Livre érotique
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Livre érotique
J'arpente la médiathèque à la recherche d'un livre érotique, en réalité, il s'agit de livres un peu, sinon beaucoup olé-olé. Mes recherches me conduisent vers un auteur, un homme qui décrit par le menu les ébats des héros. Je suis sur le point de le prendre quand un jeune de 25 ans, mon âge, le prend avant moi. Elle me fait un beau sourire. J'en suis charmé et déçu. Elle comprend mon désappointement. Elle me fait une proposition: c'est un ouvrage à lire d'une seule mais. Alors pourquoi ne pas le lire ensemble. L'invitation me plait, au moins cette fille n'a pas froid au yeux. Je l'invite au snack de la médiathèque pour prendre un café. Elle accepte bien sur. Après l'enregistrement de son prêt nous voilà installés à une table. Nous bavardons non pas de tout et de rien, nous parlons directement sexe. Je lui fait par de mes préférences, elle des siennes. En gros, nous aimons les mêmes choses: nous branler, la sodomie, le 69. Voilà un programme déjà mis en place. Nous commençons à nous exciter Je bande, elle aussi mouille sa culotte. Heureusement pour nous, nous sommes isolés dans un angle caché de l'établissement. Je l'embrasse, ses bras viennent autour de mon cou. Je caresse ses seins à travers ses vêtements. Sans hésiter elle pose une main sur mon sexe bien gros pour le masser. Je ne peux raisonnablement pas en faire autant.
Pour être plus tranquilles nous sortons pour aller je ne sais où: pas chez moi, c'est trop, loin, pas chez elle, a sœur y réside aussi. Je connais un endroit très tranquille à quelques kilomètres, à moins de 10 minutes en voiture. Elle est d'accord. Nous voilà en route pour une partie de plaisir. Elle est surexcitée, me demande de lui caresser le genoux et de remonter doucement jusqu'à sa culotte. En conduisant ce n'est guère commode. Tant pis, elle relève le bas de sa robe, passe une main sous sa robe, descend sa culotte qu'elle me donne à garder. Je la hume: j'aime son odeur. Elle monte encore plus la robe: je peux lui voir le sexe. Elle ne reste pas inactive: elle sa caresse le bouton, me demande de la regarder, ce que je fais en ralentissant. Je bande de plus en plus. Elle se sait, puisque je défais ma braguette pour sortir ma queue. Elle la regarde en continuant sa masturbation. Pour ne pas trop me distraire, elle ne fait qu'effleurer la bite.
Nous arrivons à l'endroit où j'ai souvent emmené mes conquêtes. C'est un endroit totalement isolé dans une forêt. Dès notre arrivée, nous nous embrassons comme il faut: nos langues se livrent une féroce bataille. Je relève sa robe pour revoir son con. J'y mets une main, cherche à peine le clitoris, je le branle. Elle ferme les yeux pour mieux jouir. Elle a les jambes écartées, une main se pose sur un sein. Enfin, après sa masturbation et la mienne elle jouit longuement.
Nous nous éloignons de la voiture, je connais un endroit très abrité. Là nous pouvons nous mettre nus, ce qui ne tarde pas. J'ai porté de l'auto, une grande couverture qui nous servira de couche, toutefois, avant de nous y mettre je la prends dans mes bras, nous nous embrassons encore. Notre corps à corps fait que je bande plus fort. Bien sur elle sent ma queue contre son ventre. Elle la prend en main et me branle avec fermeté. Je suis obligé de l'arrêter: je ne veux pas la décevoir quand je la baiserai. Je m'accroupis devant elle, passe ma langue sur son pubis: elle ouvre ses jambes. Je peux goûter à la source son odeur. Ma langue s'emballe sur le clitoris. Elle jouit.
Finalement nous nous couchons: nous nous embrassons sans arrêt. Nous nous caressons à peu prés partout où c'est possible. J'ai terriblement envie de la baiser et de jouir moi aussi. Je me mets sur elle qui écarte encore les jambes, par avance désireuse de ma pine. Elle ouvre en grand ses cuisses et pourtant, voyant toute sa féminité, j'ai changé d'avis: je mets ma langue dans son con en commençant par son petit trou. Je rentre un peu de langue. Elle pose ses mains sur ma tête comme pour me demander de continuer, ce que je fais. Elle frémit juste avant de jouir. Je monte la langue pour arriver à nouveau à son bouton. Je l'aspire en partie, c'est le bout de ma langue qui le caresse. Elle ne résiste pas. Elle ne veux pas que je la baise encore: elle demande que je lui donne ma queue à sucer. J'au trop envie de jouir. Je me tourne, me mets sur le dos, ma queue bine dressée. Elle vient sur moi, prend ma pine en bouche. Elle lèche mon gland doucement comme si c'était un objet de luxe. Je pousse ma queue dans sa bouche, elle la prend en grande partie: ses lèvres coulissent autour de mon vit. Je vais jouir si elle continue une telle fellation. Je lui demande d'arrêter ses succions. Elle continu. Je vais jouir, l'en avertit. Elle me garde dans la bouche. Quand je jouit elle attend que les dernières gouttes de sperme soient parties. Elle sait qu'il me faut un instant de récupération: elle va chercher le livre érotique toujours nue au risque de se montrer à n'importe qui. Son remède est efficace quand elle lit un passage particulièrement porno: il s'agit des impressions d'une nana qui se fait mettre devant et derrière. Elle me fait bander, elle avoue qu'elle aussi est très excitée d'avoir lu un pareil texte. Elle en veut tant qu'elle se met à cheval sur moi, prend ma queue, se la met elle-même dans le con. Elle reste ainsi sans bouger, comme pour déguster cet instant. C'est moi qui commence les vas et viens: elle les accompagne très vite, jouit encore. Elle se relève un peu pour aller s'embrocher le cul. Elle ne m'attend pas pour faire mes mouvements. Par contre au moment de jouir, elle pousse un grand cri. Elle arrête ses initiatives. Elle vient se coucher à mes cotés. A mon tour de lire: j'ouvre une page au hasard : il s'agit de deux femmes qui s'aiment avec un homme seul pour les satisfaire. Évidemment je rebande. Elle aussi mouille fortement. Nous nous installons en 69. Si elle me suce aussi bien, je me régale d'avoir en même temps tout son con dans ma bouche. Ce doit être l'excitation de ce 69, nous jouissons pratiquement ensemble.
La fin de cette histoire est que nous restons depuis ensemble et pout baiser sovet et vivre notre nouvelle vie.
Pour être plus tranquilles nous sortons pour aller je ne sais où: pas chez moi, c'est trop, loin, pas chez elle, a sœur y réside aussi. Je connais un endroit très tranquille à quelques kilomètres, à moins de 10 minutes en voiture. Elle est d'accord. Nous voilà en route pour une partie de plaisir. Elle est surexcitée, me demande de lui caresser le genoux et de remonter doucement jusqu'à sa culotte. En conduisant ce n'est guère commode. Tant pis, elle relève le bas de sa robe, passe une main sous sa robe, descend sa culotte qu'elle me donne à garder. Je la hume: j'aime son odeur. Elle monte encore plus la robe: je peux lui voir le sexe. Elle ne reste pas inactive: elle sa caresse le bouton, me demande de la regarder, ce que je fais en ralentissant. Je bande de plus en plus. Elle se sait, puisque je défais ma braguette pour sortir ma queue. Elle la regarde en continuant sa masturbation. Pour ne pas trop me distraire, elle ne fait qu'effleurer la bite.
Nous arrivons à l'endroit où j'ai souvent emmené mes conquêtes. C'est un endroit totalement isolé dans une forêt. Dès notre arrivée, nous nous embrassons comme il faut: nos langues se livrent une féroce bataille. Je relève sa robe pour revoir son con. J'y mets une main, cherche à peine le clitoris, je le branle. Elle ferme les yeux pour mieux jouir. Elle a les jambes écartées, une main se pose sur un sein. Enfin, après sa masturbation et la mienne elle jouit longuement.
Nous nous éloignons de la voiture, je connais un endroit très abrité. Là nous pouvons nous mettre nus, ce qui ne tarde pas. J'ai porté de l'auto, une grande couverture qui nous servira de couche, toutefois, avant de nous y mettre je la prends dans mes bras, nous nous embrassons encore. Notre corps à corps fait que je bande plus fort. Bien sur elle sent ma queue contre son ventre. Elle la prend en main et me branle avec fermeté. Je suis obligé de l'arrêter: je ne veux pas la décevoir quand je la baiserai. Je m'accroupis devant elle, passe ma langue sur son pubis: elle ouvre ses jambes. Je peux goûter à la source son odeur. Ma langue s'emballe sur le clitoris. Elle jouit.
Finalement nous nous couchons: nous nous embrassons sans arrêt. Nous nous caressons à peu prés partout où c'est possible. J'ai terriblement envie de la baiser et de jouir moi aussi. Je me mets sur elle qui écarte encore les jambes, par avance désireuse de ma pine. Elle ouvre en grand ses cuisses et pourtant, voyant toute sa féminité, j'ai changé d'avis: je mets ma langue dans son con en commençant par son petit trou. Je rentre un peu de langue. Elle pose ses mains sur ma tête comme pour me demander de continuer, ce que je fais. Elle frémit juste avant de jouir. Je monte la langue pour arriver à nouveau à son bouton. Je l'aspire en partie, c'est le bout de ma langue qui le caresse. Elle ne résiste pas. Elle ne veux pas que je la baise encore: elle demande que je lui donne ma queue à sucer. J'au trop envie de jouir. Je me tourne, me mets sur le dos, ma queue bine dressée. Elle vient sur moi, prend ma pine en bouche. Elle lèche mon gland doucement comme si c'était un objet de luxe. Je pousse ma queue dans sa bouche, elle la prend en grande partie: ses lèvres coulissent autour de mon vit. Je vais jouir si elle continue une telle fellation. Je lui demande d'arrêter ses succions. Elle continu. Je vais jouir, l'en avertit. Elle me garde dans la bouche. Quand je jouit elle attend que les dernières gouttes de sperme soient parties. Elle sait qu'il me faut un instant de récupération: elle va chercher le livre érotique toujours nue au risque de se montrer à n'importe qui. Son remède est efficace quand elle lit un passage particulièrement porno: il s'agit des impressions d'une nana qui se fait mettre devant et derrière. Elle me fait bander, elle avoue qu'elle aussi est très excitée d'avoir lu un pareil texte. Elle en veut tant qu'elle se met à cheval sur moi, prend ma queue, se la met elle-même dans le con. Elle reste ainsi sans bouger, comme pour déguster cet instant. C'est moi qui commence les vas et viens: elle les accompagne très vite, jouit encore. Elle se relève un peu pour aller s'embrocher le cul. Elle ne m'attend pas pour faire mes mouvements. Par contre au moment de jouir, elle pousse un grand cri. Elle arrête ses initiatives. Elle vient se coucher à mes cotés. A mon tour de lire: j'ouvre une page au hasard : il s'agit de deux femmes qui s'aiment avec un homme seul pour les satisfaire. Évidemment je rebande. Elle aussi mouille fortement. Nous nous installons en 69. Si elle me suce aussi bien, je me régale d'avoir en même temps tout son con dans ma bouche. Ce doit être l'excitation de ce 69, nous jouissons pratiquement ensemble.
La fin de cette histoire est que nous restons depuis ensemble et pout baiser sovet et vivre notre nouvelle vie.
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