Lettre à mon amante EPISODE 5 (partie 1) : jeux de pouvoir

Récit érotique écrit par Mai_Tai_Roa_Ae [→ Accès à sa fiche auteur]
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Lettre à mon amante EPISODE 5 (partie 1) : jeux de pouvoir
On arrive en club, tu portes déjà ta robe rouge avec laquelle tu veux jouer. Des talons fins, rouge aussi, que tu as porté depuis le bar où nous avons pris un cocktail en amoureux avant de venir. Quand tu enlèves ton manteau la révélation est indéniable : tu seras admirée et prendras plaisir ce soir. Des boucles d’oreilles, une chainette qui vient descendre entre tes omoplates et un très joli bracelet de cheville qui annonce lui aussi tes intentions.
Je te vois te redresser, tes épaules s’assouplissent, le plaisir que tu as à revenir dans cette pièce est palpable, et communicatif. J’avoue être très excité à cette perspective, je me sens serein, curieux aussi. Nous sommes à l’aise et heureux.
L’envie de fumer est là, mais la curiosité prend le pas : nous descendons au bar pour étudier les clients, voir qui va nous entourer ce soir. Je te précède, je ne t’offrirai pas si facilement, ni aux regards ni à davantage. Je reste possessif au bar, ma main sur ta hanche et mes baisers sont très clairs. Tu étudies les regards et les corps, la présence… nous cherchons pour jouer quelqu’un qui sera à la hauteur. Il doit être beau, et doit dégager quelque chose de spécial.
C’est pendant qu’on boit un verre que tu repères celui qui t’intéresse. Enfin, je le suppose, tu ne m’as pas laissé le choix et je vois à ta posture qui change que tu prends une décision. Une respiration marquée, ton regard qui revient vers moi et tu m’embrasses à pleine bouche. C’est tendre, un baiser qui se prolonge, et je sens à ta façon de le terminer que tu vas te lever. « à tout à l’heure mon Chéri! » d’une voix qui chuchote presque, avec une pointe de défi dans le rythme. Tu souris, tu attrapes ton verre et tu me tournes le dos pour marcher d’un pas décidé vers un mec assis à l’autre bout du bar. Ça pique sur le moment, mais en deux respirations je m’apaise et je profite du spectacle. La certitude absolue du lien qui nous unit me libère, je suis heureux de te regarder jouer.
Tu as posé ton verre sur le bar, ta main reste dessus. Juste le bout de tes doigts, posés sur le verre, qui le caressent très lentement. Tu es debout, tu me tournes le dos, il est assis en face de toi, son bras gauche à coude au comptoir. Je le vois mal, je lui donne la quarantaine, la chemise est bien taillée et laisse deviner un corps sain. Pantalon bleu sombre, ceinture marron, un pied posé au sol tend sa jambe gauche et la droite est repliée, le talon appuyé au repose-pied du tabouret. Les cheveux assez courts, la peau claire, je devine des traits réguliers et un regard doux, curieux, heureux de cette belle surprise. Ton corps me dit des choses : tu n’es pas très à l’aise, tu as poussé tes limites en allant vers lui. Tu surmontes ce sentiment minute après minute, tu te détends, visiblement la conversation te conforte dans le choix que tu as fait de l’aborder.
Je commence à peine à m’habituer à la situation quand je vois ta main gauche qui vient se poser sur sa cuisse, un pas en avant qui te rapproche et tes fesses que tu appuies contre un tabouret. En un mouvement, tu as monté la sensualité de la scène d’un cran. Je t’entends rire et le petit mouvement que tu fais de la tête achève le tableau d’une femme à qui son interlocuteur plaît. Tu viens de lui signaler qu’il a ton attention. Vous semblez tous deux dans une bulle et il me faut faire appel à toute ma volonté pour garder en tête que ce n’est qu’un jeu. Je meurs d’envie de venir te reprendre. Je n’en fais rien, tu es à moi, je ne doute pas. Je prends le temps d’admirer tes fesses, négligemment appuyées contre le tabouret, dans cette petite robe rouge moulante à souhait. Je vois la marque de ton string qui ajoute une touche délicatement érotique.
Après quelques minutes de cette proximité intense, je vois ta main qui remonte sur sa cuisse et tes doigts qui le serrent quand tu lui parles à l’oreille. Je comprends que tu as choisi le moment, tu maîtrises la scène en décidant de chaque étape. Il acquiesce, tu te redresses et tu lâches ton verre pour lui attraper la main en pivotant vers l’escalier. Le mouvement est lent mais décidé, souple, sensuel. Tu balayes la pièce du regard et même si tu ne t’attardes pas sur moi, je sens ton attention qui m’attrape et me rassure. Lui me regarde très brièvement, juste le temps que je lui fasse un imperceptible signe de la tête pour le rassurer. En quelques pas tu atteins la première marche et tu l’entraînes vers les étages inférieurs.
La suite, tu me la raconteras. Je reste seul au bar, inquiet et excité, conquis une fois de plus par la femme que j’aime, et décidé à te laisser les quelques minutes dont tu as envie avant de te rejoindre. Je me commande un whisky pour meubler cette attente.
Tu descends, chaque pas posé avec précaution légèrement en biais pour trouver ton équilibre sur ces marches étroites, la rambarde dans la main gauche et ta main droite qui n’a pas lâché ta proie. Lui te suit, tu sens son regard sur ton dos nu, le long de tes fesses, il apprécie tes formes et les désire. Tu es en contrôle de la situation, tu dictes le rythme de ses pas et de ses intentions. La descente est longue, tu prends le temps de ressentir chaque pas. Le premier escalier est en deux parties et tu ne t’arrêtes pas, même arrivée tout en bas. Tu gardes sa main, tu continue d’avancer et vous arrivez en haut du dernier escalier, celui qui descend au niveau le plus sombre. Tu fais une pause juste pour sentir qu’il se rapproche de toi et tu sens son érection qui s’appuie contre tes fesses… tu le laisses respirer ton parfum, tu sens qu’il s’est approché de tes cheveux, tu le laisses s’imprégner de toi avant d’entamer la descente. Tu as chaud, ça t’excite.
Arrivée en bas, tu fais quelques pas plus lents et tu le laisses se coller à toi. Il s’enhardit, ses mains saisissent tes hanches, il appuie plus fermement son bassin contre tes fesses et tu apprécies la force qu’il y met. C’est quasiment animal de proposer autant de sensualité à un inconnu. Tu l’emmènes au rideau qui vous sépare d’un lit et tu l’écartes pour regarder un couple nu, elle sur le dos, lui allongé en train de la lécher. Ses gémissements à elle emplissent tout l’étage et ça te chauffe. Ton accessoire s’est résolument appuyé à toi, tu glisses ta main entre vous et, sans te retourner vers lui, tu caresses son membre. Il est gros, il tend son pantalon, tu sens les mouvements de son bassin qui tentent de suivre tes caresses. Sa main gauche sur ta hanche glisse vers ton ventre, remonte sur tes seins, glisse sous le tissu de la robe et les attrape, caresse tes tétons, les fait rouler entre ses doigts. Tu t’excites, tu sens que tu mouilles lentement ton string, ce sexe tendu contre ta main, ces doigts qui te massent et ce couple que vous regardez se caresser te font monter d’un cran.
Tu lâches le rideau et te retournes, il est contre toi. Tu laisses la tension circuler entre vous, tu le regardes dans les yeux pour la première fois depuis qu’il a commencé à te toucher. Tu vois son désir, tu sens son souffle. Tu le repousses gentiment, les mains sur sa poitrine… « viens. » Et tu te diriges vers le fond du couloir, tu veux voir cette croix sur laquelle je t’ai attachée la dernière fois au-dessus de toi pour la prochaine étape.
Pour l’instant il t’appartient entièrement. Je ne suis pas encore là, tu sais que tu as encore un peu de temps, tu veux en profiter pour l’amener au point culminant quand je te découvrirai. Tu vas le faire s’asseoir sous l’escalier, sur le banc que tu connais si bien, sur lequel tu m’as sucé à genoux, découverte, offerte. Aujourd’hui tu n’en es pas là, tu veux juste jouer avec lui et le rendre fou de désir. Il te suit dans ce recoin et tu lui dis « ne bouge pas, si tu m’obéis tu vas aimer. » Il est transi, immobile, seule sa respiration fait bouger son corps. Tu te mords la lèvre, tu souris d’anticipation et tu déboutonnes très lentement son pantalon pendant qu’il attend. Tu commences à faire glisser la fermeture éclair et tu sens son sexe qui pousse contre le tissu, cette bosse dans son caleçon qui vient s’imposer à tes mains qui continuent de descendre lentement. Le pantalon commence à glisser sur ses cuisses mais tes mains s’attardent, tu le caresses lentement pour le rendre encore plus obéissant. Tu t’accroupis très lentement pour aller libérer ses chevilles et écarter son pantalon qui reste au sol. Accroupie, tu remontes en glissant ta main de sa cheville jusqu’à la bosse et tu serres… tu le tiens fermement pour lui donner tes ordres. Son érection est pleine, tu lui dis « assieds toi. » et il se laisse faire, docile, haletant.
Tu restes devant lui, le banc est bas et ses jambes étendues de chaque côté des tiennes. Tu remontes lentement ta robe sur tes cuisses, tu l’attrapes par la nuque et tu viens t’agenouiller sur lui, tes jambes très écartées pour venir te coller à lui. Tu tiens sa nuque, tu sens que ton sexe excité, humide, n’est plus vraiment couvert par ton string. Et tu viens te poser sur son sexe qui appuie contre tes lèvres. Tu commences un mouvement lent le long de sa queue, tu te caresses avec son érection comme si c’était un sextoy que tu voulais mouiller avant de t’empaler dessus. Tu sens que tu mouilles son caleçon, sa respiration est courte, retenue, il n’ose pas faire un geste, il ne veut pas que ça s’arrête. Tu le chevauches et tu caresses ton clitoris contre le tissu tendu par son sexe, tu lui souris : « tu peux me caresser les fesses si ça te tente… » et ça le tente, il saisit tes fesses à pleines mains et s’en sert pour pousser son sexe contre le tien. Il bouge, s’excite, tu te mords les lèvres, tu le chevauches plus fortement encore, tu te fais plaisir. Tu n’as pas envie de retenir tes gestes, il t’appartient et tu en profites.
C’est dans cette position que je te trouve… mon coeur manque un battement quand je te vois sur lui, j’ai presque l’impression que vous baisez. Mais je vois ton sourire quand tu m’aperçois, son envie aussi, je comprends que tu joues avec lui et qu’il n’a rien vu de tes talents. Je viens te caresser les cheveux, je les tiens fermement et je renverse ta tête en arrière pour t’embrasser à pleine bouche. « Tu te fais plaisir ma Chérie? » « oh oui… il est très obéissant... » et tu n’arrêtes pas ce mouvement, tu te caresses sur sa queue pendant qu’on s’embrasse. Visiblement ça l’excite aussi.
Je veux te reprendre. Je veux te sentir entièrement à moi avant la suite. Je t’enlève à lui et je te prends dans mes bras, et on s’embrasse en progressant à pas hésitants vers le lit le plus proche. Nous sommes toujours juste à côté de la croix, mais pour l’instant je veux ton goût. Je te porte et te pose sur le lit, t’embrasse, t’écarte les jambes et viens plonger entre elles pour coller ma bouche à ton sexe ouvert, trempé, excité. Je l’embrasse comme je t’embrasse, je prends autant que je donne, et je me délecte de tes gémissements qui enflent pendant que je te lèche. Ton jouet s’est relevé, rapproché, et n’a toujours pas sorti sa queue mais se caresse à travers le tissu pendant qu’il te regarde. Il a l’air un peu désemparé, il ne s’attendait pas à ce que tu changes de mains si rapidement. Je te lèche et te suce jusqu’à sentir que tu focalises sur ton plaisir et que tu oublies le reste du monde. Tu te perds dans la sensation, c’est le moment que je choisis pour remonter en te léchant du clitoris à la bouche et revenir t’embrasser, respirer contre toi, pendant que nos coeurs s’accordent. « prête pour la suite ma Chérie? » « oui. » Tu n’as pas idée de ce que je vais te faire mais tu l’as pleinement accepté. C’est exactement ce que je voulais ressentir.
Je te vois te redresser, tes épaules s’assouplissent, le plaisir que tu as à revenir dans cette pièce est palpable, et communicatif. J’avoue être très excité à cette perspective, je me sens serein, curieux aussi. Nous sommes à l’aise et heureux.
L’envie de fumer est là, mais la curiosité prend le pas : nous descendons au bar pour étudier les clients, voir qui va nous entourer ce soir. Je te précède, je ne t’offrirai pas si facilement, ni aux regards ni à davantage. Je reste possessif au bar, ma main sur ta hanche et mes baisers sont très clairs. Tu étudies les regards et les corps, la présence… nous cherchons pour jouer quelqu’un qui sera à la hauteur. Il doit être beau, et doit dégager quelque chose de spécial.
C’est pendant qu’on boit un verre que tu repères celui qui t’intéresse. Enfin, je le suppose, tu ne m’as pas laissé le choix et je vois à ta posture qui change que tu prends une décision. Une respiration marquée, ton regard qui revient vers moi et tu m’embrasses à pleine bouche. C’est tendre, un baiser qui se prolonge, et je sens à ta façon de le terminer que tu vas te lever. « à tout à l’heure mon Chéri! » d’une voix qui chuchote presque, avec une pointe de défi dans le rythme. Tu souris, tu attrapes ton verre et tu me tournes le dos pour marcher d’un pas décidé vers un mec assis à l’autre bout du bar. Ça pique sur le moment, mais en deux respirations je m’apaise et je profite du spectacle. La certitude absolue du lien qui nous unit me libère, je suis heureux de te regarder jouer.
Tu as posé ton verre sur le bar, ta main reste dessus. Juste le bout de tes doigts, posés sur le verre, qui le caressent très lentement. Tu es debout, tu me tournes le dos, il est assis en face de toi, son bras gauche à coude au comptoir. Je le vois mal, je lui donne la quarantaine, la chemise est bien taillée et laisse deviner un corps sain. Pantalon bleu sombre, ceinture marron, un pied posé au sol tend sa jambe gauche et la droite est repliée, le talon appuyé au repose-pied du tabouret. Les cheveux assez courts, la peau claire, je devine des traits réguliers et un regard doux, curieux, heureux de cette belle surprise. Ton corps me dit des choses : tu n’es pas très à l’aise, tu as poussé tes limites en allant vers lui. Tu surmontes ce sentiment minute après minute, tu te détends, visiblement la conversation te conforte dans le choix que tu as fait de l’aborder.
Je commence à peine à m’habituer à la situation quand je vois ta main gauche qui vient se poser sur sa cuisse, un pas en avant qui te rapproche et tes fesses que tu appuies contre un tabouret. En un mouvement, tu as monté la sensualité de la scène d’un cran. Je t’entends rire et le petit mouvement que tu fais de la tête achève le tableau d’une femme à qui son interlocuteur plaît. Tu viens de lui signaler qu’il a ton attention. Vous semblez tous deux dans une bulle et il me faut faire appel à toute ma volonté pour garder en tête que ce n’est qu’un jeu. Je meurs d’envie de venir te reprendre. Je n’en fais rien, tu es à moi, je ne doute pas. Je prends le temps d’admirer tes fesses, négligemment appuyées contre le tabouret, dans cette petite robe rouge moulante à souhait. Je vois la marque de ton string qui ajoute une touche délicatement érotique.
Après quelques minutes de cette proximité intense, je vois ta main qui remonte sur sa cuisse et tes doigts qui le serrent quand tu lui parles à l’oreille. Je comprends que tu as choisi le moment, tu maîtrises la scène en décidant de chaque étape. Il acquiesce, tu te redresses et tu lâches ton verre pour lui attraper la main en pivotant vers l’escalier. Le mouvement est lent mais décidé, souple, sensuel. Tu balayes la pièce du regard et même si tu ne t’attardes pas sur moi, je sens ton attention qui m’attrape et me rassure. Lui me regarde très brièvement, juste le temps que je lui fasse un imperceptible signe de la tête pour le rassurer. En quelques pas tu atteins la première marche et tu l’entraînes vers les étages inférieurs.
La suite, tu me la raconteras. Je reste seul au bar, inquiet et excité, conquis une fois de plus par la femme que j’aime, et décidé à te laisser les quelques minutes dont tu as envie avant de te rejoindre. Je me commande un whisky pour meubler cette attente.
Tu descends, chaque pas posé avec précaution légèrement en biais pour trouver ton équilibre sur ces marches étroites, la rambarde dans la main gauche et ta main droite qui n’a pas lâché ta proie. Lui te suit, tu sens son regard sur ton dos nu, le long de tes fesses, il apprécie tes formes et les désire. Tu es en contrôle de la situation, tu dictes le rythme de ses pas et de ses intentions. La descente est longue, tu prends le temps de ressentir chaque pas. Le premier escalier est en deux parties et tu ne t’arrêtes pas, même arrivée tout en bas. Tu gardes sa main, tu continue d’avancer et vous arrivez en haut du dernier escalier, celui qui descend au niveau le plus sombre. Tu fais une pause juste pour sentir qu’il se rapproche de toi et tu sens son érection qui s’appuie contre tes fesses… tu le laisses respirer ton parfum, tu sens qu’il s’est approché de tes cheveux, tu le laisses s’imprégner de toi avant d’entamer la descente. Tu as chaud, ça t’excite.
Arrivée en bas, tu fais quelques pas plus lents et tu le laisses se coller à toi. Il s’enhardit, ses mains saisissent tes hanches, il appuie plus fermement son bassin contre tes fesses et tu apprécies la force qu’il y met. C’est quasiment animal de proposer autant de sensualité à un inconnu. Tu l’emmènes au rideau qui vous sépare d’un lit et tu l’écartes pour regarder un couple nu, elle sur le dos, lui allongé en train de la lécher. Ses gémissements à elle emplissent tout l’étage et ça te chauffe. Ton accessoire s’est résolument appuyé à toi, tu glisses ta main entre vous et, sans te retourner vers lui, tu caresses son membre. Il est gros, il tend son pantalon, tu sens les mouvements de son bassin qui tentent de suivre tes caresses. Sa main gauche sur ta hanche glisse vers ton ventre, remonte sur tes seins, glisse sous le tissu de la robe et les attrape, caresse tes tétons, les fait rouler entre ses doigts. Tu t’excites, tu sens que tu mouilles lentement ton string, ce sexe tendu contre ta main, ces doigts qui te massent et ce couple que vous regardez se caresser te font monter d’un cran.
Tu lâches le rideau et te retournes, il est contre toi. Tu laisses la tension circuler entre vous, tu le regardes dans les yeux pour la première fois depuis qu’il a commencé à te toucher. Tu vois son désir, tu sens son souffle. Tu le repousses gentiment, les mains sur sa poitrine… « viens. » Et tu te diriges vers le fond du couloir, tu veux voir cette croix sur laquelle je t’ai attachée la dernière fois au-dessus de toi pour la prochaine étape.
Pour l’instant il t’appartient entièrement. Je ne suis pas encore là, tu sais que tu as encore un peu de temps, tu veux en profiter pour l’amener au point culminant quand je te découvrirai. Tu vas le faire s’asseoir sous l’escalier, sur le banc que tu connais si bien, sur lequel tu m’as sucé à genoux, découverte, offerte. Aujourd’hui tu n’en es pas là, tu veux juste jouer avec lui et le rendre fou de désir. Il te suit dans ce recoin et tu lui dis « ne bouge pas, si tu m’obéis tu vas aimer. » Il est transi, immobile, seule sa respiration fait bouger son corps. Tu te mords la lèvre, tu souris d’anticipation et tu déboutonnes très lentement son pantalon pendant qu’il attend. Tu commences à faire glisser la fermeture éclair et tu sens son sexe qui pousse contre le tissu, cette bosse dans son caleçon qui vient s’imposer à tes mains qui continuent de descendre lentement. Le pantalon commence à glisser sur ses cuisses mais tes mains s’attardent, tu le caresses lentement pour le rendre encore plus obéissant. Tu t’accroupis très lentement pour aller libérer ses chevilles et écarter son pantalon qui reste au sol. Accroupie, tu remontes en glissant ta main de sa cheville jusqu’à la bosse et tu serres… tu le tiens fermement pour lui donner tes ordres. Son érection est pleine, tu lui dis « assieds toi. » et il se laisse faire, docile, haletant.
Tu restes devant lui, le banc est bas et ses jambes étendues de chaque côté des tiennes. Tu remontes lentement ta robe sur tes cuisses, tu l’attrapes par la nuque et tu viens t’agenouiller sur lui, tes jambes très écartées pour venir te coller à lui. Tu tiens sa nuque, tu sens que ton sexe excité, humide, n’est plus vraiment couvert par ton string. Et tu viens te poser sur son sexe qui appuie contre tes lèvres. Tu commences un mouvement lent le long de sa queue, tu te caresses avec son érection comme si c’était un sextoy que tu voulais mouiller avant de t’empaler dessus. Tu sens que tu mouilles son caleçon, sa respiration est courte, retenue, il n’ose pas faire un geste, il ne veut pas que ça s’arrête. Tu le chevauches et tu caresses ton clitoris contre le tissu tendu par son sexe, tu lui souris : « tu peux me caresser les fesses si ça te tente… » et ça le tente, il saisit tes fesses à pleines mains et s’en sert pour pousser son sexe contre le tien. Il bouge, s’excite, tu te mords les lèvres, tu le chevauches plus fortement encore, tu te fais plaisir. Tu n’as pas envie de retenir tes gestes, il t’appartient et tu en profites.
C’est dans cette position que je te trouve… mon coeur manque un battement quand je te vois sur lui, j’ai presque l’impression que vous baisez. Mais je vois ton sourire quand tu m’aperçois, son envie aussi, je comprends que tu joues avec lui et qu’il n’a rien vu de tes talents. Je viens te caresser les cheveux, je les tiens fermement et je renverse ta tête en arrière pour t’embrasser à pleine bouche. « Tu te fais plaisir ma Chérie? » « oh oui… il est très obéissant... » et tu n’arrêtes pas ce mouvement, tu te caresses sur sa queue pendant qu’on s’embrasse. Visiblement ça l’excite aussi.
Je veux te reprendre. Je veux te sentir entièrement à moi avant la suite. Je t’enlève à lui et je te prends dans mes bras, et on s’embrasse en progressant à pas hésitants vers le lit le plus proche. Nous sommes toujours juste à côté de la croix, mais pour l’instant je veux ton goût. Je te porte et te pose sur le lit, t’embrasse, t’écarte les jambes et viens plonger entre elles pour coller ma bouche à ton sexe ouvert, trempé, excité. Je l’embrasse comme je t’embrasse, je prends autant que je donne, et je me délecte de tes gémissements qui enflent pendant que je te lèche. Ton jouet s’est relevé, rapproché, et n’a toujours pas sorti sa queue mais se caresse à travers le tissu pendant qu’il te regarde. Il a l’air un peu désemparé, il ne s’attendait pas à ce que tu changes de mains si rapidement. Je te lèche et te suce jusqu’à sentir que tu focalises sur ton plaisir et que tu oublies le reste du monde. Tu te perds dans la sensation, c’est le moment que je choisis pour remonter en te léchant du clitoris à la bouche et revenir t’embrasser, respirer contre toi, pendant que nos coeurs s’accordent. « prête pour la suite ma Chérie? » « oui. » Tu n’as pas idée de ce que je vais te faire mais tu l’as pleinement accepté. C’est exactement ce que je voulais ressentir.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau récit, parfaitement décrit, j’arrive à imaginer la scène.. j’attends avec impatience la suite pour voir ce que tu as prévu à ta petite chérie ❤️

