Les vacances d'Elise N°1
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les vacances d'Elise N°1
Les vacances d’Élise.
L'histoire se passe il y a deux ans, dans un camping dans le Jura au bord d'un lac.
Je suis une femme de 40 ans, qui vit seule depuis mon divorce. Je me nomme Julie.
Je ne suis plutôt pas mal, pas de kilos en trop.
Je loue un mobile home pour quinze jours avec une amie.
Mon amie, Justine arrive dans deux jours par le train, moi, je suis déjà sur place.
Justine doit arriver avec Élise, une amie de ma fille. Ma fille est restée chez nous, car elle a trouvé un job d’été qui se termine dans une semaine. Elle nous rejoindra juste après pour passer la deuxième semaine avec nous.
Le lendemain matin, je reçois un SMS d’Élise qui me dit qu'elle est à la gare de Saint-Claude et qu'elle arrive maintenant.
Très surprise par cette arrivée en avance de deux journées, je me prépare à la recevoir.
Au bout d’une heure, Élise arrive en bus au camping avec ses bagages.
C’est un petit bout de femme d’environ 1m65 d’une vingtaine d’années avec beaucoup de charme comme la plupart des filles de son âge.
On s’embrasse et elle m’accompagne au mobile home, un peu fatiguée de son voyage. Elle vient de Bretagne.
Mais tu devais arriver avec Justine lui dis je.
Elle me dit que le train de demain a été annulé pour rejoindre Justine, mais qu’elle l’as prévenu.
Je lui propose un verre de citronnade puis une douche pour la remettre en forme.
Je reste sur la terrasse et Élise va se doucher. Au bout d’un quart d’heure, elle m’appelle et me dit.
Je n’ai pas de serviette pour me sécher.
J’arrive, je vais en chercher une. Je me dirige vers la douche avec la serviette et lui demande de sortir.
Mais je suis nue, me dit-elle. Oui, et alors, on a le même corps, enfin presque, avec 20 ans d’écart.
Elle sort, en protégeant son sexe de ses mains croisées.
Je découvre un corps juvénile avec des petits seins pointus, un ventre plat, de très belles fesses bien rebondies ainsi qu’une petite touffe de poils bruns.
Je ne sais pas pourquoi, mais la vue de ce corps parfait me trouble énormément, j’en ai honte.
Pourtant, j’ai déjà vu ma fille nue mainte et maintes fois et jamais, je n’ai pas eu cette réaction. C’est normal, c’est ma fille.
Je l’entoure de la serviette de bain et la sèche doucement dans tous les moindres recoins sans s’attarder sur les endroits sensibles. Élise ne dit rien et se laisse faire.
Une foi essuyée, je retire la serviette, elle se retrouve à nouveau toute nue devant moi, je lui donne une claque sur les fesses qui la fait sursauter et lui dit d’aller s’habiller.
Elle revient avec un petit short moulant qui fait ressortir ses petites fesses et à nouveau, mon corps réagit. Pourtant, je ne suis pas lesbienne.
Justine, mon amie, à franchie le pas. Après deux mariages loupés avec des hommes, elle est devenue lesbienne et préfère maintenant les femmes. On en parle souvent ensemble, mais il ne sait rien passée entre nous. Elle me raconte ses innombrables aventures qu’elles collectionnent.
Il faut dire aussi que depuis 5 cinq ans, date de mon divorce, je n’ai eu aucun rapport sexuel avec qui que ce soit, sauf avec moi-même et mes fidèles jouets que j’ emmène partout où je me déplace.
Je dis à Élise, ce soir, ma puce, nous allons passer une soirée entre filles.
Je te propose un ou plusieurs apéritifs, puis des merguez au barbecue, avec des pommes de terre sautées. Cela te convient ? J’adore, me dit elle et j’ai faim.
Arrive la soirée que nous avons préparée. Je propose à Élise du Whisky ou du vin mousseux, du Vouvray. Elle choisit du Vouvray, me précisant qu’elle ne boit pas souvent d’alcool. Je prends la même chose. Je nous sers une coupe, des petits gâteaux, du saucisson et l’on commence à se parler pour mieux se connaître.
Au bout d’une heure, la bouteille est vide, plus de gâteau, ni de saucisson.
Je propose de passer à table pour le reste du repas, mais Élise n’avait plus faim et elle me confirme sa fatigue accentuée par cette chaleur à peine diminuée a cette heure tardive.
La tête D’Élise repose sur mon épaule. C’est à ce moment, que j’ai dérapé.
Je prends doucement la tête d’Élise et dirige ma bouche près de son oreille.
Je lui dis doucement, Élise, j’ai terriblement envie de t’embrasser, je peux ?
Aidée par l’alcool et la fatigue, elle ouvre sa bouche et m’offre sa bouche, les yeux fermés.
Surprise par sa réaction, j’applique mes lèvres sur les siennes et pénètre sa cavité avec ma langue pointue.
C’était doux et chaud. J’ai le goût du Vouvray sur sa langue. Elle se laisse faire et ne dit rien. Elle ouvre ses yeux et me regarde étonner.
Je préfère en rester là et lui propose d’aller se coucher. Je l’accompagne dans sa chambre. Il fait tellement chaud que je lui propose de dormir nue avec seulement un drap. Elle se déshabille et se glisse sur le lit, complètement épuisée du voyage. Elle ne pense pas à se protéger de mon regard.
Avant de remonter le drap sur son corps, je remarque que sa petite fente est légèrement ouverte et brillante. Est ce mon baiser ?
Je l’embrasse sur le front, ferme la lumière ainsi que la porte de sa chambre en lui souhaitant une bonne nuit.
Moi, je me réfugie dans mon lit en ne pensant qu’au sexe luisant d’Élise. Dans ma tête, tout se bouscule, que m’arrive-t-il ? Mes doigts trouvent le chemin de ma fourche. En quelques secondes de masturbation, j’obtiens un orgasme qui me libère et me calme. Le sommeil m’emporte aussitôt.
Le lendemain matin, après une bonne nuit, je me lève et prépare le petit-déjeuner. Élise dort toujours et je me demande qu'elle va être sa réaction par rapport au baiser d’hier soir.
Au bout d’un moment, elle se lève et vient sur la terrasse toujours en short et un haut de maillot de bain.
Coucou, c’est moi, la marmotte.
Ça va, marmotte, bien dormie ?
Très bien, me répond elle, mais j’ai fait un rêve qui m’a perturbée et laissée sur ma faim.
C’était quoi ton rêve ?
Elle me répond, c’est embarrassant.
Allez, raconte.
Eh, bien, j’ai rêvé que tu m’as embrassé sur la bouche hier soir.
Prenant mon courage à deux mains, je lui réponds.
Tu es sûr que ce n’est qu’un rêve ?
Elle me regarde avec étonnement avec ses yeux de petit chat.
Eh bien, tu sais, je t’ai réellement embrassée sur la bouche et je t’ai mis ma langue sur la tienne.
Et ça te laisse sur ta faim ! Tu veux dire quoi au juste ?
Euh, je ne sais pas, me répond Élise, bien embarrassée avec un regard fuyant.
C’est à ce moment que je décide de passer vraiment le cap et tant pis pour les conséquences.
Je lui commence à lui poser des questions vraiment embarrassantes.
As-tu déjà fait l’amour avec un garçon ?
Euh, non.
Et avec une fille ?
Non plus.
Tu es vierge, donc.
Oui.
Termine ton petit-déjeuner et si tu es d’accord, viens avec moi après.
Après le petit-déjeuner, je prends par la main Élise et l’emmène vers la douche.
Je lui dis, puisque tu restes sur ta faim, je t’offre le complément. Tu es d’accord ?
Elle me répond, oui, enfin, je ne sais pas trop.
C’est moi qui lui enlève ses vêtements et je fais de même avec moi.
Nous sommes toutes les deux entièrement nues.
Je rentre dans la douche avec elle.
J’ouvre le robinet, l’eau tiède coule sur nos corps.
Je commence à la savonner et mes mains glissent sur ses seins qui se dressent aussitôt.
Je lui donne un baisser pénétrant comme hier soir. Elle se laisse faire.
Mes mains descendent vers son ventre et arrivent à sa toison, mes doigts humectés de savon longent sa fente sans la pénétrer. Élise, respire de plus en plus fort et m’agrippe avec ses bras.
J’arrête là, mes investigations et la rince, puis on sort de la douche et je l’essuie.
Maintenant, Élise , dit moi vraiment ce que tu veux ?
Je veux, je, je veux que tu me fasses l’amour.
C’est vraiment ce que tu veux ?
Oui, j’ai envie.
Allez, viens, allons dans ma chambre.
Je ferme la porte du mobile home à double tour.
Je l’allonge sur le lit et commence à lui dévorer sa bouche.
Ma bouche descend plus bas et englobe, un par un, ses seins. Ses tétons se dressent avec arrogance de leurs vingt ans. Élise commence à gémir.
Tout en aspirant ses tétons, ma main droite descend vers sa fente.
Deux de mes doigts écartent ses lèvres et je sens que son sexe est complètement mouillé.
L’odeur de sa chatte commence à remplir la petite chambre du mobile home.
Un doigt, trouve son bouton d’amour qui est très dur et complètement sorti de son capuchon.
Mon doigt tourne autour doucement en appuyant de temps en temps.
Élise à maintenant les cuisses complètement ouvertes.
Elle gémit, respire de plus en plus fort et manque d’air.
Je tente une perpétration de mon majeur dans son vagin, il glisse facilement à l’intérieur, je sens des petites contractions.
Maintenant, ma chérie, laisse, toi aller.
Ma bouche, se pose sur la sienne pour étouffer ses plaintes trop bruyantes. Je découvre une petite fille très expressive. Les parois d’un mobile home ne sont pas épaisses.
Je caresse son clitoris avec mon pouce de ma main gauche et j’enfonce mon index de ma main droite dans son vagin. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps, Élise se crispa, ses jambes se mirent à trembler frénétiquement et son vagin sert mon doigt par des contractions involontaires, le tout agrémenté par une complainte de sons aigus et graves avec des, je t’aime répéter.
Eh bien, voilà, je viens de faire jouir une jeune femme de l’âge de ma fille sans spécialement être lesbienne.
Moi, j’ai la chatte en feu, mais je n’ose pas me caresser devant elle ou de lui demander de le faire.
On reste un bon moment sur le lit sans se couvrir. Je lui dis. Tu sais Élise, c’est la première fois que je fais l’amour à une autre femme.
Moi, aussi, j’ai juste eu des petits flirts avec des copains.
On va au lac prendre un bain ? Tu veux bien ? Oh, oui.
On s’habille en maillot et nous voilà partie sur une petite plage, il y a toujours autant de soleil et de chaleur.
Le premier contact de l’eau froide me fait du bien sous mon maillot, cela me refroidit les idées et pas que. Les lèvres de mon sexe se referment. Ouf !
On reste un bon moment jusqu’au repas du midi.
On en profite pour manger le dîner d’hier soir non consommé.
Après le repas, on s’installe sur des transats à l’ombre des arbres.
Au bout de dix minutes, je commence à m’assoupir et j’entends Élise se lever et venir me parler doucement à l’oreille.
Julie, me dit-elle. J’ai envie, mais envie de quoi ma puce ?
De tes doigts, de ta bouche sur mon corps comme ce matin. Allez, viens dans la chambre.
Alors là, je suis scotché et en même temps hyper excité. Cette gamine de vingt ans, me demande de la baiser.
Je n’ai pas le temps de me lever, qu’elle est déjà dans le mobile home, debout dans la salle pour m’attendre avec un grand sourire sur ses lèvres et son visage d’ange.
Je rentre et c’est elle qui ferme la porte à clés et les rideaux. Je m’approche d’elle et lui dit.
Alors petite coquine, tu en redemandes, oh ! Oui me dit-elle.
Je la regarde dans les yeux, pendant que ma main se glisse dans sa culotte.
Sa chatte est déjà trempée et ouverte, prête pour le plaisir.
Ah, cette jeunesse.
Je la masturbe doucement en prenant bien soin de ne pas la faire jouir tout de suite.
Son visage se déforme comme si elle avait mal, elle ne rit plus, Élise geint et miaule sous mes caresses, écarte ses cuisses.
Je retire ma main, elle veut me la retenir, mais non.
Je l’emmène sur le lit, la déshabille. Je me mets nue aussi, elle me regarde et me dit que je suis belle pour mon âge. Sympa, la petite.
Elle est sur le dos, j’écarte ses jambes, je m’allonge entre ses cuisses et ma bouche dépose des petits baisers sur l’intérieur de ses cuisses. Je remonte doucement vers sa source qui coule en abondance.
Avec l’aide de mes deux pouces, j’ouvre sa fleur et la respire. Elle sent bon.
Ma langue pénètre son sillon, Élise se cabre et sa bouche laisse échapper un cri de surprise.
Chut !! On va nous entendre.
Pour moi aussi, c’est une première de déguster le sexe dégoulinant d’une femme.
Je commence un léchage de tout le sillon de sa fente. J’insiste sur son bouton d’amour qui est dur.
Élise coule abondamment et sa liqueur coule jusqu’à son petit trou, juste en dessous.
Je ne veux pas la faire jouir maintenant, j’ai envie que l’on jouisse ensemble.
Je ralentis le va-et-vient de ma langue et elle se plaint, me disant de continuer.
Je lui dis, ne sois pas si pressée, nous allons jouir ensemble plus tard, retiens toi.
Dit moi maintenant si tu aimes cette caresse ?
Je recueille sur mon index sa liqueur et commence à tourner autour de son petit trou.
Elle remue son bassin pour éviter cet attouchement.
Tu n’aimes pas, lui dis je ?
Je ne sais pas, c’est bizarre.
Ne bouge plus. Elle s’arrêta et mon doigt en profite pour pénétrer l’intérieur de son cul.
Alors, tu en penses quoi ma puce ? Sans attendre la réponse, je commence un lent va et vient en écartant de plus en plus sa petite rondelle. Au bout, d’un moment, je retire mon doigt et recueille à nouveau de son liquide, mais cette fois-ci sur deux doigts.
Elle gémit de plus en plus fort, comme une bête malade. Je peux te mettre deux doigts si tu veux ?
Profitant de son désarroi et entre deux râles, je lui mordille son clitoris et enfonce en même temps mes deux doigts dans son fondement.
C’est une méthode que j’utilise avec mes godemichés et sur moi, cela fonctionne.
Sans est trop, un cri de bête s’échappe de sa gorge et je sens son cul se contracter plusieurs fois sur mes doigts. Un flot de sa liqueur me coule dans ma gorge. Je lape le surplus.
Vu, le niveau sonore de la belle, je pense que tout le camping est au courant de ce que l’on fait.
Je la laisse récupérer pendant un moment et je l’étreins à nouveau.
Maintenant, à moi d’en profiter.
Réveille toi.
Je m’allonge sur le dos et je lui demande de venir sur moi, mais tête tête-bêche.
Élise se retrouve le nez dans ma foufoune et moi dans la sienne que je connais déjà.
Maintenant, fais comme moi, suce-moi.
Avec hésitation, je sens sa langue pénétrée ma figue. Mon Dieu que c’est bon. J’avais oublié la douceur d’une langue. Mons sexe se liquéfie.
La petite suce bien, elle pénètre de ses doigts mon vagin tout en me mangeant littéralement mon clitoris.
Consacrée uniquement à mon plaisir, je ne m’occupe plus de son sexe. Elle ne réclame rien.
J’ouvre ma bouche en grand et commence à donner de la voix. C’est Élise qui me dit de me taire.
Apprenant vite, la petite me suce le clitoris et soudain, je sens deux doigts me pénétrer.
Un, dans mon vagin et l’autre dans mon cul. Quelle surprise cette petite.
Elle commence un va-et-vient de plus en plus vite.
Je ne peux pas résister plus longtemps et elle le sait bien.
Allez, me dit elle, c’est le moment, jouit dans ma bouche.
Sur ces ordres, je jouis comme une folle, mes jambes se lèvent et tremblent tétanisées.
Elle rigole, fière de sa victoire. Élise se redresse et s’allonge sur moi, mais dans le bon sens.
Elle m’embrasse partout, pénètre sa langue dans ma bouche, dans mes oreilles, se frotte contre moi, seins contre seins, fente contre fente et répète inlassablement, je t’aime Julie.
Maintenant, tout le camping est au courant de nos jeux. Je n’ose pas sortir dehors.
On reste donc sur le lit en attendant la pénombre du début de nuit.
Tu sais, il faut que je parle de Justine qui arrive demain. Tu la connais bien ?
Non, me répond Élise, je ne l’ai vu que deux ou trois fois, il y a au moins 5 ans de ça.
Je reprends la conversation et lui dit que Justine a été mariée deux fois avec des cons qui l’ont baladée et faite souffrir. Elle a été cocue de nombreuses fois.
De ce fait, elle s’est promis de rejeter la jante masculine et petit à petit, aventures après aventures, elle est devenue une vraie chasseuse de filles. Cela lui plaît, c’est une collectionneuse de foufounes.
Justine a aussi une collection de jouets sexuels qu’elle transporte toujours dans ses déplacements, au cas où.
Elle ne m’a jamais proposé de faire l’amour avec elle.
Par contre, je pense qu’elle essaiera avec toi.
Si cela arrive, et si tu en as envie, tu pourras céder à ses avances.
Moi, je ne t’en tiendrai pas rigueur.
Nous deux, c’est une petite aventure qui se terminera de toute façon après les vacances.
Tu vois, je ne sais pas comment nous allons faire toutes les deux des demain.
Élise reprend la parole.
Mais c’est avec toi, que je veux faire l’amour. Je t’aime moi, je m’en fou de Justine.
Suite: Arrivée de Justine
L'histoire se passe il y a deux ans, dans un camping dans le Jura au bord d'un lac.
Je suis une femme de 40 ans, qui vit seule depuis mon divorce. Je me nomme Julie.
Je ne suis plutôt pas mal, pas de kilos en trop.
Je loue un mobile home pour quinze jours avec une amie.
Mon amie, Justine arrive dans deux jours par le train, moi, je suis déjà sur place.
Justine doit arriver avec Élise, une amie de ma fille. Ma fille est restée chez nous, car elle a trouvé un job d’été qui se termine dans une semaine. Elle nous rejoindra juste après pour passer la deuxième semaine avec nous.
Le lendemain matin, je reçois un SMS d’Élise qui me dit qu'elle est à la gare de Saint-Claude et qu'elle arrive maintenant.
Très surprise par cette arrivée en avance de deux journées, je me prépare à la recevoir.
Au bout d’une heure, Élise arrive en bus au camping avec ses bagages.
C’est un petit bout de femme d’environ 1m65 d’une vingtaine d’années avec beaucoup de charme comme la plupart des filles de son âge.
On s’embrasse et elle m’accompagne au mobile home, un peu fatiguée de son voyage. Elle vient de Bretagne.
Mais tu devais arriver avec Justine lui dis je.
Elle me dit que le train de demain a été annulé pour rejoindre Justine, mais qu’elle l’as prévenu.
Je lui propose un verre de citronnade puis une douche pour la remettre en forme.
Je reste sur la terrasse et Élise va se doucher. Au bout d’un quart d’heure, elle m’appelle et me dit.
Je n’ai pas de serviette pour me sécher.
J’arrive, je vais en chercher une. Je me dirige vers la douche avec la serviette et lui demande de sortir.
Mais je suis nue, me dit-elle. Oui, et alors, on a le même corps, enfin presque, avec 20 ans d’écart.
Elle sort, en protégeant son sexe de ses mains croisées.
Je découvre un corps juvénile avec des petits seins pointus, un ventre plat, de très belles fesses bien rebondies ainsi qu’une petite touffe de poils bruns.
Je ne sais pas pourquoi, mais la vue de ce corps parfait me trouble énormément, j’en ai honte.
Pourtant, j’ai déjà vu ma fille nue mainte et maintes fois et jamais, je n’ai pas eu cette réaction. C’est normal, c’est ma fille.
Je l’entoure de la serviette de bain et la sèche doucement dans tous les moindres recoins sans s’attarder sur les endroits sensibles. Élise ne dit rien et se laisse faire.
Une foi essuyée, je retire la serviette, elle se retrouve à nouveau toute nue devant moi, je lui donne une claque sur les fesses qui la fait sursauter et lui dit d’aller s’habiller.
Elle revient avec un petit short moulant qui fait ressortir ses petites fesses et à nouveau, mon corps réagit. Pourtant, je ne suis pas lesbienne.
Justine, mon amie, à franchie le pas. Après deux mariages loupés avec des hommes, elle est devenue lesbienne et préfère maintenant les femmes. On en parle souvent ensemble, mais il ne sait rien passée entre nous. Elle me raconte ses innombrables aventures qu’elles collectionnent.
Il faut dire aussi que depuis 5 cinq ans, date de mon divorce, je n’ai eu aucun rapport sexuel avec qui que ce soit, sauf avec moi-même et mes fidèles jouets que j’ emmène partout où je me déplace.
Je dis à Élise, ce soir, ma puce, nous allons passer une soirée entre filles.
Je te propose un ou plusieurs apéritifs, puis des merguez au barbecue, avec des pommes de terre sautées. Cela te convient ? J’adore, me dit elle et j’ai faim.
Arrive la soirée que nous avons préparée. Je propose à Élise du Whisky ou du vin mousseux, du Vouvray. Elle choisit du Vouvray, me précisant qu’elle ne boit pas souvent d’alcool. Je prends la même chose. Je nous sers une coupe, des petits gâteaux, du saucisson et l’on commence à se parler pour mieux se connaître.
Au bout d’une heure, la bouteille est vide, plus de gâteau, ni de saucisson.
Je propose de passer à table pour le reste du repas, mais Élise n’avait plus faim et elle me confirme sa fatigue accentuée par cette chaleur à peine diminuée a cette heure tardive.
La tête D’Élise repose sur mon épaule. C’est à ce moment, que j’ai dérapé.
Je prends doucement la tête d’Élise et dirige ma bouche près de son oreille.
Je lui dis doucement, Élise, j’ai terriblement envie de t’embrasser, je peux ?
Aidée par l’alcool et la fatigue, elle ouvre sa bouche et m’offre sa bouche, les yeux fermés.
Surprise par sa réaction, j’applique mes lèvres sur les siennes et pénètre sa cavité avec ma langue pointue.
C’était doux et chaud. J’ai le goût du Vouvray sur sa langue. Elle se laisse faire et ne dit rien. Elle ouvre ses yeux et me regarde étonner.
Je préfère en rester là et lui propose d’aller se coucher. Je l’accompagne dans sa chambre. Il fait tellement chaud que je lui propose de dormir nue avec seulement un drap. Elle se déshabille et se glisse sur le lit, complètement épuisée du voyage. Elle ne pense pas à se protéger de mon regard.
Avant de remonter le drap sur son corps, je remarque que sa petite fente est légèrement ouverte et brillante. Est ce mon baiser ?
Je l’embrasse sur le front, ferme la lumière ainsi que la porte de sa chambre en lui souhaitant une bonne nuit.
Moi, je me réfugie dans mon lit en ne pensant qu’au sexe luisant d’Élise. Dans ma tête, tout se bouscule, que m’arrive-t-il ? Mes doigts trouvent le chemin de ma fourche. En quelques secondes de masturbation, j’obtiens un orgasme qui me libère et me calme. Le sommeil m’emporte aussitôt.
Le lendemain matin, après une bonne nuit, je me lève et prépare le petit-déjeuner. Élise dort toujours et je me demande qu'elle va être sa réaction par rapport au baiser d’hier soir.
Au bout d’un moment, elle se lève et vient sur la terrasse toujours en short et un haut de maillot de bain.
Coucou, c’est moi, la marmotte.
Ça va, marmotte, bien dormie ?
Très bien, me répond elle, mais j’ai fait un rêve qui m’a perturbée et laissée sur ma faim.
C’était quoi ton rêve ?
Elle me répond, c’est embarrassant.
Allez, raconte.
Eh, bien, j’ai rêvé que tu m’as embrassé sur la bouche hier soir.
Prenant mon courage à deux mains, je lui réponds.
Tu es sûr que ce n’est qu’un rêve ?
Elle me regarde avec étonnement avec ses yeux de petit chat.
Eh bien, tu sais, je t’ai réellement embrassée sur la bouche et je t’ai mis ma langue sur la tienne.
Et ça te laisse sur ta faim ! Tu veux dire quoi au juste ?
Euh, je ne sais pas, me répond Élise, bien embarrassée avec un regard fuyant.
C’est à ce moment que je décide de passer vraiment le cap et tant pis pour les conséquences.
Je lui commence à lui poser des questions vraiment embarrassantes.
As-tu déjà fait l’amour avec un garçon ?
Euh, non.
Et avec une fille ?
Non plus.
Tu es vierge, donc.
Oui.
Termine ton petit-déjeuner et si tu es d’accord, viens avec moi après.
Après le petit-déjeuner, je prends par la main Élise et l’emmène vers la douche.
Je lui dis, puisque tu restes sur ta faim, je t’offre le complément. Tu es d’accord ?
Elle me répond, oui, enfin, je ne sais pas trop.
C’est moi qui lui enlève ses vêtements et je fais de même avec moi.
Nous sommes toutes les deux entièrement nues.
Je rentre dans la douche avec elle.
J’ouvre le robinet, l’eau tiède coule sur nos corps.
Je commence à la savonner et mes mains glissent sur ses seins qui se dressent aussitôt.
Je lui donne un baisser pénétrant comme hier soir. Elle se laisse faire.
Mes mains descendent vers son ventre et arrivent à sa toison, mes doigts humectés de savon longent sa fente sans la pénétrer. Élise, respire de plus en plus fort et m’agrippe avec ses bras.
J’arrête là, mes investigations et la rince, puis on sort de la douche et je l’essuie.
Maintenant, Élise , dit moi vraiment ce que tu veux ?
Je veux, je, je veux que tu me fasses l’amour.
C’est vraiment ce que tu veux ?
Oui, j’ai envie.
Allez, viens, allons dans ma chambre.
Je ferme la porte du mobile home à double tour.
Je l’allonge sur le lit et commence à lui dévorer sa bouche.
Ma bouche descend plus bas et englobe, un par un, ses seins. Ses tétons se dressent avec arrogance de leurs vingt ans. Élise commence à gémir.
Tout en aspirant ses tétons, ma main droite descend vers sa fente.
Deux de mes doigts écartent ses lèvres et je sens que son sexe est complètement mouillé.
L’odeur de sa chatte commence à remplir la petite chambre du mobile home.
Un doigt, trouve son bouton d’amour qui est très dur et complètement sorti de son capuchon.
Mon doigt tourne autour doucement en appuyant de temps en temps.
Élise à maintenant les cuisses complètement ouvertes.
Elle gémit, respire de plus en plus fort et manque d’air.
Je tente une perpétration de mon majeur dans son vagin, il glisse facilement à l’intérieur, je sens des petites contractions.
Maintenant, ma chérie, laisse, toi aller.
Ma bouche, se pose sur la sienne pour étouffer ses plaintes trop bruyantes. Je découvre une petite fille très expressive. Les parois d’un mobile home ne sont pas épaisses.
Je caresse son clitoris avec mon pouce de ma main gauche et j’enfonce mon index de ma main droite dans son vagin. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps, Élise se crispa, ses jambes se mirent à trembler frénétiquement et son vagin sert mon doigt par des contractions involontaires, le tout agrémenté par une complainte de sons aigus et graves avec des, je t’aime répéter.
Eh bien, voilà, je viens de faire jouir une jeune femme de l’âge de ma fille sans spécialement être lesbienne.
Moi, j’ai la chatte en feu, mais je n’ose pas me caresser devant elle ou de lui demander de le faire.
On reste un bon moment sur le lit sans se couvrir. Je lui dis. Tu sais Élise, c’est la première fois que je fais l’amour à une autre femme.
Moi, aussi, j’ai juste eu des petits flirts avec des copains.
On va au lac prendre un bain ? Tu veux bien ? Oh, oui.
On s’habille en maillot et nous voilà partie sur une petite plage, il y a toujours autant de soleil et de chaleur.
Le premier contact de l’eau froide me fait du bien sous mon maillot, cela me refroidit les idées et pas que. Les lèvres de mon sexe se referment. Ouf !
On reste un bon moment jusqu’au repas du midi.
On en profite pour manger le dîner d’hier soir non consommé.
Après le repas, on s’installe sur des transats à l’ombre des arbres.
Au bout de dix minutes, je commence à m’assoupir et j’entends Élise se lever et venir me parler doucement à l’oreille.
Julie, me dit-elle. J’ai envie, mais envie de quoi ma puce ?
De tes doigts, de ta bouche sur mon corps comme ce matin. Allez, viens dans la chambre.
Alors là, je suis scotché et en même temps hyper excité. Cette gamine de vingt ans, me demande de la baiser.
Je n’ai pas le temps de me lever, qu’elle est déjà dans le mobile home, debout dans la salle pour m’attendre avec un grand sourire sur ses lèvres et son visage d’ange.
Je rentre et c’est elle qui ferme la porte à clés et les rideaux. Je m’approche d’elle et lui dit.
Alors petite coquine, tu en redemandes, oh ! Oui me dit-elle.
Je la regarde dans les yeux, pendant que ma main se glisse dans sa culotte.
Sa chatte est déjà trempée et ouverte, prête pour le plaisir.
Ah, cette jeunesse.
Je la masturbe doucement en prenant bien soin de ne pas la faire jouir tout de suite.
Son visage se déforme comme si elle avait mal, elle ne rit plus, Élise geint et miaule sous mes caresses, écarte ses cuisses.
Je retire ma main, elle veut me la retenir, mais non.
Je l’emmène sur le lit, la déshabille. Je me mets nue aussi, elle me regarde et me dit que je suis belle pour mon âge. Sympa, la petite.
Elle est sur le dos, j’écarte ses jambes, je m’allonge entre ses cuisses et ma bouche dépose des petits baisers sur l’intérieur de ses cuisses. Je remonte doucement vers sa source qui coule en abondance.
Avec l’aide de mes deux pouces, j’ouvre sa fleur et la respire. Elle sent bon.
Ma langue pénètre son sillon, Élise se cabre et sa bouche laisse échapper un cri de surprise.
Chut !! On va nous entendre.
Pour moi aussi, c’est une première de déguster le sexe dégoulinant d’une femme.
Je commence un léchage de tout le sillon de sa fente. J’insiste sur son bouton d’amour qui est dur.
Élise coule abondamment et sa liqueur coule jusqu’à son petit trou, juste en dessous.
Je ne veux pas la faire jouir maintenant, j’ai envie que l’on jouisse ensemble.
Je ralentis le va-et-vient de ma langue et elle se plaint, me disant de continuer.
Je lui dis, ne sois pas si pressée, nous allons jouir ensemble plus tard, retiens toi.
Dit moi maintenant si tu aimes cette caresse ?
Je recueille sur mon index sa liqueur et commence à tourner autour de son petit trou.
Elle remue son bassin pour éviter cet attouchement.
Tu n’aimes pas, lui dis je ?
Je ne sais pas, c’est bizarre.
Ne bouge plus. Elle s’arrêta et mon doigt en profite pour pénétrer l’intérieur de son cul.
Alors, tu en penses quoi ma puce ? Sans attendre la réponse, je commence un lent va et vient en écartant de plus en plus sa petite rondelle. Au bout, d’un moment, je retire mon doigt et recueille à nouveau de son liquide, mais cette fois-ci sur deux doigts.
Elle gémit de plus en plus fort, comme une bête malade. Je peux te mettre deux doigts si tu veux ?
Profitant de son désarroi et entre deux râles, je lui mordille son clitoris et enfonce en même temps mes deux doigts dans son fondement.
C’est une méthode que j’utilise avec mes godemichés et sur moi, cela fonctionne.
Sans est trop, un cri de bête s’échappe de sa gorge et je sens son cul se contracter plusieurs fois sur mes doigts. Un flot de sa liqueur me coule dans ma gorge. Je lape le surplus.
Vu, le niveau sonore de la belle, je pense que tout le camping est au courant de ce que l’on fait.
Je la laisse récupérer pendant un moment et je l’étreins à nouveau.
Maintenant, à moi d’en profiter.
Réveille toi.
Je m’allonge sur le dos et je lui demande de venir sur moi, mais tête tête-bêche.
Élise se retrouve le nez dans ma foufoune et moi dans la sienne que je connais déjà.
Maintenant, fais comme moi, suce-moi.
Avec hésitation, je sens sa langue pénétrée ma figue. Mon Dieu que c’est bon. J’avais oublié la douceur d’une langue. Mons sexe se liquéfie.
La petite suce bien, elle pénètre de ses doigts mon vagin tout en me mangeant littéralement mon clitoris.
Consacrée uniquement à mon plaisir, je ne m’occupe plus de son sexe. Elle ne réclame rien.
J’ouvre ma bouche en grand et commence à donner de la voix. C’est Élise qui me dit de me taire.
Apprenant vite, la petite me suce le clitoris et soudain, je sens deux doigts me pénétrer.
Un, dans mon vagin et l’autre dans mon cul. Quelle surprise cette petite.
Elle commence un va-et-vient de plus en plus vite.
Je ne peux pas résister plus longtemps et elle le sait bien.
Allez, me dit elle, c’est le moment, jouit dans ma bouche.
Sur ces ordres, je jouis comme une folle, mes jambes se lèvent et tremblent tétanisées.
Elle rigole, fière de sa victoire. Élise se redresse et s’allonge sur moi, mais dans le bon sens.
Elle m’embrasse partout, pénètre sa langue dans ma bouche, dans mes oreilles, se frotte contre moi, seins contre seins, fente contre fente et répète inlassablement, je t’aime Julie.
Maintenant, tout le camping est au courant de nos jeux. Je n’ose pas sortir dehors.
On reste donc sur le lit en attendant la pénombre du début de nuit.
Tu sais, il faut que je parle de Justine qui arrive demain. Tu la connais bien ?
Non, me répond Élise, je ne l’ai vu que deux ou trois fois, il y a au moins 5 ans de ça.
Je reprends la conversation et lui dit que Justine a été mariée deux fois avec des cons qui l’ont baladée et faite souffrir. Elle a été cocue de nombreuses fois.
De ce fait, elle s’est promis de rejeter la jante masculine et petit à petit, aventures après aventures, elle est devenue une vraie chasseuse de filles. Cela lui plaît, c’est une collectionneuse de foufounes.
Justine a aussi une collection de jouets sexuels qu’elle transporte toujours dans ses déplacements, au cas où.
Elle ne m’a jamais proposé de faire l’amour avec elle.
Par contre, je pense qu’elle essaiera avec toi.
Si cela arrive, et si tu en as envie, tu pourras céder à ses avances.
Moi, je ne t’en tiendrai pas rigueur.
Nous deux, c’est une petite aventure qui se terminera de toute façon après les vacances.
Tu vois, je ne sais pas comment nous allons faire toutes les deux des demain.
Élise reprend la parole.
Mais c’est avec toi, que je veux faire l’amour. Je t’aime moi, je m’en fou de Justine.
Suite: Arrivée de Justine
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très joli...
Soigne un peu le français, les conjugaisons... il y a peu à faire pour passer du joli, sympa, à une vraie littérature de qualité ! Dans l'érotisme, il est bon d'écarter les parasites !
Bon courage et surtout, merci !
Soigne un peu le français, les conjugaisons... il y a peu à faire pour passer du joli, sympa, à une vraie littérature de qualité ! Dans l'érotisme, il est bon d'écarter les parasites !
Bon courage et surtout, merci !
Très belle histoire, beau texte bien écrit a mon goût.
Merci
Merci
Très belle histoire, beau texte bien écrit a mon goût.
Merci
Merci
Histoire sensuelle qui stimule l'imaginaire érotique. Merci
Jolie histoire, j'ai bien aimé.
Essayez de travailler la qualité du français ! Les accords : Julie est une femme, tout devrait être au féminin ! Et puis une jante, c,est une roue... il faut dire "la gent masculine"... Ces petits "à peu près" abîment votre texte, et c'est dommage.
Essayez de travailler la qualité du français ! Les accords : Julie est une femme, tout devrait être au féminin ! Et puis une jante, c,est une roue... il faut dire "la gent masculine"... Ces petits "à peu près" abîment votre texte, et c'est dommage.
C'est une excellente histoire sans vulgarité, j'ai hâte de lire la suite.
Bien écrit
Mmmhhh très agréable histoire lesbienne...
J'adore..
Cyrille
J'adore..
Cyrille