Lettre à mon amante EPISODE 5 (partie 2) : domination et récompenses - histoire érotique

Je t’aide à te relever, je t’amène à la croix et ton sourire est éclatant quand je te colle contre elle et que je viens rapidement attacher tes poignets et chevilles. Ta robe est à moitié relevée, elle pose sur tes cuisses, et je commence par la remonter fermement, d’un coup. Elle frotte contre tes cuisses et te libère. Je détache le haut de ta robe et laisse retomber les pans pour dévoiler tes seins. Je laisse ton string en place, il ne cache pas grand-chose. Je fais un pas en arrière, je t’admire… tu as retrouvé ta position immédiatement, la tête légèrement en arrière, les narines frémissantes, je vois le plaisir qui irradie dans ton corps offert à la vue. Ton admirateur est resté debout à côté du lit, il est tourné vers toi, toujours en érection, visiblement fasciné par le spectacle… il te mate des pieds à la tête en se caressant. Il sort enfin sa queue, elle est épaisse, assez grande, elle est belle. Il a un énorme gland, il est entièrement rasé, et il la porte dans sa main en la caressant par en dessous, lentement. Tu le regardes puis te reviens à moi, tu attends la suite.

La suite? Je veux te surprendre… je viens à ton oreille et, deux doigts glissés dans ton string pour te caresser en appuyant mes mots, je te susurre « montre-moi à quel point il t’obéit. Je veux le voir te lécher… sans te toucher et à genoux. ». Je t’embrasse en continuant à te caresser et je me détache lentement de toi. Je m’éloigne en te regardant, mes yeux sont fixés dans les tiens, je lis ton excitation dans ton regard, j’attends de voir si tu vas réussir.

Tu hésites, tu respires, tes seins suivent ta respiration en se soulevant et ils sont magnifiques. Je vois le défi dans ton regard quand tu te tournes vers lui. Je suis suffisamment proche pour intervenir mais suffisamment loin pour te laisser le champ libre. Quelques mètres nous séparent, il se caresse lentement en te regardant, lui est très proche. Tu lui dis de venir, il approche lentement, tu viens coller ta bouche à son oreille. Plus tard tu me diras ce que tu lui as dit… il n’hésite pas longtemps, pose un genou à terre, le deuxième, et approche sa bouche de ton sexe sans lâcher sa queue. Je vois l’arrière de sa tête et je devine par la tension de son cou qu’il avance sa langue contre toi, mais mon regard est pris dans le tien. Tu me fixes avec un sourire vainqueur et je vois l’inspiration brusque que tu prends en souriant quand sa langue glisse entre tes lèvres. Tu te mords les lèvres, tu souris encore, tu laisses ta tête retomber en avant, se redresser, tes cheveux dansent au gré de tes mouvements. Ton regard revient sur le mien mais se trouble. Tes bras se tendent, tes cuisses aussi et je vois l’entrain qu’il met à te lécher et ton bassin tendu vers la caresse. Il se masturbe furieusement, il te lappe, le spectacle est extraordinaire.

Je reviens plus rapidement, je ne veux pas rater l’occasion… je viens t’embrasser longuement et j’écoute tes gémissements, tes petits cris, que tu fais dans ma bouche, contre mon visage. Je décroche la cravache, je viens la poser sur ton sein gauche et je te parle. « mais tu aimes ça… ? » shlaak. Le cuir du passant frappe d’un coup sec ton téton et t’arrache un cri. « Oui. » « plus fort… tu aimes ça? » et je viens claquer le même téton un peu plus sèchement. Ton cri est un mélange de surprise, de douleur et de plaisir… « Oui!! » « plus fort ma Chérie, ma petite salope, je veux que tout le monde t’entende. » Et je viens promener le cuir de la cravache sur ta hanche, sur tes fesses… je ne retiens pas le coup. Shlaaak. Ça claque à tout l’étage, tu gémis, il ne te lâche pas et te suce pendant que je viens te claquer plusieurs fois les fesses et les seins. Tu cries « oui! oui! oui! », la bouche ouverte, la respiration saccadée, la tête en arrière… « encore, encore! » Il te suce comme un affamé, tu tires sur tes poignets et je viens te libérer la main droite pour que tu lui attrapes la tête et la plaques contre ta chatte. Tu enfonces tes doigts dans ses cheveux et tu le forces à te sucer encore plus fort. Il n’a pas lâché sa queue et vu ses mouvements saccadés il n’est pas loin de jouir. Mais c’est toi qui vas gagner la course… je te tiens le visage, je t’embrasse, je te parle et je te demande de jouir pour moi, de jouir dans sa bouche, qu’il te boive… et je te tiens fermement en sentant ton corps qui se tend et l’orgasme qui t’emporte, tes doigts plantés à l’arrière de sa tête, tes jambes entravées qui tremblent sur tes talons. Tu jouis en criant et tu le tiens fermement pour qu’il n’en rate pas une goutte.

Il a été très obéissant ton jouet, et quand tu finis par le lâcher il se remet lentement sur pied, encore un peu étourdi mais avec une gaule plus impressionnante encore. Il vibre, sa queue à la main, il la caresse à peine mais elle oscille à chacun de ses mouvements. Elle est vraiment belle. Je détache ton deuxième poignet et tu m’attrapes pour te coller à moi, tu reprends ton souffle et tes esprits en m’embrassant, quelques mots sans suite entre deux soupirs… tu sens le sexe, tu es plus excitante encore après cet orgasme et je sors à mon tour ma queue que je sens chaude et tendue d’envie. Toujours entravée par les chevilles, perchée sur tes talons, une goutte de jus qui coule lentement le long de ta cuisse, ton regard reprend des forces et tu vois que ce n’est pas fini… je fais glisser mes mains sur tes bras, je t’aide à te pencher un peu en avant, puis un peu plus… et tu comprends. Tu as bien joui ma Chérie, maintenant tu vas me donner beaucoup de plaisir pour que je vienne à mon tour. Tu plaques tes fesses au mur, tu te cambres et tu m’attrapes les hanches avec les mains pour te retrouver au niveau de ma queue qui n’attend que ça. Sans hésitation tu me gobes le gland et tu commences à me sucer… quelle sensation, quelle vision! Tu te tiens à mes hanches, tu tends encore plus ta tête en avant et tu m’avales. Tu pompes sans retenue sur ma queue, tu t’empales dessus, tu viens pousser mon gland au fond de ta gorge et tu tires sur mon bassin pour que je m’y enfonce. Tu pousses et je m’enfonce dans ta gorge, elle est chaude, elle est serrée.

Je vois notre invité qui a recommencé à astiquer intensément son membre en regardant ce que tu me fais et, par fierté, je viens saisir tes cheveux délicatement jusqu’à les tenir bien fermement dans ma main. Il est à ma gauche, il te regarde avec envie. De la main droite j’accompagne ton mouvement, je te pousse plus profondément encore sur ma queue sur laquelle tu t’étouffes, elle ressort trempée et tu y reviens goulument. Je profite pendant une bonne minute de cette sensation érotique pure avant de retenir ta bouche juste au dessus de mon gland… Tes cheveux bien en main, je te fais patienter, un filet de salive se prolonge de ta lèvre inférieure à mon sexe. Je te fais redescendre lentement sur le gland et te laisse le mordiller, le sucer, avant de te relever par les cheveux jusqu’à mon visage et te regarder dans les yeux. Je t’embrasse, j’essuie la salive sur ton menton, on se sourit. « il a été très gentil ton admirateur ma Chérie… » « Oui… » et tu me souris. « tu vas lui dire merci. » « d’accord mon Amour, donne le moi… » et après un long baiser j’accompagne de la main ta tête qui redescend, ton buste qui se penche vers lui, et je lui dis « il est magnifique ce gland, elle peut goûter? » Une pause qui dure une seconde, deux maximum, et il fait un pas en avant vers toi. Je guide ton visage vers son sexe et t’arrête à quelques centimètres. Je veux te demander d’ouvrir la bouche mais tu l’as déjà fait… la langue tendue, ta bouche attend ma commande. Je te descends très lentement et te regarde donner un coup de langue à son gland. Puis un deuxième. Tu le lèches par à-coups, je te laisse descendre un peu plus et je regarde tes lèvres magnifiques se poser sur lui, enrober le bout de son sexe et se refermer sur lui. Et je relâche peu à peu tes cheveux pour te regarder lui donner la plus belle minute de sa vie.

Tu me regardes pendant que tu lui donnes son plaisir, et ton regard pétille. Tu es rafraichissante dans tes exhibitions ma Chérie, c’est un pur bonheur de t’admirer. D’ailleurs je ne suis pas le seul, un couple nous a rejoint et se caresse en te regardant, une pointe d’admiration dans son regard à elle devant ta pose provocante, les jambes tendues et les fesses en butée contre les montants de la croix, tes seins qui bougent au rythme de la fellation que tu offres à ton jouet.

Je n’ai pas envie que ça dure, et toi non plus. Je te détache pendant que tu finis cette gâterie et tu lui aspires une dernière fois le gland, bruyamment, avant de te relever et de te jeter dans mes bras. « Prends moi. » J’obéirai avec plaisir… Tu me prends la main et me précède sur le lit le plus proche. Tu es à genoux, tu te penches et enfonces tes coudes et avant-bras dans les coussins, tu te cambres. Je te saisis les hanches en dévorant des yeux tes fesses extraordinaires, la cambrure de ton dos et ton cou penché en avant entre tes omoplates, ta tête sur le matelas. Tu t’abandonnes à moi et je glisse ma queue lentement en toi en soupirant de plaisir. Je te prends lentement et sûrement, fermement. Nos rythmes s’accordent et tu gémis sur mes soupirs, tu te mords la lèvre, ton visage perdu dans les cheveux que tu laisses s’étaler sans plus chercher autre chose que la sensation de te faire posséder. Et je te possède. J’accélère, je pousse du plus profond de mes reins pour venir claquer mes cuisses contre tes fesses et t’écarteler avec mon sexe en pleine érection. Je ressors quasiment à chaque va et vient pour mieux revenir te prendre profondément. Je glisse mes cuisses un peu plus en avant sous toi pour te soulever de plus en plus à chaque mouvement. Tu n’as plus aucun contrôle sur ton corps que je baise sans retenue, tu pousses des petits cris et je sens monter la tension dans tes cuisses qui accompagne ton orgasme. C’est rare que tu jouisses en levrette, tu es en train de laisser monter le résultat de tous nos jeux et je t’y encourage… « voilà, laisse monter, donne leur un bel orgasme ma beauté. Je veux qu’ils t’entendent jouir dans tout le club. » Et tu m’obéis.

Tu jouis pleinement, tu te lâches. Je sens tes jambes qui tremblent, ton sexe me serre et tu me prends tout entier dans ton ventre. Je reste, j’appuie, je sens ta peau qui frémit et tu me trempes en gémissant. Tu cries. C’est beau, c’est bon, tu t’effondres sur le matelas, ma queue serrée entre tes jambes, je tombe sur toi et viens me blottir contre tes cheveux, ton visage. Je t’embrasse le cou, je te caresse, je sens mon érection qui palpite dans ton ventre et je me nourris de cette sensation formidable de t’aimer autant, d’être si fier de toi. Je t’aime, c’est inégalable. Nous rions, le souffle entrecoupé de mots désordonnés, nos regards se retrouvent, nos corps se détendent. Je glisse peu à peu hors de toi, je me laisse tomber sur le dos et tu me rejoins, une main sur ma poitrine, ta bouche contre la mienne, nous respirons ce baiser et il fige le moment. Nos regards finissent par se promener autour, ton admirateur a joui visiblement et te sourit, le couple a commencé à sérieusement se chauffer sans nous quitter des yeux. Je vois un autre curieux qui a dû s’approcher pour le bouquet final, le plaisir est partagé. Cette ambiance unique aux clubs, quasiment indescriptible, qui fait qu’on y revient. On se comprend, il n’y a aucun jugement, que du plaisir.

C’est un moment après, au coin fumeur, que tu me reprendras en bouche pour me faire jouir… mais c’est une histoire pour une autre fois.