Lettre à mon amante EPISODE 4 (partie 2) : quand ta peau sent le soleil et le monoï...

Récit érotique écrit par Mai_Tai_Roa_Ae [→ Accès à sa fiche auteur]
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Lettre à mon amante EPISODE 4 (partie 2) : quand ta peau sent le soleil et le monoï...
Tu portes ta petite robe d’été blanche, légère, sandales à la romaine avec talons. Important les talons. J’adore tes talons, ils sont très fins et très hauts. Ton dos est nu, la robe est lacée sur le devant. Elle n’est pas transparente du tout, mais ultra courte. Légèrement évasée, elle dévoile le début de tes fesses à chaque pas. Tes pas sont élastiques, assurés, légers. Ils respirent le bonheur d’exister et le plaisir à fleur de peau. Ta peau sent encore le soleil de la journée, le monoï et très légèrement le sexe après nos caresses dans la chambre. Le parfum idéal, légèrement rehaussé d’une touche d’épices, je dirais cannelle, ce qui provoque chez quiconque t’approche l’envie de goûter le sucre sur ta peau.
Le bar est sur la plage, on y accède par une petite allée de planches, presque un ponton sur le sable. La lumière fait un halo tout autour et la plage retombe dans l’ombre un peu plus loin, contre les premiers bungalows. La musique est latine, afro caribéenne, une belle playlist qui mêle zouks, afro beats et cumbia, un peu de salsa/bachata, le DJ guide discrètement son public vers des déhanchements souples, naturels. A notre arrivée il y a une trentaine de clients, un peu plus d’hommes que de femmes, répartis autour de la paillote carrée, les deux barmen au centre servent sur les quatre comptoirs. L’ambiance est festive, sereine, les gens sont beaux pour la plupart. Je te suis sur ce ponton, je regarde tour à tour tes fesses qui ondulent devant moi et le bar que nous approchons. Des légers balancements de hanche au gré des morceaux, des poitrines qui se soulèvent parfois en rythme, des regards qui épousent les formes généreusement présentées comme si la musique venait donner le tempo à nos cœurs et à nos souffles. Nous sommes au bon endroit, la vibration est parfaite. Tu fais ton petit effet en arrivant et on choisit d’aller s’accouder près d’un angle, deux tabourets n’attendent que nous.
Un temps d’hésitation avant de commander… le Mai Tai ne pourra jamais rivaliser avec celui du Speakeasy et sans le beau barman de l’autre fois hors de question de le tenter. Il nous faut du rhum pourtant, ou une cachaça… ce sera une Caïpirinha pour moi et un Daiquiri pour toi. Tu en prendras plusieurs ce soir, et chaque gorgée me fera admirer le liquide glacé qui rougit tes lèvres et les rend encore plus charnues, sensuelles… appétissantes. Ce soir tu es une invitation gustative et je ne suis clairement pas le seul à m’en délecter.
Ce soir je ne porte que du lin. Cliché aussi, mais j’assume. Ma peau dore vite au soleil, le monoï est un de mes péchés mignons, et je sais qu’un costume de lin un peu rêche vient rehausser ma peau… après tout je veux te séduire à chaque instant et la concurrence est rude. De toute façon les regards sont davantage portés sur tes seins offerts à la vue dans ce décolleté bien assumé. Et quand tu t’installes sur le tabouret ta petite robe remonte et laisse tes cuisses offertes. J’ai un doute sur là où s’arrêtera le tissu qui semble vouloir tout nous montrer, et tu commences déjà à te recoiffer en te cambrant histoire de l’aider un peu.
Divine. Charnue. Chauffée à blanc. Ce bijou que tu portes se voit dans tes yeux ma Chérie… ton regard est torride. Tu ne perds pas de temps, tu souris déjà au premier mec qui s’est approché de nous… il commande un verre juste à ta droite et tu lui offres à la fois un sourire invitant et une vue plongeante sur tes seins que tu tends comme une proposition. Il est grand, fin, élégant. Musclé mais racé, tout en finesse. Des gestes précis, un pantalon beige clair, une chemise légère. Tatoué. Cheveux poivre et sel, rasé de près, typé légèrement latin. Il repart avec son verre et un dernier sourire, tu le mates sans vergogne. Je te caresse pour attirer ton attention : « ton admirateur de la piscine est là. » Juste en face de nous, transcendé par toi. Autant jouer, je n’hésite pas et je lui fais signe de nous rejoindre. Il contourne le bar, la démarche féline, moulé de près dans son pantalon qui ne cache pas grand chose, et vient directement te taper la bise et me serrer la main. Amis amis.
Tu poses ta main sur son avant-bras et plante ton regard dans ses yeux : « tu aimes? » Il n’a pas le temps de répondre que tu descends de ton tabouret et commence à bouger lentement sur la musique. Tu viens onduler légerement contre lui et tu te tournes vers moi. Tu te fais plaisir : « je peux Chéri? » Je te souris, c’est suffisant. Tu danses lentement, tu t’abandonnes, tes mains qui viennent prendre les miennes et tes fesses collées à lui. Si ton but était de nous réveiller c’est déjà atteint : tu danses entre deux hommes qui bandent en t’admirant. Tu viens délibérément t’appuyer à lui et tes fesses s’écartent contre son sexe… il appuie directement sur le bijou, je vois son expression surprise et ravie, il a compris. Il s’enhardit et vient te caresser d’une main, je la vois glisser sous ta robe, la tienne me laisse pour aller saisir son sexe tendu sous le tissu de son pantalon. Tu ne le caresses pas discrètement, toi lui attrapes carrément la queue. Je vois ta poigne, ton air sauvage et les mouvements du bassin que tu contrôles de moins en moins, je sais que tu vas finir ce que tu as commencé dans la piscine.
Nous ne sommes pas les seuls à s’acoquiner au bar, la lumière se tamise et les corps qui dansent ont tendance à se frotter. Tu me fixes, tu lui tiens la queue, tu ondules et il te caresse… je pense qu’il joue avec ton bijou, je sens ta respiration qui se raccourcit et qui attend chaque mouvement. Tes petits pauses, ton regard qui s’affirme et se perd à la fois, il est clairement focalisé sur tes fesses. Joue. Profite. Je te regarde et c’est bon. Je te fais passer tous ces messages en te regardant, je finis deux verres coup sur coup pour me donner du courage et je finis par me pencher à ton oreille : « vas-y. » Ton sourire, ton regard. Tu m’embrasses, tu me caresses, tu vérifies autour… nous sommes à l’angle, juste derrière un poteau, le seul qui puisse nous voir est le beau mec qui t’a approchée en premier et qui te regarde jouer avec un air d’approbation. Alors tu te retournes vers ton sex toy et tu lui descend la braguette. J’ai juste le temps de voir sa queue splendide se relever fièrement avant que tu ne t’accroupisses devant lui pour l’embrasser.
Ce sera rapide. Tu en as trop envie pour jouer, tu lui gobes la queue. C’est un mouvement souple, presque une danse, et tu le suces là, au bar, à peu près cachée des regards. Je te regarde le pomper rapidement, fortement, et il s’appuie au tabouret pour trouver son équilibre pendant que tu le bouffes. Ta robe est remontée, tes fesses à l’air, ton tout petit string entièrement sur le côté : ce coquin l’avait mis à l’écart pour mieux te caresser. Je vois le rouge du bijou, ta cambrure parfaite, ton dos nu, tes cheveux en cascade et ta sensualité pure dans cette fellation presque brutale. Il ne lui faudra que quelques minutes pour se mettre à trembler et te faire signe qu’il va jouir : tu le gardes, tu le suces encore plus fort et tu n’arrêtes pas pendant qu’il jouit dans ta bouche. On dirait qu’il va s’évanouir, tu n’as aucune pitié. Un dernier regard à cet engin magnifique puis tu te redresses et avec un très beau sourire tu prends une gorgée de ton cocktail. Le temps qu’il reprenne ses esprits, tu l’as oublié. Tu remets à peine ta robe en place, tu t’en fous. Tu es à moi et tu veux juste savoir si j’ai aimé te regarder… nous reprenons un verre presque normalement, ta bouche un peu plus charnue qu’avant, tu as pris ton petit moment coquin.
Tu danses franchement maintenant, accrochée au bar, et je te rejoints. La musique est vraiment bonne, et tu m’enchantes. Tes petits coups de fesses te laissent quasi nue, dévoilent ton string et révèlent ton envie de te faire baiser. Ton regard m’allume, tu te caresses les cheveux, les seins parfois, tu viens coller ton dos et tes fesses au bar pour me faire face. Je n’hésite pas, je viens coller mes doigts à ton minou et tu glisses sur ma main au gré de tes mouvements.
Le grand tatoué est là, il s’est rapproché et s’appuie au poteau pendant qu’il te mate sans retenue. Tu te montres autant à lui qu’à moi, mais ce sont mes doigts qui te possèdent. J’écarte ton string et viens glisser en toi…. Tu es toute ouverte, toute offerte. Tu gémis et tu danses pendant que je remonte chercher ton point G du bout des doigts. Je le trouve, je m’y installe, je te branle franchement. Tu fais de plus en plus de bruit, tu n’as pas arrêté de danser et l’autre se délecte du spectacle. Un barman, tout sourire, vient nous déposer de nouveaux verres : « on the house. » Tu fais sensation ma Chérie, mais tu t’en fous : tu jouis contre le bar, sur mes doigts, les yeux perdus et je viens t’embrasser pour goûter à ton moment encore davantage. Tu jouis comme un soulagement, tu laisses s’exprimer des heures de désir et tu restes pantelante appuyée au bar après ça… « pffffiou. C’était bon. »
Je ne sais pas si tu avais prévu de profiter ensuite sereinement de ton cocktail mais je n’en peux plus. Je t’ai désirée toute la journée, on a joué pendant que tu essayais tes tenues, je t’ai admirée toute la soirée, plus désirable que jamais, et là, public ou pas, je veux te reprendre.
Je te colle au bar, dos à moi, je sors ma queue et je la glisse contre toi. Tu enlèves ton string et le pose négligemment sur le bar à côté de ton verre. Je pose à peine mon gland entre tes cuisses qu’il trouve déjà ta chatte trempée et y entre jusqu’à la garde. Pas de pause, pas d’hésitation, je te possède immédiatement… je sens que tu t’ouvres encore plus pour me laisser prendre ma place, tes mains agrippent ton verre et le bar, tu penches la tête en avant et tu expires… « oouuuiiii »
Nous sommes encore presque discrets pendant que je te soulève avec mes coups de rein, mais il se fait tard, je vois au moins deux couples qui sont certainement en train de baiser et je veux admirer ce petit bijou que tu as gardé bien au chaud depuis la chambre. Alors j’attrape tes hanches, je te tire vers moi et te fais te cambrer, penchée en avant sur le bar. Ta robe remontée, ton cul parfait et ce petit cœur rouge vif, ma queue qui entre et sort puissamment comme pour rappeler à ceux qui regardent que tu m’appartiens. Je te prends sans retenue, je m’abandonne au plaisir intense de sentir mon sexe qui t’écarte et te possède, mes mains agrippées à tes hanches et mon regard qui se promène de tes cheveux défaits sur ta nuque à tes fesses écartées et claquées à chaque mouvement. Je viens appuyer sur le bijou qui pousse encore davantage en toi et t’arrache un petit cri. Tu as le temps de me dire « j’aime ça, prends moi fort, n’arrête pas » en haletant entre deux gémissements et je me sens exploser au plus profond de toi, me décharger et te remplir pendant que tu jouis sur ma queue et gémis si fort que les derniers clients qui n’avaient pas encore remarqué notre jeu se retournent et admirent ton visage en extase, la bouche ouverte, le souffle court, ta cambrure parfaite plantée sur ma queue et mes mains qui ne lâchent pas leur prise.
Je jouis en toi et ralentis jusqu’à me tenir immobile, la queue prise entre tes jambes qui finissent en tremblant, un soupir long et heureux, la sensation d’avoir atteint un des plus beaux orgasmes de mon existence. Mes mains te caressent presque involontairement pendant que tu te redresses et remets tes seins dans ta robe. Ils en étaient sortis sans qu’on s’en rende compte, écrasés sur le bar pendant cette levrette magnifique, offerts à la vue. « Enlève le moi… » tu parles de ce petit coeur rouge qui palpite encore au creux de tes fesses. Je le tiens, le tire délicatement et t’arrache un long soupir de surprise et de plaisir quand il t’écarte pour ressortir. « La prochaine fois, tu me prendras par là. » Ce n’est pas une question, et j’avoue que la perspective de venir appuyer mon sexe contre ton anus légèrement ouvert m’effleure… mais tu lis dans mes pensées : « la prochaine fois j’ai dit! » avec tes yeux qui pétillent et ce sourire ravissant. Comment te résister? La prochaine fois… je te préparerai pour accueillir mon sexe entier entre tes fesses, je veux te voir jouir par derrière. La seule question c’est de savoir si nous serons seuls ou non… on va naviguer à vue et profiter de ce qui se présentera. Là, tu finis ton verre en étant totalement indifférente aux hommes qui te regardent et te désirent, tu n’as d’yeux que pour moi, j’ai une chance extraordinaire, ma Chérie…
Le bar est sur la plage, on y accède par une petite allée de planches, presque un ponton sur le sable. La lumière fait un halo tout autour et la plage retombe dans l’ombre un peu plus loin, contre les premiers bungalows. La musique est latine, afro caribéenne, une belle playlist qui mêle zouks, afro beats et cumbia, un peu de salsa/bachata, le DJ guide discrètement son public vers des déhanchements souples, naturels. A notre arrivée il y a une trentaine de clients, un peu plus d’hommes que de femmes, répartis autour de la paillote carrée, les deux barmen au centre servent sur les quatre comptoirs. L’ambiance est festive, sereine, les gens sont beaux pour la plupart. Je te suis sur ce ponton, je regarde tour à tour tes fesses qui ondulent devant moi et le bar que nous approchons. Des légers balancements de hanche au gré des morceaux, des poitrines qui se soulèvent parfois en rythme, des regards qui épousent les formes généreusement présentées comme si la musique venait donner le tempo à nos cœurs et à nos souffles. Nous sommes au bon endroit, la vibration est parfaite. Tu fais ton petit effet en arrivant et on choisit d’aller s’accouder près d’un angle, deux tabourets n’attendent que nous.
Un temps d’hésitation avant de commander… le Mai Tai ne pourra jamais rivaliser avec celui du Speakeasy et sans le beau barman de l’autre fois hors de question de le tenter. Il nous faut du rhum pourtant, ou une cachaça… ce sera une Caïpirinha pour moi et un Daiquiri pour toi. Tu en prendras plusieurs ce soir, et chaque gorgée me fera admirer le liquide glacé qui rougit tes lèvres et les rend encore plus charnues, sensuelles… appétissantes. Ce soir tu es une invitation gustative et je ne suis clairement pas le seul à m’en délecter.
Ce soir je ne porte que du lin. Cliché aussi, mais j’assume. Ma peau dore vite au soleil, le monoï est un de mes péchés mignons, et je sais qu’un costume de lin un peu rêche vient rehausser ma peau… après tout je veux te séduire à chaque instant et la concurrence est rude. De toute façon les regards sont davantage portés sur tes seins offerts à la vue dans ce décolleté bien assumé. Et quand tu t’installes sur le tabouret ta petite robe remonte et laisse tes cuisses offertes. J’ai un doute sur là où s’arrêtera le tissu qui semble vouloir tout nous montrer, et tu commences déjà à te recoiffer en te cambrant histoire de l’aider un peu.
Divine. Charnue. Chauffée à blanc. Ce bijou que tu portes se voit dans tes yeux ma Chérie… ton regard est torride. Tu ne perds pas de temps, tu souris déjà au premier mec qui s’est approché de nous… il commande un verre juste à ta droite et tu lui offres à la fois un sourire invitant et une vue plongeante sur tes seins que tu tends comme une proposition. Il est grand, fin, élégant. Musclé mais racé, tout en finesse. Des gestes précis, un pantalon beige clair, une chemise légère. Tatoué. Cheveux poivre et sel, rasé de près, typé légèrement latin. Il repart avec son verre et un dernier sourire, tu le mates sans vergogne. Je te caresse pour attirer ton attention : « ton admirateur de la piscine est là. » Juste en face de nous, transcendé par toi. Autant jouer, je n’hésite pas et je lui fais signe de nous rejoindre. Il contourne le bar, la démarche féline, moulé de près dans son pantalon qui ne cache pas grand chose, et vient directement te taper la bise et me serrer la main. Amis amis.
Tu poses ta main sur son avant-bras et plante ton regard dans ses yeux : « tu aimes? » Il n’a pas le temps de répondre que tu descends de ton tabouret et commence à bouger lentement sur la musique. Tu viens onduler légerement contre lui et tu te tournes vers moi. Tu te fais plaisir : « je peux Chéri? » Je te souris, c’est suffisant. Tu danses lentement, tu t’abandonnes, tes mains qui viennent prendre les miennes et tes fesses collées à lui. Si ton but était de nous réveiller c’est déjà atteint : tu danses entre deux hommes qui bandent en t’admirant. Tu viens délibérément t’appuyer à lui et tes fesses s’écartent contre son sexe… il appuie directement sur le bijou, je vois son expression surprise et ravie, il a compris. Il s’enhardit et vient te caresser d’une main, je la vois glisser sous ta robe, la tienne me laisse pour aller saisir son sexe tendu sous le tissu de son pantalon. Tu ne le caresses pas discrètement, toi lui attrapes carrément la queue. Je vois ta poigne, ton air sauvage et les mouvements du bassin que tu contrôles de moins en moins, je sais que tu vas finir ce que tu as commencé dans la piscine.
Nous ne sommes pas les seuls à s’acoquiner au bar, la lumière se tamise et les corps qui dansent ont tendance à se frotter. Tu me fixes, tu lui tiens la queue, tu ondules et il te caresse… je pense qu’il joue avec ton bijou, je sens ta respiration qui se raccourcit et qui attend chaque mouvement. Tes petits pauses, ton regard qui s’affirme et se perd à la fois, il est clairement focalisé sur tes fesses. Joue. Profite. Je te regarde et c’est bon. Je te fais passer tous ces messages en te regardant, je finis deux verres coup sur coup pour me donner du courage et je finis par me pencher à ton oreille : « vas-y. » Ton sourire, ton regard. Tu m’embrasses, tu me caresses, tu vérifies autour… nous sommes à l’angle, juste derrière un poteau, le seul qui puisse nous voir est le beau mec qui t’a approchée en premier et qui te regarde jouer avec un air d’approbation. Alors tu te retournes vers ton sex toy et tu lui descend la braguette. J’ai juste le temps de voir sa queue splendide se relever fièrement avant que tu ne t’accroupisses devant lui pour l’embrasser.
Ce sera rapide. Tu en as trop envie pour jouer, tu lui gobes la queue. C’est un mouvement souple, presque une danse, et tu le suces là, au bar, à peu près cachée des regards. Je te regarde le pomper rapidement, fortement, et il s’appuie au tabouret pour trouver son équilibre pendant que tu le bouffes. Ta robe est remontée, tes fesses à l’air, ton tout petit string entièrement sur le côté : ce coquin l’avait mis à l’écart pour mieux te caresser. Je vois le rouge du bijou, ta cambrure parfaite, ton dos nu, tes cheveux en cascade et ta sensualité pure dans cette fellation presque brutale. Il ne lui faudra que quelques minutes pour se mettre à trembler et te faire signe qu’il va jouir : tu le gardes, tu le suces encore plus fort et tu n’arrêtes pas pendant qu’il jouit dans ta bouche. On dirait qu’il va s’évanouir, tu n’as aucune pitié. Un dernier regard à cet engin magnifique puis tu te redresses et avec un très beau sourire tu prends une gorgée de ton cocktail. Le temps qu’il reprenne ses esprits, tu l’as oublié. Tu remets à peine ta robe en place, tu t’en fous. Tu es à moi et tu veux juste savoir si j’ai aimé te regarder… nous reprenons un verre presque normalement, ta bouche un peu plus charnue qu’avant, tu as pris ton petit moment coquin.
Tu danses franchement maintenant, accrochée au bar, et je te rejoints. La musique est vraiment bonne, et tu m’enchantes. Tes petits coups de fesses te laissent quasi nue, dévoilent ton string et révèlent ton envie de te faire baiser. Ton regard m’allume, tu te caresses les cheveux, les seins parfois, tu viens coller ton dos et tes fesses au bar pour me faire face. Je n’hésite pas, je viens coller mes doigts à ton minou et tu glisses sur ma main au gré de tes mouvements.
Le grand tatoué est là, il s’est rapproché et s’appuie au poteau pendant qu’il te mate sans retenue. Tu te montres autant à lui qu’à moi, mais ce sont mes doigts qui te possèdent. J’écarte ton string et viens glisser en toi…. Tu es toute ouverte, toute offerte. Tu gémis et tu danses pendant que je remonte chercher ton point G du bout des doigts. Je le trouve, je m’y installe, je te branle franchement. Tu fais de plus en plus de bruit, tu n’as pas arrêté de danser et l’autre se délecte du spectacle. Un barman, tout sourire, vient nous déposer de nouveaux verres : « on the house. » Tu fais sensation ma Chérie, mais tu t’en fous : tu jouis contre le bar, sur mes doigts, les yeux perdus et je viens t’embrasser pour goûter à ton moment encore davantage. Tu jouis comme un soulagement, tu laisses s’exprimer des heures de désir et tu restes pantelante appuyée au bar après ça… « pffffiou. C’était bon. »
Je ne sais pas si tu avais prévu de profiter ensuite sereinement de ton cocktail mais je n’en peux plus. Je t’ai désirée toute la journée, on a joué pendant que tu essayais tes tenues, je t’ai admirée toute la soirée, plus désirable que jamais, et là, public ou pas, je veux te reprendre.
Je te colle au bar, dos à moi, je sors ma queue et je la glisse contre toi. Tu enlèves ton string et le pose négligemment sur le bar à côté de ton verre. Je pose à peine mon gland entre tes cuisses qu’il trouve déjà ta chatte trempée et y entre jusqu’à la garde. Pas de pause, pas d’hésitation, je te possède immédiatement… je sens que tu t’ouvres encore plus pour me laisser prendre ma place, tes mains agrippent ton verre et le bar, tu penches la tête en avant et tu expires… « oouuuiiii »
Nous sommes encore presque discrets pendant que je te soulève avec mes coups de rein, mais il se fait tard, je vois au moins deux couples qui sont certainement en train de baiser et je veux admirer ce petit bijou que tu as gardé bien au chaud depuis la chambre. Alors j’attrape tes hanches, je te tire vers moi et te fais te cambrer, penchée en avant sur le bar. Ta robe remontée, ton cul parfait et ce petit cœur rouge vif, ma queue qui entre et sort puissamment comme pour rappeler à ceux qui regardent que tu m’appartiens. Je te prends sans retenue, je m’abandonne au plaisir intense de sentir mon sexe qui t’écarte et te possède, mes mains agrippées à tes hanches et mon regard qui se promène de tes cheveux défaits sur ta nuque à tes fesses écartées et claquées à chaque mouvement. Je viens appuyer sur le bijou qui pousse encore davantage en toi et t’arrache un petit cri. Tu as le temps de me dire « j’aime ça, prends moi fort, n’arrête pas » en haletant entre deux gémissements et je me sens exploser au plus profond de toi, me décharger et te remplir pendant que tu jouis sur ma queue et gémis si fort que les derniers clients qui n’avaient pas encore remarqué notre jeu se retournent et admirent ton visage en extase, la bouche ouverte, le souffle court, ta cambrure parfaite plantée sur ma queue et mes mains qui ne lâchent pas leur prise.
Je jouis en toi et ralentis jusqu’à me tenir immobile, la queue prise entre tes jambes qui finissent en tremblant, un soupir long et heureux, la sensation d’avoir atteint un des plus beaux orgasmes de mon existence. Mes mains te caressent presque involontairement pendant que tu te redresses et remets tes seins dans ta robe. Ils en étaient sortis sans qu’on s’en rende compte, écrasés sur le bar pendant cette levrette magnifique, offerts à la vue. « Enlève le moi… » tu parles de ce petit coeur rouge qui palpite encore au creux de tes fesses. Je le tiens, le tire délicatement et t’arrache un long soupir de surprise et de plaisir quand il t’écarte pour ressortir. « La prochaine fois, tu me prendras par là. » Ce n’est pas une question, et j’avoue que la perspective de venir appuyer mon sexe contre ton anus légèrement ouvert m’effleure… mais tu lis dans mes pensées : « la prochaine fois j’ai dit! » avec tes yeux qui pétillent et ce sourire ravissant. Comment te résister? La prochaine fois… je te préparerai pour accueillir mon sexe entier entre tes fesses, je veux te voir jouir par derrière. La seule question c’est de savoir si nous serons seuls ou non… on va naviguer à vue et profiter de ce qui se présentera. Là, tu finis ton verre en étant totalement indifférente aux hommes qui te regardent et te désirent, tu n’as d’yeux que pour moi, j’ai une chance extraordinaire, ma Chérie…
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