Lydie
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Lydie
C’est la première fois que nous nous disputons. Ce ne sera sans doute pas la dernière. Pour lui montrer que je ne suis pas d’accord avec elle, je décide de céder aux avances d’une collègue de bureau, Lydie. Autant mon amie est brune autant l’autre est rousse. L’une est relativement petite, l’autre est assez grande. Celle-ci me fait du gringue depuis plusieurs semaines: elle profite de tous les instants pour me glisser des mots tels que j’ai envie de toi, j’aimerai que tu me la mette ou encore, embrasses moi, je ne mord pas.
C’est décidé je fais lui céder.
Quand un jour elle me dit encore une fois qu’elle a envie de moi, je lui donne rendez vous pour le jour même à 17 heures 30, au bistrot juste en face du bureau. Pile à l’heure elle est là, habillée sexy. Je devine qu’elle ne doit pas porter, mise à part sa robe un quelconque vêtement: je suis excité d’avance. Nous ne nous attardons pas dans ce bar; nous filons là où elle m’emmène; chez elle. Nous échangeons notre premier baiser. Quel plaisir de sentir nos langues se disputer dans nos bouche. Elle embrasse presque aussi bien que ma compagne. Par contre elle s’attaque à moi directement. Elle prend ma bite dans la main, presque aussitôt, à travers le pantalon. Elle me fait bander très vie, elle défait ma braguette pour sortit ma pine: elle y arrive facilement. Elle me branle directement: je voudrai lui rendre sa caresse: je n’en ai pas la temps. Elle fait tomber sa robe: j’avais raison, elle est nue. Je peux admirer son corps de rousse: cette fois j’ai réellement envie d’elle. Elle reprend ma bite pour l’embrasser. Je m’attends à ce qu’elle me fasse un fellation.
Lydie entreprend de ma déshabiller. Quand je suis nu comme un vers, elle fait ce qu’elle aurai du faire dès le début, elle se met contre moi. Son abdomen, contre ma bite, la presse conte elle. Je lui met les mains au fesse, passe mes doigts vers son anus. Elle se contente d’écarter ses fesses pour faciliter mon accès. Je laisse un doigt sur son anus, sans trop le bouger. Enfin elle reprend ma bite dans sa main. Je la laisse faire, après tout pourquoi me priver d’un plaisir ? Elle arrête la masturbation pour me prendre dans sa bouche: elle sait sucer mieux que mon amie, qui y met quelques réserves quand je vais jouir: elle refuse obstinément de garder mon sperme dans la bouche; elle est vite écœurée. Je sens sa langue sur le gland, elle le lèche et le rentre dans sa bouche pour le garder juste avec ses lèvres. J’ai la plus grande partie de ma pine dehors: elle me branle en même temps. Je la laisse faire. Elle arrête en disant qu’elle ne veut pas que je jouisse aussitôt. C’est dommage, elle suce bien. Maintenant je la laisse faire ce qu’elle veut: elle me fait coucher sur la lit, vient à mes cotés! Nous nous embrassons encore: je peux enfin lui caresser les seins qu’elle bien sur; surtout les mamelons. J’en prend un entre le pouce et l’index, je le pince à peine. Je fait descendre ma main vers son nombril: j’adore caresser les nombrils féminins. J’arrive là où commence son duvet. Je reste là sans bouger un petit moment qu’elle met à profit pour reprendre ma queue. Lydie se contente de la tenir dans rien y faire de particulier, sinon de ma faire bander encore plus fort. Elle me demande de la branler d’une voie suppliante. Je lui donne ce plaisir, d’abord en mettant deux doigts dans sa fente et ensuite en les mettant sur le clitoris. Je trouve qu’il est très lisse une fois sorti de sa protection. Lentement je commence à le frotter: elle me demande d’appuyer d’avantage et d’aller plus vite. En faisant ce qu’elle exige, je la fais jouir facilement. Je laisse ma main où elle est. Je la fais jouir encore: je continue jusqu’a moment où elle demande grâce. Je viens sur elle: je sens ses seins contre mon ventre. Je sens également ma bite contre son vagin et pourtant je n’y entre pas, alors que j’ai moi aussi envie d’elle. Nos lèvres sont toujours réunies. Les langues continuent leur caresses. Je donne un grand coup de rein pour me retrouver au fond d’elle. Là, elle commence à aller et venir seule autour de ma queue. Je la laisse faire: par contre j’arrive à la faire se cambrer juste pour que je passe une main sous ses fesse: je lui met deux doigts dans le cul, sans la prévenir. Elle veut se dégager au début, puis appréciant la chose, elle se trémousse avant de jouir brusquement. Je la retourne sur le ventre: cette fois j’inverse: je lui mets trois doigts dans le con et ma bite dans le cul. Je dois lui faire effet puisque elle jouit plusieurs fois. Je lâche mon venin au fon de son cul.
Nous arrêtons pour nous reposer, en réalité pour bavarder: nous ne nous connaissons pas bien. Je lui avoue que si je couche avec elle c’est à la suite d’un dispute avec mon amie. De son coté Lydie me dit aimer les filles autant que les hommes: si je lui présente mon amie, elle pourrai sans doute la baiser. Je suis surpris de sa proposition. Je vois mal ma chérie entre ses bras.
J’entre chez moi un peu tard. J’ai des remords et avoue mon infidélité. Pour me faire pardonner je lui fais l’amour comme jamais. Je la suce comme elle aime, c’est-à-dire depuis son petit trou jusqu’au clitoris. Je suis prêt à lui faire ce qu’elle pourrai me demander, même l’impossible. Son impossible est simple: elle veut que je lui mettre ma langue dans l’anus, en l’enfonçant bien fort. C’est vrai que je refuse toujours cette faveur. Je la contente en lui mettant comme elle le demande ma langue sur son cul. Je parcours tout le tour pour qu’elle jouisse: ce que j’arrive à lui donner. Elle tient à l’avoir le plus possible dans le cul. J’arrive à y mettre la moitié de la langue. Elle est heureuse et jouit encore.
C’est à ce moment là que je lui demande si avec une autre fille………..
Je n’en reviens pas de sa réponse: bien sur qu’elle le voudrai puisque quand elle était encore jeune elle baisait avec une copine et qu’elle en gardait une cèlent souvenir.
Le lendemain je rencontrai à nouveau Lydie pour lui dire que mn amie accepte sans réserve sa proposition. Je vais plus loin même en l’invitant pour le soir même à la maison.
En arrivant je le dis à ma copine: elle est un peu surprise de la rapidité et accepte volontiers de baiser avec Lydie qu’ elle ne connait même pas. Elle me demande si je vais baiser aussi Lydie devant elle: je réponds pas l’affirmative: tant mieux, elle n’aurai pas voulu le faire en cachette. Elle se prépare à sa façon: jupe ultra courte, pas de slip, un cordage qui n’a de nom que corsage tellement il est transparent, pas de soutien gorge évidement. Comme je suppose que Lydie ne portera que sa robe, je pense qu’elles s’entendrons très vite. *Enfin un coup de sonnette: Lydie est la? Je vais pour l’accueillir, c’est mon amie qui va ouvrir. Elles savent toutes le deux qu’elles vont baiser, alors, sans présentation aucune elles s’embrassent sur la bouche.
Cet accueil me fait bander. Les deux femmes ne s’occupent pas de moi. Elles vont directement dans le chambre où je les suis. Comme je le pensais elles sont nues très vite, corps à corps elles s’embrassent comme des jeunes pour la première fois. Enfin ma mie se couche sur le dos, mess jambes bien écartées. Lydie se met à coté, sa tête à hauteur de con de mon amie, je pense qu’elle vont faire un 69.
Je me met nu, moi aussi, et je me caresse la queue en attendant qu’elles se donnent du plaisir. Lydie qui prend la direction de leur baise, commence par passer sa main dans toute la féminité de ma mie. Enfin elle vient poser sa bouche sur le clitoris te le suce juste in instant avant de la branler au même endroit. Mon amie se laisse faire en poussant de léger soupirs de plaisir. La bouche laisse la place à deux doigts chargés de faire jouir, Lydie continue à la caresser à deux endroit à la fois: les doigts sur le clitoris et la langue dans le vagin. Je peux tout voir: surtout le visage de mon amie quoi se crispe souvent quand elle jouit. Après un autre orgasme, Lydie veut sa part: elle s’installe le sexe sur la bouche de ma compagne et se met immédiatement à lécher le clitoris de sa amante du moment. Je ne me lasse pas de regarder leur 69. Ce qui m’étonne c’est de voie comment ma nana se comporte comme si elle avait simplement baise la veille. Les filles changent de position, mais ma de cible: le clitoris de l’autre.
J’ai eu le temps de ma branler devant les deux filles en chaleur. Je ne jouis pas. Quand elle s’arrêtent c’est pour s’embrasser encore. C’est Lydie qui a envie de baiser avec moi. Mon amie se pousse sur le lit pour ma laisser la place, elle me donne un baiser rapide: ses lèvres ont le goût de la cyprine de Lydie.
Elle est les jambes écartées dans l’attente de ma bite. C’est rapidement fait j’entre dans son ventre rapidement: elle est tellement mouillée que je ne sens qu’à peine son vagin. Je fais les aller et venue quand je sens entre mes fesses la langue de mon amie qui vient lécher mon cul. Je ne peux tenir longtemps ainsi. Et pourtant je me force en pensant à tout autre chose, loin de la baise pour tenir le coup, tellement que je fait jouit Lydie. Je met mon amour sur le dos, contre Lydie et la baise comme j’ai pu le faire.
J’ai ma pine dans le con et se sens qu’une main se glissée entre nous: c’est Lydie qui veux ajouter du piment en posant un doigt sur le bouton pour que mon amie jouisse d’avantage.: je sens que cette intrusion a de l’effet: elle jouit plus vite que les autres fois. Lydie voyant cela embrasse encore ma compagne.
Quand nous arrêtons de baiser, Lydie propose à ma chérie de venir la baiser quand elle le voudra. Elle répond que c’était la seule fois où elle baiserai avec elle et avec d’autres femmes.
C’est décidé je fais lui céder.
Quand un jour elle me dit encore une fois qu’elle a envie de moi, je lui donne rendez vous pour le jour même à 17 heures 30, au bistrot juste en face du bureau. Pile à l’heure elle est là, habillée sexy. Je devine qu’elle ne doit pas porter, mise à part sa robe un quelconque vêtement: je suis excité d’avance. Nous ne nous attardons pas dans ce bar; nous filons là où elle m’emmène; chez elle. Nous échangeons notre premier baiser. Quel plaisir de sentir nos langues se disputer dans nos bouche. Elle embrasse presque aussi bien que ma compagne. Par contre elle s’attaque à moi directement. Elle prend ma bite dans la main, presque aussitôt, à travers le pantalon. Elle me fait bander très vie, elle défait ma braguette pour sortit ma pine: elle y arrive facilement. Elle me branle directement: je voudrai lui rendre sa caresse: je n’en ai pas la temps. Elle fait tomber sa robe: j’avais raison, elle est nue. Je peux admirer son corps de rousse: cette fois j’ai réellement envie d’elle. Elle reprend ma bite pour l’embrasser. Je m’attends à ce qu’elle me fasse un fellation.
Lydie entreprend de ma déshabiller. Quand je suis nu comme un vers, elle fait ce qu’elle aurai du faire dès le début, elle se met contre moi. Son abdomen, contre ma bite, la presse conte elle. Je lui met les mains au fesse, passe mes doigts vers son anus. Elle se contente d’écarter ses fesses pour faciliter mon accès. Je laisse un doigt sur son anus, sans trop le bouger. Enfin elle reprend ma bite dans sa main. Je la laisse faire, après tout pourquoi me priver d’un plaisir ? Elle arrête la masturbation pour me prendre dans sa bouche: elle sait sucer mieux que mon amie, qui y met quelques réserves quand je vais jouir: elle refuse obstinément de garder mon sperme dans la bouche; elle est vite écœurée. Je sens sa langue sur le gland, elle le lèche et le rentre dans sa bouche pour le garder juste avec ses lèvres. J’ai la plus grande partie de ma pine dehors: elle me branle en même temps. Je la laisse faire. Elle arrête en disant qu’elle ne veut pas que je jouisse aussitôt. C’est dommage, elle suce bien. Maintenant je la laisse faire ce qu’elle veut: elle me fait coucher sur la lit, vient à mes cotés! Nous nous embrassons encore: je peux enfin lui caresser les seins qu’elle bien sur; surtout les mamelons. J’en prend un entre le pouce et l’index, je le pince à peine. Je fait descendre ma main vers son nombril: j’adore caresser les nombrils féminins. J’arrive là où commence son duvet. Je reste là sans bouger un petit moment qu’elle met à profit pour reprendre ma queue. Lydie se contente de la tenir dans rien y faire de particulier, sinon de ma faire bander encore plus fort. Elle me demande de la branler d’une voie suppliante. Je lui donne ce plaisir, d’abord en mettant deux doigts dans sa fente et ensuite en les mettant sur le clitoris. Je trouve qu’il est très lisse une fois sorti de sa protection. Lentement je commence à le frotter: elle me demande d’appuyer d’avantage et d’aller plus vite. En faisant ce qu’elle exige, je la fais jouir facilement. Je laisse ma main où elle est. Je la fais jouir encore: je continue jusqu’a moment où elle demande grâce. Je viens sur elle: je sens ses seins contre mon ventre. Je sens également ma bite contre son vagin et pourtant je n’y entre pas, alors que j’ai moi aussi envie d’elle. Nos lèvres sont toujours réunies. Les langues continuent leur caresses. Je donne un grand coup de rein pour me retrouver au fond d’elle. Là, elle commence à aller et venir seule autour de ma queue. Je la laisse faire: par contre j’arrive à la faire se cambrer juste pour que je passe une main sous ses fesse: je lui met deux doigts dans le cul, sans la prévenir. Elle veut se dégager au début, puis appréciant la chose, elle se trémousse avant de jouir brusquement. Je la retourne sur le ventre: cette fois j’inverse: je lui mets trois doigts dans le con et ma bite dans le cul. Je dois lui faire effet puisque elle jouit plusieurs fois. Je lâche mon venin au fon de son cul.
Nous arrêtons pour nous reposer, en réalité pour bavarder: nous ne nous connaissons pas bien. Je lui avoue que si je couche avec elle c’est à la suite d’un dispute avec mon amie. De son coté Lydie me dit aimer les filles autant que les hommes: si je lui présente mon amie, elle pourrai sans doute la baiser. Je suis surpris de sa proposition. Je vois mal ma chérie entre ses bras.
J’entre chez moi un peu tard. J’ai des remords et avoue mon infidélité. Pour me faire pardonner je lui fais l’amour comme jamais. Je la suce comme elle aime, c’est-à-dire depuis son petit trou jusqu’au clitoris. Je suis prêt à lui faire ce qu’elle pourrai me demander, même l’impossible. Son impossible est simple: elle veut que je lui mettre ma langue dans l’anus, en l’enfonçant bien fort. C’est vrai que je refuse toujours cette faveur. Je la contente en lui mettant comme elle le demande ma langue sur son cul. Je parcours tout le tour pour qu’elle jouisse: ce que j’arrive à lui donner. Elle tient à l’avoir le plus possible dans le cul. J’arrive à y mettre la moitié de la langue. Elle est heureuse et jouit encore.
C’est à ce moment là que je lui demande si avec une autre fille………..
Je n’en reviens pas de sa réponse: bien sur qu’elle le voudrai puisque quand elle était encore jeune elle baisait avec une copine et qu’elle en gardait une cèlent souvenir.
Le lendemain je rencontrai à nouveau Lydie pour lui dire que mn amie accepte sans réserve sa proposition. Je vais plus loin même en l’invitant pour le soir même à la maison.
En arrivant je le dis à ma copine: elle est un peu surprise de la rapidité et accepte volontiers de baiser avec Lydie qu’ elle ne connait même pas. Elle me demande si je vais baiser aussi Lydie devant elle: je réponds pas l’affirmative: tant mieux, elle n’aurai pas voulu le faire en cachette. Elle se prépare à sa façon: jupe ultra courte, pas de slip, un cordage qui n’a de nom que corsage tellement il est transparent, pas de soutien gorge évidement. Comme je suppose que Lydie ne portera que sa robe, je pense qu’elles s’entendrons très vite. *Enfin un coup de sonnette: Lydie est la? Je vais pour l’accueillir, c’est mon amie qui va ouvrir. Elles savent toutes le deux qu’elles vont baiser, alors, sans présentation aucune elles s’embrassent sur la bouche.
Cet accueil me fait bander. Les deux femmes ne s’occupent pas de moi. Elles vont directement dans le chambre où je les suis. Comme je le pensais elles sont nues très vite, corps à corps elles s’embrassent comme des jeunes pour la première fois. Enfin ma mie se couche sur le dos, mess jambes bien écartées. Lydie se met à coté, sa tête à hauteur de con de mon amie, je pense qu’elle vont faire un 69.
Je me met nu, moi aussi, et je me caresse la queue en attendant qu’elles se donnent du plaisir. Lydie qui prend la direction de leur baise, commence par passer sa main dans toute la féminité de ma mie. Enfin elle vient poser sa bouche sur le clitoris te le suce juste in instant avant de la branler au même endroit. Mon amie se laisse faire en poussant de léger soupirs de plaisir. La bouche laisse la place à deux doigts chargés de faire jouir, Lydie continue à la caresser à deux endroit à la fois: les doigts sur le clitoris et la langue dans le vagin. Je peux tout voir: surtout le visage de mon amie quoi se crispe souvent quand elle jouit. Après un autre orgasme, Lydie veut sa part: elle s’installe le sexe sur la bouche de ma compagne et se met immédiatement à lécher le clitoris de sa amante du moment. Je ne me lasse pas de regarder leur 69. Ce qui m’étonne c’est de voie comment ma nana se comporte comme si elle avait simplement baise la veille. Les filles changent de position, mais ma de cible: le clitoris de l’autre.
J’ai eu le temps de ma branler devant les deux filles en chaleur. Je ne jouis pas. Quand elle s’arrêtent c’est pour s’embrasser encore. C’est Lydie qui a envie de baiser avec moi. Mon amie se pousse sur le lit pour ma laisser la place, elle me donne un baiser rapide: ses lèvres ont le goût de la cyprine de Lydie.
Elle est les jambes écartées dans l’attente de ma bite. C’est rapidement fait j’entre dans son ventre rapidement: elle est tellement mouillée que je ne sens qu’à peine son vagin. Je fais les aller et venue quand je sens entre mes fesses la langue de mon amie qui vient lécher mon cul. Je ne peux tenir longtemps ainsi. Et pourtant je me force en pensant à tout autre chose, loin de la baise pour tenir le coup, tellement que je fait jouit Lydie. Je met mon amour sur le dos, contre Lydie et la baise comme j’ai pu le faire.
J’ai ma pine dans le con et se sens qu’une main se glissée entre nous: c’est Lydie qui veux ajouter du piment en posant un doigt sur le bouton pour que mon amie jouisse d’avantage.: je sens que cette intrusion a de l’effet: elle jouit plus vite que les autres fois. Lydie voyant cela embrasse encore ma compagne.
Quand nous arrêtons de baiser, Lydie propose à ma chérie de venir la baiser quand elle le voudra. Elle répond que c’était la seule fois où elle baiserai avec elle et avec d’autres femmes.
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