle l’installe sur elle, entre ses jambes et va rejoindre son amie sur le lit.
Allez, ma belle, en selle lui dit elle. Mets toi à quatre pattes, présente moi tes fesses bien hautes.
Je vais te baiser en levrette.
Julie se positionne, son amie lui prends les hanches à deux mains, et âpres deux trois claques sur le cul, le pieu en silicone s’enfonce dans l’intimité de la belle qui grogne de plaisir.
Inexorablement, la fausse bite glisse, s’enfonce profondément jusqu’à buté contre le col de l’utérus, ce qui provoque des cris de douleur et de surprise.
N’y tenant plus et sans demander la permission, Élise vient au secours de sa belle, lui caresse le dos, les fesses et glisse sa main en dessous jusque la fente de son amoureuse pour la masturber.

Les va-et-vient répétés en plus de la masturbation de la figue finissent par avoir raison de la belle Julie.
Son sexe coule jusqu’à laisser tomber des gouttes de cyprine sur le lit.
Elle s’écroule sur le lit, son corps se convulse sous la puissance de son orgasme.
Un son terrible sort de sa bouche grande ouverte.
Maintenant, Justine se retire doucement et la bite en plastique apparaît toute luisante.

Elle insère une main entre les babines de son amie et recueille sur ses doigts une quantité de liquide qu’elle présente à la bouche de la gamine.
Ouvre la bouche et suce le nectar de ta protégée.
Mais sache que tu seras puni pour ta désobéissance, il fallait regarder, mais ne pas participer.
Sort et reste dans ta chambre, j’ai des choses à dire à Julie.
Julie se retourne, se met sur le dos et se remet de ses émotions. Son corps brille de sueur, tellement qu’il fait lourd dans la chambre.
Allez, viens avec moi sous la douche dit Justine.
C’est Julie qui la prend par la main, c’est elle-même qui lui roule un patin et qui lui dit, merci ma puce, c’est toi qui as raison d’aimer les femmes. C’est tellement différent.

Une foi sous la douche, Justine reprend le dessus et demande à sa compagne de se mettre à genoux.

Maintenant, lèche moi la moule, fais moi reluire, je veux mon orgasme.

Uniquement, avec la langue, Julie l’emmène au septième ciel en un temps record et lui donne son orgasme tellement demandé et attendu.

Après cette douche, les deux femmes discutent de la petite. Justine explique à Julie qu’elle a terriblement envie de la sodomiser et de voir si elle aime ça. Elle a dans sa valise des godes adaptés à cette pratique.
Ce sera sa punition pour t’avoir caressé tout à l’heure sans ma permission.

Tu sais, dit Julie, je ne t’ai pas tout dit.

Nous avons déjà fait l’amour avec la petite avant que tu n’arrives et je lui ai déjà mis deux doigts dans son petit trou. Je pense qu’elle aime ça.
Très surprise par cette déclaration, Justine jalouse, lui parle dans l’oreille à voix basse et lui dit.

Dans ce cas et pour ne m’avoir rien dit, je vais devoir te punir,. Demain, je vais t'enculer très profondément jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. Ton cul sera tellement dilaté que je pourrai y rentrer ma main.

Reparlant normalement à voix haute, en attendant, c’est toi qui vas lui faire un lavement ce soir pendant sa douche, j’ai ce qu’il faut comme matériel.
Tu es d’accord ?
Oui, je suis d’accord.
Et pour la perforation de ton cul plus tard ?
Je ne sais pas.
Je veux une réponse immédiate.
C'est d’accord, mais avec douceur.
C’est très bien, je tiendrai compte de ton acceptation.

Alors, c’est décider, je l’encule ce soir après le dîner.
Tu resteras dans ta chambre, je ne veux pas de toi dans mes pattes.
Tu pourras simplement entendre et imaginer son cul céder sous la pression de mon gode.
Cela te donnera une idée de ce qui t’arrivera plus tard.

C’est sur ses belles paroles que la journée se déroule sans embûche.
Lectures, apéro, repas.
Le temps est toujours très lourd avec cette eau qui n’arrête pas de tomber avec en plus de cette chaleur.
Vient le moment où Julie appelle Élise.
Élise, vient me voir dans les toilettes.
As-tu déjà eu un lavement ?
Euh, et bien non, répond Élise, cela sert à quoi ?
C’est pour faciliter le transit.
Mais je vais aux toilettes régulièrement, dit la gamine.
Tu me fais confiance, bien oui. Alors penche toi légèrement et écarte tes fesses.

La canule préalablement huilée rentre facilement dans le petit trou.
Julie ouvre le robinet et le liquide tiède coule dans l’intestin.
Le ventre de la soumise se gonfle, et au bout de dix minutes, elle a un litre de liquide à l’intérieur.
La bouillotte est vide. La canule est retirée.
C’est bien, dit Julie, marche un peu. Le produit va faire de l’effet.
J’ai mal au ventre, dit la gamine.
Va-vite aux toilettes et libère toi, ensuite, vient dans la douche.
Julie prend son temps pour laver la petite, elle en profite au passage pour la peloter et la faire glousser.
Elle apporte un soin particulier sur sa raie ainsi que de son trésor caché sachant de ce qu’il va se passer plus tard.
Après un doux baiser sur sa bouche, tu peux aller te coucher, à demain princesse.
Bonne nuit, moi aussi, je me couche, je suis éreinté avec cette lourdeur. Prépare toi, je sais que tu vas recevoir la visite de Justine.
Effectivement, au bout de dix minutes, Justine rentre dans la chambre, elle est déjà équipée de son gode ceinture. La vision n’est pas spécialement belle. Imaginé une belle femme mature entièrement nue, avec un bout de latex de vingt centimètres au niveau du sexe.
Élise la regarde avec des yeux étonnés, Justine commence à lui parler. Mon petit chat, tu m’as désobéi tout à l’heure et c’est maintenant le moment de payer l’addition.
Mets toi sur le dos, et positionne sous tes reins ton oreiller. Je vais t’enculer ma chérie.
Tu vas m’offrir ta rondelle, ton petit trou du cul encore vierge. Je suis certaine que tu vas apprécier. Mais mais, je ne veux pas, tu vas me faire mal, dit Élise.
Allez, ne discute pas, en position, offre moi ton cul. C’est ce que je veux.
À ce moment, le sexe de la gamine est fermé, on distingue à peine sa fente comme ce matin.
Justine se positionne devant la belle, lui lève les jambes à la verticale.
Elle prend le gode préalablement huilé dans sa main droite et le dirige au centre du petit cratère.
La tortionnaire pousse ses reins et l’objet en plastique rentre doucement dans l’orifice anal.
Élise sent son cul s’ouvrir et coulisser doucement autour de l’objet.
Ce n’est pas douloureux, c’est même très doux. Le gode est parfaitement lisse et souple, de plus, il n’est pas très gros.
Une drôle de sensation émeut la petite. Elle commence à gémir doucement en faisant des oh ! De temps en temps ainsi que des Ah !
Justine continue ses allées retour avec de grandes amplitudes en se basant sur les plaintes de la petite. Elle ne lui tient plus les jambes, elle remarque que les yeux de la gamine sont fermés et que les expressions de son visage se transforment partiellement en petites grimaces.
Son regard se porte plus bas et découvre une vulve ouverte et toute luisante.
Justine constate que son gode rentre de plus en plus facilement, sa victime facilite la pénétration en avançant son basin, la petite capitule. Son cul s’ouvre pour faciliter le passage.
Au bout d’un long moment, Élise demande un baiser à sa nouvelle compagne. Justine accepte et se penche sur le visage puis l’embrasse goulûment. Ses lèvres descendent et se posent sur chaque téton. Sa langue tourne autour et les mordille un par un, elle continue pendant ce temps de pénétrer le petit cratère qui cependant devient de moins en moins petit.
Des sons rauques sortent de la bouche de la gamine, elle aime ça.
À côté, dans la chambre voisine, Julie entend tout, dans les moindres détails. Les gémissements, les oh et les ah, les plaintes, les sons rauques. Julie comprend que sa chérie capitule et prend du plaisir à se faire enculer.
Au bout d’un moment, Justine retire le gode du cul de la gamine. Elle se lève malgré les demandes de sa victime qui lui demande de continuer. Ne bouge pas, lui impose Justine, je reviens très vite.
Justine va dans la chambre commune où se trouve Julie.
Tu as entendu, dit-elle à son amie, Élise adore mes caresses et en plus, elle adore se faire enculer, ce qui est rare pour une jeune femme. Je n’en connais pas beaucoup, malgré mes innombrables conquêtes.
Je viens prendre un nouveau gode beaucoup plus gros et surtout, celui ci vibre.
On va voir si elle fait toujours la maligne.
À plus, tard, ma chérie, prépare toi. Demain, je t’éclate ta rondelle, j’ai un modèle spécial pour toi.
Justine rentre à nouveaux dans la chambre d’Élise qui est toujours sur les dos.
Changement de programme, retire l’oreiller et met toi à quatre pattes sur le lit, les fesses en l’air.
Puisque tu aimes ça en apparence, je change de modèle, regarde celui-ci comme il est gros et dure comme un véritable sexe d’homme, en plus, il vibre.
À la vue de l’énorme tube, Élise refuse de se soumettre, elle proteste. C’est trop gros.
Sans réagir, Justine applique sur l’objet une grosse quantité de lubrifiant, puis sans attendre, elle donne deux fortes claques sur les fesses en lui disant de respecter sa parole.
La gamine se calme instantanément et commence à sniffer.
Le gland fictif se positionne. Justine pousse fort et le pauvre petit cul cède sous la poussée en prenant au moins cinq centimètres.
Élise gueule comme un âne. Arrête, c’est trop gros, j’ai mal.
Chut, dit Justine, décontracte toi. Je ne bouge plus, habitue toi.
C’est à ce moment que la tortionnaire enclenche le premier niveau de vibrations.

Surpris, l’anus se décontracte et Justine en profite pour lui enfiler l’objet sur toute sa longueur, soit 25 centimètres.

Un cri bestial sort de la bouche de la suppliciée et elle s’affaisse complètement sur le lit, le ventre à plat sur le matelas, ce qui provoque la sortie du profanateur de son écrin soyeux.

Justine demande à la gamine de se remettre les fesses en l’air. Écarte les bien, avec tes deux mains, offre moi ton cul. L’enculeuse observe avec délectation, le petit trou qui reste ouvert. Elle en profite pour injecter une dose de gel dessus et à l'intérieur puis recommence cette fois-ci avec une grande douceur une pénétration lente et profonde.

On entend dans la chambre, des plaintes répétitives ainsi que le ronronnement du gode.

Justine commence les allers-retours dans le fondement. Au début, elle sent une forte résistance de l’anneau. Elle doit pousser son ventre avec force.

Puis, au fur et à mesure, la rondelle s’habitue et se détend pour finalement s’ouvrir complètement.

C’est à ce moment, qu’elle augmente les vibrations à leurs maximums.

Les vibrations irradient tous les organes internes du ventre d’Élise.

Elle ressent des picotements dans son vagin, sur son clitoris et sur toute l’intégralité de sa figue qui recommence à s’ouvrir et se gorge à nouveau de sang. Ses grandes lèvres s’ouvrent et se gonflent, laissant apparaître l’entrée de son vagin ouvert.

Elle coule de nouveaux avec abondance.

Bien évidemment, Justine remarque le changement de sa belle enculée.

Elle décide alors de prendre les hanches entre ses mains et accélère le rythme de la pénétration.
Le ventre de Justine claque vigoureusement les fesses de la jeune fille.
La tête sur le côté et entre deux spasmes, Élise demande à sa tortionnaire de continuer.
Je sens que je vais jouir, ne t’arrête pas, je t’en prie dit elle, continue. Je t’aime.
Complètement surpris et ébahi par cette demande, Justine en sueur, accélère encore le mouvement.
Soudain, elle voit le corps de la jeune fille se tendre, la petite se cabre, crie, prononce des mots comme ; je suis ta chose, encule-moi fort, perce moi. Ahhhh.
Après cet orgasme fabuleux et rare pour une jeune femme sodomisée, Élise s’écroule sur le lit comme une poupée désarticulée.
Justine se retire doucement, retourne la jeune fille sur les dos et l’embrasse goulûment. Elle lui enfonce deux doigts dans le vagin et un autre masse le méat urinaire qui s’ouvre de lui-même.
Ma chérie, laisse toi aller complètement, libère toi, pisse sur ma main.
Dans un, abandons total, un gémissement grandiose sort de sa bouche, le méat s’ouvre et un jet d’urine continu, sort avec fracas du sexe d’Élise pour venir souiller le drap du dessous et la main qui la masturbe.
C’est très bien dit Justine, tu es une élève merveilleuse.
Justine laisse son élève reprendre ses esprits et lui dit, pour ta gouverne, demain, j'encule ta copine Julie jusqu'à ses derniers retranchements.
Elle ne va probablement pas jouir, mais elle va perdre complètement les pédales.
Pour son trou de cul, il y aura un avant et un après.
Au vu de ta performance d'aujourd'hui, tu pourras m'aider si tu veux.
Je veux bien maîtresse, dit la petite, je suis a tes ordres.
En attendant, change tes draps, ma pisseuse. Ensuite, tu pourra dormir.

Maltraitance du cul de Julie

Le lendemain matin, le scénario se reproduit comme la veille.
C’est Élise qui est chargée de mettre le petit-déjeuner et cette fois-ci, elle n’oublie absolument rien.
Au passage de la petite, chaque femme la prend sur leurs genoux et aspire la pointe de ses seins.
Julie, lui demande même d’écarter les jambes et lui plonge sa main dans la culotte.
En peu de temps, les doigts agiles l’emmènent au bord de la jouissance, mais les doigts s’arrêtent juste avant. Élise est désabusée.
Viens ici, dit Justine, je vais te faire la toilette de ta petite moule.
Abaisse ta culotte et mets toi de dos sur la table.
Justine lui écarte les jambes et commence à la laper comme un petit chien. Elle recueille sur sa langue le liquide qui coule en abondance du sexe de la jeune fille.
Les reins de la fille bougent énormément et vont au-devant de la bouche vorace. Des sons violents et rauques sortent de sa gorge.
Justine demande à Julie, si elle peut la finir. Un petit signe de tête lui fait comprendre que oui.
Julie se lève et colle sa bouche sur celle de la petite, elle enfonce sa langue dedans.
Elle lui caresse les seins, lui pince les petits tétons qui se dressent encore plus.
Au même moment, la langue de Justine se positionne sur le clitoris et le maltraite, tourne autour, l’aspire.
L’orgasme arrive alors rapidement et tétanise la pauvre fille qui s’écroule, totalement vaincue sur la table.
Après ce petit-déjeuner coquin, les trois femmes vont se baigner dans le lac, le temps est revenu au beau.
Elles reviennent vers 16 h.
Les voilà toutes les trois dans le mobile home. Justine ferme la porte à clé.
Très ouvertement, Justine dit à Julie. Maintenant, il est temps ma belle de m’offrir ton cul. Je ne pense qu’a ça depuis hier.
C’est la petite qui va te préparer, comme toi hier, tu la fais sur elle.
Mais en plus, tu auras un traitement de faveur pour faciliter ton enculage.
Après la douche, mon élève t’injectera directement dans le rectum, un gel lubrifiant.
Comment ça, ton élève dit Julie. Eh oui, sans que je ne lui demande, elle m’appelle maîtresse.
Julie, très inquiète, demande à Justine ce qu’elle compte faire avec elle.
Tu es sur ma chérie de le vouloir vraiment.
Je te signale, qu’hier, tu m’as donné ton autorisation et que tu ne peux pas revenir en arrière, tu m’as donné ta parole.
Si, tu es prête à m’entendre, voilà ce qui va ce passé. Je vais te rentrer dans ton petit cul, un gode en forme de main.
Sa dimension est de 7,5 cm dans sa partie la plus large. En plus, mon modèle est gonflable, je peux augmenter à ma convenance sa largeur de quelques cm en plus.
Rassure toi, je l’ai déjà utilisé plusieurs fois dans le cul de mes pouliches que j’ai connu et il n’y a eu aucun souci.
Par contre, le seul problème, ce sont les gémissements extrêmement pénibles qu’elles font. J’ai donc résolu ce problème en leur mettant un bâillon boule dans leurs bouches.
J’en ai un, pour toi, il est hors de question que tout le camping soit au courant.
Si ta rondelle passe le test avec succès, Élise te réservera une surprise qui te permettra de jouir comme jamais tu ne peux imaginer.
Mais, chut, c’est une surprise.
Allez Julie, assez parler, va dans les toilettes avec la petite, elle va te faire ton lavement.
Julie s’exécute sans broncher, la gamine lui impose son lavement.
Par contre, la quantité du liquide à doublé, ce ne sont pas moins de deux litres de liquide qui se déverse dans son ventre.
Attends au moins un quart d’heure avant d’aller aux toilettes, dit la jeune fille.
Après de terribles douleurs abdominales, Julie se vide entièrement dans les toilettes en faisant des bruits disgracieux. Julie a honte.
Puis, elles se dirigent tous les deux sous la douche et cette fois-ci, c’est Élise qui la lave.
Après la douche, l’élève emmène par la main Julie qui la suit sans rien dire dans la chambre commune, où se trouve déjà sa maîtresse qui l’attend avec un certain sourire de sadique.
Te voilà enfin, dit son amie. J’espère que tu es propre.
La meilleure position pour toi est de te mètre a quatre pattes sur le lit en mettant tes fesses en l’air.
J’ai remarqué que cette position favorise une pénétration profonde. En plus, pour moi, qui aime bien voir les résultats de mon travail, je vois la fente s’ouvrir et réagir.
Tu es prête ma chérie ?
Je t’injecte une seringue entière de gel lubrifiant dans ton cul.
Voilà qui est fait, maintenant, je t’interdis de regarder derrière.
Ouvre ta bouche que je te bâillonne. Sinon, nous allons avoir une plainte pour tapage diurne.
Regarde Élise, le comportement de ton amie, c’est important pour toi, profite pour apprendre.
Justine prend l’énorme gode main qui est entièrement recouvert de graisse.
Elle le présente devant la pastille entièrement fermée de son amie.
C’est un gode de couleur noire ayant la forme d’une main dont le bout des doigts est serré pour imiter une forme de flèche et qui sert surtout pour faciliter l’ouverture du sphincter. Il y a une poire qui permet de le gonfler avec de l’air, ce qui augmente la grosseur de la main.
Le bout des doigts rentre en contact avec le petit cratère. Justine pousse doucement l’engin tout en le tournant. Le petit cratère s’ouvre lentement.
La tête de Julie est maintenue par les mains de la gamine de façons à la maintenir droite.
Le gode rentre de plus en plus, l’ouverture est de 4 cm. Julie ne peut pas crier avec son bâillon dans la bouche.
Des sons inaudibles sortent quand même de sa bouche.
Justine ressort la main en plastique souple un instant, puis la replonge aussitôt dans les profondeurs du fondement de sa copine.
Du liquide sort de son anus et facilite la pénétration, le gode arrive presque dans sa partie la plus large. Il a fallu quand même trente minutes pour en arriver à ce stade.
Élise, viens à mes côtés, regarde l’anus de ton amie. Il s’ouvre et se laisse dompter, dans 5 minutes, la main va entièrement disparaître dans son cul.
Julie grogne, elle ne peut émettre des sons aigus, son corps tremble et se couvre de sueur.
Une odeur d’amour et de cul remplit la pièce.
Attention, dit Justine, ton cul se prépare à capituler, je le sens.
Effectivement, peu après l’anus se rend et laisse entièrement le passage libre à la main entière en plastique jusqu’au poignet.
Comme la petite, hier, Julie s’écroule sur le ventre en haletant.
Du liquide visqueux sort de son cul.
Sans retirer la main, la tortionnaire la maintient en place pendant quelques minutes.
Habitue toi à cette présence, dit elle à son amie.
On aperçoit beaucoup de salive sortir de la bouche de Julie de chaque côté de la boule du bâillon.
Des larmes coulent aussi de ses yeux hagards.
C’est bien dit Justine, j’en ai presque fini avec toi, encore quelques centimètres et c’est bon.
On entend des petits coups de pompe puis aussitôt, une augmentation des plaintes de la suppliciée.
Le gode se gonfle à l’intérieur de l’intestin d'environ deux centimètres supplémentaires.
Elle a maintenant environ 9 centimètres de diamètre dans le cul.
Pendant au moins dix minutes, Justine imprime à la main une lente rotation et un petit va et vient.
Julie ne jouit pas. Elle geint lamentablement.
Elle donne des coups de fesses désordonnés.
Elle ne sait plus où elle est, et de ce qu’on lui fait subir.
Ma chérie, c’est fini pour moi, prépare toi, j’enlève le gode de ton cul.
La main sort délicatement, de la glaire sort en abondance de son cul et tache le drap.
Regarde Élise, son cul est complètement déformé, il reste ouvert et va le rester assez longtemps, tu vas pouvoir en profiter, vois par toi-même, elle mouille de la rondelle.
Enlève lui son bâillon.
À peine enlevée, Julie crie, espèce de salope perverse. Tu es une malade.
Tu n’as pas apprécié lui demande Justine, sur un ton moqueur ?
Je ne sais pas, c’est très bizarre comme sensation.
Ce n’est pas réellement du plaisir, ni de la douleur, mais plutôt une sensation de grande plénitude. Je me suis sentie remplie, complètement à ta merci, et je crois, que j’ai aimé cela, mais je n’ai pas joui.
Tu serais prête à recommencer ? lui demande son amie.
Julie baise la tête et réponds tout bas, oui, je veux bien.
Maintenant ? Lui dit sa tortionnaire.
Peut - être que oui.
Alors, va te doucher, lave tes fesses et reviens moi après.
C’est mon élève qui va s’occuper de toi pour la suite.
Justine explique à voix basse à Élise, la suite des événements.
Récompense de Julie.

Julie arrive de sa douche, toute propre.
Installe toi sur la chaise, mais à l’envers, positionne tes seins sur le dossier, cambre toi bien et présente nous ton cul et ta figue correctement en dehors du siège. Très bien.
Je ne te mets pas de bâillon, dit Justine, tu es une grande fille maintenant.
Par contre, je t’attache les mains sur le dossier de la chaise, c’est le jeu, que veux tu.
Élise, dit, Justine, tu peux commencer.
L’élève se met à genoux derrière les fesses de Julie et approche sa main droite entièrement graissée à outrance du cul de la malheureuse.
A proximité, sur la table, se trouve le gros gode vibrant que la petite connaît bien pour ces effets dévastateurs.
La gamine approche sa main avec ses doigts en forme de pointe, de l’anus qui n’est pas encore complètement refermé et à l’aide sa main gauche, écarte une fesse.
Elle tourne autour plusieurs fois puis commence une pénétration lente et délicate.
Sa main est plus fine que le code utilisé auparavant.
Tout en tournant de gauche à droite, sa main rentre petit à petit dans le cul de Julie qui commence à se faire entendre bruyamment.
Justine intervient et lui pose une main sur la bouche pour diminuer le volume de ses plaintes et de ses gémissements. Régulièrement, elle retire sa main et applique sa bouche pou lui enfoncer sa langue d’une façon autoritaire et en profite en même temps de rajouter du gel lubrifiant sur la main de la petite.
Comme avec le gode, la main de la jeune fille atteint son point le plus large, force encore un peu, tourne encore et encore de gauche à droite, elle obtient enfin la reddition de ce trou du cul qui soudain cède sous la pression puis serre intimement le poignet d’Élise.
De nouveaux, Julie halète, manque d’air, gémi.
Maintenant, dit Justine à la gamine, prends le gode avec la main gauche et enfonce lui dans le vagin, déclenche les plus fortes vibrations, niveau cinq.
Referme ta main dans son cul pour la transformer en poing, commence un va et vient lent, mais de grandes amplitudes.
Je suis sûr que Julie va prendre son pied et jouir comme une malade.
Effectivement, le résultat ne se fait pas attendre. Un orgasme surpuissant tétanise la pauvre fille. Justine regarde le visage de son amie qui se déforme de douleurs et de plaisir en même temps. Les yeux sont révulsés et des larmes coulent.
Malgré la main sur la bouche, des sons inaudibles et extrêmement puisant sortent de la bouche de Julie qui couvrent totalement les ronronnements du gode.
Une forte odeur de sexe et de cul se repend dans la pièce.
Élise continue ses allées retours avec son poing dans l’intestin de la belle.
Le gode en plastique tombe sur le sol en continuant ses vibrations.
Julie supplie Élise d’arrêter, car elle a envie d’uriner.
Ne t’arrête pas dit Justine, continue et avec ton point appuis sur sa vessie.
A chaque pénétration de la main, c’est maintenant un long jet de liquide chaud qui sort du sexe de Julie par saccades. Oh non, dit Julie, ce n’est pas possible.
Complètement prostrée sur sa chaise, elle attend la fin de cette sodomie hors norme.

La gamine, retire très doucement sa main de l’intérieur du cul et regarde avec fierté l’anus grand ouvert et dégoulinant de sa préférée puis lui embrasse ses fesses tendues avec beaucoup de douceur.
Voici, comment se termine, non pas l’histoire, mais la reddition de l’anus de Julie.

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Texte coquin : Les vacances d'Elise, L'arrivée de Justine.
Histoire sexe : Une rose rouge
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